Le Plus Bel Ete 03

BÊTA PUBLIQUE

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Je me découvrais une imagination insatiable, moi qui quelques semaines auparavant n'avais jamais encore éprouvé d'idées « sexuelles » ni m'était même posé la question de savoir si cela existait. Je recherchai la façon nouvelle dont je pourrais encore amener dans le regard de Xavier cette étincelle de désir brut que j'avais aperçue lors de nos précédentes joutes amoureuses. Je commençai à me bâtir un scénario. J'allais faire dans l'inusuel. En bref, au lieu de cacher mes rondeurs sous un pantalon comme à l'habitude, j'allais me mettre une jupe. Qui serait sensée dissimuler ma lingerie super bandante, celle de mon dépucelage, string et soutif à balconnets. Premier point. L'impératif demeurait toutefois de ne pas attirer les remarques de l'entourage. Il fallait donc que je prévoie une étape pour le changement de décor. Je quitterais la maison en pantalon et il fallait que je trouve un endroit pour enlever le pantalon et enfiler la jupe qui s'y trouverait au préalable. La solution fut vite trouvée. En cette saison, l'école qui se trouvait en face de la mairie était désertée. Je pouvais me changer discrètement dans les toilettes. Second point. Pour le reste, cela restait schématique, et largement laissé à l'improvisation.

Me voilà donc le matin à la recherche d'une jupe. Je n'en ai pas trente-six. J'en possède deux que je mets dans les « grandes occasions », comme les anniversaires, les fêtes de famille. Il y en a une pour l'hiver et une pour la saison chaude. Ce ne sont pas des « mini-mini ». Celle d'été est blanche, ample et légère et m'arrive aux genoux. Ça me semble pas mal. Je l'enveloppe soigneusement dans une poche en plastique, me la coince sous le bras, et annonce à la cantonade que je passe dire un petit bonjour à Maminou. Ce que je fais. Mais avant, je passe derrière l'école, avise les toilettes et coince mon sac plastique derrière la chasse d'eau. La première partie du plan est en bonne voie. Me voilà qui arrive l'air de rien chez Maminou. Gros bisous. Comme d'habitude, il y a des invités et je ne vais pas m'incruster. Ça m'arrange bien, d'ailleurs. Retour à la base de départ.

Le déjeuner est frugal. La mère part faire sa tournée. Le frérot me dit qu'il rejoint son cousin. Tout cela me convient parfaitement. Une fois que tout le monde est parti, deuxième phase. Je commence par la douche. Je passe aux toilettes et nettoie méticuleusement mon petit orifice. Mieux encore, je réussis à m'introduire deux doigts bien savonnés avec lesquels je veille à ce qu'il ne reste rien de désagréable dans le conduit. Je vérifie avec un mouchoir de papier blanc. Tout est nickel. Si mon chéri s'aventure, il en ressortira tout propre. Du moins je l'espère. Je me rhabille en enfilant ma lingerie de femme fatale. Je repars à l'aventure. Dehors, c'est à nouveau le cagnard. Il fera bon dans la pièce à l'ombre. Je marche de façon déterminée, mais pas trop vite. Pas question de me prendre une suée. Virée à l'école. Derrière le bâtiment. Personne en vue. Je referme la porte sur moi et tire le verrou. Un geste sec, j'ai le jean sur les chevilles. Je tire une jambe puis deux. Je me regarde une seconde. Ma forêt intime dépasse abondamment à droite et à gauche du voile de mon string et se gonfle comme un duvet tout autour. De profil, ça fait une épaisseur qui met ma boite à plaisir en exergue. On dirait un oriflamme de bataille! Mais pas celui de la Pucelle! J'enfile ma jupe blanche. Je me suis mis des mocassins informes aux pieds. J'allais pas piquer des chaussures à talon à la mère! J'enveloppe le pantalon dans le plastique et je le planque là où j'avais laissé la jupe ce matin. Ça y est! Je suis prête pour mon entrée en scène.

Je me pointe sur la route. Un regard à droite et à gauche. Personne! Je traverse et me rue dans le chemin le long de la maison de Xavier. Le portillon... La terrasse... Je gratte à la porte. « Entre », que j'entends articuler de l'intérieur. Je referme la porte sur moi. Il est assis dans son fauteuil à côté de la cheminée. Son visage s'illumine lorsqu'il m'aperçoit. Il siffle lorsque je m'avance.

-- Ben dis-donc! Mais c'est la première fois que je te vois en jupe!

