Les Jumeaux Croisés 01

Déchainé , Loïc agrippa les hanches de Léa et entama des va-et-vient entre ses cuisses. Le sexe de Léa mouillait tellement que le glissement de la verge sur les grosses lèvres ressemblait à un piston bien huilé. Elle serra fesses et cuisses pour amplifier les sensations et , sans même sans rendre compte, elle se caressa le clitoris, suivant la même cadence que les allées et venues du gland tuméfié à la surface de sa vulve. Les mains de Loïc remontèrent alors jusqu'à ses seins et il pinça les tétons qui pointaient , aussi durs que des billes.

Léa imaginait l'énorme braquemart s'égarant et pénétrant son intimité, brisant la fragile barrière de son hymen et s'enfonçant dans les tréfonds de son vagin. Prise par son fantasme, elle se saisit du gland baladeur et le tordit pour le frotter sur son clitoris, gémissant comme une chatte en chaleur. Son troisième orgasme de la matinée fut encore plus puissant que les deux premiers et ses jambes se dérobèrent sous elle. Elle serait tombée à terre si Loïc ne l'avait pas maintenue par les seins et accessoirement la soutenant de son membre toujours plaqué à son vagin ruisselant.

Lorsque ses spasmes et soubresauts se calmèrent, Loïc laissa sa sœur glisser vers le sol et s'étendit contre elle. Elle avait les yeux cernés et clos mais elle trouva l'énergie pour poser sa tête sur le torse du garçon et lui murmura « si j'avais su que c'est si bon, l'amour avec toi, je n'aurais pas perdu autant de temps » . Il lui caressa les cheveux et répondit « Moi aussi je t'aime , Léa ma lionne, et je ne cesserai jamais de t'aimer! »

Souriante, elle recommença à caresser sa verge d'abord doucement puis de plus en plus énergiquement jusqu'à ce que soudainement, elle ouvrit en grand sa bouche et vint gober l'énorme gland qui surmontait l'épieu de son frère. Il était tellement imposant que seul le gland trouva à se loger dans sa bouche distendue. Mais pour Loïc , la sensation était tellement délicieuse que pour la deuxième fois de la matinée, il fut surpris par son propre orgasme. Il eut à peine le temps de gémir « Attention, je viens » qu'il se répandait dans la bouche de sa sœur. Léa sentit l'épais liquide se répandre dans le fonds de sa gorge et faillit s'étrangler, étant dans l'impossibilité d'avaler le sperme de son frère vu que sa langue était coincée sous le mastodonte qui vibrait dans sa bouche. Elle parvint néanmoins à déglutir tant bien que mal ; comprimant au passage le gland et arrachant à Loïc de nouveaux gémissements de plaisir. Léa finit par expulser le gland de sa bouche et le couvrit de petits baisers tandis que Loïc se calmait peu à peu.

« C'était merveilleux petite sœur mais cela ne te dérange pas que je jouisse dans ta bouche?».

« C'était un peu bizarre mais ça n'a pas mauvais goût et cela me rend toute chose quand je l'avale ; d'ailleurs, je crois que suis de nouveau mouillée , hi hi! »

« Hum, est-ce qu'il ne vaudrait pas mieux que je m'occupe de ce problème?»

« Je ne sais pas si je suis encore capable de jouir aussi vite ...»

« On va bien voir »

Loïc installa sa sœur sur le dos, écarta ses jambes et se pencha sur elle jusqu'à ce que sa langue entre en contact avec le sexe en effet bien trempé de la jeune fille. Léa oublia immédiatement l'inconfort du sol carrelé et froid lorsque son frère commença à lécher les grandes lèvres de sa vulve puis remonta lentement vers le clitoris. La sensation était tout-à-fait différente de celle qu'elle recevait de ses propres doigts ou de ceux de son frère. C'était moins fort mais plus excitant à la fois. Puis, lorsque Loïc envoya un de ses doigts explorer l'entrée de son vagin sans pour autant cesser les attouchements de la langue, elle se mit à geindre et empoigna la tignasse de son frère pour mieux plaquer sa bouche sur son sexe.

Il ne lui fallut que quelques minutes de ce régime pour se tordre de désir. Elle se sentait béante et n'aspirait qu'à sentir la grosse verge de son frère la broyer pour éteindre l'incendie qui avait embrasé son bas-ventre. Au moment où elle allait céder à sa passion et lui crier « baise-moi » , elle sentit une lame de fonds l'emporter et elle ferma convulsivement les cuisses, enfermant le visage de Loïc dans un étau de chair tandis qu'elle voyait défiler dans sa tête un régiment de phallus énormes qui semblaient vouloir l'enfiler l'un après l'autre .