Le Pouvoir à la Belle Epoque Ch. 11

Informations sur Récit
Les Naïades.
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Partie 11 de la série de 12 pièces

Actualisé 04/27/2024
Créé 10/20/2023
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Chapitre 11 : Les Naïades

La veille de la grande migration, Catherine consulta le professeur Terrillon en compagnie de Lucie et Mariette. Il n'était pas ravi par ce long voyage en train - surtout le retour si près de la date probable d'accouchement et il fit preuve d'une extrême minutie en examinant ses patientes.

« Ahem » commença t'il en posant pour la quatrième fois son stéthoscope sur le ventre de Catherine « soit votre enfant a deux coeurs, soit vous accueillerez bientôt des jumeaux... »

« Des jumeaux, vous êtes sur Docteur?» demanda Catherine abasourdie

« Il reste l'hypothèse d'un mutant à deux coeurs mais vous êtes anormalement gravide et étant partisan du rasoir d'Occam, je penche nettement pour des jumeaux . Vous rendez-vous compte de ce que cela pourrait impliquer?»

« Un accouchement avant terme? »

« C'est statistiquement assez probable, surtout si vous maintenez cette idée stupide de voyager en train quelques jours avant le terme ... »

« Docteur .. Professeur, est-ce que nous pourrions vous inviter à Dognevile à partir du 1er août? Je préfère remettre mon sort et celui de mon ... mes enfants entre vos mains surtout si j'accouche avant terme ! »

« Où diable se trouve 'Trogneville'? »

« Dogneville près d'Epinal, nous y possédons une très belle propriété de famille où vous seriez en vacances en dehors de nos accouchements ... »

« Ma foi, étant un vieux garçon comme on dit, je n'ai aucune attache à Bruxelles hormis l'hôpital mais je peux m'y faire remplacer en août. Et puis, j'aurai à veiller sur trois patientes et quatre nouveaux-nés. Vous pouvez compter sur moi.»

Dire que Gauthier fut surpris était un euphémisme mais il se reprit très vite : « Nous avions tous les deux raison : nous aurons donc un garçon et une fille »

Assez étrangement, Catherine était déjà arrivé en son for intérieur à la même conclusion avec un rare sentiment de certitude .

Ils avaient réservé trois compartiments cette fois : Fernand et Gauthier occupaient le premier avec les malles, valises et leurs dossiers, Stéphanie, Catherine et les deux servantes occupaient le suivant tandis que le troisième était réservé aux deux enfants de Stéphanie, Georges 1 an et Henri presque 3 ans surveillés par leur nounou. Quoique ce mois de juillet 1898 ne fut pas particulièrement chaud, les trois femmes enceintes s'éventaient en permanence alors que Stéphanie ne ressentait pas de bouffées de chaleur « Mais c'est normal » expliqua t'elle « J'ai eu le même problème à la même période avec mes deux enfants. Mais Catherine, tu m'as bien dit que vous avez une piscine à Dogneville? »

« Ne m'en parle pas, il me tarde d'y plonger, même toute habillée »

« Je n'avais qu'une baignoire mais j'y ai passé beaucoup de temps. En plus, cela soulage le dos du poids de nos ventres ! Merci à Archimède ! » Elle essaya vainement d'expliquer le principe d'Archimède aux deux soubrettes mais elles ne retinrent que 'soulager le dos'. Elle reprit donc sur un ton plus léger « Ceci dit, je déconseille le port de vêtements dans l'eau, ce n'est vraiment pas confortable ! Si cette pièce d'eau est suffisamment à l'écart, je vous suggère la tenue d'Eve ... »

Ses trois compagnes de voyage prirent un air rêveur, imaginant à la fois les bienfaits de l'eau fraîche et de possibles ébats plus langoureux.

Cette fois, Gérard était accompagné par Céline à la gare d'Epinal et celle-ci avait réservé des moyens de transport plus confortables pour les humains que les carrioles de la brasserie qu'elle avait réservées aux bagages. Elle embrassa Fernand avec beaucoup de tendresse sous le regard faussement indifférent de Gérard. Elle réquisitionna d'autorité la première calèche avec les deux hommes, laissant les autres se répartir dans les deux suivantes.

C'était la première fois que Stéphanie découvrait le plateau lorrain et, au détour d'un virage, la vue sur le massif des Vosges.

