Les malheurs de Clotilde Ch. 03

Informations sur Récit
Clotilde s'enfonce un peu plus dans l'horreur.
5.9k mots
4.18
31.4k
00

Partie 3 de la série de 24 pièces

Actualisé 06/15/2023
Créé 12/19/2018
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Cette histoire est basée sur la déchéance d'une femme. C'est violent et difficile à lire pour une âme sensible. Si vous n'aimez pas le genre, vous n'aimerez pas cette histoire, alors inutile de la lire. Pour les autres, bonne lecture, car je pense que c'est mon meilleur texte écrit jusque à présent.

Sinon, étant Italien, et arrivé à vingt ans en France, j'ai appris le français parlé, auprès de ma mère qui est française. Par contre pour ce qui est de l'écrit, je l'ai appris à l'école, en Italie, ce qui explique que j'ai pas mal de lacunes. Malgré les correcteurs d'orthographe et les petits trucs de quelques lecteurs, mes textes sont truffés de fautes d'orthographe, notamment sur le pluriel des verbes, mais aussi de fautes de grammaire. Veuillez m'excuser pour ce souci, que j'améliore à chaque texte. Pour ce que cela rebute, éviter de le lire, si pour vous l'orthographe est plus important que le texte. Je remercie pour leur courage ceux qui me pardonne ces fautes, et me lise quand même. Si une âme charitable, veut corriger mes textes avant parution, ou me donner des trucs pour m'améliorer, je suis preneur. Excusez-moi encore pour ce souci, et bonne lecture.

Une fois qu'ils ont tous finis de me violer, ils sont de nouveau mou. Mais ils se font passer une boîte de pilules. Je connais de réputation, ça fait bander vite. Mais j'ai envie d'uriner, je ne vais pas pouvoir me retenir. Greg me montre une pilule.

- C'est avec ça que l'on va te baiser toute la nuit.

Je sais qu'une fois qu'ils l'auront avaler, ils me violeront immédiatement. Il faut que j'aille au petit coin avant.

- Greg, pitié, il faut que j'urine.

- Tu as envie de pisser?

Honteuse je lui réponds quand même.

- Oui.

- Tu peux te retenir?

- Non.

- D'accord, relève-toi.

C'est difficile de se remettre debout quand on est restée agenouillée aussi longtemps. Je force sur mes jambes, une fois debout je le regarde, suppliante. Il me sourit. Je sens que ça va être dur à entendre.

Mais il ne dit d'abord rien. Il se contente d'accrocher la laisse au collier. Greg fait un signe de tête, Meyer m'enlève les menottes, les deux. Cela me soulage, je sens le sang de nouveau passer dans mes deux poignets. Mais ce petit plaisir est de courte durée.

- Tu es une chienne, notre chienne, c'est bien ça?

Greg me regarde droit dans les yeux. Je soutiens son regard deux secondes et je baisse les yeux.

- Oui.

- Dis-le.

En plus ce monstre m'humilie... me force à m'humilier...

- Je suis votre chienne... à tous.

- Bien, alors on va aller te faire pisser, comme une chienne, à quatre pattes.

- Greg, pitié, pas comme ça...

Rien que à son regard je comprends que j'ai intérêt à obéir. Je me mets alors à quatre pattes, en m'excusant.

- Pardon Greg. Pardonne-moi.

Il flatte mes cheveux plein de sperme.

- C'est bon pour cette fois.

Greg tient la laisse en main. Il donne un petit coup, me faisant comprendre qu'il veut que j'avance. Il avance de quelques pas, je le suis. Ça fait rire Meyer.

- Dressage express, elle a vite apprit à marcher avec une laisse.

- C'était juste une petite chienne qui s'ignorait! Renchérit Jérôme.

Je me remets à pleurer, silencieusement, honteuse.

- C'est vrai Clo?

La question vient de Greg. Je réponds ce qu'il veut entendre

- Oui.

Un coup de pied, heureusement pas trop puissant atteint mon sein gauche, me faisant pousser un petit cri de douleur. Greg reprend.

- Une chienne ça ne parles pas. Ça aboie. Alors tu répondra en aboyant tant que tu auras cette laisse. Compris?

- Ou... Ouaf! Ouaf!

Je pleure plus fort devant ce qu'il vient de me faire faire. On m'aurait dit cela il y a encore quelques heures, jamais je n'aurais cru pouvoir tomber si bas. Il tire de nouveau sur la laisse.

- Voilà, c'est bien, tu es une bonne chienne. Allez Clo, on va faire ses besoins.

Meyer ouvre la porte, et on sort dans le jardin. Eux debout, moi marchant à quatre pattes.

On s'arrêtent au milieu du jardin.

