Le Premier Rôle

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Les aventures d'Aurélie #3 - Le premier porno d'Aurélie.
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La nuit qui vient de se terminer à vraiment été longue; la nervosité, vous voyez. C'est aujourd'hui qu'Aurélie va tourner sa première scène, son tout premier rôle. Nous sommes tous les deux excités. J'ai pris congé de travail pour pouvoir l'accompagner.

Comme je disais, la nuit a été longue. Incapables de dormir, j'ai proposé bien des choses à ma chérie mais Aurélie à absolument insisté, elle devait rester "fraiche" pour son premier rôle, ce qui signifie que j'ai passé trois longs jours sans pouvoir toucher ma belle amoureuse. Je sais. Les célibataires qui liront ceci vont rager un peu, trois jours c'est rien quand ça fait trois semaines et trois mois que tu n'as pas eu de sexe.

Peu importe. Quand tu es habitué de baiser une déesse chaque jour et ce généralement plusieurs fois par jour, trois jours à sec c'est interminable, surtout quand tu sais que c'est pour le potentiel bénéfice d'un autre homme. J'ai donc passé cette dernière nuit à me frotter sur cette superbe femme vêtue d'une simple et douce nuisette sans pouvoir la baiser comme j'en avais envie parce que demain, un autre homme allait le faire à ma place.

Le pervers rencontre l'injustice, quoi.

Jour et heure fatidique enfin arrivés. Aurélie a terminé sa journée de travail au labo et rentre à la maison. Ses collègues n'ont aucune espèce d'idée que la jolie brunette taciturne qui travaille à leur côté va ce soir devenir une actrice du porno. C'est un secret bien gardé, ça rend la chose encore plus délicieuse. On soupe en silence. Aurélie prend sa douche seule, nerveuse. Elle se coiffe longuement, nue devant le miroir. Je regarde le long spectacle et je rêve en silence. Elle enfile enfin une tenue toute simple mais fonctionnelle. Ce n'est certainement pas ce qu'elle portera durant l'acte mais c'est tout de même très flatteur: de jolis sous-vêtements de couleur lilas et une robe mauve courte et légère qui lui moule agréablement le cul et les seins. Inutile de spécifier qu'ainsi, elle est vraiment bandante, En fait, en ce moment précis, elle pourrait porter un drap sur la tête qu'elle m'exciterait quand même. Je suis accroc et je suis surtout affamé.

Le chemin vers le studio ne prend qu'une dizaine de minutes à parcourir mais le temps semble s'étirer à l'infini. Aurélie est perdue dans ses pensées, elle ne porte pas trop attention à moi. Je lui jette des regards furtifs, comme si c'était une belle étrangère dans le métro qui aurait capté mon attention. Elle est si belle, son visage tendre, ses longs cheveux qui tombent sur ses épaules, son corps parfait recouvert de doux velours; mon esprit n'a qu'une pensée qu'il répète tel un mantra: "Regarde cette fille si jolie, tu vas bientôt la voir se faire baiser." Difficile de rester concentré sur la route.

La voiture arrêtée, je lui ouvre la porte. Aurélie se lève, me gratifie d'un joli sourire et m'embrasse doucement. Je saisis le moment pour caresser ses fesses avant de la voir s'éloigner de moi et se diriger vers ce lieu où tout va enfin débuter. La porte du studio ouvre et nous entrons. Cette fois, pas de longue angoisse dans la salle d'attente; au son de la porte qui s'ouvre, Étienne nous accueille immédiatement, grand sourire et bras ouverts. "Salut vous deux! Content de vous voir! Aaah! Aurélie, tu es encore plus belle que la première fois qu'on s'est vus!"

La première fois qu'Étienne a vu ma copine est surtout mémorable dû au fait qu'il l'a odieusement baisée devant mes yeux mais bon. C'est loin d'être un mauvais souvenir.

"Ah.. bon?" Hésite Aurélie. "Pourtant la dernière fois j'étais habillée sexy et tout, là je suis tout à fait normale."

"C'est tes cheveux!" S'exclame Étienne "Ils étaient droits et lisses la semaine passée mais aujourd'hui ils sont tous pleins de jolies courbes comme ta silhouette!"

"C'est son look naturel." Ma voix est neutre.

"Ahh le valeureux chevalier venu protéger sa dame! Tu sais qu'on lui fera pas de mal quand même!" Difficile de dire si Étienne est sarcastique ou blagueur.