« Si cela t'intéresse, Stéphanie, il y a un train qui relie Lavaline à Gerardmer. C'est très joli et on se croirait au bord de la mer. Tes enfants pourraient préférer le sable à l'herbe » lui dit Stéphanie.

« Nous verrons. Peut-être que si mon mari nous rejoint, nous pourrions y passer une semaine? »

Ils arrivèrent au manoir de Montigny en fin d'après-midi, accueillis par la cohorte de domestiques féminines visiblement ravies de revoir leur Maître.

Céline avait réorganisé la disposition des chambres. Soucieuse du bien être de Lucie et Mariette, elle leur avait attribué l'appartement de Catherine maintenant que celle-ci partageait la couche de Gauthier toutes les nuits. Les filles avaient d'abord refusé ce traitement de faveur mais l'idée de ne plus devoir se traîner jusqu'au 2ème étage avait fini par emporter leur adhésion reconnaissante.

Au bout du couloir, elle avait installé les deux enfants de Stéphanie dans une chambre et la nounou dans la dernière pièce disponible. Mais l'installation la plus surprenante concernait l'autre aile : Stéphanie occupait la première chambre, celle d'en face restait libre pour le professeur Terrillon et elle avait réquisionné la plus grande chambre qui fermait le couloir pour elle-même et deux petites chambres adjacentes, à gauche pour son mari Fernand et à droite pour Gérard.

Un peu interloquée, sa belle-fille la prit à part pour obtenir des explications.

« J'ai mis les choses au point pendant le trajet . Je suis plus jeune qu'eux et ils ne sont plus capables de me combler tous les jours, du moins si je me contente de l'un d'entre eux. Donc ils partageront mon lit à tour de rôle, ce qui me donnera l'occasion de les essorer autant que moi j'en ai envie »

« Et ils ont accepté sans discuter? »

« Ils étaient même un peu soulagés. J'ai mis ton père à genoux et Fernand m'a grommelé quelques phrases incompréhensibles à propos de cette obsédée d'Irène ... »

« Euh oui ... je t'expliquerai cela plus tard. En attendant, est-ce que tu peux me montrer la piscine, je pense que par beau temps, elle va devenir le QG des dames ! »

« Il faudra organiser un tour de rôle ... Je la laisse tous les matins à nos domestiques jusqu'à 11h puis Gérard et moi l'occupons jusqu'au déjeuner et en fin d'après-midi. Comme elle est complètement sous verrière, nous sommes à l'abri du vent et on peut en profiter presque tous les jours »

« Je me verrais bien y barboter avec Stéphanie, Lucie et Mariette pendant les heures les plus chaudes pendant que les enfants de Steph font la sieste. »

« Vous pouvez aussi vous joindre à nous avant le déjeuner mais je te préviens, nous nous baignons nus, de même que nos jeunes servantes ... pour le plus grand plaisir des yeux de ton voyeur de père et dés demain de mon libidineux Fernand. Mais je ne me plains pas ... si cela peut les stimuler ... »

« C'est aussi notre intention et je ne pense pas que ma collègue soit farouche au point de refuser à Gauthier de se joindre à nous quoique quand elle verra son équipement, elle risque de s'effrayer »

« Ou de vouloir l'essayer ... »

« Cela pourrait se négocier. Cela changerait mon mari de forniquer avec une femme qui n'est pas enceinte mais elle est peut-être un peu trop rubénienne à son goût. »

Elles étaient arrivés près de la verrière grande comme un terrain de tennis qui abritait la piscine. Un peu à l'écart, un petit bâtiment en brique dégageait de la fumée par sa cheminée.

« Voici la chaufferie. Malgré le beau temps et la verrière qui fait office de serre, il est nécessaire de réchauffer l'eau tous les deux-trois jours. Et il y a un cuve de filtrage à la sortie de la chaufferie? »

« Belle installation pour une piscine privée. Seuls les plus modernes des bains publics peuvent rivaliser . Je pense que je vais l'essayer tout de suite !»

