Le Pouvoir à la Belle Epoque Ch. 14

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Swinging London (1ère partie)
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Partie 14 de la série de 16 pièces

Actualisé 06/07/2024
Créé 10/20/2023
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Chapitre 14 : Swinging London (première partie)

NB : tous les dialogues sont en français alors que toute la partie partie londonienne se déroule en anglais

« Chérie, j'ai une nouvelle à t'annoncer ! »

« Cela tombe bien, moi aussi ! »

« Ladies first ... comme cela tu auras déjà un avant-goût »

« Comprends pas mais ma nouvelle est importante ... je crois que je suis de nouveau enceinte ! »

« ... Je ne sais quoi dire ... D'un côté j'en suis très heureux mais n'est-ce pas trop tôt? Est-ce qu'il n'y a pas de risque pour ta santé? »

« Je me sens en pleine forme et puis c'était inévitable, avec les fûts de foutre que tu as déversés en moi depuis l'Alsace ... »

« A qui la faute ... chaque fois que je suis un peu au repos, tu me sautes dessus avec l'avidité des femmes du Comte Dracula sur le pauvre Harker »

« A mon avis, Abraham Stoker doit aussi être un Doué ... cette histoire de buveurs de sang pourrait être interprété sous un angle autrement plus sensuel... »

« On pourra peut-être le lui demander... Mes amis de Paris voudraient que nous passions les fêtes de fin d'année à Londres ! »

« Aha ...Je suis partagée.... Cela me ferait plaisir de revoir Londres mais je ne nous vois pas emmener nos enfants de cinq mois sur le ferry d'Ostende à Douvres . Lucie et Mariette pourraient très bien prendre soin d'eux mais la séparation leur sera aussi pénible qu'à moi ... En Alsace, ils étaient trop petits pour vraiment réaliser mais maintenant ...Tu es sur que je dois t'accompagner? »

« Je n'ai pas non plus envie de laisser Stéphane et Ange ici et encore moins de les priver de leur mère mais il faut que je sois accompagné de mon épouse. Il y a un défilé de mondanités à honorer et je ne peux décemment me présenter seul sans éveiller l'attention. »

« Et est-il indiscret de savoir pourquoi nous devons absolument nous rendre à Londres? »

« J'allais justement te l'expliquer : l'affaire de Fachoda a laissé des rancoeurs de part et d'autre de la Manche. Officiellement, la France et l'Angleterre se regardent toujours en chiens de faïence pour ne pas exciter d'avantage les nationalistes de chaque pays mais il y a des éléments modérés de chaque côté qui souhaitent resserrer les liens distendus...discrètement »

« Donc, on envoie un brasseur plutôt qu'un ambassadeur .... »

« Exactement ! D'autant plus qu'un de mes anciens camarades d'Oxford a un poste important au War Office. Quelques conversations amicales pourraient déblayer la route pour un rapprochement plus officiel à défaut d'être ostentatoire »

« Belle marque de confiance ... Ton rapport sur les intentions de la Triplice a dû laisser des traces ! »

« Notre rapport .. j'ai peut-être commis l'erreur de citer ton sens de l'observation ... »

« Bon, je vais y réfléchir mais nos enfants font la sieste ...tu ne crois pas que ce serait le moment de saillir ton épouse? »

« Avec plaisir Comtesse Dracula ! »

Catherine eut à peine le temps d'embrasser ses enfants entre la fin des cours du trimestre et leur départ vers Ostende. Si Angélique et Stéphane ne comprirent pas qu'ils allaient être séparés de leur mère pendant deux semaines, elle en était bien consciente et sanglota sur l'épaule de son mari pendant presque tout le trajet en train.

Ce n'est qu'une fois installés dans leur cabine du ferry qu'elle parvint à se reprendre.

« Gauthier, ne crois-tu pas qu'il est temps d'inaugurer notre second voyage de noces? »

Surpris par ce brusque changement d'humeur, il ne put que bafouiller :

« Sorry my darling mais tu étais tellement bouleversée que j'ai un peu la tête ailleurs ...»

