Le Prêt - Deuxième Partie

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Émilie se fait abuser encore et encore!
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Émilie revint à sa chambre, brisée, humiliée et honteuse. Elle venait de passer deux heures aux mains d'un monstre qui l'avait dévêtue et abusée. Pendant ces heures d'enfer, elle avait tenté de résister, de s'opposer, de garder contrôle sur son corps... mais en vain.

Les caresses appuyées et prolongées du vieux maquereau sur ses seins et son sexe avaient eu raison de sa volonté.

Lentement, inexorablement, le plaisir avait gagné ses reins avant de déferler à travers tout son corps.

Le vieux vicelard avait su briser sa volonté... amenant ainsi son corps à la trahir, repoussant sa raison, laissant toute la place à sa jouissance.

Elle prit une longue douche tentant de nettoyer sa peau de la salive, du sperme et de la sueur du gros homme.

Puis, nue, elle s'étendit sur son lit...

Sa chambre était située au sous-sol du centre, contiguë à celle de son frère.

(Elle entendait des bruits de voix. Il devait être en train d'écouter la télé.)

Comment avait-elle pu réagir ainsi aux caresses d'un homme qu'elle détestait autant?

Comment avait-elle pu se retrouver si soumise à ses demandes, à son désir, à ses pulsions perverses?

Puis, elle se souvint... elle se rappela ce qu'elle avait vécu sept ans plus tôt...

Comment tout avait commencé...

Sa main gauche descendit entre ses cuisses, jusqu'à son sexe alors qu'avec sa main droite, elle ouvrait le tiroir de sa table de chevet pour y récupérer le gode qui s'y trouvait...

Une longue forme phallique de 20 centimètres... Caoutchoutée... Ferme et flexible tout à la fois...

C'était avec ce pénis, large et long, qu'elle se masturbait...

Tout en continuant à caresser son clito, elle en introduisit le gland entre les lèvres de sa vulve et ferma les yeux pour mieux se rappeler...

Elle venait tout juste d'avoir 18 ans.

Chaque été, elle passait quelques semaines de vacances chez ses grand-parents qui vivaient à la campagne.

Pour elle qui était si studieuse, sans petit ami (elle trouvait les garçons plutôt cons!), c'était un repos bien mérité...

Deux semaines à marcher à travers les champs, à écouter de la musique, à lire...

Hummm... quel bonheur de passer une partie de l'été avec son grand-père Roger et sa grand-mère Julie!

La quiétude qu'espérait trouver Émilie fut toutefois de courte durée... Quelques jours après son arrivée, son grand-père reçut un coup de fil de son frère Léon.

Son grand-oncle Léon, qu'elle n'avait pratiquement jamais vu, avait parcouru le monde, vivant de villes en villes, de ports en ports... et de femmes en femmes!

Mécanicien de métier, il avait 60 ans et était le frère cadet de son grand-père.

C'était un homme qui n'avait jamais été marié et qui, au fil des ans, avait occupé des emplois plus ou moins stables. Sa consommation excessive d'alcool lui avait toujours causé problème.

Physiquement, il était plutôt impressionnant: il mesurait plus de deux mètres et ses bras musclés étaient couverts de tatouages. La peau de son visage était basanée, couvertes de plusieurs cicatrices et son nez était aplati, vestige d'une dizaine de bagarres dans des endroits mal famés.

Léon allait donc vivre chez les grand-parents d'Émilie pendant quelque temps...

Dès son arrivée, elle constata rapidement qu'il parlait peu, même pendant les repas.

De plus, elle se sentait mal à l'aise lorsqu'elle était seule avec lui et qu'il la regardait. Ce n'est pas ainsi qu'un grand-oncle devrait regarder sa petite-nièce, pensait-elle...

Quelques jours après l'arrivée impromptue de son grand-oncle, la grand-mère d'Émilie tomba malade et fut hospitalisée. Pour être près d'elle, son grand-père décida de passer plusieurs nuits à l'hôpital.

Comme les parents d'Émilie étaient en voyage en Europe, Émilie décida de demeurer à la campagne.

Il devait être plus de minuit, ce soir-là.

Émilie était couchée dans sa chambre.

Elle dormait profondément lorsqu'elle sentit qu'on lui touchait le visage.

Elle sortit de son sommeil pour apercevoir son grand-oncle, assis sur le bord de son lit.