-- C'est ma tenue « spéciale fête avec Xavier »!

-- Ah, ah! Car il y a une fête?

-- Oui mon Chéri!

-- Et où cela donc?

Je m'approche et me pends à son cou.

-- Une fête intime... Une fête... très très intime...

-- Je vois...

-- Non justement, tu n'as rien vu du tout!

Je l'embrasse fougueusement, nous nous dévorons les lèvres, il commence à balader ses grandes mains dans mon dos... puis, comme je m'y attendais, les descend et tente des les faire passer sous ma jupe, ample à dessein...

-- Stop, mon amour! Stop! Sens interdit par ici!

-- Alors voilà que tu mets une jupe, moi qui adore passer les mains sous les jupes des filles... et stop?

-- Tu n'es qu'un coquin impatient! Un fieffé trousseur de jupons!

-- Mais... mais... tu n'as pas de jupon!

-- Allez! Fais pas le malin! Tu vas d'abord t'asseoir là!

Alors je me suis installée dans le fauteuil juste en face. Bien sagement. J'ai tendu mes deux jambes vers mon chéri qui me regardait toujours aussi amusé. J'ai agité mes petits pieds de légers soubresauts, mes deux mocassins se sont sortis de mes talons. Clic, clac! Ils sont tombés tous les deux sur le carrelage. J'ai ramené mes deux jambes sur l'assise du fauteuil, bien regroupées, les cuisses relevées et les talons sur le bord, en prenant soin de maintenir du plat de mes mains ma jupe serrée autour des mes genoux. Je me suis tassée dans le siège. Mes genoux arrivaient au niveau de mon regard. Une inclinaison des jambes vers ma gauche. Je glisse un regard de séductrice vers Xavier, en espérant que j'enfonce Lauren Bacall lorsqu'elle siffle Humphrey Bogart dans le « Port de l'Angoisse »!

-- Mon chéri... Que penses-tu de cette jupe?

-- Une très jolie jupe d'été...

-- Tu l'aimes?

-- J'adore...

-- Tu comprends... Ce qu'il y a de bien...

-- Oui...

-- Attends! Pour l'instant tu n'a encore rien compris... Tu vas voir! Cette jupe... pour jeune fille sage...

-- A voir...

-- Pour jeune fille très sage... je maintiens...

Et là, je laisse aller le tissu que je retenais sur mes genoux. La pesanteur fait son office, le devant de la jupe glisse sur mes cuisses et l'arrière s'ouvre en corolle sur le siège. Mes cuisses sont toujours serrées, mais plus rien ne les dissimule.

-- Cette jupe devient une tenue de gourgandine!

Je ne sais pas ce que Xavier peut apercevoir ou deviner, parce que mes talons sont encore joints devant mes fesses. Mais son regard s'est brusquement enfiévré.

-- Mon chéri...

Fixité du regard, intense concentration dans l'attente de ce que je lui réserve.

-- Mon chéri, je vais avoir pitié de toi! Je vais te faire bander! Comme un cerf... mon chéri! Mon cul que tu aimes tant...

J'ouvre mes cuisses comme un compas. Largement. Très largement.

-- Regarde comme il va être à toi...

Je prends mes chevilles et me contorsionne pour poser chaque pied sur l'extrémité d'un accoudoir du fauteuil, puis me tassant encore davantage dans le siège, je fais glisser mes fesses vers le bord. Bien qu'encore toute habillée, me voilà complètement, largement, intensément offerte au désir de Xavier.

-- Toute à toi... Dis-moi, mon chéri... Tu bandes?

Brève hésitation.

-- Oui...

-- C'est bien... Dis-moi ce que tu vois...

-- Tes fesses... - il se reprend - Ton cul...

-- Et encore...

-- Ta touffe!

-- Oui...

-- Un joli boa de fourrure noire au fond de ta raie...

J'écarte mes fesses avec mes mains.

-- Et là?...

-- Tu mouilles...

-- Et encore?...

-- Ta chatte qui commence à s'ouvrir...

-- Toute pour toi... Et encore?...

-- La lanière de ton string cache le reste...

-- Si tu enlèves ton pantalon et ton slip, que je puisse voir ta belle queue bien bandée, tu es autorisé à déplacer le string...