« Ne me dis pas que je vais devoir faire venir Charles? Tu te souviens comme il a aimé me sodomiser pendant que j'étais clouée sur ta grosse bite? »

« Cathy ... » gronda t'il

« Dans le train, j'avais besoin de pleurer. C'est fait. Maintenant, sur le bateau, j'ai besoin d'être baisée. Si tu n'as pas envie de moi, je trouverai bien une demi-douzaine de marins en manque d'affection pour me prendre par tous mes orifices... »

« Cathy ... « gronda t'il à nouveau mais d'un ton plus menaçant

« Leurs bites ne seront pas aussi grosses que la tienne mais ils s'occuperont de moi par groupes de trois. Dans mon minou, ma bouche et mon cul ... et je les laisserai me remplir de leur foutre puisque je suis déjà enceinte de toi puis ce sera le tour des trois autres et ... «

« Tu l'auras voulu ! » grinça t'il en la plaquant contre la paroi de la cabine. Il fourragea sous sa robe d'une main tout en se déboutonnant de l'autre puis il la souleva et la laissa retomber sur son sexe enflé.

« OOOH ... GAUTHIER ... EN ... FIN ! »

« Je vais .. humpf .. t'en donner ... humpf .. des marins ... humpf ... garce ...quand .. humpf ... j'en aurai ... humpf ... fini avec toi .. humpf ... pourras plus ... humpf .. fermer ... humpf ...les jambes ... humpf ...une semaine ! »

« Pas assez... ooh ... une semaine ....aargh ... un mois ... aah ... au moins ... oooh ... Gauthier ... j'ai .... oooh ... tellement envie .... aah ... te sens ... aah ... si gros ... viens ... avec .... aaah ... avec MOI AAAAAAAAAH ! »

« PRENDS CA .... HUMPF ...PRENDS ... TOUT «... »

Elle se suspendit à son cou en jouissant sauvagement avant de refermer ses jambes autour de ses hanches.

« Hum ... c'était drôlement bon ... tu as déjà remarqué que tu es beaucoup plus excité quand je te parle d'autres hommes . J'ai même l'impression que ta verge est encore plus grosse et longue que d'habitude ... »

« Exact, quand tu parles d'être prise par d'autres mâles, mon Pouvoir me contrôle complètement et je ressens un besoin forcené de te prendre et de jouir en toi. Cela devient une nécessité absolue de te posséder! »

« Je me demande ce qui se passerait si je te présentais Rupert ... »

Elle sentit sa verge tressauter en elle

« Un duel ! »

« Ce serait inutile, même s'il m'enculait à sec, je ne sentirais probablement rien maintenant que Charles et toi m'avez défoncé la rondelle... »

La verge eut des sursauts spasmodiques

« Ne me parle pas de Charles »

« C'est vrai que c'est un concurrent plus sérieux ... je le sens passer, lui ! Mais que t'arrive t'il mon cher époux ... tu trembles ...tu es tout rouge ... tu veux que je descende? »

« AAARGH .... pas ... encore ... humpf ... d'abord... humpf ... me ... vider... »

« Oooh ... tu m'inondes ... et je n'ai pas joui, moi ! »

« Tu ne perds rien... humpf ... pour attendre ... humpf ... je t'ai déjà dit ... humpt ... pas défier un ...humpf ... Doué ! »

Il l'entraîna vers la couchette et se consacra entièrement au plaisir de sa femme jusqu'à Douvres où ils débarquèrent bons derniers du ferry les jambes un peu flageolantes.

Dans le train pour Londres, Catherine commença à s'inquiéter de leur séjour dans la capitale.

« Mon ami Clifford a aimablement accepté de nous accueillir durant toute la durée de notre séjour. Lui et sa femme Constance occupent depuis peu une grande demeure familiale aux abords de Kensington Park. Comme nous, ils viennent de se marier. Cliff attendait le décès de son père qui s'opposait à son mariage avec une roturière. Ils sont maintenant Lord et Lady Tatcherley et très heureux d'après ses lettres. J'ai rencontré Constance il y a trois ans, c'est une jeune femme charmante qui doit avoir deux ou trois ans de plus que toi»

« Kensington ... nous pourrons prendre le métro depuis Victoria Station alors? J'en ai rarement eu l'occasion pendant mes études même si j'ai rêvé devant le plan pendant des heures. Nous étions quasiment cloîtrées dans l'école. A propos d'école, tu as connu Clifford à Oxford?»

