L'entretien

Informations sur Récit
Histoire d'un entretien un peu particulier.
6.4k mots
4.11
1.8k
1
Récit n'a pas de balises
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici
Au_pieds
Au_pieds
1 Admirateurs

________________

-- J'aimerais que l'on revienne sur un point que vous évoquiez tout à l'heure. Vous me disiez ne pas avoir couché avec votre femme sur toute la durée de votre relation c'est cela?

-- Oui tout à fait.

-- Et de combien de temps fut la durée de cette relation?

-- 5 ans environ.

-- D'accord, pourriez vous m'en dire plus? Vous étiez marié si je ne m'abuse. Vous étiez jeunes lors de votre rencontre?

-- Exact j'étais marié. Je peux vous raconter depuis le début si vous le désirez.

-- Oui avec plaisir, et n'oubliez pas, c'est surtout la partie "relation intime" qui m'intéresse ici.

-- Bien, je vais essayer de vous raconter tout ça... Et s'il vous plaît, ne me jugez pas.

-- Nous ne sommes pas là pour ça, rassurez-vous. Cela vous ennuie si je vous interromps de temps à autre pour que vous développiez certains points précis de votre récit?

-- Non non n'hésitez pas à poser vos questions au fil de l'eau.

-- Bien allons-y.

On s'est rencontré lorsque nous avions 20 ans, au début nous habitions assez loin l'un de l'autre et il fallait au moins faire 2H de train pour se voir. Du coup on essayait d'aller l'un chez l'autre tous les week-end. Enfin pas toujours, mais on essayait. On passait notre temps à s'embrasser, puis elle m'a doucement initié aux plaisir de la femme, c'est à dire les caresses, les massages, comment la faire jouir à l'aide de mes mains et de ma bouche...

-- Vous voulez dire que vous étiez inexpérimenté? Vous étiez vierge à 20 ans?

-- Oui, Léa a été ma première copine.

-- D'accord, je note cela sur votre dossier. Continuez s'il vous plaît.

Elle me disait que je n'étais pas encore prêt pour passer l'étape de la pénétration et qu'elle aimait beaucoup le plaisir que je pouvais lui apporter. Et j'étais d'accord avec elle, j'adorais m'occuper d'elle et la faire jouir de manière répétée comme ça. Nous passions vraiment de bons moments. Je me souviens aussi qu'elle me disait être très excitée par le fait que je sois puceau. Alors moi bien-sûr quand je rentrais à la maison je n'en pouvais plus et je passais mon temps à me masturber forcément. Pendant les vacances, on a réussi à rester ensemble une bonne semaine, je me rappelle avoir tellement eu envie d'elle, de lui faire l'amour, de rentrer en elle, que je m'étais mis à la supplier, que j'en mourrais d'envie. Elle ne tarda pas à m'avouer quelques-uns de ses fétiches et de ses fantasmes...

-- vous étiez dans une relation vanille?

-- non pas vraiment, mais pas BDSM non plus je veux dire.

-- d'accord, je vous laisse m'expliquer dans ce cas.

Elle m'avoua donc que son plus gros fantasme était le contrôle d'orgasme. Moi à l'époque cela me parlait moyennement, alors elle m'expliqua que c'est ce qu'elle faisait avec moi, c'est-à-dire, faire monter la pression, repousser les limites de l'envie et maximiser le plaisir de l'orgasme s' il avait lieu. J'avoue que je me suis vexé sur le moment car j'attendais avec impatience quelque chose qu'elle ne comptait pas m'offrir, enfin pas dans l'immédiat. J'aurais voulu qu'elle m'en parle avant... J'ai eu le droit à tout un cours théorique sur cette pratique mais avec un exemple très concret : « Tu vois quand tu te masturbes plusieurs fois dans la journée, c'est agréable, ça fait toujours du bien, mais as tu remarqué que c'était 10 fois meilleur lorsque tu suscitais l'envie ou que tu espaçais tes éjaculations de quelques jours? » me dit-elle. À y réfléchir, et c'est ce qui m'a convaincu de jouer le jeu, c'est qu'après la masturbation, au final, je n'avais plus envie de rien et surtout pas de sexe. Ce qui me plaisait dans notre rapport à la sexualité c'était l'envie, le désir et ce que j'aimais le plus c'était avoir envie d'elle, de la lécher avec beaucoup de passion et de voir le plaisir que cela lui procurait.

-- Vous avez fini par coucher pendant ces vacances?

-- Et bien non, pas tout à fait, mais ça valait le coup.

