Le Pensionnat des Oiseaux

Informations sur Récit
Recrutement de la prof de maths.
3.8k mots
4.64
4.7k
4
Récit n'a pas de balises

Partie 1 de la série de 6 pièces

Actualisé 04/16/2024
Créé 03/21/2024
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- Je vous remercie d'avoir répondu si vite à notre invitation.

La jeune femme en face de moi est assise dans un confortable fauteuil dans une suite Central Park view de l'hôtel Mandarin. Elle me sourit avec bienveillance, sentant sans doute mon trouble croissant. Je ne comprends rien à ce luxe, ni à la situation alors que depuis quelques semaines ma vie n'est qu'un cauchemar. Sa phrase est de pure forme, et je lui rends son sourire entendu.

- Nous avons beaucoup entendu parler de vous et j'étais impatiente de vous rencontrer. Mais avant tout, laisser moi vous présenter le pensionnat des oiseaux.

Je rougis violemment à l'évocation de ce qu'elle peut savoir de moi, et qu'elle semble savoir bel et bien. En même temps, si cela n'a pas fait la une des journaux, le milieu éducatif a été mis au courant de mon exclusion d'un état à l'autre du pays!

- Nous sommes totalement privés, et donc n'avons de compte à rendre à personne. Votre exclusion ne nous pose pas de problème, d'autant que les résultats que vous avez pu obtenir malgré votre jeune âge, plaident pour vos qualités d'enseignantes, voire de coach en mathématiques. Et cela nous intéresse puisque notre titulaire actuelle doit quitter son poste dès lundi prochain.

- Lundi prochain? (Je suis à nouveau paniquée, j'habite en Californie et le poste est à Long Island!)

- Ne vous en faites pas, si vous êtes retenue, vous verrez que tout se passera sans souci. Dans notre institution tout est possible. Regardez, vous avez entendu parler de nous avant-hier seulement et vous voici ce matin devant moi! Votre voyage s'est-il bien passé? J'ai cru comprendre que oui!

Si je pouvais exploser de honte, ce serait maintenant! Son regard et son sourire montrent qu'elle sait exactement ce qui s'est passé. Que m'arrive-t-il depuis quelques mois? Cela ne me ressemble pas, je glisse sur une pente savonneuse, impossible de résister à mes pulsions. Je bafouille une réponse, réalisant l'enchaînement de ces dernières heures.

***

Deux jours plus tôt, j'étais enfermée dans ma maison, faisant le compte de tout ce que je venais de perdre : mon job, ma réputation, mes amis, mon existence sociale, et même ma famille qui m'avait rejetée. Sans compter mes deux amours qui m'avaient trahie. Il ne me restait plus qu'à disparaître ou bien m'expatrier et encore! Enseigner les mathématiques est ma passion, et je ne pouvais y renoncer, mais toutes les portes étaient définitivement closes.

Jusqu'à cet appel de Mary, la responsable du recrutement d'un pensionnat dont je n'avais jamais entendu parler. Un pensionnat qui devrait bien me convenir car il n'y avait que des élèves féminines dans un encadrement exclusivement féminin. Le sous-entendu était clair, faisait-il référence à mon militantisme LGBT ou à mes aventures médiatisées malgré moi avec des élèves féminines? Même sous la torture je n'avouerais jamais que l'idée m'avait particulièrement érotique et pleine de possibilités. Était-ce le diable qui m'avait appelée?

Ils cherchaient une nouvelle professeure, et si j'étais intéressée, je devais me rendre dès le lendemain matin à l'aéroport de San Francisco. Une limousine viendrait me chercher chez moi à 8h00 précise. Balbutiant, prise de court, j'ai bien dû concéder que je n'avais rien de prévu pour les jours à venir, aussi je me suis laissée convaincre, me demandant de quoi il s'agissait. Peu d'informations sur Internet sur que ce pensionnat, sinon qu'il semblait hyper confidentiel et pour les familles très riches de Long Island. Il n'était réservé qu'à des jeunes filles, nécessairement majeures, pour préparer les meilleures entrées en Bachelor. Cinq classes de douze élèves, cela semblait être les meilleures conditions possibles.

