Le Pouvoir à la Belle Epoque Ch. 08

BÊTA PUBLIQUE

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« Gosh ! C'était un violent celui-là ! »

« Et si tu t'occupais un peu de moi maintenant? Et essaye d'épargner mon pauvre fessier, espèce de Neanderthaaaal. . OUIII , oooh mon Doué ... Ca baigne ... ça .. ; aaah ... ça exploohse ...»

« Argh .. Cathy .. Tu me fais .. humpf .. ; bander .. humpf .. à mort .. . Je veux .. te prendre ... argh ... plus fort ... »

« Vaaas-y ... tant pis .. aïe .. aaah ... encore ... ouille ... plus fort ... PLUS FORT ... GAU ... THIER ... JE ... T'AIME ! JE JOUIIIS ... POUR TOI ... AAAAHH ! »

Emporté par les soubresauts orgasmiques de sa femme, il jouit une deuxième fois avec elle. Ni l'un ni l'autre ne prit garde à épargner le fessier martyrisé, trop pris par leur jouissance commune.Ce n'est que lorsque Catherine commença à reprendre ses esprits qu'elle prit conscience des élancements de son postérieur. Une fois de plus, elle utilisa sa culotte pour éponger son sexe dégoulinant.

« Gauthier, tu vas devoir m'octroyer un pécule 'lingerie' ... Au rythme ou nous sommes partis, je serai bientôt à court de culottes. A moins que j'en emprunte à Virginie? »

« Je ne sais pas si ce sera possible ; elle est souvent à court aussi .. »

Momentanément calmés, ils se décidèrent à monter dans leur chambre mais au moment où ils arrivaient sur le palier, ils tombèrent nez à nez avec ladite Virginie qui descendait du deuxième étage.

« Catherine chérie ! Alors, tu as réussi? »

« Oui je pense ! »

« Alors on va fêter cela. Je vais dire à Honoré d'apporter des bières fraîches au salon ! »

« Euh .. il faudra attendre un peu ... j'ai le feu au ... postérieur »

« Comment cela? »

« C'est de la faute à ta brute de frère ! Tu n'aurais pas un onguent calmant dans la pharmacie? »

« On a bien quelque chose comme cela ; si tu veux j'essayerai de réparer les dégâts de la Bête! »

Quelques minutes plus tard, Virginie, à califourchon sur les jambes de Catherine lui passait délicatement l'onguent sur le fessier endolori.Les deux femmes s'étaient déshabillées pour éviter de tâcher leurs robes.

« Mais quelle mouche t'a piqué petit frère? Même avec moi, tu as toujours réussi à contenir tes instincts bestiaux .. »

« Euh .. dans le feu de notre conversation, c'est devenu une idée fixe »

« Remarquez qu'après la première volée de tapes, c'était devenu une sorte de douleur-plaisir à laquelle je pourrais m'habituer ... progressivement ... Virginie, ... coquine ... aaah »

La jeune femme venait d'introduire deux doigts dans le vagin de sa belle-sœur et avait détecté un point hyper-sensible que, jusqu'à présent, seul le mandrin du Doué avait réussi à émouvoir.

Gauthier, déjà émoustillé par la vue du fessier de sa femme était à nouveau dans tous ses états en l'entendant miauler de plaisir sous les caresses de sa sœur. Il profita de la concentration de cette dernière pour s'approcher et lui lever le bassin pour l'amener à la hauteur de sa verge avant de s'enfoncer en elle sans coup férir.

« Aah ma sœur ... tu es toujours .. ; humpf ... aussi intéressée .. par les charmes ... humpf .. ; féminins .. ; »

« Salaud ... attend ton ... aaah ... tour ... Gauthier ... moi d'abord .. ooh .. » gémit Catherine. « Virgi .. nie ... oooh ... ouiii ... c'est là ... plus ... vite ... aaah AAAH ! »

Virginie venait de plonger sa langue dans sa raie culière, consciente qu'elle devait 'finir' sa belle-sœur avant de perdre le contrôle sous les coups de trique de son frère qui la besognait sans répit.