« C'était mon partenaire de double dans les boat races junior. Nous avons gagné toutes les courses inter-collèges pendant trois ans ! Autrement dit, c'est mon frère de sang et de sueur. C'est aussi le seul Anglais qui a ma stature, ce qui a bien contribué à nos succès en aviron. »

« Dommage que la saison ne s'y prête pas, j'aurais volontiers essayé ce sport »

« Qui est réservé aux hommes mais je suppose que je viens de te donner l'argument décisif pour t'y essayer ... »

« Exactement ! Au printemps, je veux pouvoir faire un essai avant que ma grossesse ne rende la chose trop difficile ! Tu ferais bien de commander un bateau pendant notre séjour en Angleterre ...»

Gauthier loua les services de porteurs pour mener leurs bagages à Tatcherley House et ils prirent la Circle Line jusqu'à Kensington à la grande joie de Catherine fascinée par ce moyen de transport inhabituel. « J'ai hâte que le métro de Paris soit opérationnel ... »

Un majordome parfaitement amidonné vint leur ouvrir et les mena jusqu'à la bibliothèque où Clifford et Constance les attendaient. Catherine eut un choc. Clifford aurait pu passer pour le frère de Gauthier. Ils avaient la même taille, la même carrure et même leurs couleurs de cheveux étaient proches. Seuls les traits du visage plus fins et plus allongés chez l'Anglais marquaient leur différence.

Les deux hommes se firent l'accolade avant d'exécuter une espèce de danse de la pluie qui se termina par un hurlement et re-accolade. Le regard de Catherine croisa celui de Constance et elles levèrent toutes les deux les yeux au ciel 'Ah ces petits garçons'....

Cliff fit le baise-main à Catherine tandis que Gauthier enlaçait Constance qui ne s'en formalisa pas « Congratulations Lady Tatcherley ! »

Lorsque Clifford lâcha sa main, Catherine eut une curieuse impression comme si un filament s'étirait de la main de l'homme jusqu'à la sienne puis le lien se rompit et la sensation disparut.

Elle retrouva avec plaisir les subtilités de la conversation à l'anglaise ainsi que le sherry à l'apéritif. Les deux hommes échangèrent quelques plaisanteries sur leur passé à Oxford tandis que les dames se découvraient l'une l'autre avec déjà un point commun : elles venaient toutes deux d'une famille ruinée , celle de Constance par la Panique de 1890. Pour éviter le brouhaha des voix masculines, elles se retirèrent dans une sorte d'alcôve à côté de la cheminée.

« Je n'en reviens pas de la chance que j'ai eue de rencontrer Clifford » se confia Constance . « Avec son physique, son titre et sa fortune à venir, il avait toutes les jeunes filles de la gentry à ses pieds sans parler de quelques veuves et même des femmes mariées qui montraient ouvertement qu'elles étaient prêtes à partager sa couche. Et c'est moi qu'il a choisi ... »

« Vous avez dû attendre combien de temps que le vieux Tatcherley passe l'arme à gauche pour vous laisser le champ libre? »

« Un peu plus de trois ans »

« Et ce bel étalon est resté chaste pendant tout ce temps? Il n'a pas été faire un tour du côté des veuves ou des femmes mariées? »

Constance rougit ... « Nous ne sommes pas restés tout-à-fait chastes. »

« Tu me rassures. S'il est comme mon Gauthier, il vaut mieux ne pas être prude »

« Heu ... à ce propos... Catherine... J'aurais peut-être besoin d'un conseil ... est-ce toujours vous qui prenez les devants pour ... vous savez .. .»

« Cela m'arrive mais c'est rarement nécessaire... »

« Et euh ... vous le 'faites' souvent avec Gauthier? »

« Plusieurs fois par jour mais nous sommes des exceptions ... »

« Je t'envie ... c'est toujours moi qui doit prendre l'initiative. Attention, une fois que je l'ai harponné ... ou plutôt l'inverse, il me comble mais après, il redevient indifférent. Gentil, attentionné mais indifférent aux choses charnelles. »

« Donc, si tu me permets ma franchise, il n'est pas très intéressé par les relations charnelles, ni avec toi ni avec d'autres ... hum .. ; c'est très exceptionnel surtout quand on voit le spécimen. Il respire la virilité comme Gauthier ...! »

« Je donnerais n'importe quoi pour qu'il soit bêtement normal, même si je devais le partager avec une autre femme. Nous ... faisons tellement peu l'amour que je n'ai pas encore réussi à tomber enceinte alors que tu as déjà deux enfants... Sob ... sorry Catherine ... sob... »