Je suis surprise que la limousine soit conduite par une femme, qui m'installe confortablement, m'offre un café au lait pour le trajet et me conduit en souplesse malgré les embouteillages. Je suis sidérée de voir la voiture s'engager sur le tarmac et s'arrêter au pied d'un jet privé, je lis Bombardier 6000 sur la carlingue, sans autres signes distinctifs. Comme une star, je monte m'escalier, me retourne pour voir la limousine disparaître, avant d'être accueillie par Natacha.

Mon corps tressaille à la voir, le sourire épanoui, dans un uniforme certes classique mais qui me semble très court et tr-s léger. Malgré une absence de forme là où les hommes les aiment, elle exhale une sensualité terrible. Je ressens tout de suite que c'est une jeune femme très ancrée, terre à terre, simple et sans prise de tête. Ses cheveux, raides comme les miens mais blonds quand je suis brune, sont coupés au carré, dégagent un cou si fin que je suis sidéré que sa tête soit soutenue fermement.

Elle se saisit de ma petite valise, m'installe dans un grand fauteuil confortable, se penche sur moi pour m'attacher la ceinture. Sa bouche est à quelques centimètres de la mienne, elle me regarde en souriant, semblant attendre je ne sais quoi, moi je suis trempée, liquéfiée dans mon siège. Elle rabat doucement ma robe sur mes genoux, les caressant avec douceur, j'en tremble, le sent-elle?

Malgré l'heure matinale, elle m'offre une coupe de champagne, s'en sert une avant de s'asseoir à mes côtés et de prendre ma main, comme pour me rassurer. Son regard est franc, et direct dans mes yeux, elle me sourit.

C'est à cet instant que la porte du cockpit s'ouvre, la pilote me salue, la petite cinquantaine, la peau tannée, le déguisement complet du pilote, y compris les ray ban. Elle m'annonce un voyage de cinq heures, que le temps est magnifique, et que je vais passer sans doute un voyage sans histoire et très agréable. Pourquoi son sourire me suggère l'inverse? Natacha, n'a pas lâché ma main, posée sur ma cuisse, qu'elle caresse discrètement, presque négligemment. Je ne dis rien, je ne bouge pas, une envie furieuse d'aller aux toilettes me soulager en me faisant jouir. La coupe de champagne vite reremplie ne fait qu'accroître mon trouble. Les sensations de ces derniers mois avec mes deux amantes me remontent, je pourrais jouir d'un simple courant d'air. Comme elles me manquent! Je ne pouvais rien faire d'autre que me laisser porter jusqu'au désastre qui a valu mon renvoi.

Je suis fascinée par le luxe de cet avion, tout est en cuir et en bois, c'est magnifique. Les sièges sont incroyables avec des commandes auxquelles je me garde bien de toucher. J'ai finalement très peu pris l'avion, et je suis un peu nerveuse, Natacha me parle et me presse la main, cela me fait du bien, je le lui dis, déclenchant un sourire ravageur. Elle me rappelle Em, tout en étant extravertie là où Em est introvertie! L'avion décolle en quelques mètres, c'est fou, et déjà il grimpe à toute vitesse. Sans attendre, Natacha se penche sur moi pour me défaire la ceinture. Sa main s'attarde sur ma hanche, ma taille, faisant mine de chercher l'accroche, son visage collé contre mes seins, ses yeux relevés vers moi, souriant de la situation, sans doute préméditée. J'ai juste envie de hurler qu'elle me fasse jouir!

Sans réfléchir je fais les derniers centimètres qui restent et nos bouches se trouvent naturellement, j'aime le poids de son corps sur moi, la ceinture est détachée, j'ai la main qui tient le haut de sa cuisse, elle est bien plus musclée que je ne pensais, et si douce, je gémis, ce qui lui fait plisser les yeux. Elle manipule quelques boutons, se met à califourchon sur moi tandis que nos deux sièges se déplient en un lit géant! Les accoudoirs se sont enfoncés comme par magie et nous voici allongée l'une sur l'autre, à se tenir, se regarder, se palper, se caresser. J'ai la tête qui tourne, le champagne à moins que ce ne soit l'altitude.

Sa tenue de parfaite hôtesse de l'air ne résiste pas longtemps, sa poitrine est à peine marquée, j'adore, cela me touche incroyablement, comme celle d'Em, comme une promesse, une retenue. Sa taille est peu marquée, mais j'dore sentir ses hanches et son pubis bien rebondit, caché par une culotte blanche que je me garde d'enlever. J'aime prendre le temps, et surtout laisser l'initiative. Natacha semble très active, car je me retrouve toute aussi nue, sinon plus, puisque mon slip ne résiste pas. Sa main se glisse entre mes cuisses, sans doute impressionnée par la mouille qu'elle trouve, je suis affreusement excitée et je la désire plus que tout. Je le lui dis. Je suis tout à elle, ce qui la fait sourire, tandis qu'elle me plaque son sexe toujours recouvert de sa culotte sur la bouche, me demandant de la faire jouir malgré l'étoffe de tissu.