Le visage de Xavier est maintenant cramoisi, et tranche étonnamment avec sa crinière blanche. Il se déculotte. Sa bite est au garde à vous! Tendue. Le gland commence à sortir du prépuce. Il se met à genoux devant moi. Il repousse les plis de la jupe au dessus de mon ventre. Il s'incline et fourre son visage dans ma chatte. D'un doigt il repousse la lanière du string. Il me respire. Il remplit ses poumons de mon parfum de femme... Puis je sens sa langue s'immiscer entre mes petites lèvres, et laper mon nectar... Il relève la tête et s'assied sur ses talons. La bite en avant. Son regard se visse dans le mien. Sa main s'aventure, et son pouce passe entre mes lèvres du bas, étale ma mouille...

-- Plus bas...

Il a l'air interloqué de ma demande.

-- Plus bas... Comme pour toi, mon chéri, mouille bien mon petit trou du cul!...

-- Eh bien dis-moi...

-- Si tu fais ça tout en douceur, il peut-être tout à toi...

-- Tu es sûre?

-- Je l'ai tout bien préparé pour te recevoir proprement...

-- Nous allons monter, je trouve qu'ici, c'est dur pour mes genoux...

-- Comme tu veux, mon amour!

Xavier a été un chou. Il m'a aidée à me remettre debout. Là il a continué en me regardant droit dans les yeux :

-- Comme tu m'as fait enlever le bas... il est juste que ce soit la même chose pour toi...

Tout en continuant de se noyer dans mes yeux, il a passé les mains sous ma jupe qui était retombée, s'est longuement attardé sur mes cuisses et mes fesses, qu'il a prises à pleines paumes comme pour bien en apprécier le grain. Quand j'ai senti qu'il me pelotait de cette façon, je me suis serrée contre lui, et j'ai moi aussi commencé à masser ses fesses nues, rondes et musclées. Il avait relevé ma jupe pour me caresser. Si bien que sa bite s'est bientôt enfichée dans ma luxuriance, et que j'ai bientôt senti son bout s'immiscer sous mon sacristain encore abrité par la dentelle du string. Je n'ai pas résisté. J'ai abandonné une fesse pour venir le branler doucement, lui masser les couilles et me le coller contre mon petit capuchon, là où ça fait vraiment du bien. Je me suis servie de son mandrin comme d'une sorte de levier pour écarter le voile, le frotter contre mes lèvres en feu, les écarter et le coller à ma petite perle divine qui ne demandait qu'à se décalotter de son abri. J'ai appliqué le gros gland tout suintant sur ma commissure, et tremblante de plaisir naissant, j'ai roulé un patin baveux à mon amant. Xavier continuait ses palpations. Lorsqu'il a senti que je me servais de sa trique pour franchir le voile de mon string, il a remonté un peu les doigts, et à commencé à abaisser la ceinture de mon hypocrite cache-mystère. Du coup, j'ai fait passer la bite au dessus du triangle de dentelle, que j'ai rabattu, et le chibre, après un glissando dans ma fourrure, est venu se caler entre tissu et clitoris. Hoquet de plaisir. Sensation divine, que j'ai fait partager à mon étalon et lui pressant amoureusement les couilles dans ma paume et en fondant ma bouche avec la sienne. Le string a finalement franchi la retenue de mes hanches ; alors j'ai remué mon popotin comme une vahiné pour le faire définitivement choir. Xavier a parachevé en déboutonnant ma jupe qui a rejoint la lingerie.

Nous avions une touche inédite : nous étions tous deux nus depuis la taille, en ayant conservé le haut! Xavier avait toujours sa chemisette, et mon T-shirt continuait de me mouler les lolos encore enfermés dans mon soutif à balconnets. Nous étions tous deux pubis au vent, nos toisons respectives libres de toute contrainte et ayant repris toute leur épaisseur. Je parle surtout de la mienne! Nous avons éclaté de rire tous les deux!

-- Je t'aime! que je lui ai dit.

-- Tu es absolument bandante! qu'il m'a répondu.

-- Ça, je le voyais bien!