« Moi je vais rejoindre mes petits vieux. Tu veux que je t'envoie Lucie et Mariette? »

« Et Stéphanie si elle peut laisser ses enfants avec Claudine la nounou ! »

Il y avait une penderie le long de la paroi Nord de la verrière et Catherine y suspendit tous ses vêtements avant de descendre dans l'eau agréablement tiède. Heureusement, l'architecte de Gauthier avait prévu une rambarde le long de l'escalier car la manœuvre n'était pas aisée après sept mois de grossesse . Elle soupira d'aise en se laissant aller sur le dos ; seuls sont visage, ses mamelons et son ventre émergeant encore de l'eau.

Elle rêvassa quelques minutes, complètement détendue, jusqu'à ce qu'elle entende des clapotis et des gloussements qui ne pouvaient émaner que de Lucie et/ou Mariette. Les deux jeunes femmes s'approchèrent à pas prudents de leur maîtresse et prirent la même position qu'elle, la tête reposant sur le rebord à fleur d'eau et le reste du corps aux trois-quarts submergés.

« Heureusement que l'eau n'est pas trop profonde » dit Lucie « Je ne sais pas nager »

« Moi non plus » avoua Mariette.

« Moi j'ai appris mais ce n'est plus très confortable de nager à ce stade » répondit Catherine « par contre, dès que nous aurons accouché, je vous donnerai quelques leçons. Gauthier pourrait s'en charger probablement mieux que moi mais je crains que la leçon ne soit bien courte et que cela se termine avec son gros chibre dans une ou plusieurs de nos ouvertures »

Nouveaux gloussements des filles

« C'est sans doute pour cela que Madame Céline lui a interdit de nous suivre quand elle nous a envoyées ici »

« Et Stéphanie? »

« Elle va nous rejoindre. Elle voulait d'abord veiller à ce que Claudine et les petits soient bien installés. »

« En parlant de la louve, la voilà qui arrive ! »

A peine entrée, Stéphanie commenta « Je vois que vous respectez ma prescription : pas de vêtements pour le bain d'une femme enceinte »

« Oh » dit Catherine, « je pense que même sans être enceinte, j'aurais opté pour la tenue d'Eve ; j'adore le contact de l'eau sur tout mon corps »

Stéphanie se déshabilla à son tour et rougit un peu en descendant l'escalier.

« Ne me regardez pas comme cela ; je sais que mon corps porte les marques de mes deux accouchements : mes seins pendouillent lamentablement, mon ventre fait des plis et j'ai des fesses d'hippopotame ! »

Catherine s'approcha de l'escalier et attendit que son amie se soit immergée à peu près complètement pour passer ses bras autour de son cou.

« C'est le lot de toutes les femmes mais ce n'est peut-être pas une fatalité. A Londres, on m'a vaguement parlé d'une méthode pour retrouver sa ligne en faisant des exercices pour raffermir les muscles qui se sont distendus pendant la grossesse. Que dirais-tu que nous expérimentions un programme de remise en forme? Tu serais la première cobaye puis je prendrai le relais et les filles suivront. »

« Je suis prête à essayer n'importe quoi. Mon mari ne m'a plus touchée depuis la naissance d'Henri et je t'assure que ce n'est pas l'envie qui me manque »

« Hum ... ça c'est un problème qu'on peut régler rapidement : je veux bien te prêter Gauthier mais je te préviens, la première fois, il faut s'accrocher ! »

« Pourquoi? »

« Il est membré comme un âne et a l'endurance d'un cheval de trait. N'est-ce pas les filles? »

« Oh oui Madame Stéphanie, vous devriez l'essayer même si après les autres messieurs vous sembleront un peu ... limités »

« Il a des relations avec Lucie et Mariette?? »

« Et avec toutes les autres femelles de la maisonnée »

« Oooh ... Et tu acceptes que .. je veux dire .. «

« Je l'accepte, surtout en ce moment où j'ai plus de mal à suivre mais il doit me demander l'autorisation ou c'est moi qui organise ses accouplements . Ce soir, c'est la fête charnelle dans notre chambre avec Lucie et Mariette. Si tu veux, tu peux te glisser dans mon ancien appartement et nous regarder par la porte de communication. Tu verras le phénomène à l'oeuvre»

« Ce serait tellement pervers ... mais qu'est-ce que tu fais??? »

« Je vérifie ton état des lieux ... Aha, ton petit bouton est bien bandé ... Et je peux te mettre deux doigts ... trois ... »

« Oooh Cathy ... tu devrais ... aah ... avoir honte ... entre femmes ... ooh ... »

« Tu veux que j'arrête? »

« Oui ... NON ! Aaah ... continue ... friponne ... finis-moi ... aah ... ça monte ... oooh ... Cathy ... je vais ... je vais ... OUIIII ! »

Catherine soutint son amie qui dont les jambes étaient prises de tremblements convulsifs et l'embrassa doucement sur la bouche.