Presque nu, il ne portait qu'un caleçon.

Il lui caressait les joues, le front et les cheveux en lui disant: "Chut.... c'est fini, je suis là... Tu as du faire un mauvais rêve... Tu vas mieux?"

"Oui", lui répondit-elle, présumant qu'elle avait du faire un cauchemard et qu'elle avait du crier pendant son sommeil.

Tout en continuant à lui caresser le visage, il ajouta: "Tu sais que tu es très belle... Il y a très longtemps que je n'ai pas touché une aussi belle fille que toi... Ferme les yeux... Laisse-toi faire..."

Émilie était complètement paralysée. La peur, la honte, la curiosité... Jamais personne ne l'avait touchée ainsi...

Ne sachant que faire, elle ferma les yeux comme il lui le demandait.

"Voilà, c'est bien... laisse-moi faire... tu vas aimer.."

Lentement, il fit glisser le drap qui la recouvrait jusqu'aux épaules. C'était l'été, il faisait chaud et elle dormait vêtue uniquement d'une légère nuisette en coton..

Elle entendit la respiration de son grand-oncle s'accélérer lorsqu'il devina la forme de ses petits seins sous le léger tissu de sa nuisette.

Ses grosses mains rudes et tremblantes se refermèrent sur sa jeune poitrine ferme.

Pendant de longues minutes, il lui palpa les seins, faisant durcir ses mamelons entre son pouce et son index.

Puis, se penchant vers elle, il releva la nuisette jusqu'à ses épaules et commença à les caresser avec sa bouche et sa langue.

Une forme de plaisir s'ajoutait maintenant à la honte et à la peur qu'Émilie ressentait.

Malgré l'ordre qu'il lui avait donné, elle se permit d'ouvrir les yeux.

Elle le vit penché sur elle. Ses seins étaient couverts de sa salive alors qu'il allait d'un à l'autre pour les lécher et les sucer en les palpant de sa main droite.

Avec sa main gauche, il avait sorti son pénis de son caleçon et se masturbait en la caressant.

C'était la première fois qu'elle voyait la queue bandée d'un homme. Son pénis était long et large, surmonté d'un gros gland violacé aux larges rebords.

Pendant que son regard allait de ses seins qu'il léchait jusqu'à son pénis qu'il masturbait, elle sentit la main droite du vieil homme descendre vers son slip.

Soulevant la bande élastique, ses gros doigts enveloppèrent rapidement son Mont de Vénus avant d'atteindre les lèvres de sa vulve..

Continuant à lui sucer et à lui lécher les seins, il fit entrer un de ses gros doigts en elle, suivi, lentement d'un deuxième...

"Eh ben, moi qui croyais que tu étais vierge... avec tes airs de ne pas y toucher!"

(Le vieil homme avait tort... dans les faits, elle était encore vierge... aucun garçon ne l'avait jamais pénétrée.. Toutefois, la fréquence de ses masturbations et les objets qu'elle introduisait dans son vagin pour se faire jouir avaient fini par rupturer son hymen...)

Les gros doigts du vieil homme remontèrent jusqu'à son clitoris. Un frisson parcourut le corps d'Émilie. Jamais elle n'avait ressenti ça auparavant. Son vagin et ses cuisses étaient trempés. Sa cyprine dégoulinant jusqu'à son anus...

Lentement, il commença à la masturber...

Sa respiration s'accéléra... La tête lui tournait... Des bouffées de chaleur lui montaient au visage... Les caresses de son doigt sur son clitoris s'accéléraient...

Puis, ce fut comme une explosion dans sa tête... Le vieil homme venait de lui donner un orgasme!

Après l'avoir fait jouir avec ses doigts, il commença à la caresser, à l'embrasser partout: le ventre, les jambes, les cuisses, le dos, les fesses....

Avec sa langue et sa bouche, il lui donna un second orgasme aussi puissant que le premier...

Avant même qu'elle ne puisse reprendre ses esprits, il était étendu sur elle et, la retenant par les poignets, une grosse main crasseuse sur la bouche pour contenir ses cris, il la viola... la pénétrant bestialement avec sa vieille tige de chair durcie... la traitant de chienne, de salope et de pute... l'insultant de façon ordurière comme jamais personne ne l'avait fait jusqu'à présent..