Je lui offre un sourire un peu louche. "Tu sais très bien que c'est pas ça. Elle, son fantasme c'est de jouer dans tes films, le mien c'est de la voir faire. Pourquoi se contenter de faire un heureux quand on peut en faire deux?"

"Bien dit!" Rétorque Étienne en appuyant son enthousiasme d'une solide tape sur mon épaule.

"Allez, venez, les autres vous attendent!"

Ces derniers mots captent mon intérêt et je me remets vite à l'idée que pour faire un bon porno, ça prend plus d'une personne. Pendant tout ce temps, tous ces jours à me languir du corps d'Aurélie, je n'ai jamais pris le temps de songer à qui serait dans le film ni même qu'en serait le scénario. Tout sera clair sous peu, donc. On passe à la pièce adjacente. C'est très spacieux, une sorte de salon multi-usage avec un lit, deux divans et quelques autres endroits divers ou je peux facilement imaginer une bonne grosse scène de cul.

Je talonne Aurélie et je laisse mon regard s'attarder sur son beau petit cul qui se dandine gentiment de gauche à droite à mesure qu'elle marche. Je me demande si elle se fera enculer pour ce premier rôle. Hmmmm... Tout de même, c'est pour moi encore un peu difficile à croire que ma jolie copine se dirige d'elle même dans cette pièce où elle va se faire baiser par je ne sais qui. J'en suis affreusement nerveux.

Deux personnes nous y attendent. D'abord il y a ce grand gaillard qui ne doit franchement pas avoir plus de 20 ans. Mince, cheveux blonds bouclés et courts, visage un peu juvénile, il porte un pantalon foncé et une chemise bleu marine dont les trois boutons du haut sont détachés. Je pense qu'il essaie de se donner un look macho. S'il avait du muscle à montrer ou même juste un peu plus de poil, ça aurait peut-être fonctionné. Sans doute le gars qui va jouer de la caméra. Tant mieux, il va se rincer l'œil le petit chanceux.

L'autre personne est une femme, je lui donne peut-être trois ou quatre ans de moins qu'Aurélie. Malgré mon intention de rester "fidèle et neutre", je m'attarde à la regarder comme il se doit. Et par "regarder comme il se doit", je veux bien sur dire que je la déshabille honteusement du regard. Elle me regarde aussi et de toute évidence, mon geste aussi impoli qu'il soit ne l'importune pas du tout. Remarquez, j'en ai aucun remord: c'est un studio porno, pas une église.

Elle doit faire un mètre soixante-cinq et bien qu'elle a une silhouette totalement différente de celle d'Aurélie, elle n'a rien à lui envier. D'abord et avant tout, la spectaculaire paire de seins qui glorifie sa poitrine fait fi du t-shirt qui tente pathétiquement de la cacher. On y devine des tétons remarquablement fermes et je suis prêt à gager mon pantalon qu'ils sont entièrement naturels.

Je dis que selon moi ses seins sont naturels parce qu'ils sont à leur place avec le reste de son corps. Un quelconque idiot aurait tôt fait de dire que cette femme a dix ou douze kilos en trop mais ce serait de la pure bêtise; les kilos en question sont délicieusement distribués. Cette femme à de superbes hanches larges et gracieuses qui encadrent un cul rond et vraiment bien défini, celui-ci trônant au-dessus d'une paire de solides jambes ni trop longues, ni trop courtes. Elle porte un jeans noir très moulant et même si ce n'est pas du velours, c'est loin de me laisser indifférent. Pour faire une histoire courte, cette femme redéfinit le mot "courbes", elle est tout sauf une maigrichonne à la mode. C'est à ce moment précis que je me souviens! Lors de notre attente dans l'autre pièce, le jour de l'entrevue d'Aurélie, j'ai vu une photo d'elle accrochée au mur: elle y portait de la lingerie plutôt bourgeoise et un corset très bien ajusté; on aurait dit une actrice porno du burlesque des années 40. Une "collègue" pour Aurélie donc. La vie est belle.

