Les Collants en Fibre d'Italie

BÊTA PUBLIQUE

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Ce fut une nuit mémorable car bientôt ces messieurs me demandèrent de ranimer leur flamme, et quelle autre méthode que de prendre l'un en bouche pendant que l'on prend l'autre en main? En alternant bien entendu.

Nous avons recommencé plusieurs fois, ils me baisaient avec une conviction jamais démentie, me faisant jouir de multiples fois, me prenant tour à tour ou alors ensemble...Mais oui!

Le train roulait toujours dans la nuit quand notre rage se calma vers trois heures du matin. Il était grand temps de prendre un peu de repos avant que le jour se lève et que le train entre en gare de Milan.

Sur le quai, je retrouvai Luigi et Marcello, mes deux compères qui m'accueillirent de leurs sourires ensoleillés. Un sourire qui se teinta de surprise ne voyant ma tête fatiguée et les cernes qui bordaient mes yeux. Aussitôt ils s'inquiétèrent de ce long voyage qui m'avait très certainement fatigué. Je leur racontais la grève du transport aérien, la galère parisienne pour rejoindre la gare de Lyon, etc. Je ne leur dis rien de la suite, mais ils la devinèrent lorsque le train démarrant, les deux hommes avec qui j'avais partagé tant de chose depuis la veille, passèrent devant nous en me souhaitant un bon séjour à Milan.

Marcello me regarda en coin, interrogateur: « Tu as partagé leur couchette? »

« Non pas leur couchette, le compartiment. »

« C'est pareil! » Conclut il.

J'en déduisis qu'il n'était pas dupe quand je l'entendis partager avec son compagnon Luigi les déductions qu'il avait tiré de mes réponses. Luigi rit ouvertement et l'italien n'est pas si éloigné du français pour que je ne comprenne l'excitation que cela lui procurait, quand il dit à Marcello sa hâte de me voir allongée sur la table d'examen de celui-ci.

En effet ils me demandèrent aussitôt arrivé chez Marcello, de me mettre nue et de m'allonger sur la table de gynécologie de Marcello. Je me défis de mes vêtements, je savais que la séance serait chaude et c'est avec fébrilité que je laissais choir mes vêtements sur la chaise. Puis je m'allongeais sur la table, Marcello m'installant les jambes dans les gouttières de part et d'autre de la table. Dès qu'il aperçut mes cuisses ouvertes, il comprit ce qu'il s'était passé durant la nuit dans le train. Mes poils pubiens étaient collés et englués de sperme, des traces blanchâtres maculaient mes cuisses et mon ventre. Marcello appela Luigi et lui commenta ma chatte quelque peu malmenée par une nuit passée avec mes deux complices.

« Pas besoin de faire de commentaire! » Me dit il.

« Tu as passé la nuit à te faire baiser?! Allons, dis moi combien de fois. »

« Je ne sais plus, au moins trois fois chacun. »

« Trois fois! Tu es une bonne salope je trouve, en plus ton sexe était plein du sperme de ton fils en quittant ta maison non? »

« Oui, comme tu me l'avais demandé. »

« Je vais te faire un lavage du vagin, parce qu'avec tout le sperme je ne vois rien. »

Il prit une poire de caoutchouc qu'il remplit d'eau tiède, puis il ajusta un bec en plastique dessus avant de m'écarter les lèvres et d'introduire l'objet dans mon vagin. Il appuya sur la poire et je sentis l'eau tiède envahir mon ventre et couler entre mes fesses avant de tomber dans la cuvette disposée sous la table. Plusieurs fois il répéta l'opération jusqu'à ce que l'eau sortant de ma chatte soit limpide. Luigi le regardait faire d'un œil plus qu'intéressé, échangeant avec lui des réflexions, Marcello lui donnant toutes les explications qu'il voulait entendre de la part de son ami médecin.

Pendant ce temps, Marcello prit un spéculum qu'il ajusta à l'entrée de ma fente, puis en actionnant la molète, il écarta les deux demi mâchoires de l'objet, ouvrant mon sexe à leurs regards curieux. En prenant sa lampe frontale, il éclaira mon vagin jusqu'au fond, mettant mon utérus en lumière.

« Tout est normal. »

Tel fut son diagnostique. Je n'osais trop lui poser de questions, et pourtant, le fait qu'il m'aie fait abandonner la pilule m'avait jeté dans l'angoisse. Mais je me raisonnais, après tout, je pouvais lui faire confiance.

Alors que je me livrais à ces réflexions, Marcello s'était penché sur ma fente et sa bouche s'y collait en un baiser qui réveillait le feu de mon ventre. Sa langue me pénétrait tandis que Luigi m'empoignait les seins pour les masser avec vigueur, en agaçant mes bouts devenus tout durs depuis que j'étais nue sur cette table d'examen.

Bientôt je gémissais sous leurs mains et leurs bouches, ils échangeaient leurs rôles alors que je me tordais de plaisir en râlant mon bonheur d'être ainsi honorée. Le jeu dura des heures, ils y ajoutèrent des accessoires comme des vibromasseurs plus délirants les uns que les autres, des engins qui me faisaient crier tant leur action me procurait des frissons de plus en plus incontrôlables. Mes reins s'offraient, mes cuisses s'ouvraient, mes seins dardaient, ma bouche criait son plaisir alors que j'étais la allongée sur cette table qui en avait certainement vu d'autres.

Je ne saurais dire combien de fois je jouis entre leurs mains. Les deux savaient y faire avec une femme et quand enfin ils décidèrent de me prendre, ce fut un soulagement et je participais à leurs assauts et je m'offrais à leurs coups de bite furieux.

Quand ils eurent déchargé au fond de ma chatte à tour de rôle, Marcello me relava le vagin, me nettoyant soigneusement de tout les fluides qui maculaient mes muqueuses.

Après cette séance, ils m'offrirent le restaurant où nous déjeunâmes avec un appétit fortement attisé.

Le Dimanche s'étirait, cette grève avait fortement perturbé notre week-end et il était temps déjà de repenser au retour, d'autant plus que si les vols avaient repris. Il y avait encore beaucoup de perturbation et il valait mieux se présenter tôt à l'aéroport.

Les deux hommes reconduirent à l'aéroport, non sans m'avoir fourni les collants que j'étais venu chercher. Ils me firent promettre de revenir bientôt les voir, une perspective qui me souriait bien sur. Je ne pus leur donner de nouvelles dates, mais je leur promis de leur faire savoir quand je reviendrai.

L'avion décolla deux heures plus tard, et j'emportais avec moi jusqu'au plus profond de mon ventre le souvenir de leurs impérieuses pénétrations.

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  • COMMENTAIRES
Anonymous
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3 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 8 ans
bravo

très très bien écrit et très excitant

bravo

une suite à espérer?

AnonymousAnonymeil y a environ 10 ans
Bravo

Du bon Jipai!!!

AnonymousAnonymeil y a environ 10 ans

Excellent, merci.

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