À la suite de cette discussion, Léa m'a dit qu'elle me garantissait les meilleurs orgasmes de toute ma vie, à condition de suivre quelques règles :

1. Ne JAMAIS me masturber moi-même,

2. Ne JAMAIS éjaculer sans son autorisation,

3. AVOUER immédiatement en cas d'accident.

Elle ajouta qu'elle le saurait si jamais je trichais et qu'il y aurait des conséquences. Elle prenait cela très au sérieux, et je n'avais pas très envie de tenter le diable. Et enfin, si je respectais bien les consignes jusqu'à la fin de la semaine, elle me soulagerai. Pendant ces vacances, je ne sais pas combien d'heures j'ai pu passer entre ses cuisses à lui dévorer l'entre-jambes. Quand elle finissait de jouir, j'en voulais encore plus. Elle fut très agréablement surprise quand après l'orgasme, je lui demandai de se retourner pour que je puisse lui manger les fesses. Chose qu'elle a très rapidement apprécié. On s'est essayé aussi au "facesitting" où elle s'asseyait sur mon visage pendant que je la léchait. C'était fabuleux. Quand nous regardions un film ensemble, elle s'amusait à caresser légèrement mon... euh ma...

-- Verge?

-- Oui voila merci, je cherchais un terme correct.

J'étais en érection perpétuelle. Aussi elle testait des petites choses comme me caresser avec ses pieds. J'ai découvert que j'aimais ça. Ensuite elle me faisait sentir ses pieds tout en me masturbant. Je crois que ça a déclenché chez moi un fétichisme que j'ignorais. Par contre, dès que je sentais que je n'arriverais pas à retenir mon éjaculation, je devais prévenir aussitôt et à ce moment-là elle arrêtait jusqu'à ce que l'érection retombe. J'étais continuellement à bloc. Je bandais même en lui faisant un simple massage des pieds. C'était extrêmement frustrant, mais bon sang ce que j'aimais ça.

Le dernier soir avant de se quitter, elle me dit que c'était le grand soir et que tout s'était déroulé comme elle l'avait souhaité. On se mit nus puis elle m'attacha les mains en haut du lit. J'étais tellement excité. La consigne était claire : prévenir avant d'éjaculer. C'est la première fois que Léa portait sa bouche sur moi. Ma toute première fellation. Je m'en rappelle comme si c'était hier. Elle s'amusait surtout à parcourir ma verge avec sa langue en insistant sur les points sensibles. À chaque effleurement, j'avais l'impression que j'allais éjaculer, alors je faisais un petit signe. Elle s'arrêtait aussitôt. Alors oui j'étais tenté de ne pas prévenir pour juste laisser partir la purée, mais cette sensation... C'était si fort... Puis elle me mit entièrement dans sa bouche. Là j'ai cru défaillir. Impossible de retenir quoique ce soit! Elle lâcha tout. Plus aucune stimulation pendant quelques secondes. Pourtant mon corps tressautait. Je jouissais comme jamais. Mais impossible de me masturber, je "pénétrais" en l'air. Un petit filet de sperme coula, mais sans plus. Après quelques instants, Léa reprit ses caresses puis continua sa fellation. Là encore, je tressautais puis à nouveau quelques gouttes lors d'une nouvelle éjaculation. Elle a pu faire cela 4 fois de suite. Je venais d'expérimenter les orgasmes ruinés à répétition. Elle me détacha et malgré mes jouissances répétées, j'avais encore envie de sexe. Pour finir, j'ai pu la lécher comme jamais.

-- Et bien, sacrées vacances on dirait.

-- Oui en effet, c'était fabuleux, et c'est ce que j'ai particulièrement aimé, c'est qu'après un orgasme ruiné et la jouissance passée, on ne ressent pas ce "dégoût" pour le sexe. On en veut toujours plus.

-- À la suite de ça, vos rapports sont toujours restés tels quels?

-- Oui plus ou moins, on se voyait qu'une fois par semaine, donc la semaine je restais on ne peut plus chaste même si c'était parfois difficile... Ah si, il y a une fois où j'ai désobéi.

On devait se voir le week-end, mais il s'était passé 3 semaines avant de pouvoir concrétiser. Presque tous les soirs on s'appelait en visio et elle me chauffait énormément en se déshabillant par exemple ou juste en se montrant différents sous-vêtements qu'elle s'était achetés. Si au début je tenais bon, je finissais par perdre la tête et j'allais me masturber. Mais c'était moins bien qu'avec elle clairement. Dans ces cas-là je ne voulais pas lui dire car je ne voulais pas la décevoir ni lui faire de la peine. J'arrêtais juste d'envoyer des textos car j'avais honte.

