Le Pouvoir à la Belle Epoque Ch. 07

BÊTA PUBLIQUE

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« JE ... RE..PARS ... ENCORE ! »

Catherine but le plaisir de son amante puis remonta le long de son corps jusqu'à ce que leurs seins s'écrasent les uns sur les autres. Les jeunes tétons turgescents pénétrant la chair plus molle de la poitrine de Céline.

Elles s'embrassèrent à nouveau mais plus calmement cette fois quoique Catherine sentait que son intimité en fusion réclamait elle aussi un assouvissement rapide.

« MAMAN ! CATHERINE ... Qu'est-ce qui vous prend?»

« Tiens, un Doué ! » dit Catherine d'un ton moqueur.

« En retard comme toujours » ajouta Céline « Il me néglige depuis des mois et il joue maintenant au Père-La-Pudeur ! »

« Je me demande ce qu'il va faire » s'interrogea Catherine « Il ne peut pas t'Influencer et je suis inInfluençable. Il va devoir se branler comme un puceau .. »

« Chérie, sans vouloir t'obliger, est-ce que tu veux bien me le prêter? J'ai le minou qui me démange et je n'en aurai pas pour très longtemps. Après je te le rends.. »

« Soit, tu peux l'avoir mais j'aimerais que tu t'occupes un peu de moi et je ne veux pas qu'il jouisse en toi. Son sperme infertile est réservé à son épouse légitime »

Catherine s'installa à la tête du lit, surélevant ses fesses avec un oreiller et Céline s'installa entre ses jambes pour lui rendre ses bienfaits tandis que le plus jeune commandait :

« Gauthier, viens ici et baise ta mère mais défense de jouir en elle ! »

En voulant se précipiter, il s'empêtra dans son pantalon et s'étala sur le lit avant de se reprendre et prit position derrière sa mère, flamberge au vent.

« Aïe ! Brute ! Depuis le temps que tu ne m'as plus pénétrée, mon vagin a repris des proportions normales, vas-y plus lentement ! »

Catherine, les tempes bourdonnantes le ventre tenaillé par un brûlant besoin d'orgasme se dégagea néanmoins de l'étreinte de Céline et la contourna pour allez sucer la verge de son mari. Un fois qu'elle fut bien humectée et frémissante comme de l'eau bouillante, elle s'en saisit et la présenta à l'entrée du vagin maternel tout en écartant les grandes lèvres de son aînée. Elle introduisit précautionneusement l'énorme gland, lui fit marquer une pause avant de continuer à pousser le mandrin à l'intérieur de l'antre d'amour. Lorsque la pénétration fut complète, elle donna une petite tape sur les fesses de son mari et retourna prendre position devant sa belle-mère tout en ordonnant :

« Le plus dur est fait mais vas-y lentement Gauthier, tu as entendu ta mère ! »

Céline la lappa avec une avidité teintée de reconnaissance mais la jeune femme avait compris qu'elle avait intérêt à se laisser aller à son plaisir avant que son mari ne commence à la pistonner sérieusement. Bien lui en pris car à peine avait-elle atteint son paroxysme libérateur que Céline l'abandonna en miaulant toute sa joie d'être perforée par le redoutable engin de son rejeton.

Elle résista dix bonnes minutes aux assauts du Doué avant de rendre les armes en s'accrochant aux cuisses de sa belle-fille. Hagard, Gauthier se retira du vagin maternel et implora sa femme du regard en baissant les yeux vers sa verge cramoisie.

Bonne fille, Catherine déplaça la tête de Céline vers un oreiller et fit signe à Gauthier de venir s'allonger aux côtés de sa mère puis elle l'enfourcha et s'empala sur lui avec un gros soupir de soulagement.

« AAAH ... C'est bon mon Doué. J'aime ta grosse verge en moi ! Je vais prendre .. ; aah ... mon plaisir ... à mon aise ... aah ... «

« Trop ... tard ..humpf .. Cathy ... Je ... viens ... AARGH ! »

Les hanches de l'homme se soulevèrent tandis que ses mains attiraient sa femme contre son bas-ventre. Elle eut l'impression qu'il pénétrait son utérus et se vidait directement dans ses ovaires. Au bord de l'explosion, elle parvint à profiter de la persistance de l'érection du Doué pour atteindre elle aussi le nirvana.Elle s'effondra sur le grand corps de son mâle et perdit quelque peu conscience du monde qui l'entourait jusqu'à ce que Céline la secoue légèrement.