« Ginnie ... AAAH .. tes doigts ... OOOH .. ta langue ... tu vas me ... AAAAAHHH ! »

Son bassin fut prit de soubresauts spasmodiques tandis que les doigts de sa belle sœur se figeaient à l'entrée de son vagin et que sa langue pénétrait son petit trou distendu par le plaisir. Pendant ce temps, Gauthier prenait sa sœur avec de tels coups de boutoir qu'il la soulevait du lit à chacune de ses pénétrations. Si ses deux monumentales éjaculations précédentes avaient un peu atténué sa frénésie, il n'en n'était pas de même pour sa sœur qui attendait cette saillie incestueuse depuis une semaine.

Son hurlement de jouissance fut étouffé par les fesses de Catherine tandis que les constrictions de son vagin forçaient Gauthier à arrêter ses mouvements de bielle.Elle finit par ramper aux côtés de sa belle-sœur puis se tourna vers son frère qui avait l'air un peu piteux, la flamberge au vent arborant une couleur écarlate du plus bel effet.

« Frérot, je crois que c'est le moment ou jamais ... »

Elle se badigeonna l'index et le majeur d'onguent et les introduisit dans le rectum de Catherine qui sursauta

« Eeeh ... qu'est-ce qu'il te prend? »

« Tu dois rejoindre la communauté du Doué ma biche ... et le rite de passage, c'est de te faire sodomiser par notre Maître ! »

Elle sentit le sphincter se contracter autour de ses doigts

« N'aie pas peur, je vais encore te préparer avec l'onguent et je veillerai à ce qu'il soit lent et doux »

Bientôt, les doigts de Virginie laissèrent la place au gland démesuré qui se heurta au petit oeillet tétanisé.

« Relaxe-toi ma chérie » lui glissa Virginie, tu es bien lubrifiée, ce ne sera presque pas douloureux »

« Tu rigoles? Il va me fendre en deux avec son engin OUILLLE ! »

Gauthier venait de forcer l'entrée de l'antre de félicité mais, juste après avoir provoqué l'envolée de sa sœur, la vision de sa verge écartelant l'anus de sa femme le fit exploser sans retenue dans son rectum. Il trembla de tous ses membres en jouissant à gros bouillons, s'enfonçant même un peu plus en elle grâce au supplément de lubrification.

Toujours splendidement érigé en elle, il ne put résister au plaisir d'aller et venir lentement en elle malgré ses plaintes

« Gauthier ... arrête ... tu me déchires ... trop gros ... Aïïë .. Ginnie, qu'est-ce que tu fais?»

Sa compagne venait de passer sa main sous elle et caressait son clitoris encore gorgé par son récent orgasme.

« Oooh ... arrêtez tous les ... aooh ... deux ! Je n'en peux ... ooh ... plus ... on essayera ... aaah ... une autre fois .... »

A regret, Gauthier s'extirpa de l'anus de sa femme et vint l'enlacer.

« Désolé ma chérie mais ton cul était tellement tentant et c'était tellement bon que je n'ai pas pu résister »

« Bou hou ... un de ces jours je t'enfoncerai un stick de hockey dans le fondement et tu me diras si c'est tellement bon ! Tu as de la chance que je t'aime. Et Virginie, tu ne perds rien pour attendre »

« Il m'a fallu quelques essais mais maintenant j'aime bien prendre son stick de hockey dans mon derrière. Ca m'excite, tu n'as pas idée ... »

« En attendant, je vais aller prendre un bain bien chaud ; j'espère que je pourrai m'asseoir demain à l'université pour la dernière journée de cours avant la proclamation ! »

Finalement, elle récupéra plus vite que prévu et acheva son trimestre sans autre désagrément que de se voir félicitée en public par le doyen lors de la proclamation des résultats. Elle avait fait mieux que 'cum laude' en Anatomie en terminant première de sa promotion. Le reste était loin d'être aussi brillant mais ce premier prix lui attira le respect des étudiants mâles et une bourrade de félicitations de Stéphanie qu'elle remercia par ailleurs pour son aide dans les matières qu'elle maîtrisait le moins.

La famille Lemestre lui avait réservé une surprise : dès la fin de la proclamation, ils l'embarquèrent dans une calèche et se rendirent à la gare du Midi où les attendaient Lucie, Mariette et une montagne de malles. Tout ce petit monde embarqua dans l'express pour Paris. Seul Fernand restait à Bruxelles pour superviser la période des fêtes de fin d'année.