Celui-ci devient vite transparent avec ma salive, son sexe est glabre ce qui ne me surprend pas, j'aspire, je lèche, elle m'utilise en se frottant, me serrant entre ses cuisses, je suis au paradis. Devine-t-elle que je suis d'un naturel très passif dans les relations? Je n'y tiens plus, j'écarte sa culotte pour goutter son sexe humide, aux grandes lèvres si discrètes, c'est fou. Son clitoris m'attend, et je l'aspire doucement, en rythme, me calquant sur sa respiration, mes mains caressant ses petits seins qui me rendent folle. Elle prend les miens dans ses mains, les tétons entre deux doigts, les malaxant doucement, tendrement, les soupesant, sans doute surprise de leur taille que je masque en général sous mes vêtements.

Enfin je la sens qui commence à partir, ses mots deviennent moins cohérents, elle me dit qu'elle va hurler, et effectivement elle hurle mais qui peut nous entendre dans le bruit de l'avion? Je suis heureuse de lui avoir donné ce plaisir, ce qui n'a fait qu'accroitre mon propre désir. M main cherche mon clitoris, mais Natacha, la repousse, ne voulant pas que ce soit moi qui me fasse plaisir.

Toujours assise sur mon visage, sa bouche vient se poser sur mon sexe, provoquant des ondes incontrôlables, à peine sa langue touche-t-elle mon bouton que je hurle mon plaisir avec des spasmes puissants qui la font rires, cela n'en finit pas, et je suis loin d'être rassasiée.

S'allongeant à côté de moi, Natacha ma guide pour que je vienne entre ses cuisses la lécher. Elle non plus ne semble pas rassasiée. Je suis à quatre pattes, la tête serrée entre ses cuisses, la suçant encore au rythme imposé par sa main qui tient toujours fermement mes cheveux. Je sursaute quand je sens une autre main ouvrir mon sexe, la pression de Natacha est plus forte, comme pour m'intimer de me laisser faire, ce que je fais, mais sans retenir un gémissement de bonheur de me sentir ainsi fouillée.

Pas pour longtemps, car je sens un objet dur forcer l'entrée de mon vagin, s'enfoncer doucement en moi, avant d'aller et venir! J'entends les mots de la pilote qui m'insulte et me flatte, tandis qu'elle me pilonne le sexe. Quand elle me traite de salope, je pars dans un nouvel orgasme ponctué de cris, tandis que Natacha me force à la lécher malgré mon plaisir. Si je crois en finir, je me trompe, la pilote se retire pour positionner le gode plus haut dans mon cul! Elle n'a même pas pris la précaution de m'ouvrir. Les cuisses de l'hôtesse sont fermement serrées autour de ma tête je ne peux que m'offrir.

Le gode est bien lubrifié par ma mouille, et mon cul est loin d'être vierge, il rentre facilement, passé une légère douleur. La pilote y va doucement avant d'accélérer progressivement, m'ordonnant de jouir de me faire sodomiser comme l'enculée que je suis. Je me caresse et il ne faut pas longtemps avant que je jouisse, à l'unisson de Natacha. Je ne sais laquelle de nous deux hurle le plus fort, c'est juste totalement dément. Enfin les cuisses s'écartent, et je tombe sur le lit complètement épuisée. Natacha m'embrasse avant d'aller faire de même avec la pilote, dernière image avant que je ne sombre, épuisée par ces émotions, me disant que j'ai encore fait n'importe quoi!

***

Et là, face à la recruteuse, je ne sais quoi en penser. Natacha a du tout lui raconter. Lisant dans mes pensées, je suis une jeune femme malheureusement terriblement expressive, je ne sais pas cacher mes pensées, elle enchaîne :

- Bien entendu Natacha m'a fait un compte rendu, très... détaillé!

- Je... je suis désolée.

- Ne le soyez pas! Nous sommes une organisation très puissante, nous devons tout savoir des personnes que nous employons et nous menons les investigations très loin, pour tout savoir de nos employées.