« Mes enfants, c'était merveilleux mais Fernand va rentrer d'ici une heure, cela nous laisse juste le temps pour prendre un bain et nous changer »

Fernand Meulemans affichait la physionomie bonhomme d'un bon vivant qui a réussi dans les affaires et il était d'autant plus jovial qu'il savait que sa belle-fille par alliance venait du même monde que lui : les brasseries. Durant le repas, il tint à ce que Catherine goûte les spécialité locales.

« Il faut savoir maîtriser la fermentation spontanée pour les brasser » expliqua t'il avec un accent un peu curieux aux oreilles la jeune femme « mais même un maître brasseur ne parvient pas à obtenir un résultat identique deux années de suite ! Tenez jeune fille, goûtez une fois cette gueuze ; attention elle est très sure ! D'habitude les dames ajoutent un peu de sucre candi ... »

« Merci Monsieur Fernand, c'est en effet acide mais très rafraîchissant. Je me passerai du sucre. »

« Oui sans doute?! Alors goûtez seulement cette kriek, c'est de la gueuze qui a mûri trois ans dans des foudres avec des cerises du Nord. Vous n'en trouverez que dans les stamineï les plus chics car les cerises sont chères »

Il initia encore la jeune femme à la différence entre le lambic et le faro avant qu'elle n'envoie un appel au secours sous la table à sa belle-mère.

« Fernand, et si vous expliquiez à Catherine comment vous allez l'aider à s'inscrire à la faculté de médecine? »

« C'est simple, je fais partie d'un club de philanthropes qui donne des sous à l'université parce qu'elle n'en reçoit pas de l'état. Nous venons de faire construire un institut de physiologie et d'anatomie et j'ai participé autour de la table comme on dit donc le doyen me doit un plaisir. Surtout si Gauthier donne aussi des sous pour le futur institut d'hygiène et de bactériologie ! La bactériologie, c'est aussi important pour notre corporation mon garçon ! Et tous ces bâtiments sont à 20 minutes à pied d'ici par la rue du Sceptre, de l'autre côté de la place Sainte-Croix »

« C'est fantastique Monsieur Fernand, on devrait s'inspirer de vous en France. Vous êtes un modèle à suivre »

Gauthier la regarda d'un œil goguenard en repensant à la fable de La Fontaine « Tout flatteur vit aux dépens de celui qu'il flatte »

Catherine pensait plutôt à leur mésaventure à Nancy et au dicton 'promesses qui telles des paroles s'envolent ' jusqu'au moment où Céline ajouta « Et au moins, ils ne sont pas misogynes ; cela fait presque 20 ans qu'ils acceptent des étudiantes ! »

« Fernand, pensez-vous que nous pourrions rencontrer le Doyen demain? Je voudrais m'assurer dès que possible qu'il n'y aura pas de problème pour l'inscription de Catherine »

« Non peut-être ! J'enverrai un messager à la première heure pour faire un rendez-vous dans la journée ! »

« Merci beaucoup Fernand mais alors, avec votre permission, Catherine et moi allons nous retirer ; le voyage a été fatiguant et nous devrons être en forme demain »

Céline les embrassa et souffla à l'oreille de sa bru « Je ne suis pas sûre que ta nuit sera de tout repos ma belle ... Je t'envie »

Elle ne se trompait pas. A peine la porte de leur chambre refermée, Gauthier embrassa sa femme en lui assénant : « Vous m'avez bien échauffé les sangs cette après-midi, Madame Lemestre, il va falloir payer de votre personne maintenant »

Elle perdit rapidement le compte des éjaculations de son mari qui semblait inépuisable ce soir. Elle dut utiliser toutes les ressources de ses mains, de ses seins, de sa bouche et évidemment de son vagin pour venir à bout de son priapisme. A chaque fois qu'il jouissait dans son sexe, elle avait l'impression qu'il emplissait son utérus et que le volume de l'éjaculat était encore plus massif que d'habitude. Ou était-ce la violence de ses propres orgasmes qui la trompait?