- Vas-y pisse. Mais dans cette position.

Je lève la tête pour le regarder de nouveau, mais son regard me fais comprendre que je ferais mieux de ne rien dire. Ni de rien aboyer... J'ai du mal, mais j'y arrive. Je force, mais j'ai tellement envie que rapidement mon jet d'urine sort. Mais les dernières gouttes, m'inonde le sexe, les cuisses, sous leurs rire tellement humiliant. Greg sort son sexe, il s'agenouille devant moi.

- A mon tour, ouvre la bouche.

J'obéis, il va de nouveau se faire sucer. Je referme la bouche doucement, faisant un embout complètement hermétique. Je commence à le caresser de ma langue.

- Ne te sers pas de ta langue. Je vais me débrouiller seul. Par contre si une seul goutte s'échappe, je te coupe le clito à vif.

Je frémis à sa menace, je sais qu'il tiendra parole. Je suis un peu rassurée, au moins, il ne jouira pas sur mon visage. Même si le fait de devoir avaler ensuite est horrible.

Je reste immobile, sa saucisse molle dans ma cavité buccale, attendant qu'il commence le viol de ma bouche et de ma gorge. Mais ce qu'il va faire est pire, bien pire. Je sens un petit jet de liquide chaud dans ma bouche. Au début je me demande comment il a put éjaculer sans bouger. Puis le goût envahit ma bouche. C'est salé et amer. Le salaud vient de m'uriner dedans. Je ne sais pas comment je retiens un haut-le-cœur, j'aurais sans doute dut manger aussi mon vomis. Le goût est salé, mais aussi amer, horrible, sans parler de l'humiliation, la honte. Mais sa menace de me couper le clito trotte dans ma tête. J'ai le choix, boire son urine dégueulasse ou me faire exciser. J'hésite, puis je choisis la première solution. Je suis désespérée, mais j'avale. Je manque encore tout vomir, je fais des bruits de gorge, d'ailleurs, comme si je vomissais. Mais heureusement rien ne sort. J'entends la voix de Greg.

- Si tu vomis, non seulement tu bouffe tout, mais en plus du clito, je te coupe les tétons!

Alors quand le deuxième jet jaillit, encore plus consistant, j'avale tout. Petit à petit il augmente le débit, et j'avale, j'avale sa pisse comme la dernière des péripatéticiennes. Quoique ce n'est même pas certain que pour tout l'or du monde, même elle fasse cela...

Quand il a fini, Jérôme le remplace, lui aussi enfonce sa queue molle dans ma bouche. Je referme mes lèvres de velours dessus.

- Tu es entraînée à boire la pisse maintenant, alors pas de chichis!

Lui pisse d'un seul jet, heureusement assez faible pour me permettre de tout avaler. Tandis que je bois son urine à même le flacon. Il urine longtemps, et moi j'avale, j'avale. Je sens à peine Meyer enfoncer son sexe dans mon vagin. Il faut dire qu'il ne bande pas. Mais je ne fais pas la corrélation immédiatement. Quand Jérôme à fini, il se retire de suite. Je tousse, mais pas une goutte d'urine ne ressort. Greg me caresse les cheveux.

- C'est bon, tu es vraiment une bonne chienne, bravo. Par contre chaque fois que tu auras de l'urine dans la bouche, tu as intérêt à avaler sale chienne!

Je ne sais pas si je dois aboyer pour dire merci ou pas, ou même pour dire oui à ses derniers mots. Mais je ne réfléchis pas longtemps à ça.

Je hurle de douleur. Un jet puissant jaillit dans mon vagin. C'est impossible, Meyer ne peut pas uriner dans moi, pas par là! Puis mon hurlement monte d'un octave. Le liquide salé brûle horriblement mes chairs internes à vif. Et le jet est dense, ça me remplit, je sens mon ventre qui gonfle, je suis en dessous de tout. Je vais pour hurler plus fort, mais la libération arrive, je m'évanouis.

Hélas, je ne reste que quelques secondes dans le vapes, les gifles de Greg me ramène aussitôt à la réalité. Meyer est encore en moi, son urine aussi. Quand il se retire, je sens le flot de liquide s'échapper de mon corps. La sensation est horrible, comme si je perds les eaux. Mais ce n'est pas fini, Ils me font mettre sur le dos, ils m'urinent tous ce qui leur reste sur le visage. Il n'y en a pas beaucoup, mais suffisamment pour me tremper la figure, les cheveux et le haut du torse.

- Meyer va chercher un pack de bière, toi la pute, à genoux.

Je regarde Greg suppliante, le corps et le visage couvert d'urine. Je pue, j'ai un goût infect dans la bouche, je me demande quel infamie il me prépare.