« Steph, tu as grand besoin qu'un mâle te donne le grand frisson et si ce n'est pas ton mari, alors ce sera le mien ! Je ne vais pas te laisser te flétrir à ton âge. Tu as encore de belles années de plaisir devant toi ; il suffit de le prendre quand il se présente ! »

L'apéritif et le repas du soir furent expédiés avec une célérité rare. Gauthier ne tenait plus en place et sa mère ne valait pas beaucoup mieux, encadrée par deux patriarches qui semblaient avoir retrouvé leur prime jeunesse.

Stéphanie s'excusa la première pour aller mettre ses garçons au lit en faisant un petit clin d'oeil à Catherine qui décréta qu'elle allait l'accompagner « pour voir comment s'y prendre avec de jeunes enfants ».

Georges luttait contre le sommeil pour entendre sa mère lui raconter son histoire favorite et Henri dormait déjà à poings fermés. Claudine les laissa seules un moment pour passer sa chemise de nuit avant de s'installer dans le lit qui lui était réservé à côté de ceux des enfants..

Une fois Georges endormi, elles rejoignirent Lucie et Mariette dans l'appartement des dames comme Catherine l'appelait désormais. Les trois complices échangèrent leurs robes contre des déshabillés et entrèrent en colonne dans la chambre conjugale en prenant bien soin de laisser la porte de communication entrouverte pour laisser le champ libre au voyeurisme de Stéphanie.

Le maître des lieux les attendait assis dans le fauteuil qui avait déjà accueilli ses ébats avec sa femme et d'autres. Son sexe monumentalement érigé était collé sur son ventre et ses jambes écartées dévoilaient ses bourses enflées par deux jours d'abstinence.

Il se leva et Stéphanie découvrit en gros plan à quel point sa verge était imposante. A lui seul le gland faisait la taille d'un poing de femme et le reste était à l'avenant. Catherine prit sa place dans le fauteuil et l'emboucha sans dire un mot. Derrière lui, les deux servantes commencèrent une partition à mains, le caressant des fesses jusqu'au pubis en s'attardant sur ses attributs virils.

« Cathy, je .. première fois ... deux jours ... ça vient... AAARGH ! » Il saisit sa femme par les cheveux et fit coulisser sa verge dans la bouche distendue de sa compagne. Stéphanie qui avait parfois pratiqué la fellation avec son mari se rendit compte de l'abondance de l'éjaculation de Gauthier en voyant du sperme couler aux commissures des lèvres de son amie dont la gorge déglutissait pourtant à toute vitesse.

Gauthier se retira de la bouche hospitalière et, la verge toujours aussi monstrueusement bandée se tourna vers les deux soubrettes.

«A votre tour les filles, montez sur le lit, je vais vous prendre en levrette »

Il repoussa le déshabillé de Lucie jusque sur son dos, plaça son gland démesuré à l'entrée de l'orifice béant et luisant de la jeune femme et donna quelques petites poussées pour l'introduire en douceur.

Mais même en douceur, Stéphanie se demandait comment une femme pouvait laisser pareil monstre les pénétrer sans être déchirée au passage surtout sans avoir enfanté auparavant.

Gauthier commença à amplifier ses mouvements tandis que la jeune femme commençait à gémir au rythme des allées et venues du mandrin hypertrophié.

« O Maître ... merci ... cela .. faisait ... si longtemps ... oooh ... je suis pleine ... mon ... aaah .. Maître ... c'est bon ...ooh ... allez-y ... oooh ...prenez-moi ... aaah ... je suis ... à aaah ...vous ! »

Pendant ce temps, Catherine, affalée dans le fauteuil se caressait de plus en plus frénétiquement l'entre-jambes, oublieuse du sperme qui coulait de son menton sur ses seins.

Dans l'embrasure de la porte entrebâillée, Stéphanie n'en pouvait plus. Ses seins perlaient du lait maternel dans son corset et son intimité la démangeait malgré son récent orgasme dans la piscine des mains de son amie.