« Mais nous ne resterons qu'une nuit à Paris » lui expliqua Gauthier « Dès demain, nous repartirons vers Epinal. A moins d'une panne, nous arriverons à Dogneville à temps pour fêter Noël avec ton père ! Après la nouvelle année, Mère s'installera à Epinal pour diriger nos brasseries réunies et nous reviendrons à Bruxelles sauf Virginie qui va assister Pierre à Paris»

Voyager en train normal n'était pas aussi amusant que le train de luxe des wagons-lits et le trajet parut bien long, même en première classe et surtout pour Gauthier, entouré de ses femmes favorites qui le provoquaient à tour de rôle. Heureusement, les toilettes des wagons de première étaient assez spacieuses pour que Catherine puisse remercier son mari et l'apaiser comme il se doit.

A sa grande surprise, son père les attendait sur le quai de la gare d'Epinal et il était sobre. Il avait aussi perdu du poids et les taches cirrhotiques sur son visage avaient presque disparu.

« Bonjour ma fille, je suis heureux de te revoir ... tu m'as l'air radieuse ! »

« Bonjour Père, vous m'avez l'air en bien meilleure forme. »

« Ne m'en parle pas ; j'ai été tyrannisé par l'escouade de dragonnes que ton mari a collé à mes basques. Je n'ai plus droit qu'à un verre de vin OU une bière par semaine et encore, de la pisse d'âne ! Et elles m'obligent à faire de l'exercice - même la nuit parfois ...Le directeur nommé par mon gendre est plus aimable : depuis peu, il me laisse à nouveau participer au conseil de gouvernance de nos brasseries réunies ! »

« J'en suis ravie, Père. Vous vous souvenez sans aucun doute de Gauthier mais puis-je vous présenter ma belle-mère et mes belles-sœurs? »

Le vicomte offrit galamment son bras à Céline et mena la petite troupe vers deux carrioles portant le blason de la brasserie BrauMeister. Heureusement que le temps était sec car elles étaient découvertes mais quelqu'un avait pensé à préparer des couvertures pour que chacun puisse s'emmitoufler pendant le trajet jusqu'au manoir.

Chemin faisant, il mit sa fille au courant des dispositions qu'il avait prises pour leur séjour.

« J'ai demandé à notre vieux chapelain de venir dire la messe de Noël dans notre chapelle ... maintenant que le toit a été réparé, il ne craint plus que le ciel lui tombe sur la tête. Et avec tout le nouveau personnel, il va faire salle comble. Il va en être tout chose ! »

« Comment avez-vous réparti les chambres? »

« Ton mari et toi dans sa chambre ... j'espère que cela ne te dérange pas pour ces quelques nuits? »

« Pas de problème, père, je me suis habituée au lit conjugal »

« Tes deux belle-sœurs dans la suite qu'il a fait aménager pour ton usage personnel et ta belle-mère dans ma nouvelle chambre. Je dormirai dans la petite chambre du fond. »

« Vous ne dormez plus dans le pavillon de chasse avec Lisette, Marie et Jean? »

« Euh non, cela leur permet de disposer des trois chambres. Et puis, les dragonnes préfèrent m'avoir au château pour mieux me surveiller ... y compris la nuit. J'ai retrouvé une deuxième jeunesse tu sais ... J'espère que tu ne seras pas trop choquée. »

« Pourquoi serais-je choquée? ... Ooooh , Père, vous voulez dire que ... »

« Heu, je suis veuf ma chérie et je suis le seul mâle de la maisonnée ... ces jeunes personnes semblent prendre plaisir à partager ma couche à tour de rôle ou en duo. Est-ce que tu crois que ton mari pourrait en prendre ombrage? »

« Cela m'étonnerait mais de toute façon, c'est un homme marié maintenant et il est fort concentré sur ses obligations familiales »

Ils arrivèrent en fin d'après-midi au château et se dépêchèrent de prendre possession de leurs chambres pour se préparer à la soirée. Catherine fit un saut jusqu'au pavillon de chasse pour saluer ses anciens domestiques. Elles voulait les inviter au repas de réveillon avec sa famille mais, un peu gênés, ils déclinèrent l'invitation.