- Tu est vraiment trop conne, je n'oublie pas ta punition précédente. J'en rajouterais pour ta lenteur à obéir. Tu morflera pendant trois heures au lieu de deux. Je viens de passer à la durée comme peine. A chaque fois que tu sera rebelle, je rajouterais du temps. Et je te garantis que tu va regretter ta connerie!

Je ne sais pas ce qu'il me réserve, mais je me mets à genoux aussitôt. Meyer revient avec un pack de douze bière. Il en ouvre trois, en tendant une à Greg puis à Jérôme, se gardant la dernière pour lui.

- Pendant que l'on boit un coup, tu va te branler.

- Quoi?

- J'ai dit branle-toi. Et ta durée de punition passe à quatre heures, j'ai horreur de me répéter. Je l'appliquerais demain. Continue à faire ta forte tête, je serais toujours plus fort que toi.

- Mais...

- Cinq heures. Allez continue!

Je comprends que je ne dois rien faire, seulement obéir. Je pleure un peu plus fort, mais il ne faut pas qu'il s'impatiente. Alors je pose une main sur mon sexe, et une autre sur mes seins. Je ne sais pas comment faire, je ne me suis jamais masturbée. Je pleure encore plus fort, il va encore me rajouter du temps de punition. Je pleure tellement que je bave. Quand je lui parle, je sens les filets de bave coller entre mes lèvres qui tremblent.

- Je ne... sais pas...

- Quoi, tu ne t'es jamais fais du bien toute seule sale pute?

- Non...

- C'est vrai tu as toujours eus des bites pour te satisfaire, et ce depuis tes quatorze ans.

Sa remarque me gifle, il sait bien à quel point j'ai toujours eut horreur du sexe.

- Bon d'une main tu te caresse les tétons. De l'autre tu te caresse le clito. De temps en temps tu entre des doigts dans ta chatte que tu fais coulissée. Normalement tu sauras rapidement comment faire. Pour le nombre de doigt, normalement c'est un ou deux, mais toi tu es une telle putain que tu doit pouvoir en mettre trois ou quatre.

Je m'exécute devant eux, mais je ne ressens rien. Je me caresse, mais je reste sèche. Enfin hormis leurs spermes et leurs urines. Ils finissent rapidement leurs première bière, ils en ouvrent une seconde, moi je ne ressent toujours rien, ni de mon clito, ni de mes seins. Mes tétons restent mou, comme toujours. Enfin sauf quand il fait froid. Je continue néanmoins à me caresser, obéissant à Greg, j'ai suffisamment de temps de punition, je vais tout faire pour en éviter plus. Je ne sais pas ce qu'il prévoit de me faire, mais je sais que ce sera douloureux.

Ils finissent leurs deuxième bière. Mais cette fois ils n'en ouvrent pas une autre. Moi en larmes, je continue ma masturbation inutile. Je les vois m'entourer.

- N'arrête pas de te branler sur aucun prétexte. Regarde-nous et ouvre la bouche!

Je ne sais pas ce qu'ils veulent faire, mais j'obéis. Jérôme est dans mon dos, Greg et Meyer face à moi. Je continue à me caresser le clito, mais mon vagin ne s'enduit toujours pas de cyprine. Tout d'un coup leurs urine jaillit. J'ai une seconde la tentation de me protéger, mais je me rappelle aussitôt les menaces de Greg. Alors à part pleurer encore plus fort, je ne fais rien.

Ces monstres m'urinent dessus. Jérôme commence par pisser sur mes cheveux, à l'arrière de mon crâne, avant de descendre sur mes épaules, mon dos et mes fesses. Meyer lui, pisse sur mes seins, et ma main gauche qui les caressent, avant de descendre sur mon ventre, et mon sexe où ma main droite caresse mon clito. Pour finir sur mes cuisses. Greg quand à lui, me pisse sur le visage, les cheveux, avant de viser ma bouche, me faisant avaler toute l'urine qui y entre. Le goût horrible envahit de nouveau ma bouche, ma gorge qui me brûle devant cette accès de liquide très salé. Sans parler de l'humiliation qui est encore augmentée.

Dégoulinante d'urine, je continue de me masturber. Sous leur jets et après la fin de leurs mictions.

- Arrête avec ton clito, mets-toi trois doigts dans la chatte et baise-toi. L'autre main continue avec les seins. Et va à une bonne vitesse dans ta chatte, si tu ne veux pas m'énerver!

Oh non, je ne vais pas l'énervé. Je vais tout faire pour que ce méchant soit contenté. D'une manière ou d'une autre je serais toujours perdante. Alors je vais tout faire pour avoir le moins mal possible.

Je gémis de douleur quand mes trois doigts entrent dans mon vagin tuméfié. Je les fais aller à une bonne vitesse. Greg me sourit.