Quand on s'est retrouvé, on a passé une super journée ciné, resto et tout ça. Le soir elle commençait à me provoquer et à faire des allusions quant au fait que j'allais encore être attaché au lit. Puis j'ai été pris d'un cas de conscience et je lui ai dit que je m'étais masturbé plusieurs fois sans son accord. Elle n'avait pas l'air en colère ou vexée. Tout allait pour le mieux. Elle ajoutait juste que : « Tu te rappelles qu'il y aura des conséquences hein? » avec un très grand sourire et un clin d'œil en prime. Je m'attendais à une représaille sauvagement sexuelle. Après notre soirée, nous sommes allés chez elle. Elle m'a demandé de me déshabiller puis de me mettre sur le lit. Comme la dernière fois, elle m'attachait les mains et les chevilles aux extrémités du lit. Par contre, elle avait serré les liens avec des nœuds qui se serraient au plus je tirait. Aucune chance de me libérer. Elle se mit à califourchon sur moi et me dit bien dans les yeux : « J'espère que tu as aimé te branler sans mon autorisation. Je vais m'amuser avec toi. Dans quelques heures, je paris que tu vas me supplier d'arrêter... ». Je bandais déjà comme un fou, elle me saisit avec sa main puis me masturba en m'embrassant. Il n'a pas fallu bien longtemps pour que je jouisse avec essoufflement. Cela m'a paru tellement bon sur le moment. « C'est maintenant que l'on commence à jouer. » m'a t-elle dit. Elle reprit la masturbation mais en frottant mon gland avec beaucoup d'entrain. C'était une sensation horrible, ce n'était pas des chatouilles; ça ne faisait pas vraiment mal non plus, mais c'était extrêmement désagréable, un peu comme des coups d'électricité. Après quelques instants elle se leva et me dit : « C'était ta première punition. Mais je pense que ça ne suffit pas. Je vais te laisser attaché pendant 30 minutes le temps que tu puisses récupérer et on va recommencer. Recommencer encore et encore, jusqu'à ce que tu comprennes que je NE VEUX PAS que tu te masturbes sans mon autorisation! »

Son ton avait changé et elle ne plaisantait vraiment pas. À ce moment, je pensais encore que ce n'était pas si terrible. Mais 30 minutes après, alors qu'elle revint, elle recommença à me masturber. J'eu un peu plus de mal à bander, mais la faiblesse des hommes vous savez... La masturbation n'était déjà plus aussi plaisante que la première fois, c'était moins sensible. Pourtant après quelques minutes très vigoureuses, j'éjaculais quelques gouttes après quoi elle frotta à nouveau mon gland. C'était encore une fois horrible. j'en transpirais littéralement. Elle me dit : « biiiien, à dans trente minutes... ». Je me demandais combien fois elle allait faire ça.

Pour la troisième itération, elle est revenue en sous-vêtements. Mon traître de corps bandait déjà à moitié mou. Elle saisit ma verge, puis me masturba encore. La pression dans la verge devenait douloureuse, ce n'était plus du tout agréable. Mon gland faisait mal. Après quelques minutes, quelques gouttes de sperme sortaient seulement. Puis le même cirque encore et encore. Je me rappelle de la sensation de mouillé sur le lit. Chaque cycle de punition était de plus en plus éprouvant. J'avais la queue complètement rouge et tellement douloureuse. Son plus grand défi était de me refaire bander, mais elle allait jusqu'à me mettre dans sa bouche, ou à mettre son entre-jambes au niveau de ma bouche (j'avais été bien conditionné pour réagir à cette stimulation).

« Bon ça fait 12 fois maintenant, je pense que tu as compris.»

Je pleurais de douleur. Le corps n'est pas fait pour être masturbé autant de temps. Dès qu'elle revenait dans la pièce, mon corps se crispait par anticipation. « Oui! Oui! J'ai bien compris! je suis désolé, je n'aurais pas dû!! Pardon! » Sans m'en rendre compte, je criais presque avec une détresse évidente.