- Oh (Je rougis violemment)

- Je comprends votre gêne, ces aventures avec Em et... Liza c'est cela?

- Oui Madame. Mais...

- Nous avons mené une enquête très approfondie sur vos deux relations.

- Oh! Et je suis là?

- Mais oui, vous voyez, ce qui nous intéresse c'est que vous soyez une pointure dans l'éducation des mathématiques. Enseigner cette matière demande des qualités forts rares finalement, d'où cette aversion des jeunes pour une matière essentielle et vitale! Nous voulons que nos filles aient les meilleurs résultats : au moins un score de 1 550 au SAT

- C'est vraiment exceptionnel (Je reprends pied, je suis dans mon domaine)

- Nous souhaitons que toutes nos filles, soit soixante par promotion atteignent ce score. Et nous nous donnons tous les moyens pour cela. Vous recevez une prime pour chacune qui y arrive.

- Oh je comprends.

- Je vous décris comment cela se passe. Vous avez un contrat de base de dix ans qui est renouvelable. Votre salaire est de deux cent cinquante mille dollars et...

- Quoi? (La recruteuse rit)

- Votre dossier est exact, vous ne savez pas masquer vos émotions! Surtout ne jouez jamais au Poker!

- Non en effet, je suis désolée.

- Nous sommes une institution privée, donc tout est particulier, donc je vous décris votre contrat plus en détail que vous compreniez bien ce qu'il y a en face d'une telle rémunération.

- Merci

- Pour terminer sur la rémunération donc un fixe de deux cent cinquante mille dollars, une prime de cinq mille dollars par étudiante ayant atteint le score de mille cinq cent cinquante. Vous allez plus vite que moi en Maths, cinq classes de douze élèves par cinq mille dollars, soit un potentiel de trois cent mille dollars. Vous êtes logées dans un grand bungalow dans l'enceinte de l'université, vous avez accès librement au restaurant de l'université ouvert en permanence, votre ménage et votre blanchisserie sont pris également en charge, comme votre tenue règlementaire, bref vous n'avez aucun frais d'entretien. De même la mutuelle est ce qui se fait de mieux, vous n'aurez aucun souci de ce côté-là!

- Mon Dieu, mais qu'est-ce que je dois faire alors pour mériter un tel salaire!

- Vous engager sur dix ans, pour commencer. Si vous quittez avant, alors vos primes ne vous seront pas versées. Et vous ne pouvez partir qu'en fin d'année scolaire, interdiction de le faire avant.

- Oh, mais l'enseignante que je remplace?

- C'est un cas prévu par le contrat, une famille a souhaité l'embaucher à son service personnel, dans des conditions nettement plus avantageuses pour elle, elle n'a pas pu dire non! (Le sourire de Mary ressemble presque à un rire, je ne comprends pas pourquoi!)

- D'accord, et puis?

- Lorsque vous intégrez le pensionnat, vous ne vivez plus que pour le pensionnat. Vous êtes dédiée à vos étudiantes 24 h 24, sans aucune limite, elles doivent pouvoir compter sur vous en permanence. Vous n'avez plus de vie privée, pas de visite de famille, d'ami ou autre, vous rentrez dans une sorte de couvent dédié à l'enseignement de la mathématique et au service plein et entier de vos élèves.

- Quel bonheur!

- J'étais certaine que cela vous irait très bien et compte tenu de toutes les expériences qui m'ont été rapportées vous concernant, je crois que vous y serez vraiment bien. Vous avez d'autres questions?

- Je... je ne sais pas

- Vous aurez un compte à la banque Fritz, qui appartient à la mère d'un élève qui s'occupera de gérer pour vous tout cet argent, et dans dix ans vous déciderez de reprendre pour dix ans ou vivre la belle vie, ou bien entrer au service d'une famille, sait-on jamais?

- Et le processus de recrutement?

- Nous allons aller vite, nous n'avons que quelques jours! Je connais déjà beaucoup de choses de vous, mais certaines je dois les entendre de votre bouche, bien entendu.

- Je comprends (en fait je ne comprends rien, je me demande si on se moque de moi, mais la blague couterait cher! Ma chambre est incroyable et doit bien coûter deux mille dollars la nuit.)

- Bien commençons. Vous décririez vous comme hétérosexuelle, homosexuelle, pansexuelle, ou le terme qui vous conviendrait le mieux.