Elle fit glisser sa jupe légère au sol, bientôt suivie par son dessous et commença à se caresser en se mordant les lèvres pour ne pas miauler son plaisir aux oreilles des acteurs de la pièce torride à laquelle elle assistait.

« AAAH .. MAÎTRE ... OUIII !

Gauthier avait empalé Lucie jusqu'à ce que les os de son bassin s'imbriquent dans ses fesses et éjaculait certainement son foutre tout au fond de la grotte d'amour de la jeune femme. Stéphanie avait enfoncé ses propres doigts dans son intimité mais, peu habituée à l'onanisme, ne parvenait pas à se mettre au diapason.

Le Doué retira son sexe dégoulinant du vagin distendu de Lucie qui laissa échapper une effarante quantité de sperme. Sans perdre de sa redoutable érection, il se déplaça derrière Mariette et la pourfendit sans prendre aucune des précautions qu'il avait réservées à Lucie.

« AAAH MAÎTRE ! AAAH ... VOUS ÊTES TROP GROOOS ! AAAH ... PITIE !

« Sorry .. humf... Mariette mais... plus je baise ... plus j'ai besoin ... humpf ... de me ... humpf ... soulager ... vite... humpf ! Trop attendu...»

Dans le fauteuil, Catherine émit un son étranglé et coinça sa main entre ses cuisses tétanisées. Elle se remémora brièvement une scène identique quand Gauthier avait baisé ses sœurs pendant que leur mère se branlait dans le même fauteuil.

« AAAAH ... TROP GROOOS ... OOOH... » glapit Mariette toujours défoncée par la bielle d'un Gauthier déchaîné.

« ALORS JOUIS MA SOUMISE ! » beugla t'il

« AAAARGH »

Mariette se mit à trembler de tous ses membres, ne restant en position que par la grâce du pilori qui l'avait enclouée. Stéphanie, toujours occupée à fourrager sous sa jupe, était partagée entre l'envie absolue d'être à sa place et la peur de cette virilité qui ne pourrait que ravager ses parties intimes. Soudain la porte s'ouvrit en grand et Catherine surgit devant elle et lui prit la main.

« Viens avec moi » lui dit-elle

Comme hypnotisée, Stéphanie la suivit sans mot dire jusqu'à côté du lit où Gauthier continuait à prendre lentement la pauvre Mariette au bord de l'inconscience.

« C'est le moment, je t'offre mon mari »

« Nooon, je ne peux pas ... je suis une femme fidèle ... »

« Et ton époux te délaisse ... tu paries qu'il a une maîtresse? »

« Je ne sais pas ... ce n'est pas une raison ... »

« Tu es en manque ... Tu as besoin d'être tringlée ... et en force ! »

« Noon .. ; il va m'estropier ! »

« On va arranger cela ... GAUTHIER ! »

« Oui .. humpf ... chérie? »

« Arrête de martyriser cette pauvre Mariette. Je te demande ... non ... je veux que tu Influences Stéphanie et que tu la baises jusqu'à l'inconscience ! »

« L'Influencer, tu es sure de toi? »

« Oui, ce sera une grande première pour moi de te voir Influencer une femme »

« Mais de quoi parlez-vous tous les deux ... je ne veux .......... »

Stéphanie se tut tandis que le visage du Doué s'empourprait brièvement et que ses yeux devenaient d'un brillant surnaturel. Le changement chez Stéphanie était encore plus spectaculaire. Elle s'était mise à haleter et à se tordre lascivement tout en se broyant les seins et en pressant son bas-ventre contre la cuisse de Catherine .

« Oooh ... qu'est-ce qu'il m'arrive ... Gauthier ... j'ai besoin .. . »

« De quoi as-tu besoin Steph? » demanda Catherine

« Il faut qu'il me prenne ... qu'il me baise ... Gauthier ... s'il te plaît mon Maître ... »

Catherine l'aida à se déshabiller complètement et à grimper sur le lit où Lucie lui laissa sa place. Au passage , elle passa sa main entre les cuisses de Stéphanie et dit à son mari « Elle est trempée, ne te retiens pas »

« Aucune chance » répondit-il en commençant à la pénétrer sans hésitation, forçant le passage jusqu'à ce qu'il soit arrêté par les fesses rebondies.

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