Les Jumeaux Croisés 10

BÊTA PUBLIQUE

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Elles filèrent ensuite à la salle de bain où elles prirent une douche dans la baignoire, s'aspergeant mutuellement et se lavant avec une application soutenue. Cécile avait déjà décidé de partager la couche de son invitée « pour laisser Jean se reposer » aussi, une fois séchées, elle se retrouvèrent sur le lit de la petite chambre, s'embrassant et se caressant avant que Cécile ne bascule tête-bêche pour s'offrir un somptueux 69 avec la jeune lesbienne putative. Elle était décidée à ne pas céder à l'orgasme avant d'avoir fait elle-même jouir sa compagne mais la tâche s'avéra plus ardue que prévu, Anne-Marie révélant une expérience supérieure à la sienne ou des dons cachés qu'elle ne soupçonnait pas!

Cécile emporta le match de justesse grâce à ses doigts qui avaient retrouvé le point G de la stagiaire qui elle-même semblait encore trop timide dans ce domaine. Elle entendit la jeune fille pousser des gémissements étouffés par sa propre vulve puis elle perçut sur ses lèvres une nouvelle coulée de cyprine qui lui donna le signal de sa propre libération.

Elle libéra sa bouche et cria sa joie « ANNE-MARIE! C'EST BON MA CHATTE! JE VIENS! BOIS-MOI » Elle enserra la tête de sa compagne entre ses cuisses, plaque sa vulve contre sa bouche et l'inonda de ses sécrétions.

Quelques minutes plus tard, Cécile avait repris position dans le même sens qu'Anne-Marie et lui caressait doucement la tête qui reposait dans le creux de son épaule.

« Crois-moi petite fille, tu vas éprouver beaucoup de plaisir avec mon homme. Tu aimes être pénétrée, le tout c'est de trouver le mâle qui te fait l'amour en veillant à ton plaisir et pas seulement à s'assouvir! Et là je t'assure que Jean est un maître. Il peut aussi être dominateur ou même un peu brutal mais c'est en fonction de ce que je lui demande ; c'est toujours en fonction de mon plaisir qu'il s'adapte! »

« Tu sais » dit Anne-Marie en lui caressant les seins, « ma première expérience sexuelle , c'était l'été de mes dix-huit ans. Deux garçons de la colo m'ont entraînée dans le bois pas loin des bâtiments, ils m'ont fait boire de la vodka puis ils m'ont sautée l'un après l'autre en prenant ma virginité au passage. Quand j'ai été me plaindre au mono, il m'a dit que c'était de ma faute et il m'a sautée aussi. Après cela, je me suis enfui de la colo et j'ai vécu de chapardages jusqu'à ce que je me fasse prendre par les gendarmes qui m'ont ramenée chez la tante qui m'hébergeait depuis le décès de ma mère. Quand je lui ai raconté ce qui s'était passé, elle m'a traitée de pute et m'a envoyée dans une espèce de pensionnat-prison tenue par des sœurs. C'est là que j'ai commencé à coucher avec des filles. Pas vraiment par amour mais plus pour avoir la protection des « grandes ». Puis quand c'est moi qui suis devenue une « grande », j'ai quasiment violé toutes les filles des deux classes en-dessous de la mienne. Même la directrice qui se servait pourtant aussi dans le cheptel comme elle disait trouvait que j'exagérais. Elle m'a convoqué plusieurs fois et a fini par me donner le bac rien que pour se débarrasser de moi. Après, quand j'ai cherché du boulot, j'ai couché avec tous ceux qui pouvaient me donner un job pour gagner ma croute. En fait , Jean est le premier homme qui ne m'a rien demandé à part ma motivation de faire ce stage de compta.

Cécile posa la tête de la jeune fille sur ses seins et lui dit « c'est fini maintenant ma belle, tant que tu seras avec nous, plus rien de ce genre ne t'arrivera »

Anne-Marie ne résista pas à l'invitation et empoigna le sein offert pour le sucer avec ferveur tandis que sa main libre se cramponnait à l'autre . Cécile se sentait à la fois prise d'un sentiment très maternel envers sa protégée mais aussi de plus en plus excitée par l'avidité avec laquelle elle s'occupait de sa poitrine.