Me forçant à observer autre chose que son corps, je lève le regard. Sa chevelure encadre bien son visage, coupée en frange droite au-dessus des yeux, elle caresse doucement ses épaules à l'arrière. La couleur est intéressante, d'un beau brun très foncé voire presque noir, elle est parsemée de longues mèches d'un lilas très franc pendant que de multiples reflets mauves se profilent sur le reste de ses cheveux. Je n'arrive pas à comprendre comment elle a obtenu cette couleur mais c'est vraiment très joli. Sa peau est pâle et ses yeux sont d'un brun chocolat très profond. Je note qu'elle me regarde avec un air de prédateur et un sourire rempli de sous-entendu... ou est-ce Aurélie qu'elle regarde? J'adore ce genre de mystère.

"Voici Max et Cécilia" Annonce Étienne.

Ma bouche décide d'aller plus vite que mon cerveau. "Cécilia, elle joue dans le film aujourd'hui?"

"T'aimerais ça hein mon coco?" Ronronne Cécilia d'une voix aguichante.

Immédiatement, je regrette mes mots hâtifs. Étienne me sourit et Aurélie me regarde d'un air plutôt découragée.

"Et moi qui croyais que c'était moi que tu voulais voir dans un film! T'es facile à distraire!" Répond Aurélie. J'ai de la difficulté à deviner si elle est fâchée ou si elle m'agace. Est-ce que ma douce actrice serait un peu jalouse?

"Bah, je dirais pas facile. Donne du crédit à ton mec, elle est jolie Cécilia quand même." Lance Étienne à mon secours.

J'essaie donc de vite changer de sujet et je prends mon air le plus amical. "Et toi Max, tu travailles ici aussi?"

Max me toise du regard et semble insulté. "Bin, évidemment. Tu pensais quoi au juste?"

Surpris de son attitude presque hostile, je hausse les épaules. "Je suis le copain d'Aurélie, je suis ici même si je n'y travaille pas. Tu aurais bien pu être le copain de Cécilia." Hypothèse improbable j'en conviens mais j'avais besoin d'une porte de sortie rapide.

Cette dernière éclate d'un rire presque méprisant. Pendant une seconde, je comprends vite que j'ai encore gaffé.

Max fusille la belle Cécilia du regard avant de diriger ses yeux vers Aurélie pour lui lancer un regard qui ne laisse aucun doute sur ses intentions. Après lui avoir décoché un sourire malsain, il me regarde d'un air très satisfait de lui-même. "Je suis acteur. Aujourd'hui je baise TA copine."

"En fait, tu vas être acteur. C'est son premier rôle et sa première scène également." Explique Étienne.

Les pièces tombent en place et mon cerveau peine à conclure tant la réalité me semble d'un soudain ridicule. "Tu veux dire que ma belle Aurélie va se faire baiser par ton ado là? C'est pas un peu n'importe quoi comme début?"

Mais putain de quoi je me mêle moi...

"Non mais qui c'est que tu traites d'ado??" Demande Max, visiblement frustré. J'ai 22 ans, grand père. Et d'ailleurs c'est quoi cette connerie, Étienne? Bon, d'accord, elle est pas mal cette fille mais quand même! Tu m'avais dit qu'elle serait un peu plus vieille mais pas en âge d'être ma mère!

"J'ai à peine dix ans de plus que lui..." Répond Aurélie d'une petite voix discrète, un peu vexée.

"Max, ta gueule un peu, s'il te plait." Intervient Étienne. "Je te l'ai dit tantôt, c'est un rôle facile. Femme mariée qui s'ennuie seule à la maison, elle rencontre un beau jeune homme et l'invite chez elle. Le jeune étalon voit sa chance de baiser et se fait donc initier par la belle femme plus expérimentée. Et ce n'est pas tout! Pour rendre ça plus intéressant tout en restant avec l'optique fétichiste, on va faire un beau film muet avec un filtre sépia, comme si c'était du milieu du siècle dernier. De cette façon, vous n'aurez pas à vous soucier de comment vous sonnez et je pourrai vous parler librement. Manon s'occupera de la couleur et des autres détails ensuite. Je vous garantis que ça va être génial!"

"Manon?" Je demande. Est-ce que c'est parce que je suis dans un studio porno que je m'excite aussitôt que j'entends un nom de femme? Je suis décidément très prévisible aujourd'hui.

"Crois-moi, tu veux pas savoir." Répond Cécilia tout bêtement. Je hausse les épaules et je laisse tomber.

C'est Aurélie qui répond à Étienne. "Oh, c'est vraiment original comme début! Tu as prévu des vêtements d'époque?" Demande ma copine, tout sourire.