J'ai enjambé mon linge désormais inutile. Nous nous sommes pris par la main, et je l'ai précédé pour emprunter l'escalier qui menait à l'autel de la fornication! Lorsque j'ai commencé à gravir la première marche, j'ai senti ses mains sur mes hanches et sa bouche sur mes fesses. J'avais un pied sur la marche de départ, et un sur celle du dessus. Xavier m'a immobilisée dans cette position et a commencé à m'embrasser fiévreusement le fondement, en laissant traîner son nez dans ma fente qui commençait à embaumer! Un coup d'œil sur mes reins pour apercevoir un Xavier en adoration. Pendant qu'il se perdait ainsi dans mon cul, il m'a fait me pencher vers l'avant. Je me suis raccrochée aux barreaux de la rampe d'escalier, et j'ai creusé les reins. Tel qu'il était, mon amant avait devant les yeux le spectacle obscène de ma cascade de fourrure, entre le volumineux surplomb chutant du Mont de Vénus et le ruissellement pileux, tout le long de ma fente, remontant dans ma raie. Il a plongé la langue entre les rideaux diaprés de mes petites lèvres, s'est désaltéré à ma source paradisiaque, et, trop impatient maintenant, s'est redressé et sa queue est venue se ficher dans ma fêlure. Et là, je n'avais plus l'appréhension de la douleur. Je voulais sentir sa bite au fond de moi! Qu'il me masse mon intérieur, que je le sente me baiser, que son axe de chair me réjouisse! Son gland a écarté les rideaux de mon théâtre! Il pointait à l'entrée, et mon homme m'a vivement fourré son vit dans mon con assoiffé. Oh, intromission sublime! Le gland turgescent a forcé l'entrée, il a dilaté mon étroitesse, s'est glissé jusqu'au fond. Je me suis pliée davantage encore pour faire saillir mon cul et me faire saillir à fond. C'était la première fois qu'il entrait ainsi librement en moi. Son axe me tenait en équilibre sur les marches. Il m'a prise doucement. Puis il est ressorti lentement, et en se retirant, un bruit mouillé de succion accompagnait le mouvement, avec comme un ressac quand il se perdait à nouveau au fond de mon ventre. Il m'a baisée ainsi, me tenant d'un bras sur le ventre, caressant ma perle féerique avec adresse, achevant l'acmé de mon plaisir entre la tension qu'il exerçait avec sa bite sur mes lèvres intimes et sa manipulation. J'ai ainsi joui pour la première fois avec un vit bien planté au cœur de mon plus intime! L'orgasme m'a fauchée et je me suis retrouvée à genoux sur les marches. Xavier s'est retiré d'entre mes cuisses, m'a soulevée, et m'a quasiment portée dans la chambre d'amis, où le lit déjà défait nous attendait.

Nous sommes tombés tous les deux sur la couche. Mon amoureux bandait toujours outrageusement, et s'il avait - je devrais ajouter : comme à son habitude - pris soin de mon plaisir, il me restait à aller au bout de ma promesse. Je m'étais engagée à lui offrir mon cul! Je me suis étendue sur lui, pendant qu'il continuait de me peloter les fesses, et que, remontant ses grandes mains dans mon dos, il dégrafait le gardien de mes lolos! Ce que voyant, j'ai moi aussi déboutonné posément sa chemisette. Nous finîmes par implicitement convenir qu'il fallait que nous nous débarrassions de ces vêtements qui ne faisaient que nous gêner! Nous nous somme ébroués tous les deux pour écarter chemisette, T-shirt et soutif. Sitôt fait, de me suis affalée comme une odalisque sur son torse velu. Et c'est là qu'il a commencé ce qui devait être ma seconde défloration. Il m'a attrapé une fesse pendant que je m'étais fondue dans son cou. Il a fait courir ses doigts dans ma raie, puis, brusquement, s'est interrompu quelques secondes. Je l'ai entendu fourgonner dans la table de nuit. Et soudain, alors qu'il écartait à nouveau une de mes fesses, un liquide froid et visqueux a commencé à courir entre mes rondeurs. Sa main m'a rejointe, et a commencé à le répartir autour de mon soleil noir! Comme je réagissais ainsi qu'un chat plongé dans l'eau froide, il a simplement murmuré :

-- Ne n'inquiète pas! C'est un gel qui facilite les choses...

Effectivement, les secondes passant, l'impression de fraîcheur s'estompait alors qu'il m'enduisait de cette substance tout autour de ma rondelle sensible... Bientôt deux de ses doigts s'aventuraient et forçaient mes dernières résistances. J'ai tendu le cul pour recevoir ses soins. Deux doigts d'abord. Lorsqu'il m'eut massé le sphincter pendant un certain temps, j'ai perçu un troisième doigt qui se joignait aux deux premiers. J'avais ainsi le fion dilaté lorsqu'il s'est redressé, et me prenant fermement dans ses bras, m'a allongée à plat dos sur la couche.

-- Ma toute belle... laisse-toi faire! me dit-il en plaçant mes chevilles sur ses épaules.