Prise d'un doute soudain, Anne-Marie s'interrompit « Cécile, si je couche avec Jean, tu ne seras pas jalouse? Tu ne vas pas me rejeter dis? »

« Mais non ma douce, les choses sont claires entre Jean et moi ... et toi aussi maintenant. Nous t'accueillons dans notre ménage et nous allons partager notre amour avec toi. Comme disait Jean, je suis et je reste la Première Epouse et tu seras l'Epouse Cadette tant que tu voudras rester avec nous. De plus, il est temps que mon Parangon de vertu couche avec une autre fille. A ma connaissance, je suis la seule qu'il ait baisé depuis que nous nous sommes rencontrés et je préfère autant qu'il couche avec une femme que j'aime.»

« Oh Cécile, aime --moi, fais-moi à nouveau jouir s'il te plaît! »

Cécile se releva et vint s'installer au-dessus de la jeune fille puis lui releva les jambes et frotta sa chatte glabre sur la chatte duvetée cette dernière. Malgré la friction des clitoris, la caresse s'avéra insuffisante et Cécile se baissa entre les jambes ouvertes pour venir lécher la jeune conque béante. Mais quand Anne-Marie commença à trembler à l'approche de l'orgasme, Cécile s'interrompit soudain et fila vers son beauty case dont elle extirpa un vibromasseur d'un volume proche de la verge de Jean. Elle l'approcha du vagin de la jeune fille et demanda « Tu es prête? » « Oh oui Cécile, prends-moi, fais de moi ta femme! »

Cécile introduisit le vibro dans le vagin de sa partenaire sans aucune difficulté malgré une légère crispation de la récipiendaire puis le mit en marche. Elle remonta alors vers le visage d'Anne-Marie pour lui offrir à nouveau ses seins qu'elle téta avec l'avidité d'un nouveau-né.

« C'est bon? » demanda Cécile

« Mmmouiim » répondit Anne-Marie sans se séparer du sein qui lui occupait la bouche

« et tu verras, le sexe de Jean, c'est encore meilleur, il est tout chaud et te ramone la chatte jusqu'à ce que tu jouisses une fois, deux fois puis c'est lui qui lâche son sperme et alors tu jouis une troisième fois tellement c'est bon de le sentir t'inonder »

« CHECHIL ... CHE VIENS » puis lâchant enfin son sein, d'un ton mourant « embrasse-moi »

Cécile s'exécuta tout en coupant le contact du vibromasseur. Puis elle l'extirpa du vagin de son amie tout luisant de sa cyprine.

« J'ai envie de te goûter » et elle enfourna le gode dans sa bouche et le suça avec délectation avant d'embrasser à nouveau sa nouvelle amante.

« tu veux bien me rendre la pareille? Mais moi j'aime bien un va et vient du vibro en moi comme un vrai sexe. »

« Oh oui ma chérie, je vais te prendre comme un vrai petit homme »

Cécile écarta les jambes pour lui faciliter l'accès et Anne-Marie la pénétra une première fois avec hésitation

« Vas-y » dit Cécile, « n'aie pas peur, j'en ai vu d'autres »

Puis comme la jeune fille n'osait pas prendre le rythme qu'elle attendait

« Allez petite, baise-moi, défonce-moi la chatte aaah c'est mieux! Ne t'arrête pas! Fouille-moi le ventre! ... Lèche-moi le clito maintenant mais n'arrête pas de me baiser ... Aaah, c'est bon petite ... Je vais jouir sur ton gode ... lèche-moi encore ... encore ... encore ... OUI JE VIENS ... TU ME FAIS JOUIR MA MIE! OUIIIIII! »

Le lendemain, Jean se réveilla à l'aube au milieu des senteurs du sud qui envahissaient la chambre. Il fut très surpris de ne pas trouver Cécile à ses côtés puis se remémora leur conversation de la veille. Il alla jeter un coup d'œil dans la petite chambre et sourit à la vue des deux femmes tendrement enlacées. Il se débarbouilla sommairement dans la cuisine et prépara un perco de café puis, récupérant une bicyclette à la disposition des locataires du gîte, il pédala jusqu' au village acheter du pain et un minimum de victuailles pour affronter le début d'une journée qui s'annonçait chaude, et pas seulement sur le plan météorologique.

Lorsqu'il revint au gîte, les filles étaient réveillées et gazouillaient gaiement sur la terrasse en buvant une tasse de café. La douce température matinale ne les avait guère incitées à s'embarrasser de trop de vêtements, et elles ne portaient que leur slip de bain, exposant à la vue de Jean leurs poitrines aux quatre tétons dressés.

