Le Veuf du Golf

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Copyright Oggbashan février 2006; en français mai 2018

L'auteur affirme le droit moral d'être identifié comme l'auteur de cet ouvrage.

Ceci est une œuvre de fiction. Les événements décrits ici sont imaginaires; les paramètres et les caractères sont fictifs et ne sont pas destinés à représenter des lieux spécifiques ou des personnes vivantes.

Ceci est un essai. J'ai utilisé Google traduire une histoire courte d'anglais en français.

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Je savourais ma tasse de café après le petit-déjeuner lorsque le téléphone a sonné. C'était Sandra, mon voisin.

"Gerald?"

"Oui Sandra, bonjour."

"Tu fais quelque chose ce matin?"

"Rien qui ne puisse être fait une autre fois, pourquoi?"

"J'ai besoin de votre aide, ma voiture aurait dû revenir de son service ce matin à neuf heures, ils ont juste sonné pour dire que ce ne sera pas prêt avant demain. " "Et?"

"Et je suis censé jouer un tournoi de golf amical à partir de onze heures, je viens d'appeler les autres, ils sont déjà en route. "

"Vous conduire au tournoi, je suppose, où?"

Le tournoi était à trente milles de là. Pas loin, mais trop loin pour un taxi si l'un était disponible. Bien sûr, j'ai été obligé. J'aime Sandra.

Nous nous voyons fréquemment. Sandra est une veuve. Je suis veuf. Nos partenaires sont morts il y a quelques années et nous sommes tous les deux établis dans nos routines uniques. Sandra a son golf. J'ai plusieurs intérêts communautaires. Nous nous chevauchons de temps en temps et semblons passer plus de temps à nous parler qu'à tout le monde. Conduire Sandra à un tournoi de golf était facile. J'avais pris un livre pour lire s'il n'y avait rien d'autre à faire.

Je n'ai pas eu l'occasion de lire le livre. Sandra m'a inscrite comme caddie. Comme je suis complètement ignorant du golf, tout ce que j'ai fait, c'est tirer son chariot de golf et lui remettre le club qu'elle a demandé.

Elle a expliqué à quoi servait chaque club et pourquoi elle l'avait choisi. J'ai essayé de suivre ses explications mais c'était trop d'informations à assimiler. Le bavardage de Sandra irritait son adversaire, Irene. Je pouvais voir que c'était un stratagème de jeu qui fonctionnait. Au cours des neuf derniers trous, Irene est devenue plus erratique dans ses courses et a fini trop souvent à l'état brut. Sandra a gagné facilement malgré deux coups au huitième trou. Je n'étais pas sûre de la note mais apparemment la victoire de Sandra avait été inattendue et contre la forme attendue.

Les points de son tour étaient juste assez pour s'assurer que l'équipe de Sandra a gagné le concours global. Comme chaque résultat était annoncé et que la compétition était décidée, Sandra m'a étreint. Je l'ai étreinte même si je n'avais aucune idée réelle de ce que les partitions signifiaient. S'ils voulaient dire un autre câlin qui était une récompense suffisante pour moi.

Je ne m'étais pas vraiment étreint, ou j'avais été étreint par Sandra avant. J'ai peut-être eu une légère pression de la main, ou un baiser sur la joue, mais jamais un gros câlin. Je les appréciais. Nous nous tenions côte à côte en regardant le tableau de bord avec nos bras l'un autour de l'autre. C'était confortable et naturel. Il y avait quelques regards curieux de certains des coéquipiers de Sandra, généralement suivis d'un large sourire alors qu'ils voyaient à quel point nous étions heureux ensemble.

À la fin, nous nous sommes tous assis à un repas dans le clubhouse. Les deux équipes ont été mêlées. Je me suis assis à côté de Sandra. Irene, son adversaire vaincue, était à côté de moi. Pendant le repas, pendant que Sandra était en pleine conversation de l'autre côté, elle demanda:

" Pourquoi t'a-t-elle amenée, Gerald, tu ne sais rien du golf?"

J'ai expliqué à propos de la voiture de Sandra et que j'étais juste le voisin d'à côté qui avait été coopté comme le transport.

"Combien avez-vous appris?"

"Pas beaucoup, il y avait trop de choses à prendre pendant la ronde."

"Elle parlait beaucoup, elle m'a soulagée."

"Je regrette que je pense que cela ait été délibéré, est-ce permis au golf?"