J'étais exposée comme on ne peut faire davantage. Se penchant vers moi, mes cuisses s'ouvraient encore plus et je me trouvais totalement contrainte. La seule chose qu'il me restait à faire était de regarder. Sa bite se dressait, tendue, le gland cramoisi et humide. Il se frotta entre mes lèvres. Je couinai de plaisir. Entraînée par ce nouvel élan, d'un geste totalement réflexe, j'ai porté mes mains à mes tétons que j'ai commencé à masturber. Lui allait et venait sur ma fente et je voyais sa bite surgir, encore et encore, au dessus de ma fourrure, pendant que je martyrisais mes bouts à m'en faire haleter. Puis, pour la dernière fois avant la profanation de l'interdit, il me pénétra le con, dans un nouveau feu d'artifice, une illumination de tout mon être, un grand foisonnement d'étincelles qui m'irradiaient le ventre, me coupaient la respiration, me faisaient hurler mon plaisir dans toute la maison! Bandant encore plus fort, plus gros, il me pourfendit à plusieurs reprises, glissant à grands coups dans mon con avec grands ahanements, les yeux révulsés et la bouche déformée par le plaisir que visiblement il y prenait. Enfin, saisi d'une sorte d'urgence, suant désormais à grosses gouttes, la face cramoisie, la respiration haletante, il s'agenouilla devant mon cul. M'empoignant vigoureusement les fesses, comme pour m'élever, il coinça ses cuisses en dessous, maintînt horizontale sa bite qu'il branla à deux ou trois reprises, puis, coinçant son vit entre mes fesses, dont les masses onctueuses s'écartaient de façon obscène pour épouser les formes de l'intrus en les absorbant, il pointa son gland au cœur de mon soleil noir. Quand il fut assuré du geste, il plongea ses yeux dans les miens, avec le regard d'un homme qui se noie. Dire que j'étais offerte est une litote. Je n'étais plus qu'un cul. Comme mes jambes étaient repliées sur ma poitrine, mes chevilles en appui sur les épaules de Xavier, la seule partie de moi qui surgissait, c'était mes fesses grasses, qui tremblaient comme une gelée à chaque coup de boutoir de mon amant, ouvertes sur ma raie et sur mon trou du cul, point cardinal de nos obsessions à tous deux. Xavier avança d'abord légèrement les reins, et doucement, à petites poussées, le bout de son gland commença à me dilater. La douleur légère se mariait à la sensation soyeuse de cette forme oblongue qui s'adaptait à l'anneau musculeux qu'elle tentait de forcer. Sans doute à cause du gel qu'il avait appliqué, je me sentis bientôt le cul distendu, et je perçus nettement, comme un aboutissement, les replis du gland dépasser la première résistance. La douleur était vive, mais supportable. Sitôt après, au tréfonds de moi, le passage était à nouveau sollicité, et ce fut comme une seconde porte que l'on aurait poussée. Xavier avait bien compris qu'il avait surmonté l'essentiel. Il fit une pause.

-- Comment ça va? murmura-t-il anxieux.

-- Ça fait mal!

-- Trois secondes... Tu vas voir, ça va passer...

Il s'abstint de tout mouvement supplémentaire. Il posa simplement ses mains sur mon Mont de Vénus, passa les doigts dans mon abondance chevelue, descendit les pouces autour de mon clitoris, et commença en pressant de part et d'autre sur mes grosses lèvres à en masser le capuchon... Malgré les élancements que je ressentais au fond de ma raie, l'impression d'invasion massive de mon rectum, de possession absolue que je subissais, ce massage a rallumé les braises qui couvaient dans mon ventre depuis que nous avions baisé dans l'escalier et à notre arrivée dans la chambre. Mon bassin s'est animé d'une vie propre, et alors que je me trouvais prise de mouvements réflexes, qu'en gémissant comme une damnée je m'étais à nouveau emparée de mes bouts de seins que je soumettais au martyre, que mon excitation anéantissait toute autre pensée, brusquement la douleur de mon anus a cédé, et la pensée que je me trouvais envahie à cet endroit là, à cet endroit interdit, à cet endroit indicible, dont nous avions violé ensemble le tabou, qu'il allait jouir au fond de mon cul, tout ceci a décuplé la lame de fond qui s'est emparée de moi, et plus je remuais, plus sa bite s'imposait, plus sa possession s'affirmait, et plus elle sollicitait le conduit, comme la flammèche mène à la poudrière. Xavier pouvait s'éclater!