Cécile l'aperçut la première et s'écria « Regarde Ma Mie, notre grand chasseur ramène un bison! A table » Elle sauta sur ses pieds et se précipita sur son mari et l'embrassa fougueusement avant de lui prendre son panier et de lui dire « Embrasse Ma Mie et va te doucher pendant que nous préparons le petit dej » . Jean allait embrasser leur invitée sur la joue quand elle lui tendit ses lèvres. Il l'embrassa donc chastement sur la bouche quand il entendit la voix de sa femme derrière lui « Mieux que cela vous deux. Vous ressemblez à deux vierges effarouchées » Avant d'avoir pu réagir, il se retrouva avec le corps de la jeune femme plaqué contre lui et sa langue qui forçait le passage de ses lèvres. Il ouvrit la bouche et répondit à son baiser brûlant , enlaçant Anne-Marie et la faisant légèrement ployer sous son contre-assaut. Elle s'arracha à son étreinte légèrement haletante

« Woaw Cécile, tu avais raison, c'est le meilleur baiser que j'ai jamais reçu »

Jean se dépêcha d'aller prendre une douche, moitié pour cacher un début d'érection mais moitié par anticipation de ce qui allait suivre.

Lorsqu'il revint, la table l'attendait et il s'assit par habitude en face de sa femme et donc à la perpendiculaire d'Anne-Marie qui présidait . Il avait ainsi une splendide vue sur deux paires de seins très différentes mais ô combien tentantes. Bien qu'il ait exploré chaque centimètre carré de la somptueuse poitrine de Cécile au fil des ans, il s'émerveillait toujours de la splendide rondeur de ses seins et de leur fermeté à peine amoindrie par l'âge et les enfants. L'allaitement des enfants avait surtout laissé des traces au niveau des mamelons qui s'étaient élargis considérablement , au grand plaisir de Jean qui s'était découvert une fixation pour les larges mamelons.

La poitrine d'Anne-Marie offrait un contraste saisissant : ses seins étaient à peine plus développés que ceux d'un garçon avec des mamelons minuscules mais des tétons bien développés. Très hauts placés, ils ne nécessitaient certainement pas de soutien comme il avait déjà pu s'en rendre compte .Il avait une folle envie de les prendre en bouche mais ceux de Cécile aussi , non ceux d'Anne-Marie, non de Cécile ...

Cécile avait suivi le manège de son regard et rit doucement

« Mon amour, si tu as tellement envie de nos seins, tu as raté quelque chose hier soir mais maintenant, mangeons, nous allons avoir besoin de toutes nos forces »

Jean piqua du nez dans son assiette et essaya de se concentrer sur la confection d'un sandwich en espérant que l'érection qui tendait son pénis allait disparaître d'elle-même mais à peine avait-il avalé la première bouchée que sa femme commençait le récit de leurs galipettes de la veille, parfois interrompue par son amante qui s'enhardissait de plus en plus et n'hésitait plus à ajouter détails et commentaires plus crus ou plus sensuels. Il ne se rendit même pas compte qu'il avait fini le sandwich quand Cécile arriva à la conclusion de son récit.

« Anne-Marie, peux-tu vérifier si notre mâle est prêt au service »

Jean sentit une petite main se poser sur son short et caresser sa verge distendue

« Oh oui Cécile mais il a l'air encore plus gros que ton vibromasseur »

« Bon, on s'occupera de la table plus tard, je propose de faire un tour dans la chambre tant qu'il ne fait pas trop chaud. »

Comme hypnotisé, Jean se laissa entraîner par sa femme que précédait leur invitée. Une fois dans la chambre, Cécile vint se placer dans le dos d'Anne-Marie et dit à son mari.

« Regarde Jean, ta Première Epouse va t'offrir une nouvelle épouse mais avant que tu ne puisse la prendre, regarde comme elle belle quand elle jouit »

Et Cécile glissa sa main sous le slip de bain de sa jeune complice et commença à la masturber d'une main tandis qu'elle caressait ses seins de l'autre. Très vite , Anne-Marie commença à gémir et son visage prit le pli du plaisir. Jean enleva son short pour laisser sa bite se développer à son aise. Les yeux mi-clos, Anne-Marie aperçut la verge bandée et poussa un petit cri « qu'elle est grosse » « Oui ma chérie et elle va te faire tellement de bien » poursuivit Cécile « Oui Cécile, oui, tu me fais jouir! AAH c'est bon, encore! » . La jeune femme se laissa aller en arrière pour prendre appui sur sa maîtresse pendant qu'elle se laissait aller à un orgasme particulièrement intense.