Il éjacula en elle alors, qu'à nouveau, elle sentait le plaisir monter entre ses cuisses...

De longs jets de foutre qu'elle sentit gicler dans son ventre avant de couler le long de ses cuisses jusqu'à son anus...

Le calvaire d'Émilie dura trois jours.... Les trois jours que ses grand-parents passèrent à l'hôpital... Les trois jours où elle se retrouva seule avec cette brute immonde qui la viola à répétition...

Qui viola sa bouche, son sexe et son anus... qui l'attacha par les poignets et les chevilles avant de l'abuser par tous les orifices de son corps...

Durant ces trois jours, Émilie tenta vainement de lui résister, de s'opposer à lui mais elle découvrit bien vite que son corps n'avait d'écoute que pour la jouissance et le plaisir...

Plus il la dominait, plus il l'humiliait avec ce language ordurier qu'il employait en la violant, plus il la soumettait à son désir, à ses pulsions et à ses perversions... et plus les orgasmes d'Émilie étaient puissants.

Son grand-oncle quitta la demeure de ses grand-parents avant qu'ils ne reviennent de l'hôpital.

Jamais ces derniers ne se doutèrent des viols à répétition subis par leur petite-fille.

Au fil des années qui avaient suivis ces abus, aucun des hommes qu'Émilie avait rencontrés n'avaient pu lui donner ce plaisir qu'elle avait ressenti aux mains de son grand-oncle alors qu'il la violait... Aucun homme ne lui avait procuré cette même jouissance... sauf, peut-être, ce soir, ce vieux vicelard de Riendeau...

Elle était devenue la victime d'une forme de fantaisie qui la dégoûtait au plus haut point mais dont elle ne pouvait se défaire: elle ne pouvait jouir qu'en se faisant violer... ou qu'en fantasmant qu'on la violait...

Et, c'est se remémorant les mots et les gestes de son grand-oncle l'abusant avec ses doigts, sa langue et sa vieille queue, qu'elle se masturba jusqu'à l'orgasme, nue dans son lit, son gode bien enfoncé dans son vagin..

Elle se réveilla le lendemain matin, honteuse et impuissante...

Elle ne pouvait se résoudre à devenir l'objet sexuel de ce vieux vicelard qui, durant l'année qui vient, pourrait la violer à sa guise...

Il fallait qu'elle demande de l'aide.. mais à qui?

Sa mère était malade, son demi-frère, un parfait incapable... Et, sûrement pas question de mêler le personnel à cette histoire...

Le seul qui pouvait vraiment l'aider était l'abbé Lavoie...

Elle frappa à la porte de son bureau, s'assied devant lui et lui raconta tout....

Le visage défait, lui tapotant la main, le vieil ecclésiastique la réconforta du mieux qu'il le put en lui promettant qu'il allait parler à Mr. Riendeau et qu'elle n'aurait plus à se soumettre à ses demandes odieuses.

Elle sortit de son bureau soulagée, espérant de tout coeur que son conseiller spirituel allait pouvoir faire entendre raison à cet être immonde...

Elle reçut un coup de fil de Riendeau vers la fin de l'après-midi lui demandant de passer le voir...

"J'espère de tout coeur que Mr. l'abbé a pu lui faire entendre raison...", se dit-elle lorsqu'elle sonna à la porte du vieux cochon...

"Bonsoir Émilie, tu me manquais... viens, entre donc..."

Émilie comprit immédiatement, à son ton et à son expression faciale, que l'intervention du prêtre avait été un échec.

Abattue, résolue, elle attendait que le vieux vicelard, toujours vêtu de sa robe de chambre élimée et de ses pantouffles usées, lui demande de se dénuder...

"Viens, viens ma petite chatte, viens t'étendre sur mon lit..."

Complètement brisée, devinant qu'il allait une fois de plus la violer, elle obéit au gros homme...

"Voilà, écarte bien les cuisses et les bras..."

"Mais que... que faites-vous?", dit-elle lorsqu'elle le vit sortir d'un de ses tiroirs quatre longs foulards de soie...

"Je vais t'attacher aux quatre coins du lit, ma petite Émilie. Je vais t'attacher pour mieux te fourrer et te mettre!"

Émilie était là, dans son uniforme blanc d'infirmière, attachée sur le lit d'un homme qui l'avait violée il y a à peine quelques heures...