"Oui et non, c'est pas tellement une scène riche en contenu, c'est vraiment la baise qui compte mais, pour toi ma belle" répond Étienne, "une belle robe de chambre comfo, légère mais riche et luxueuse, tout en velours évidemment."

Aurélie sourit, enchantée à l'idée.

"C'est nul cette idée de vieux!" Se plaint Max, "Pourquoi pas du stop motion pendant qu'on y est? On pourrait prendre des photos de ma bite avant que je la défonce et après le travail fini. Haha!"

Aurélie ne sourit plus. Je pense qu'elle vient de réaliser que "défoncer" est clairement une des conclusions possibles.

C'est Cécilia qui s'exaspère la première. "As-tu fini de te plaindre? Toi t'es ici pour ton pénis, pas pour tes idées. Si tu veux vendre tes idées, tu fais comme lui et tu te lance en business!"

Moi c'est l'idée de voir ce jeune crétin "défoncer" ma jolie copine qui, j'ai bien peur, ne m'est d'aucune excitation. Je commence à sérieusement regretter mes trois jours d'abstinence.

Étienne ne semble pas spécialement démonté par tout ceci. Comme il l'a démontré lors de l'entrevue d'Aurélie, il est habitué aux caractères particuliers qui se retrouvent dans ce métier. "T'en fais pas mon Max, tu vas voir, quand on va avoir fini cette scène, les filles vont supplier de tourner avec toi!"

"Ouais, surtout que ça va aider de ne pas l'entendre." Lance Cécilia sans hésiter.

Je l'aime bien cette fille.

Par contre Max ne l'aime pas trop. "Ta gueule grosse connasse! Tu verras quand on fera une scène, je vais te le détruire ton gros cul merdeux!"

La charmante jeune fille (qui à mon humble avis n'est pas grosse du tout) n'en est pas le moindrement démontée. Elle pointe un doigt vers Max avant de demander: "Je sais pas trop... Étienne? Parlant de cul, tu ne penses pas que ce serait plus crédible si je portais un gode et que je lui détruisais le sien?"

Je rigole. Un peu trop visiblement peut-être.

Max lance les bras vers le plafond d'un air d'irritation qui me fait encore plus rire mais par respect pour Aurélie, j'évite de relancer de l'huile sur le feu.

"Et moi je porte quoi?" Demande Max. À en juger son expression, il craint la réponse.

"Toi mon gars tu ne portes rien." Répond Étienne. "Une bonne grosse érection suffira."

Max sourit, satisfait. "Ah bon quand même, une bonne nouvelle. J'avais peur des possibilités, je veux pas me ramasser à porter une vareuse ou un manteau ridicule pour mon premier rôle!"

Pour la première fois depuis notre arrivée, je peux voir une note d'exaspération sur le visage d'Étienne. "Bon allez, vous êtes tous les deux débutants donc, faut s'attendre à des pépins, j'aimerais donc commencer le plus tôt possible. Aurélie, tu as pris une douche avant de venir comme je te l'ai demandé?"

Aurélie confirme en hochant de la tête.

"Excellent." Conclut Étienne. "Changes-toi s'il te plait. Ta tenue est accrochée dans le placard au fond."

Malgré Max et tout le reste, j'ai bien hâte voir tout ça. Je sais, je l'ai vue se déshabiller des douzaines de fois mais la voir le faire ainsi devant ces gens, ces étrangers, ça va être grandiose. Ça s'est produit lors de son entrevue mais cette fois c'est pour vrai et ça va vite être filmé. C'est comme si son beau corps nu allait être partagé comme un trésor caché jusqu'à maintenant. J'espère seulement qu'elle ne sera pas transie de doute comme la semaine passée quand Étienne lui a demandé d'enlever son pantalon. C'est peut-être pour ça qu'elle porte quelque chose de tout à fait différent aujourd'hui. Facile à enlever, c'est le genre de vêtement qui peut être enfilé par le haut ou par le bas et qui se fixe en place grâce à une fermeture éclair à l'avant qui part du collet jusqu'au nombril.

"Euh..." Hésite ma copine. "Ya une salle de bains où je peux me changer?"