Cécile la déposa sur le lit et entreprit de lui ôter son slip maintenant trempé , dévoilant aux yeux de son mari la fine toison blonde qui servait de dernier rempart à la pudeur de son amante. Jean émit un borborygme étranglé et se rapprocha du lit. Sa femme glissa deux oreillers sous le bassin de la jeune fille et dit à son mari

« Voilà mon Seigneur et Maître, prends ta nouvelle épouse en brouette comme cela j'aurai de la place pour la caresser. Je te fais confiance pour lui faire l'amour comme elle le mérite. Elle doit jouir sur ta bite mieux qu'elle ne l'a jamais fait avec une fille, moi y compris! »

Jean vint se placer entre les jambes d'Anne-Marie et lui releva les jambes qu'il posa sur ses avant-bras tandis que Cécile plaçait son membre gonflé comme jamais à l'entrée de la vulve trempée.

« Vas-y mon amour, doucement mais fermement! »

Jean obtempéra, résistant à l'envie d'immédiatement défoncer le vagin qui s'offrait à lui et ne le pénétrant que lentement. Anne-Marie gémit, « Qu'il est gros ... et long ... Cécile, embrasse-moi pendant qu'il m'envahit! AAAHH! »

Elles échangèrent un baiser passionné tandis que Jean s'enfonçait complètement en elle. Il lui laissa une bonne minute pour s'acclimater à l'envahisseur puis entama un puissant va et vient qui lui arrachait des râles de plaisir. Pour augmenter l'agression des sens, Cécile tendit la main et commença à caresser le clitoris de sa jeune amante dont les hanches s'animèrent, comme dotées d'une vie propre. Elle abandonna également sa bouche pour lui téter les seins, au grand plaisir de Jean . A la grande surprise de Cécile, c'est Anne-Marie qui jouit la première, ouvrant la bouche dans un hurlement silencieux alors que Jean , les dents serrées pour ne pas lâcher son sperme aussi tôt parvenait à se contenir tout en la labourant de plus en plus fort. Il fallut qu'Anne-Marie les supplie de la main d'arrêter pour que le couple mette fin à leur attaque concertée des zones érogènes de leur victime.

Il fallut plusieurs minutes à la jeune fille pour retrouver l'usage de la parole

« C'était merveilleux » dit-elle d'une voix rauque « Non, pas merveilleux, incroyable! Tu avais raison maman Cécile » ajouta --t'elle avec un sourire en coin « tant qu'on n'a pas connu un véritable amant attentionné, on ne peut pas dire qu'on préfère les filles »

« Et ce n'est que le premier round ma biche » répliqua Cécile, « maintenant, c'est toi qui va monter Jean et tu vas toi-même doser votre accouplement. Si tu le veux doux et prolongé ou rapide et fort voire même brutal, c'est toi qui décidera du tempo »

« Mais et toi? » demanda sa compagne?

« Quand Jean aura bien joui en toi, on le laissera un peu récupérer puis tu le suceras pour qu'il soit en état de rendre hommage à sa Première Epouse »

Elle aida Jean à relever Anne-Marie et à basculer en arrière sans se désengager. Lorsque la jeune fille retomba sur le bassin de son amant, elle poussa un « ouhh » d'étonnement en sentant la verge toujours tendue la pénétrer encore plus avant que dans l'autre position . Elle ne perdit pas de temps et entama immédiatement des mouvements de haut en bas dont le point le plus bas s'accompagnait d'un « aah » de plus en plus tonitruant. Jean s'était emparé de ses petits seins et en pinçait les gros bouts en cadence avec les « aah » d'Anne-Marie. Cécile, en parfaite maîtresse de cérémonie, les caressait alternativement, griffant le torse de son mari ou massant le ventre de sa co- épouse comme pour essayer de sentir les pénétrations de la bite maritale. Puis , sentant que Jean et Anne-Marie approchaient du point de non-retour, elle empoigna ses seins et les caressa sous leur nez en leur ordonnant

« Maintenant, mes chéris, maintenant donnez-moi votre plaisir! »

Anne-Marie se cabra aussitôt avec un grand « AAAH » de bonheur. Quant à Jean ; il s'accrocha aux hanches de la jeune fille et avec une espèce de sanglot, se vida en elle, les yeux fixés sur Cécile comme pour lui dire « Je t'aime ». Anne-Marie retomba sur le mâle et l'embrassa longuement puis, soucieuse de respecter les consignes de son aînée, elle se désengagea de la verge à moitié dégonflée et la prit dans sa bouche pour la sucer avec application. Amusée, Cécile regardait son mari qui était visiblement tout aussi excité qu'elle même si il eut besoin de plusieurs minutes pour retrouver une dureté convenable.