Émilie entendit qu'on sonnait à la porte alors que Riendeau glissait un oreiller sous ses fesses...

Des voix, deux voix d'homme, deux voix familières!

"Mon Dieu, enfin...", cria-t-elle lorsqu'elle vit apparaître dans l'embrasure de la porte l'abbé Lavoie suivi de son frère Paul...

"Vite, détachez-moi... ", supplia-t-elle en implorant du regard les deux hommes...

L'abbé Lavoie, toujours aussi calme et pausé, vint s'assoir sur le bord du lit.

Posant sa grosse main potelé sur la peau nue du mollet de la jeune femme, il lui dit:

"J'ai fait ce que tu m'as demandé, ma chère Émilie... Je suis venu voir Mr. Riendeau ce matin pour lui ordonner de cesser de t'importuner ainsi... Mais, il m'a fait voir ce vidéo, Émilie, où tu t'offres à lui, nue..."

"Non... non.. il m'a forcée... il m'a fait chanter... vous ne comprenez pas.. il m'a obligée..."

"Ce n'est pas ce que j'ai vu, ma belle enfant... Je t'ai vue en train de jouir encore et encore.... comme une petite prostituée..."

Les doigts du vieil homme étaient remontés sous la jupe d'Émilie effleurant les lèvres de sa vulve bien lovées sous son slip lorsqu'il avait prononcé ces mots...

"Je l'ai vu moi aussi le video... Tu lui as offert de lui sucer sa vieille queue pour qu'il te prête de l'argent...", beugla son demi-frère qui se tenait debout près du lit, un sac de plastique à la main..

"Non, c'est lui qui m'a forcée... Ce que vous avez vu est sûrement un montage qu'il a fait..."

"Ce que j'ai vu, moi, c'est que tu as joui comme une petite chienne et ça, tu ne peux pas le nier, salope...", ajouta son demi-frère.

"Non, non, vous ne comprenez pas...."

"Ce que je comprends, soeurette, c'est que tu aimes sucer une queue bandée... et j'en ai justement une belle pour toi, petite poufiasse...."

D'un geste brusque, il descendit son pantalon de jogging sous lequel il était nu et en érection..

Sa queue, faisant au moins 20 centimètres, pointait presqu'à la verticale...

"Alors, elle te plait ma bite, soeurette?"

"Presque ausi grosse que celle que tu t'enfiles chaque soir pour te faire jouir, non?", ajouta-t-il en lancant entre les cuisses écartés de la jeune femme le sac de plastique qu'il tenait à la main...

"Allez, messieurs, regardez, ne vous gênez pas...", dit-il aux deux hommes agés assis de chaque côté du lit...

D'une main tremblante d'excitation, l'abbé Lavoie ouvrit le sac pour y fouiller à l'intérieur...

"Ça par exemple!", couina Riendeau lorsqu'il vit l'objet que tenait l'abbé dans sa main...

"N'est-ce pas là un godemiché?", demanda l'abbé... "Un objet en caoutchouc ayant la forme d'un pénis que les femmes utilisent pour se donner du plaisir?"

"Tu parles que c'en est un!", coupa Paul... "et elle s'en sert tous les soirs, la petite Émilie!"

"Et, tu veux savoir comment je le sais, ma petite soeurette?", continua Paul en s'agenouillant près de son visage...

"Parce que depuis les dernières deux années, depuis que nos chambres sont contiguës, j'ai fait une petite ouverture dans le mur mitoyen pour te regarder te foutre à poil et te masturber avec ça, salope!"

"Comme tu t'es masturbée hier soir... après ton prétendu viol.. petite chienne..."

"Alors, tu aimes les grosses bites, soeurette? Allez, viens sucer la mienne, pute!"

Émile était dans un état de choc... Son esprit, sa volonté et son corps complètement tétanisés, incapable de réaliser, de comprendre et de réagir aux événéments surréels dont elle était victime.

Elle était vêtue de sa tenue d'infirmière, couchée sur le dos, les poignets et les chevilles attachés aux quatre coins du lit par des foulards de soie...

Assis au pied du lit se trouvaient Mr. Riendeau, cet être abject qui l'avait violée hier soir...

À ses côtés, l'abbé Lavoie, l'homme en qui elle avait la plus totale confiance, celui qui l'avait accompagnée dans son cheminement spirituel depuis qu'elle était enfant...