Catherine lui mit la main sur l'épaule « C'est peut-être possible ... tu sais que je suis infirmière et que je fais des études de médecine? »

« Oui bien sur ... Gauthier nous a déjà beaucoup parlé de toi dans ses lettres »

« Ah bon .. . bref, tout cela pour dire que je voudrais examiner ton mari ... à l'abri des regards...ce ne sera peut-être pas très orthodoxe et il faudra que je prévienne Gauthier ... »

« Pourquoi? Oh ... tu veux dire que ... mais il ne va jamais accepter .. Mon mari ... et le tien aussi d'ailleurs. »

« Je me charge de mon mari et ce soir, dès que le tien sera endormi, viens-me chercher dans notre chambre. Je préfère tenter mon expérience si Cliff est à moitié dans les bras de Morphée ! »

Elle dut littéralement traîner Gauthier pour l'emmener jusqu'à Kensington Park pour une petite promenade digestive.

« Cela fait deux jours que je n'ai pas fait ma marche d'entraînement, il ne pleut pas pour une fois et je dois te parler en privé » lui dit-elle sur un ton sans réplique. « Je peux me tromper mais je pense que Clifford est un Doué dont la Transition n'a pas eu lieu. Je sens comme un cocon autour de lui qui semble brider sa sexualité »

« S'il a du Pouvoir, je l'aurais senti ! Je ne pourrais même plus m'approcher de lui»

« Pas avec le 'cocon'. Et c'est ce cocon que je veux le lui arracher. Il est comme sourd-muet à la sexualité et Constance est malheureuse à cause de son apparent manque d'intérêt pour elle »

« Et tu as la moindre idée de la façon de t'y prendre? »

« Oui ... Enfin ... je crois ... mais je préfère que tu ne sois pas présent ... »

« Ah ... je vois ... merci de prévenir le futur cocu ... »

« Je ne veux pas te faire cocu ... je veux soigner ton ami ... »

« Le résultat est le même ! »

« Je ne suis même pas sure que ce sera nécessaire et si je dois, si je peux ... l'aider ... ce sera juste une intervention quelque part entre mon travail d'infirmière et ma condition d'Héraïde. Ta mère va adorer. »

« Tu as pensé aux conséquences? »

« Je ne vois que trois issues . La plus probable : il ne se passe rien et nous serons tous très embarrassés. Autre possibilité : sa Transition commence avec 15 ans de retard, ce ne sera sans doute pas sans danger et tu devras plus que probablement t'éloigner, pour ton bien comme pour le sien. Troisième possibilité : il se passe quelque chose de totalement imprévu et il faudra improviser. »

« Tu sais ce qui t'arrivera quelle que soit l'issue de ton euh ... intervention? »

« Je me doute que nous ne dormirons pas beaucoup »

« J'ai même fort envie de prendre de l'avance ... Si nous rentrions? »

Vers 23h, on toqua légèrement à la porte de leur chambre et la silhouette de Constance se dessina dans l'embrasure de la porte. Gauthier fit semblant d'être endormi mais sa main ne quitta pas le sein de sa femme.

« Catherine » chuchota t'elle, ça y est, il dort !

Elle écarta la main et sortit du lit, entièrement nue, enfila sa robe de chambre dont la poche contenait son onguent 'spécial Doué' et suivit la jeune femme jusqu'à la chambre du couple.

« Reste dans le couloir. Si tout va bien, je t'appellerai bientôt. »

Elle se glissa jusqu'au lit, se débarrassa de sa robe de chambre et se coucha contre le corps endormi de Clifford. Sans préambule, sa main se glissa dans son pantalon de pyjama pour aller tâter les bourses et le membre viril qui lui parurent d'une taille respectable sans atteindre les proportions monumentales de l'appareil génital de son Gauthier.

Sa main resta comme engluée sur sa verge mais elle s'attendait à quelque chose comme cela. Le 'cocon' se défendait. Elle entama un mouvement de masturbation mais sans parvenir à toucher la verge ; elle agitait sa main de bas en haut pour se libérer de l'invisible substance et à chaque aller retour, elle avait l'impression que ses mouvements devenaient plus faciles.