Dès qu'elle fut satisfaite du résultat atteint par sa protégée, Cécile la fit s'allonger, vint à quatre pattes lui présenter son clitoris tandis qu'elle invitait Jean à la prendre en levrette

« A mon tour mes chéris ; je vous préviens, j'ai deux orgasmes de bon ; je compte sur vous! »

La pomme n'était pas tombée loin de l'arbre et les jumeaux s'en donnaient eux aussi à cœur joie . Loïc s'était rendu compte qu'il avait oublié de reprendre possession du cul de sa sœur et avait passé une bonne partie de la matinée du jeudi à la sodomiser. Léa qui commençait à apprécier la présence de sa grosse bite entre ses fesses s'était laissé faire de bon cœur, espérant en outre qu'un sphincter plus souple lui permettrait d'accueillir les bites ridées des sexagénaires amis de Sylvie. Ils avaient continué à faire l'amour presque tout l'après-midi, ayant d'un commun accord décidé d'un couvre-feu à partir du jeudi soir. « Après-tout, si Sylvie nous 'gratifie' à la prestation, autant être en forme » avait commenté Loïc.

Le vendredi , ils se garèrent peu avant 18 heures dans le parc de la propriété d'Arcques. Sylvie, en peignoir de bain, les accueillit sur le pas de la porte. « Bonjour mes chers, vous êtes resplendissants, laissez-moi vous le dire » Les jumeaux avaient fait un effort de toilette et ressemblaient en effet à des mannequins de défilé de mode. Loïc avait jugé l'effort vain « ils veulent surtout nous voir à poil » mais avait obéi à sa sœur dont l'instinct était bien meilleur que le sien en matière de bonnes manières.

Sylvie les mena à nouveau vers la véranda où les attendaient cinq personnes également en peignoir qu'elle leur présenta « Adeline -- une dame grisonnante mais au visage étrangement lisse et à la taille fine - , Marie-Johanne -- appelez-moi Marie Jo, les cheveux auburn, un peu boulotte sans atteindre le dimensions de la plantureuse Françoise - , John -- l'ami célibataire de Sylvie qui hormis sa chevelure complètement blanche avait l'air de ne pas avoir dépassé la cinquantaine -- Albert -- appelez-moi Bert , le mari de Marie-Jo, chauve et bedonnant et enfin François Ferdinand -- Fery , mari d'Adeline et sa copie masculine sauf pour la hauteur qui devait atteindre le mètre nonante.

John officiait au bar avec plus de dextérité que n'en n'avait fait preuve Sylvie l'autre soir et leur présenta un cocktail léger tandis que Bert et Fery étendaient des matelas le long de la piscine. Sylvie expliqua les règles du jeu :

« Mes amis et moi aimerions tous bénéficier de vos talents ce soir. Nous avons tiré au sort et ce sont Adeline et John qui ont gagné le droit d'être vos premiers partenaires. Vous aurez les matelas du milieu, les autres sont là au cas où un de nos couples ne pourrait pas attendre son tour. En tant que maîtresse de maison, je vous aiderai à vous déshabiller et vous mènerai à l'autel »

Elle commença derechef par Léa, prenant un plaisir visible à lui ôter son chemisier et son soutien-gorge, faisant admirer ses seins à l'assemblée. Elle se baissa pour retirer la jupe de la jeune fille puis son slip. Elle ne put résister à l'envie de lui caresser la chatte au grand soulagement de Léa qui ne mouillait pas encore et craignait que John essaye de la prendre sans préliminaire. Lorsque Léa fut bien ouverte, elle la mena au matelas à côté duquel attendait John qui fit tomber son peignoir d'un mouvement d'épaule. Léa fut surprise par le contraste entre sa peau ridée et son sexe fièrement dressé à défaut d'être impressionnant (« il doit certainement s'être bourré de petites pilules bleues » se dit-elle) . Pour montrer sa bonne volonté, elle se laissa tomber à genoux sur le matelas et le suça. A sa grande surprise, ce simple contact l'électrisa et elle se rendit compte qu'elle mouillait maintenant presqu'autant qu'avec son frère.