- Je... je dois vraiment répondre?

- Oh non, vous n'êtes pas du tout obligée, mais je n'ai jamais vu une personne refusant de répondre ayant été retenue. Vous allez vivre en vase clos avec soixante jeunes femmes des familles les plus puissantes des Etats Unis, et nous devons nous assurer de certaines choses!

- Je... je suis homosexuelle

- Bien. Vous n'avez jamais eu de relation avec des hommes?

- Si, au début.

- Et comment cela s'est passé?

- Euh... Mal je n'ai pas aimé et j'ai vite cessé la relation

- Quand avez-vous pris conscience de votre lesbianisme

- Je... Quand j'ai rencontré Em

- Vraiment? Il y a peu alors.

- Oui je pensais juste que je n'aimais pas le sexe.

- Et avec Em?

- J'ai tout de suite senti une attirance extrême, mon corps vibrait, mon sexe se réveillait.

- Le coup de foudre.

- Oui on peut dire cela.

- Puis avec Liza?

- Un peu différent, c'est elle qui est venue à moi. Quoique Em aussi, jamais je n'aurais osé quoi que ce soit.

- Très bien. Et depuis donc rien de particulier, il faut vraiment être transparente, c'est important!

- Euh oui, non, enfin si avec Natacha dans l'avion.

- D'accord. Nos règles dans le pensionnat sont très souples. Si une ou plusieurs élèves voulaient coucher avec vous, est-ce que vous accepteriez?

- Je... Je ne sais pas (je suis totalement confuse), est-ce que cela fait partie de mon contrat?

- Non, bien entendu! Mais c'est important de le savoir, ne serait-ce que pour mesurer votre implication auprès de vos élèves?

- Euh... alors oui je suppose (Il me faut ce job à tout prix, même si c'est assez délirant comme situation!)

- Bien, vous entrez dans un monde complètement différent de celui que vous connaissez. Ces filles ont un pouvoir quasi illimitée grâce à l'argent de leurs parents, et l'exercent depuis de nombreuses années. Pour elle il y a deux univers, le leur, très sélectif, et le reste du monde qui ne vaut rien. Vous, comme moi d'ailleurs, ne sont que des esclaves, et d'ailleurs elles nous achètent avec ces salaires mirobolants qui sont pour elles un détail seulement.

- Oui, je comprends.

- Vous le verrez tout de suite! Vous ne fumez pas?

- Non

- Est-ce que vous êtes ouverte aux drogues?

- Je...

- Soyez transparente, c'est très important, pensez-y dans vos prochains entretiens, vos interlocuteurs ne seront pas aussi ouverts que moi, ne cachez jamais rien.

- Bien, oui

- Très bien, cela permet aussi de souder les relations! Si ce n'est pas excessif, nous les fournissons ainsi sommes certains de la qualité!

- Oh mon Dieu (Je ne sais pas pourquoi, je me mets à trembler, je ne comprends rien à tout ce qui m'arrive)

Mary se lève, passe derrière moi et me fait un massage de la nuque. Rien de sensuel, mais cela me détend immédiatement. Sa main caresse mon cou, passe sous mes cheveux, je baisse la tête en ronronnant, sans m'en rendre compte, cela la fait rire.

- Bien maintenant la phase photo (Elle prend un boîtier avec une objectif assez impressionnant)

- Les photos?

- Oui, là aussi ce n'est pas obligatoire, mais je vous le conseille.

- Oh, d'accord!

- Parfait déshabillez-vous.

La demande me prend complètement par surprise, je suis choquée, mais j'obéis, je ne sais plus trop om j'en suis.

- Bien mettez vous sur la banquette, là voilà à 4 pattes, la tête baissée, écartez les bras qu'on voit bien vos seins, ils sont magnifiques, je suis certaines qu'ils vont beaucoup plaire!

Je postule un poste de prof de maths ou bien de sextoy? Je commence à me dire que c'est un peu des deux. Mary me fait prendre des poses inimaginables, je dois écarter mes fesses devant l'objectif qui ne perd rien de mon cul, de mon sexe qui baille et se met à couler, elle me fait mettre un puis deux doigts dedans, trouve cela excellent, je ne dis plus rien, je suis rouge de honte, mais au point où j'en suis. Je me souviens comme Liza m'emmenait si loin dans la honte et l'avilissement, comme cela me faisait mouiller et jouir.

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