« Très bien, c'est ce que je voulais entendre, mais pour être bien certaine que tu aies compris, on va finir en beauté. »

Léa prit une bouteille d'huile pimentée puis s'enduit les mains avec. Je me demande quelle tête je pouvais faire à ce moment-là. Je devais être complètement décomposé. Je ne bandais absolument plus. Au contact de l'huile, la sensation piquante était littéralement atroce. Surtout au niveau du gland qui n'en pouvait déjà plus d'être touché. Malgré tout, une érection est apparue en tant que défense physiologique. Léa se mit à rire aux éclats. Mais comment pouvait-elle prendre autant de plaisir à cela? J'étais en panique, en souffrance. Elle avait finalement eu raison : je la suppliait d'arrêter de me toucher. Mon entre-jambes était comme une terre brûlée. D'un sourir elle me dit : « Je vais te détacher, tu l'as bien mérité, mais avant, tu veux bien me lécher? Après tout, tu as joui près de 13 fois... ».

-- Et vous avez accepté?

-- Ne me jugez pas, mais oui, j'ai accepté. J'en avais même envie. C'était un peu comme la remercier d'avoir effacé l'ardoise sur mes égarements.

-- Je vois. Point de vue intéressant.

Au moment d'enfourcher ma bouche, je me faisais la remarque que Léa était complètement trempée. Elle avait adoré me punir de la sorte. Je compris à ce moment que je ne désobéirais plus à ses règles.

-- Mais dites moi, avec le recul comment vivez vous cette expérience? N'est-ce pas un traumatisme quelque part?

-- Oui en quelque sorte. Et en même temps avec le recul, je crois que j'ai aimé ça. Alors oui ça a été une expérience douloureuse, mais c'était aussi un réel moment de fusion. Et je crois que j'ai encore plus aimé la voir s'éclater autant avec moi. La découvrir aussi excitée a été pour moi comme un remerciement de sa part.

-- Et bien c'était une histoire très intéressante. Il nous reste encore pas mal de temps pour notre entrevue. Donc à ce stade de votre relation vous êtes encore vierge c'est bien cela?

-- Oui tout à fait, et avec la suite je me suis --comme qui dirait-- tiré une balle dans le pieds.

-- Vraiment? C'est-à-dire?

-- Et bien après ma punition, j'ai eu le droit à une période de convalescence. Mais l'envie de me masturber est revenue très très vite, alors pour prouver ma bonne foi, j'ai été sur internet pour m'acheter une cage de chasteté. Vous voyez à quoi ça ressemble?

-- Oui je vois très bien.

-- Ah? D'accord. Donc j'ai commandé une cage en métal et je l'ai reçu quelques jours plus tard. Avec Léa, on devait se voir le week-end qui arrivait.

Quand j'arrivais chez elle j'étais tout excité et angoissé en même temps. Je craignais que ma "surprise" la dérange ou bien lui paraisse déplacée. Je portais déjà la cage depuis sa réception, donc environ 3 jours. J'avais trouvé une petite boîte à bijoux que l'on utilise pour y mettre une bague. Les deux clés étaient à l'intérieur pour les lui offrir.

On avait l'habitude de sortir manger en extérieur le premier soir lorsque l'on se voyait. C'était toujours assez romantique et on passait toujours un bon moment. J'hésitais à offrir ma boîte au restaurant, je réalisais que le choix de l'emballage était complètement nul. Imaginez qu'elle puisse s'attendre à une bague de fiançailles. Bien-sûr ce n'était pas du tout à l'ordre du jour, mais je ne voulais pas rater mon coup en provoquant un ascenseur émotionnel très mal venu. Arrivé au dessert, je me rappelle avoir dit quelque chose comme : « Léa, il faut que je te dise un truc... ». Elle a bondi en pensant que j'allais de nouveau lui avouer que je m'étais masturbé sans elle. Il aurait fallu être fou pour reproduire une telle erreur. Je m'en remettais à peine. « Non non rassure toi. Mais c'est un peu au même sujet. Je voulais t'offrir un petit cadeau en guise de bonne foi, et pour te dire que j'ai bien compris l'importance que ces règles avaient pour toi. Ah et aussi, sache que c'est pas une bague... » dis-je en tendant la boîte avec anxiété. Léa posait sur moi un regard interrogateur et intéressé. Elle prit la boîte en main, puis l'ouvrit très doucement. « On dirait des clés de valise... ». Ce n'était pas faux. Je n'y avais pas pensé, mais elle avait raison. Je lui annonçait qu'il ne s'agissait pas de clés de valise, mais que je lui expliquerais tout à son appart. Je terminais cependant par lui dire que c'était un cadeau, et que je lui donnais de bon cœur.

Elle ne posa pas plus de question et rangea simplement la boîte et les clés dans son sac à main. Nous finîmes notre repas et étions prêts à rentrer à la maison.