Étienne considère la question de ma copine, il la regarde d'un air médusé et hésite à répondre. C'est Cécilia qui vient finalement à sa rescousse. "Ma belle, si tout va comme prévu, dans quelques minutes tu vas être à poil, couchée sur ce lit, les jambes vers le plafond à te faire tamponner la minette par notre charmant chérubin ici présent. Je pense qu'à partir de maintenant, ton intimité personnelle n'est plus quelque chose dont tu devrais te soucier."

Si vulgaire et pourtant, offert sans le moindre soupçon de malice, les paroles de Cécilia m'enflamment immédiatement. Je peux voir dans le visage d'Aurélie, cette adorable appréhension, cette réalisation soudaine que c'est elle le plat de résistance, c'est effectivement sa chatte qui va se faire bourrer devant une caméra. Aurélie hésite et ne semble pas savoir ou se diriger.

"Viens chérie, je vais t'aider." Propose Cécilia en lui prenant la main et la tirant quelques pas vers le placard où se trouve sa tenue. Elle ne perd pas de temps et commence à déshabiller Aurélie elle-même en débutant par descendre la fermeture éclair de sa robe. C'est enfin commencé, le rituel menant à mon fantasme ultime de voyeur. D'un geste habile, elle dégage les épaules d'Aurélie et baisse sa tenue avant de la laisser tomber sur le plancher. Sous sa robe, Aurélie porte une brassière et une culotte d'un lilas discret qui rappelle étrangement la couleur des mèches de Cécilia. Tout est évidement fait de velours. Je me demande si Cécilia accepterait de les lui enlever en n'utilisant que sa bouche si je lui demandais poliment.

"Dis donc, c'est vrai ce qu'Étienne disait, tu ne portes que du velours toi. Tu es dédiée!" La voix de Cécilia est enjouée et pour cause: pendant qu'elle discute distraitement, ses deux mains s'affairent à peloter les jolies fesses d'Aurélie et je ne peux m'empêcher de remarquer à quel point leurs bouches sont proches l'une de l'autre.

"C'est original, des sous-vêtements de velours comme ça." Propose Cécilia en se mettant à genoux pour mieux observer la petite culotte d'Aurélie. Sa bouche demeure entrouverte, son mouvement est un peu lent et juste assez langoureux, je m'attends à la voir s'arrêter pour passer sa langue sur un morceau de choix d'Aurélie mais je reste finalement déçu.

"Tu en avais jamais vu avant?" Demande Aurélie qui discute avec cette fille et se laisse caresser et déshabiller presque aussi naturellement que si elles étaient sexuellement intimes.

"De la lingerie de velours, bien sûr que j'en ai vu. Remarque, la lingerie c'est stylisé et c'est souvent inconfortable. C'est la première fois que je vois des vrais sous-vêtements de tous les jours comme ça, en velours. Ça a l'air super confo en plus." Ajoute Cécilia en caressant vigoureusement la culotte d'Aurélie du cul jusqu'à la vulve sans vraiment se gêner. Aurélie resserre les cuisses un peu, c'est la gêne qui commence à prendre le contrôle. Son visage devient légèrement rosé par l'excitation que lui procure ce contact aussi doux qu'inattendu d'une main d'étrangère sur sa chatte.

"C'est tellement bien, j'aime vraiment ça et... oh!" Aurélie laisse échapper une timide exclamation au moment où Cécilia l'interrompt et, d'un petit coup sec, tire sa petite culotte vers le bas. J'ai une vue envieuse sur sa jolie touffe et j'en ai le souffle momentanément coupé. C'est un événement presque magique pour moi; le petit instant fugitif où tout ce qui restait de privé et d'intime chez ma douce Aurélie disparait et en un moment que j'ai à peine eu le temps de voir venir,

Je jette un coup d'oeil vers Étienne et Max; ils se foutent visiblement de la scène. L'un est trop habitué, l'autre doit simplement être trop con. Instant magique juste pour moi, on dirait. D'ailleurs, Cécilia crève définitivement ma petite bulle de bonheur. "Ouf... dis donc ma belle, c'est la jungle entre ces jolies jambes. T'as jamais eu le goût de la raser?"

Je regarde Aurélie, horrifié. Ma détresse est visible à cent mètres. Cette douce chatte bien fournie, c'est mon temple! Je ne veux pas qu'on y enlève un seul poil! J'espère sincèrement qu'elle ne se laissera pas influencer. À mon grand soulagement, elle secoue vigoureusement la tête. "Non, je garde ma chatte, je l'aime comme ça!"