Tout d'un coup, elle sentit de la chair contre la paume de sa main qu'elle referma sur le pénis en expansion. Clifford gémit dans son sommeil. Sa verge était maintenant presque entièrement libérée du carcan et elle descendit vers les testicules dont les défenses cédèrent plus rapidement. Encouragée par ses succès, elle remonta vers le torse de l'homme, ses doigts passant à travers le cocon comme des ciseaux à travers du papier journal. Clifford gémit plus fort.

A tâtons, elle explora ses parties génitales et les découvrit beaucoup plus imposantes que quelques minutes plus tôt. Elle baissa le pantalon du pyjama pour bien les dégager et entreprit de le masturber avec énergie.

« Constance ... qu'est-ce qu'il m'arrive... mes bourses vont exploser ... UUUGHH !

Il éjacula sans retenue, maculant sa chemise de nuit mais sans débander pour autant. Catherine, sans dire un mot, récupéra son onguent dans la poche de sa robe de chambre et en enduisit la verge qui maintenant atteignait les proportions de celle de Gauthier « enfin un Gauthier pas très en forme » se dit-elle sans arrêter sa caresse qu'elle dut interrompre pour laisser jaillir une deuxième cascade de foutre.

Profitant de l'hébétude de Clifford, elle appela Constance et lui fit un résumé adapté aux non-initiés de la situation :

« Il va avoir besoin d'éjaculer toute la frustration qu'il a accumulée pendant des années donc, tant qu'il bande, caresse-le, viole-le, prend-le dans ta bouche, ton minou ou tes fesses mais fais-le jouir. Il faudra aussi lui donner à boire mais je te rapporte ce qu'il faut »

Elle remit sa robe de chambre et sprinta jusqu'aux cuisines d'où elle ramena une carafe de thé froid et une bouteille d'eau tout en se posant - peut-être un peu tard - des questions : Clifford allait-il Influencer Constance? Aurait-elle l'énergie de le vider? Est-ce que Gauthier avait déjà ressenti le début de la Transition de son ami?

Lorsqu'elle revint dans le chambre avec une chandelle et les liquides, elle vit que Constance chevauchait gaillardement son époux dans un duo de gémissements de plaisir. Elle déposa le chandelier et la carafe à côté du lit puis s'en fut rejoindre Gauthier.

Il l'attendait, l'air soucieux, assis dans le lit.

« Cela n'a pas marché? »

« Si, au contraire, il a démarré comme un cheval au galop. Ses parties intimes sont presqu'aussi grosses que les tiennes maintenant et il débite plus de sperme que le robinet de la salle de bains fournit d'eau »

« Je n'ai encore rien senti ... Il vaut peut-être mieux que je m'habille pour pouvoir sortir de la maison en vitesse »

« Attend encore un peu ... sa Transition vient de commencer, on ne sait pas encore si son Pouvoir sera suffisamment puissant pour t'incommoder »

« Et l'inverse? »

« Constance viendra bien me chercher si cela tourne mal.. . »

« Et tu as dû ...? »

« Deux petites branlettes et c'est tout... Constance a tout de suite pris la relève et avec l'enthousiasme d'une Améliorée ou le mien ... tu m'entends Monsieur mon époux ... Mon enthousiasme ... !

Il se pencha sur elle et commença à caresser son clitoris avec une habileté démoniaque.

« J'ai bien compris mais je veux des détails sinon je t'abandonne à ton triste sort »

Et il stoppa net ses caresses. « Raconte »

« Le truc que j'appelle le 'cocon', c'était collant comme une toile d'araignée mais résistant comme de la soie. Et invisible. Au début, je ne parvenais pas à toucher sa peau puis cela a commencé à se déchirer ou à laisser des ouvertures, difficile à dire. Et une fois que j'ai pu toucher sa verge, cela s'est accéléré »

« Elle était grosse comment? »

« Caresse-moi de nouveau, j'ai besoin d'inspiration .. OUI ... là ... aaah ... Elle était beaucoup plus grosse que Rupert ... moins que la tienne et même plus petite ... aaah ... que celle de Chaaarles ... »

« Continue ou j'arrête... »

« Nooon , continue ... je l'ai prise en main et aaah ... elle s'est mise à grossir ... ooh.... Tes doigts ... elle était dure ... si dure ... ses testicules ... grosses comme ... les tiennes... OOOH ... COMME LES TIENNES .. NOOOOOON ... N'ARRÊTE PAS !!!»

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