Enfin arrivés, Léa claqua la porte puis m'enlaça dans ses bras pour m'embrasser passionnément. « Tu sais de quoi j'ai envie là maintenant? ». Je répondais par la négative avec tout de même une idée assez précise de la tournure que prenaient les choses. « J'ai envie de toi! ». Elle me poussa sur le lit et commença à se déshabiller tout en retirant mon T-Shirt. Puis elle baissa mon pantalon et mon boxer. Elle s'arrêta net. « Oh mais! » puis me serra dans ses bras en me chuchotant à l'oreille : « Je suis si fière de toi. ». De ce fait, je commençais mon explication sur ma décision de porter une cage de chasteté, en lui faisant état des recherches que j'avais pu faire à propos de l'hygiène, du confort et de l'impossibilité de se masturber etc. Elle m'écoutait avec un regard tendre. « Et maintenant c'est moi qui ait les seules clés c'est ça? ». J'acquiesçais.

« Bon et bien on va changer un peu le programme de notre soirée si cela ne t'ennuie pas. J'avais très très envie de faire ta première fois ce soir, mais on va attendre un petit peu. J'ai envie de jouer un peu avec mon nouveau... cadeau. » me dit-elle. Son regard qui auparavant était chargé d'amour, s'était transformé en quelque chose de plus vicieux. Vous savez, elle avait cette étincelle dans les yeux quand elle était très excitée. Elle se retourna puis se mit à califourchon sur moi de sorte à ce que son pubis soit près de mon visage et qu'elle ait le sien près de ma cage. Naturellement je savais très bien ce que je devais faire et je lui saisit les cuisses pour la plaquer contre moi et ainsi pouvoir la dévorer passionnément. Elle était déjà très moite. Je pense que l'idée de la cage faisait son petit effet.

De son côté, Léa massait ce qui dépassait de la cage, autrement dit, mes testicules. Je sentais sa respiration haletante en même temps qu'elle y déposait des baisers. C'était aussi douloureux que j'y prenais du plaisir. La cage me contraignait énormément et tirait sur mes testicules. Je haletais aussi mais c'était plus par douleur que par essoufflement. La solidité du métal n'était plus à prouver. Je pense qu'en plastique, j'aurais pu exploser la cage avec l'érection que je tentais d'avoir. Elle jouit.

Elle s'asseya (sur mon visage) puis saisit un objet dans le tiroir de sa table de nuit. Elle reprit sa position initiale et mit l'objet non identifié à côté de ma cage: « mmm j'adore voir ta queue devenir toute bleue. Ça m'excite tellement. Il m'en faut plus!! » dit-elle avec une sorte de rage d'excitation dans la voix. Je continuais à la lécher avec ardeur tandis que j'entendais des bruits de succion au niveau de ma cage. Je devinais les vas-et-viens que sa tête faisait. Après quelques instants, elle se releva, puis me tendit un sextoy en forme de penis. Il devait faire une vingtaine de centimètres et était déjà tout trempé avec de la bave. « Tiens, prends le et prends moi comme si c'était ta queue. ». J'étais légèrement interloqué par cette demande et demandais si elle ne préférait pas me libérer pour que je puisse m'insérer moi-même en elle. Sa réponse : « Nan, ce soir tu restes en cage. Maintenant, baise moi! ». Ces choses là étant nouvelles pour moi, elle se positionna en levrette et mit le sextoy en elle pour me laisser faire les va-et-viens avec mon bassin comme s'il s'agissait de mon propre pénis. L'association de la vue et des mouvements me faisait presque croire que c'était moi qui la faisait jouir comme ça, mais la douleur exacerbée de mes boules à cause de la cage qui tapait contre son pubis au rythme de mes coups de reins me rappelait bien ma condition. Elle m'assènait des remarques pour que j'aille plus fort, plus vite. Tandis que je me donnais à fond, elle se mit à convulser de jouissance, un orgasme qui semblait très puissant. Nous nous arrêtâmes à ce moment-là. Elle m'embrassait en me félicitant pour cette performance qu'elle avait beaucoup apprécié, puis descendit avec ses baisers le long de mon ventre, embrassa ma cage tout en pressant mes testicules qui littéralement n'en pouvaient plus (je découvrais une nouvelle nuance de couleur bleu/violet) et fini par dire : « Et toi, on se voit bientôt... ». C'était un peu l'assurance pour moi de bientôt perdre ma virginité. Enfin c'est tel que je l'avais entendu.

Au_pieds
Au_pieds
1 Admirateurs
12