Cet homme, tenait à la main son godemiché, la bouche entr'ouverte, le regard rivé sur la tige durcie, imaginant, sans aucun doute, la jeune femme en train de s'auto-gratifier tout en se masturbant avec ce phallus caoutchouté...

Elle se sentait honteuse, salie et trahie...

La réalité s'imposa de nouveau à elle lorsqu'elle sentit le gland spongieux de son demi-frère glisser sur sa joue, y laissant une trace gluante de liquide séminal...

"Allez, soeurette, ouvre ta bouche et suce-moi comme tu as sucé le vieux Riendeau."

La retenant par les cheveux, il la força à se retourner vers ses parties génitales...

Puis, guidant sa bite entre ses lèvres, il pénétra sa bouche tout en poussant un cri de plaisir...

"Hummm.. salope, comme tu es chaude... Hummmm.... comme ta petite fente doit être bien étroite aussi!!!"

De sa main libre, il lui palpait les seins à travers le tissu de sa blouse de travail...

Lavoie et Riendeau, assis de chaque côté du lit, se caressaient l'entrejambe, ne perdant pas une seule seconde du viol qui s'offrait à eux!

Paul s'activait de plus en plus rapidement entre les lèvres de sa demi-soeur..

Son plaisir montait entre ses cuisses.... Il lui violait la bouche et allait éjaculer au fond de sa gorge!

Le tissu craqua alors qu'il déchira le chemisier et le soutien gorge de la jeune femme, cherchant à malaxer les seins d'Émilie sous ses grosses mains rudes d'homme d'entretien...

"Allez, suce, putain.... ça te fait taire ça, hein? Toi, qui ne cesse de me commander et de me donner des ordres..."

Ses mains se refermaient sur ses seins fermes, sur ses mamelons dressés.... ses grosses mains palpant et malaxant les seins nus de sa demi-soeur...

Paul ne put se retenir plus longtemps et se mit à juter au fond de la bouche d'Émilie...

De puissants jets d'une semence claire et légèrement salée remplirent la bouche de la jeune femme... toujours retenue par les cheveux, son visage plaqué contre les parties génitales de son demi-frère, forcée et contrainte à avaler le liquide séminal qu'il venait de déverser au fond de sa gorge....

"Hummmmmm.... qu'elle est bonne, la salope...", gémit Paul en retirant doucement de la bouche d'Émilie sa grosse bite qui s'amollissait lentement...

"Allez, je vous la laisse la chienne... amusez-vous bien avec ma petite soeurette... Le travail m'attend... Il faut bien que quelqu'un fasse tourner la barraque pendant que madame se fait violer!"

"Occupez-vous en bien, je reviendrai un peu plus tard pour la fourrer, la petite pute..."

Les deux vieux vicelards restèrent là, à regarder la jeune femme à moitié nue, blouse et soutien-gorge déchirés, les yeux hagards, une longue trainée de sperme dégoulinant sur sa joue..

"Hummmm... je pense que notre tour est venu, monsieur l'abbé!... Que diriez-vous si nous mettions à poil? Pour ce que nous avons à accomplir, nous serions sûrement plus à l'aise!"

"Tout à fait d'accord, mon cher ami.... J'ai vraiment l'impression que mon sexe va exploser dans ma soutane...vivement que je prenne mon plaisir avec ma petite protégée..."

À travers un nuage brumeux d'irréalité, Émilie vit les deux hommes se dévêtir de chaque côté du lit...

Comme si cela était possible, le corps de l'abbé Lavoie était encore plus repoussant que celui du vieux Riendeau...

Petit, tassé sur lui-même, obèse... sa queue en érection qui devait pourtant faire près de 15 centimètres était enfouie sous les replis adipeux et poilus de son bas ventre...

S'assoyant à nouvreau de chaque côté du lit, les deux hommes commencèrent à faire glisser leurs vieilles mains de vicelards sur les chevilles d'Émilie, remontant inexorablement le long de ses mollets et de ses cuisses... en route vers leur ultime point de rencontre: la vulve et le vagin de la jeune femme de 25 ans...

Émilie essayait frénétiquement de se défaire de ses liens, se débattant vainement...

Ses cuisses se bandaient pour tenter de se refermer, pour stopper les caresses ignobles et dégueulasses des deux hommes...

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