Après deux ou trois heures de copulation quasi ininterrompue, ils se reposèrent, allongés en cuillères, les mains de Gauthier englobant la poitrine de sa femme tandis que sa verge enfin au repos était nichée entre ses fesses.

Une pensée soudaine traversa l'esprit de la jeune femme.

« Gauthier, est-ce que tu as déjà pris ta mère par derrière? Je veux dire dans le petit trou? »

Il ne répondit pas mais elle sentit la verge durcir rapidement dans le creux de ses fesses.

« Et Virginie, est-ce qu'elle aime être prise ainsi? »

Cette fois nul doute n'était permis, l'évocation de la sodomie avait un effet dévastateur sur la libido de son homme. Profitant de ce que son membre était parfaitement humecté par leurs sécrétions communes de même que l'entre-jambes de Catherine, il fit coulisser son sexe entre les fesses de sa femme avec des grognements rauques.

« Cela t'excite mon doué? C'est la sodomie qui t'affole ou l'idée de baiser ta mère et ta sœur? Je te promets qu'avec leur aide, je te laisserai un jour me prendre par derrière. Ta grosse bite va écarteler mon petit trou et tu vas me remplir de ton foutre pervers »

Malgré ses innombrables giclées, il sentait encore une fois monter le sperme de ses testicules vers son gland engorgé coincé entre les globes fessiers de sa femme qui les contractait en cadence.

« Cathy ... je ... «

« Viens mon homme ... Donne-moi ton plaisir ! »

« YESSS ... CA N'A ... RRÊTE .. PAS AAARGH ! »

il inonda le haut de ses fesses et le bas de son dos avant de s'écrouler, vidé, ruiné.

Ils finirent pas s'endormir, trop épuisés pour penser à changer les draps maculés de leurs sécrétions et n'émergèrent qu'avec les premières lueurs de l'aube hivernale, juste à temps pour entendre Céline de l'autre côté de la porte.

« Catherine, Gauthier, levez-vous vite, je viens de recevoir la réponse de M. Vleming, le doyen : il vous attend dans deux heures ! »

Avec l'aide de Mariette et Lucie, réapparues comme par enchantement, ils se hâtèrent de prendre un bain bien nécessaire avant de s'habiller de pied en cap. Malgré leur promptitude, ils durent prendre la calèche de Céline pour arriver à temps.

Le professeur Vleming les reçut avec beaucoup de courtoisie voire d'obséquiosité. La perspective d'une donation de Gauthier n'y était sans doute pas étrangère. Il était très fier de « sa » faculté de médecine et insista pour leur faire faire le tour du propriétaire avant de les amener à son bureau où il en vint tout de suite au vif du sujet :

« Chère Madame Lemestre, je tiens à être clair, vous êtes la bienvenue en tant qu'étudiante dans notre faculté. Cependant, la question de votre statut devra encore être éclaircie. »

Le coeur de Catherine se serra. Allait-elle devoir affronter une nouvelle déception?

« Comme vous le savez certainement, la rentrée académique a eu lieu il y a déjà deux mois. C'est autant de retard que vous avez pris pour les cours. Ceci dit, j'ai lu dans votre dossier que vous avez suivi une formation complète d'infirmière et à la Nightingale School encre bien. Cela signifie que vous avez plus de connaissances en anatomie et physiologie que la plupart de nos étudiants de première année qui ne connaissent que le latin et le grec. Je vous propose donc de vous inscrire comme élève libre jusqu'aux examens de milieu de première année. Si vous réussissez, vous continuerez vos études avec le statut complet d'étudiante. Si vous échouez, vous devrez attendre la prochaine rentrée académique pour recommencer votre première année. »

Cela semblait très raisonnable à Catherine qui allait marquer son approbation mais Vleming semblait intarissable :

« Ce n'est pas que je doute de votre motivation à apprendre mais c'est une règle qui concerne tous les étudiants : les exercices pratiques et dissections commencent au second semestre et nous ne sommes pas assez riches en .. euh ... volontaires à leur corps défendant pour les sacrifier sous le scalpel d'étudiants qui ne maîtrisent pas l'ABC de l'anatomie ! D'où la nécessité de réussir les examens. L'apprentissage en milieu hospitalier ne commence qu'en deuxième année.»