« Vous comprenez mademoiselle ... je veux dire Madame » expliqua Jean « nous avons été invités à partager le repas de la brigade de Monsieur Gauthier dans les cuisines et elles sont tellement gentilles avec nous que nous ne pouvons pas décliner leur invitation.. ; »

« Je comprends mais dans ce cas, j'insiste pour que vous preniez l'apéritif avec nous dans le jardin d'hiver. C'est Noël et je veux voir tous mes proches autour de mon mari et moi. Au diable les conventions sociales ! »

« Ce sera avec plaisir Madem .. Madame ! »

Lorsque Catherine et Gauthier rejoignirent leurs invités dans l'ancienne véranda, ils furent accueilli par le vicomte Gérard de Montigny qui avait retrouvé toute sa superbe, un verre d'eau à la main.

« Vraiment Père, même ce soir vous tenez bon? »

« Ta belle-mère peut être très persuasive ma chérie ! »

« Parce que .. Céline aussi? »

« C'est un peu inattendu, je te l'avoue mais comment pourrais-je lui résister? Elle ne voulait pas me priver de ma chambre ...»

En elle-même, Catherine se demandait comment des Influencées pouvaient être attirées par un homme normal comme son père. Il faudrait qu'elle pose la question à Céline le lendemain ... En attendant, elle était bien décidée à profiter de la soirée en commençant par l'apéritif qu'elle passa très agréablement en compagnie de ses belle-sœurs tandis que Gauthier discutait affaires avec sa mère et son beau-père qui allaient reprendre ensemble la gestion des brasseries d'Epinal.

Elle était un peu frustrée de ne pas avoir son mari à ses côtés. Elle inaugurait ce soir une robe noir de jais qu'elle avait spécialement commandée dans une maison de haute couture de Paris. D'apparence simple et distinguée, il fallait un œil averti pour comprendre qu'il n'y avait qu'une seule épaisseur de soie chinoise au lieu de la traditionnelle multiplication des couches de différents tissus et taffetas . De plus, le grand couturier avait répondu à sa suggestion en inventant un ingénieux système de fermeture descendant de son cou à son bas-ventre et un autre de sa hanche gauche à son pied. Le tout discrètement dissimulé par les plis de la robe.

Regroupées autour du buffet boissons, les Influencées recrutées par Gauthier tenaient compagnie au trio de leurs anciens domestiques, goûtant précautionneusement le champagne Mompery même si Jean préférait s'en tenir à la BrauMeister en cachette du vicomte. Catherine salua personnellement chacune des nouvelles domestiques ; son excellente mémoire lui permettant de se rappeler le prénom de chacune, insistant particulièrement sur celui de Charlotte.

Enfin Gauthier la rejoignit. Il la tint à bout de bras pour admirer la robe.

« Voici une nouveauté qui te va à ravir ma chérie. Je ne sais pas combien tu l'as payée mais elle vaut certainement son prix. »

« En fait, elle ne m'a rien coûté. La maison parisienne qui l'a réalisée me l'a offerte en échange du droit d'utiliser mes idées dans sa confection »

« Est-ce que mon sens du commerce déteindrait sur toi ma chérie? »

« Pour ce qui est du commerce peut-être. Par contre, tu devrais aiguiser ton sens de l'observation mon Doué. Je l'ai faite faire spécialement pour toi. Ceci dit, il vaudrait mieux que nous nous isolions pour que je t'en fasse la démonstration »

« Un peu interloqué, il l'emmena dans l'appentis qui jouxtait le jardin d'hiver.

« C'est exactement le genre de situation pour laquelle cette robe a été conçue » dit-elle. Elle prit la main de Gauthier et la fit passer dans une ouverture dissimulée juste en-dessous du ras de cou puis elle tira sa main vers le bas et la robe s'ouvrit en deux jusqu'à la taille, dévoilant deux seins nus dont la fermeté rendait la présence d'un corset totalement inutile.

Le Doué avala péniblement sa salive. La vue de sa femme si soudainement dépoitraillée lui avait provoqué l'érection la plus rapide depuis sa Transition. Mais elle n'en n'avait pas fini avec lui. Elle fit descendre sa main à sa hanche gauche où une nouvelle ouverture permit de fendre la jupe le long de sa jambe. D'un geste coulé, elle fit passer tout le devant de sa robe par dessus sa hanche droite, offrant à sa vue un pubis aussi nu que sa poitrine. Puis elle s'assit sur un établi et écarta les jambes.

« Je l'appelle ' La Spéciale Doué' . Mais j'aurais pu aussi l'appeler 'La Spéciale Femme du Doué' tellement cela m'excite de la porter et maintenant, je veux que tu me prennes Gauthier, en force et sans préliminaire. Joyeux Noël mon Doué !»

