Les Jumeaux D'amour Ch. 08

« Non. On en est sur parce qu'ils sont tous les quatre dans cet hôpital sous bonne garde quoiqu'ils ne seront pas capables de bouger avant plusieurs jours voire semaines. La police m'a expliqué qu'ils ont certainement été attaqués par une bande rivale qui les a mis dans un état bien pire que le mien. Il paraît que Kader ne pourra jamais avoir d'enfants à cause de ses ... choses masculines éclatées. Quant à Abdel, il a complètement perdu ses ... parties et quelques doigts aussi. Il ne pourra plus jamais faire de mal à une autre fille! Ils ont été testés pour le SIDA et je n'ai rien à craindre .»

« Quand est-ce que tu pourras rentrer à la maison? je veux pouvoir prendre soin de ma fille!»

« Tu es si gentille avec moi Fatima, beaucoup plus que ma mère biologique! ... Dans deux ou trois jours je pourrai rentrer mais je dois te dire quelque chose qui ne te fera peut-être pas plaisir. »

« Si c'est pour ta virginité, ne t'en fais pas, j'en ai vu et entendu d'autres ... »

« C'est presque cela. J'aime Karim et je crois qu'il m'aime. Enfin il m'aimait avant que ces hommes ne me ... souillent. Fatima, s'il m'aime toujours, je veux partager sa couche. Tant que je n'aurai pas fini mes études, je ne veux pas me marier mais je ne veux plus me passer de relations intimes avec l'homme que j'aime ... j'espère que vous accepterez qu'on vive comme mari et femme sous votre toit »

« Tu sais que c'est contre mes principes mais après ce qui t'es arrivé, je peux comprendre. Laisse-moi réfléchir et en parler à tête reposée avec Karim. Bon, je dois filer sinon je vais rater le dernier bus! »

La porte s'était à peine refermée sur elle que Karim bondissait du fauteuil et venait l'embrasser

« Bien sûr que je t'aime toujours ma Tara. Hier, aujourd'hui et demain. Je regrette seulement de ne pas avoir pu participer au châtiment de ceux qui t'ont ... fait ça »

« Tu es l'homme le plus gentil que j'ai jamais rencontré . J'espère que mes plaies seront vite cicatrisées pour que je puisse te prouver mon amour! Mais en attendant, je peux te faire patienter. Enlève ton pantalon! »

Le garçon s'exécuta et resta au garde-à-vous à côté de la tête du lit, à la fois réjoui et gêné de l'érection qui distendait son caleçon.. Tara se tourna sur le côté et massa gentiment la verge du garçon par-dessus le tissu et soupesa les bourses déjà resserrées par l'excitation.

« Je ne peux pas t'abandonner comme ça quand même! » dit elle et elle abaissa le caleçon qui rejoignit le pantalon sur les chevilles du jeune homme. Sa verge se déploya dans toute sa splendeur. Elle se félicita une fois de plus que l'homme de son choix n'ait pas une verge du calibre de ce monstre de Loïc. Elle s'appuya sur un coude et prit le membre de Karim dans l'autre puis, à la plus grande stupéfaction de celui-ci, elle l'emboucha sans autre forme de procès. La sensation était tellement inédite pour lui qu'il faillit jouir séance tenante et il dut subrepticement se pincer cruellement l'arrière de la cuisse pour se contenir.

Tara réussit à enfourner la moitié de la verge dans sa bouche dès le premier essai puis petit à petit progressa à chaque succion jusqu'à ce le membre turgescent heurte sa glotte. Elle reprit alors des allées et venues plus modérées tandis que Karim posait ses mains sur sa tête comme pour être certain que les stimuli transmis par sa bite provenaient bien de cette bouche merveilleuse!

Toute sa perception sensorielle était concentrée dans son seul organe mâle et il le sentait proche de l'explosion. Il prévint sa bien-aimée

« Tara, je n'en peux plus, je vais .. je vais.. »

Elle le lâcha un instant pour lui murmurer

« Oui mon amour, viens, jouis dans ma bouche ; je veux goûter ta semence d'homme! »

Elle le reprit entre ses lèvres et dans le même mouvement, elle caressa ses testicules comme Léa et Loïc le lui avaient appris. Karim poussa un petit cri étranglé se libéra sur sa langue tandis qu'elle massait langoureusement ses bourses pour l'aider à se vider complètement en elle.

Le jeune homme eut l'impression que ses jambes allaient se dérober sous lui et se cramponna aux montants du lit pour ne pas sortir de l'antre de félicité qui accueillait giclée après giclée d'une éjaculation qu'il espérait sans fin.

Lorsqu'elle fut certaine que le jeune homme lui avait livré sa dernière goute de sperme, Tara la laissa sortir de sa bouche avala le reliquat de sa semence qu'elle n'avait pas encore absorbée tout en empaumant la verge la verge décroissante.

« Tara, c'était merveilleux! »

(« merci mes merveilleux professeurs » se dit-elle) « Ma bouche sera toujours ouverte pour ton plaisir , mon Seigneur et Maître . Quand je reviendrai à la maison, je pense que tu pourras aussi me prendre ... tu sais .. par derrière ... dans mon petit trou ... et dans deux semaines , d'après le médecin, je serai entièrement disponible pour accueillir ta virilité dans tous mes orifices. Je veux que tu sois toujours comblé mon Karim! »

Elle sentit que dans sa main, la verge reprenait vie ; le petit oisillon voulait déjà reprendre son envol.

(« C'est pas la plus grosse mais elle est pleine de ressources insoupçonnées! » se réjouit-elle « je n'aurai peut-être pas besoin de revoir les jumeaux en cachette après tout ... »)