« Monsieur le Doyen, croyez bien que je me procurerai dès aujourd'hui les précis d'anatomie et de physiologie pour combler mon retard ou mes lacunes ! »

« Parfait, puis-je vous inviter au restaurant des professeurs? Ce n'est pas de la grande cuisine mais cela me donnera l'occasion de vous parler du futur institut d'hygiène et de bactériologie ! »

Gauthier s'attendait à s'ennuyer ferme mais Catherine orienta habilement la conversation en expliquant au professeur que son époux et elle-même descendaient de vieilles lignées de brasseurs, ce qui donna tout de suite un tour plus concret à leurs échanges sur la bactériologie. Et cela n'empêcha pas le Doué de faire honneur à l'américain-frites qui leur fut servi en lequel il reconnut la version locale du beefsteak tartare à l'américaine cher à Escoffier . Il termina même la portion de sa femme qui semblait moins encline à manger de la viande crue, craignant peut-être d'y trouver un nid à bactéries.

Après avoir pris congé du doyen, ils se rendirent d'abord dans une librairie proche pour se procurer les volumineux manuels de cours avant de remonter à pied vers la Maison Meulemans en longeant les étangs qui jouxtaient le jardin arrière.

Pensive, Catherine s'ouvrit à Gauthier durant leur promenade :

« Est-ce que tu te rends compte de la masse de travail que cela représente? Je suis désolée mais je serai beaucoup disponible jusqu'aux examens alors tu as ma bénédiction pour satisfaire tes besoins avec ta mère et tes sœurs mais uniquement avec elles et seulement entre nos quatre murs ! »

« Même si je le voulais -et je t'assure que ce n'est pas le cas- , je suis persuadé que ma mère m'interdira tout débordement extra-familial. Tu l'as conquise et elle te considère déjà comme sa propre fille »

« Hum .. une fille incestueuse ... »

« Oui ... Virginie et Suzanne aussi d'ailleurs ... Bon, bref, à propos de travail, je vais aussi être fort occupé. Un ami de Fernand, Zénobe, est de passage à Bruxelles et va me conseiller quant à l'installation de moyens de communication modernes »

« C'est à dire? »

« Un télégraphe filaire, la télégraphie sans fil et ce nouvel appareil qu'on appelle le téléphone. Je ferai installer les trois dans tous nos établissements, en espérant que l'un au moins fonctionne. Si cela marche, cela facilitera grandement la conduite de nos affaires. »

« Et peut-être aussi pour des communications plus discrètes? »

« Cathy, cela c'est un sujet qui doit rester strictement entre nous mais oui, tu as raison, j'espère aussi faire passer des informations ... euh ... non-commerciales par ces canaux »

« Je croyais que tu ne collaborais plus avec le 2ème Bureau? »

« A propos de l'affaire du capitaine, j'ai en effet arrêté de leur transmettre des informations. J'ai envoyé tout mon dossier à Mathieu Dreyfus et à M. Zola. Mais que ce soit ici à Bruxelles ou lorsque je me rends dans notre pauvre Alsace, il m'arrive de glaner des informations utiles à la France ! »

« Tu fréquentes tellement de militaires allemands là-bas? »

« Très peu ... Ma spécialité, c'est plutôt l'état de l'économie, les voies de communication, les entreprises etc ... »

Ils venaient d'arriver devant la Maison Meulemans et Catherine prit la main de son mari.

« Tu ne me verras peut-être pas beaucoup ce week-end mais je suis trop excitée pour commencer à étudier ce vendredi soir. Et quand je dis excitée, c'est surtout un endroit précis dont je veux parler ... »

« Tant mieux ; j'ai bien l'intention de te faire ta fête Catherine »

Honoré, le raide majordome venait d'ouvrir la porte de rue et Gauthier lui tendit le sac contenant les manuels puis souleva sa femme dans ses bras et gravit l'escalier sans la lâcher. Elle rit de bon coeur en se trémoussant dans ses bras.

« Enfin ! Depuis le temps que j'attends que tu respectes cette coutume ! »

Malgré sa musculature et son endurance, il était quand même essoufflé en arrivant avec son fardeau devant la porte de leur chambre au premier.