Il obtempéra avec un grognement guttural. Elle était ouverte et ruisselante . Il la prit comme une brute, lui arrachant des gémissements de plaisir qu'elle essaya d'étouffer en mordant l'épaulette de sa veste. Tout en la labourant, il lui broya les seins, regrettant seulement de na pas être nu lui-même pour jouir du contact de sa peau contre la sienne.

« GAU... THIER ... AVEC ... MOI ...AAARGH ! »

Le cri de jouissance de sa femme déclencha son propre orgasme et leurs secrétions mêlées débordèrent du puits d'amour de la jeune femme. Ils récupérèrent en haletant tandis que Catherine farfouillait dans une poche cachée de sa robe pour en extraire un mouchoir.

« Tu vois, j'ai vraiment pensé à toi en commandant cette robe .. »

Il se retira et elle essuya leurs sexes trempés à tour de rôle puis elle replia le mouchoir et le glissa dans la poche de la veste de son mari.

« Au cas où tu aurais besoin d'inspiration » minauda-t'elle tout en rattachant sa robe presque'aussi vite qu'elle l'avait ouverte.

« Gosh, Cathy, rien qu'à regarder cette robe, je bande de nouveau »

« Attends de voir celle que je réserve pour nos soirées avec tes sœurs ... »

« Aaahouuu »

Ils revinrent aussi discrètement que possible dans le jardin d'hiver mais les sœurs leur firent le petit sourire narquois de celles qui ont tout compris. Peu après, la famille passa au salon tandis que la domesticité se rendait à la cuisine. Gérard avait opté pour une première collation assez simple et légère, à la fois pour ne pas s'endormir pendant la messe mais aussi pour ne pas donner trop de travail à leur personnel.

A 23h, les deux groupes se réunirent pour traverser le parc jusqu'à la chapelle. Chacun prit un manteau vu la distance et l'absence de chauffage dans la chapelle mais Catherine dut se défendre contre les mains fureteuses de son mari qui lui avait présenté son manteau.

« Tu as vraiment envie d'assister à la messe? Peut-être pourrions-nous ... »

« Rien du tout. Cette nuit je serai toute à toi mais pour l'heure, nous allons à la messe !

Jamais service religieux ne lui parut aussi long et c'est avec un soulagement indicible qu'il remercia le chapelain avant de sortir pour découvrir que la neige avait commencé à tomber à gros flocons pendant le service. Il dut aider sa mère dont les souliers, déjà peu adaptés à la marche dans l'herbe, s'avéraient des dangers publics dans la neige fraîche. Gérard s'empressait aussi à ses côtés et ils finirent par la porter sur les derniers mètres.

Il s'effaça pour laisser passer ses aînés mais au moment où il allait les suivre, il reçut en pleine face trois boules de neige l'une après l'autre. Il se précipita à l'intérieur pour échapper à d'autres rafales que les scélérates avaient sans doute préparées. Peu après, ses sœurs et sa femme, le visage hilare, le suivirent en le plaignant hypocritement pour la neige qui s'était accumulée sur et sous son manteau.

« Mesdames, vous me le payerez à la livre de chair ! »

La cuisinière avait eu la bonne idée de prévoir un vin chaud pour leur retour et tout le monde y fit honneur, à nouveau sauf Gérard à qui fut servi un chocolat bien tassé. Il l'avait à peine terminé que Céline lui donna une tape sur les fesses puis lui prit la main avant de l'emmener à l'étage. C'était le signal que la plupart attendaient et, après un dernier 'Joyeux Noël' à la cantonade, chacun s'en fut vers sa chambre.

Sauf les sœurs qui n'essayèrent même pas de retourner dans la suite de Catherine mais suivirent d'autorité le couple dans la chambre du maître des lieux.

« Je veux voir les mystères de cette robe de plus près » clama Virginie

Gauthier enlaça sa femme par derrière et lui fit la démonstration.

« Que le grand Pan me croque !' s'exclama Virginie « Merci d'avoir déballé mon cadeau ! »

« Je veux la même » ! renchérit Suzanne

L'aînée de précipita sur Catherine, passa une main dans l'échancrure de la robe maintenant ouverte, se saisit d'un sein et mordit légèrement tandis que son autre main s'emparait d'autorité du clitoris avant de plonger dans la grotte d'amour.