"Oui, du moins c'est dans notre forme de golf, nous ne pouvions pas faire le tour sans bavarder, ce qui m'avait appris, c'était que les explications de Sandra étaient précises, correctes et une critique voilée de ma tactique. Comme «j'utiliserais un fer cinq» quand j'en avais déjà choisi un autre, je savais qu'elle avait raison, j'avais tort, et cela me rendait moins confiant."

"Je suis désolé qu'elle vous ait secoué, Irene."

"Non. Tout est juste dans l'amour, la guerre et les compétitions de golf."

"Je vois, alors je pense que je resterai un non-joueur de - golf."

"Sage, tu es peut-être à l'abri de la guerre, mais je ne serais pas si sûr de l'amour," murmura Irene.

"Que voulez-vous dire?"

"Je pense que Sandra t'a réclamé aujourd'hui, elle a montré à ses coéquipiers que Gerald est à elle."

Je devais réfléchir avant de répondre. Est-ce que ça me dérange?

"Non, Irene, je ne pense pas que je le fais."

"Bien, Sandra est une adversaire moyenne au golf, mais d'après ce que je sais d'elle, elle est une bonne personne."

"Je pense que je serais d'accord avec toi."

"Je pensais que vous pourriez, vous deux avez l'air heureux côte à côte."

C'était la fin de notre conversation parce que les présentations ont commencé. Sandra a remporté un trophée pour la meilleure performance individuelle. Apparemment, sa victoire sur Irene avait été contre toute attente et une forme récente. Quelque chose a été dit à propos de leurs handicaps relatifs. Cela ne signifiait rien pour moi.

Alors que nous rentrions à la maison, Sandra nous a demandé:

"Qu'est-ce qu'Irene chuchotait dans ton oreille?"

"Elle a dit que tout est juste dans l'amour, la guerre et le golf, j'ai répondu que je ne savais rien du golf."

"Elle a dit plus que ça, sûrement?"

"Ok. Elle a suggéré que tu m'avais réclamé."

"Cela vous dérangerait-il si j'avais, Gerald?"

"Irene a demandé ça aussi."

"Et qu'avez-vous répondu?"

"Je lui ai dit que je ne pensais pas que ça me dérangerait."

"Tu es lent, Gerald, je pensais t'avoir donné un indice suffisant quand nous nous sommes tellement embrassés."

"Qu'est-ce que tu offres?"

"Effronté!"

"J'ai seulement demandé."

"Que désirez-vous?"

"Une compagnie, une compagnie qui pourrait devenir quelque chose de plus..."

J"e pense que tu as déjà ça... Que dirais-tu d'un repas avec moi ce soir?"

"Es-tu sûr, Sandra, est-ce que c'est trop de problèmes? Tu as joué un dur match de golf aujourd'hui."

"OK, et une pizza à emporter, chez moi, à sept heures ce soir?"

"Accepté avec mes remerciements."

Quand nous sommes revenus à nos maisons séparées mais attachées nous avons tous deux pris une douche. Je me suis rasé avec soin et habillé comme si nous sortions dîner. J'ai conduit la courte distance à la station service locale et acheté des fleurs. A sept heures précises, j'étais sur le pas de la porte, les fleurs à la main. Lorsque Sandra a ouvert la porte, une fourgonnette de livraison de pizza est arrivée. Je devais transporter la pizza jusqu'à la cuisine pendant que Sandra mettait les fleurs dans l'eau.

Nous avons mangé la pizza côte à côte sur son canapé, la lavant avec une carafe de Chianti. À la fin de notre repas, nous avons pris les restes à la cuisine. Sandra m'a repoussé contre les éléments de la cuisine et m'a embrassé. Je l'ai embrassée de retour.

Ses doigts déboutonnèrent ma veste et enlevèrent ma cravate. Je dégageai mes bras de la veste et l'accrochai à une chaise. Les bras de Sandra se sont enroulés autour de moi, me tirant contre ses seins chauds. Nous nous sommes embrassés à nouveau. Elle m'a ramené au salon et m'a tiré vers le canapé. Elle a appuyé sur un levier de son côté. Il s'est affaissé pour former un lit étroit.

Nous nous sommes blottis ensemble sur ce lit et avons graduellement versé de plus en plus de vêtements jusqu'à ce que nous soyons tous les deux nus. Lentement et doucement nous avons exploré le corps de l'autre avec les doigts et les lèvres jusqu'à ce que le lit du canapé étroit a entravé nos efforts.

Je l'ai rassemblée dans mes bras et l'ai portée dans la chambre à coucher. Là, nous sommes passés de la camaraderie à quelque chose de beaucoup plus. Ce quelque chose devrait nous garder heureux pour le reste de notre vie ...

Je n'ai jamais appris à jouer au golf.