« Désolé Monsieur mon mari mais tu n'as pas épousé une faible femme. Du coup, rassure-toi, je prendrai à mon compte le premier round »

Il voulut la déposer sur leur lit mais elle s'accrocha à lui, l'entraîna avec elle et profita de sa confusion pour s'installer à califourchon sur lui. Elle défit la ceinture et les boutons de son pantalon, extirpa la matraque maritale,écarta sa propre culotte déjà humide et s'empala avec un soupir de contentement.

Elle disposa sa robe en corolle autour du bassin de Gauthier et commença à le prendre sur un rythme plus lent que d'habitude, luttant contre sa propre impatience mais jouissant des dimensions du membre dont elle sentait la progression à chaque centimètre tant en longueur qu'en largeur.

« Cathy, j'ai récupéré ... on pourrait peut-être accélérer le mouvement? »

« Hum j'ai une autre idée ... »

Gauthier sentit soudain le vagin de Catherine se contracter autour de sa verge puis la relâcher. Un instant plus tard, la même pression revint avant de refluer. La sensation était magnifique mais en même temps terriblement frustrante vu son incapacité à la prendre en force comme il en mourrait d'envie.

« Argh ... Cathy ... c'est ... délicieux ... je ne savais ... aah .. pas que tu avais ... ooh ... de tels talents ! »

« Que veux-tu ... humf ... mon Doué...ah ... c'est... humpf ... l'avantage ....ah ... d'avoir eu ... humpf ... un premier ... ah .. amant ... humpf ...de petite ... ah ... taille .Il fallait ... humpf ... que je compense .. ah ! »

Il savait parfaitement que Catherine avait eu un amant avant lui mais tout d'un coup, l'idée qu'elle ait été possédée par un autre lui fit l'impression qu'on lui passait une scie à travers les tripes. Il faillit lui crier « TU ES A MOI ! » mais parvint à se contenir, trop conscient de la blessure sentimentale de sa femme depuis qu'il lui avait proposé un mariage d'argent plutôt que lui faire la cour romantique à laquelle elle aspirait.

La lente succion du vagin constrictor le poussait aux limites de sa résistance nerveuse sans pour autant l'approcher de l'explosion libératrice.

« Je n'y .. humpf .. arrive plus ... Tu es trop gros ... Tu me veux .. un peu ... beaucoup ... à la folie ... pas du tout? »

« A la folie Cathy ! Laisse-moi te prendre .. argh .. Laisse-moi te donner argh ... du plaisir !

Elle se détendit et s'alanguit sur lui tandis qu'il commençais à labourer la grotte d'amour distendue.

« Wou .. hou... tu me remplis ... oooh ... toute ... Vas-y mon Doué... ooh OUI ...tu me ...aah ... fends en deux !

Elle avait l'impression que ses seins avaient doublé de volume dans son corset et elle commença à les pétrir dans le vain espoir de diminuer la pression mais avec la double épaisseur de sa robe et du corset, elle ne fit qu'augmenter la tuméfaction de ses tétons qui cherchaient désespérément à traverser les tissus.

Gauthier, les mains accrochées à ses hanches, la faisait monter et descendre le long de sa hampe avec une vigueur de moins en moins contenue. Il vit le visage de sa femme se contorsionné et compris qu'elle avait atteint le point de non-retour. Un instant plus tard, sa verge fut inondée par la cyprine qui accompagnait un orgasme ravageur. Avec un soupir de contentement, il l'accompagna d'une seule mais interminable éjaculation.

Il retrouva ses sens plus vite qu'elle et profita de sa léthargie pour déboutonner le dos sa robe avant d'en écarter les pans pour s'attaquer au corset. Quand Catherine repris ses sens et se redressa, il fit glisser les deux côtés des vêtements le long de ses bras et elle se retrouva, toujours emmanchée sur lui mais les seins nus cette fois.

Fasciné par l'orgueilleuse poitrine, il perdit de sa concentration et laissa son épouse prendre sa revanche sur les boutons de sa chemise à laquelle elle fit subir le même sort qu'à sa robe.Quand ils furent tous deux à moitié nus, elle se recoucha sur la poitrine de son mari, ses mamelons brûlants le faisant tressaillir à leur contact et elle l'embrassa avec une ferveur qu'il croyait perdue depuis le Moulin Rouge.