- C'est bien la pute, continue comme cela.

Mais à part chasser le sperme qui se trouve encore dans mon corps, je ne ressent rien en me masturbant. Mais cela a l'air de leur plaire. Ils admirent le spectacle dépravant que je donne en buvant des bières. Se remplissant de nouveau du liquide diurétique. Et moi je reste sèche. La soif se fait ressentir. Sûrement dut au fait d'avoir avaler tant d'urine.

Ils boivent de nouveau deux bières chacun. Le pack est enfin vide. Moi je me masturbe toujours, en vain, sans aucun effet.

- Merde la pute, tu dois être frigide pour ne rien ressentir!

Je ne réponds pas, pensant simplement dans ma tête. Frigide, tu parles, comment pourrais-je ressentir le moindre plaisir en me faisant violer, en suçant de force des pénis, en me faisant uriner dessus ou en me masturbant tout en me donnant en spectacle. Ils me laissent me masturber encore quelques minutes. Puis Greg intervient.

- Arrête, c'est inutile. Allonge-toi sur le sol, jambes écartées.

J'ai peur qu'ils me violent de nouveau, mais j'obéis, tout sauf augmenter la durée de ma punition, c'est devenu mon obsession.

Mais non, ils ne me violeront pas. Enfin, pas maintenant tout du moins. Ils me surplombent, et de nouveau m'urinent dessus. Meyer urine sur mes jambes et mon vagin. Jérôme urine sur mon ventre, mon torse, mes seins. Greg lui m'urine sur le visage, il me fait ouvrir la bouche et urine dans ma cavité buccale, m'obligeant à tout avaler. Quand ils ont finis, Greg m'ordonne d'étaler leurs urines sur mon corps. Ce que je fais.

J'étale le liquide puant sur moi pendant de longues minutes. Je suis écœurée, dégoûtée, je ne sais pas comment je fais pour ne pas vomir. Puis je pousse un cri, un liquide glacé vient de frapper mon corps. Ces salauds me passent au jet d'eau, me trempant, nettoyant mon corps de leur urine. Tout en m'arrosant, Greg me fait me relever. J'obéis difficilement. Il me passe au jet de partout. Sur le corps, de face et de dos, sur l'avant de mon crâne et sur l'arrière. Pour finir par me faire hurler quand il enfonce le tuyau dans mon sexe, pour nettoyer mon intérieur. Quand il a fini, je m'écroule à quatre pattes, grelottant de froid malgré la douceur de cette nuit d'été. Il en profite pour attacher de nouveau la laisse à mon collier. Je dois rentrer dans la maison une nouvelle fois en marchant à quatre pattes.

Une fois dedans, il flatte mes cheveux mouillée, tout en détachant la laisse du collier.

- Tu as soif?

Je vais pour lui dire oui, mais je me ravise au dernier moment.

- Ouaf!

- C'est bien, tu as compris, tu es une bonne chienne!

Greg va dans la cuisine, j'entends l'eau couler. Je me rends compte que je meurs de soif. En outre l'eau, si elle est froide, calmera sûrement ma gorge en feu. Mais je déchante quand il pose une écuelle remplit d'eau devant moi.

- Pour la bouffe on verra, pour l'eau, je laisserais ton écuelle pleine, tu pourras boire à volonté.

Je ne me rebelle pas. J'avance à quatre pattes, me mets devant le récipient et je lape l'eau. On boit moins bien comme cela, mais néanmoins l'eau me fais du bien. Je suis quand même horrifiée par la facilité avec laquelle il me fait vivre les pires avanies. Surtout que je n'ai pas fini de boire, que déjà il s'agenouille derrière moi et me viole le vagin.

- Ne t'arrête pas pour moi, bois même si je te baise!

Ce que je fais, mais plus difficilement. Il est en effet très dur de laper l'eau en se faisant violer, en prenant ces maudits coups de reins qui font aller votre corps vers l'avant et en gémissant de douleur. Mais je réussis quand même à le faire, en avalant quelques lapées de plus.

Je suis restée à quatre pattes, grognant de douleur, attendant que Greg se vide en moi. Puis ce fut au tour de Jérôme et de Meyer de me prendre. Tous me remplir de leurs semences. Ils m'ont faite rester comme cela. Le sperme dégoulinant de mon vagin, faisant une petit flaque sur le sol. Ils ont pris chacun une de leur fameuse pilule sexe-dure. En les voyant faire, je suis au bord du gouffre. Ils vont pouvoir me baiser des heures et des heures.

Greg est vraiment le chef, il n'y a que lui qui donne des ordres. Mais pourquoi me fait-il subir tout cela. J'aimerais le savoir, mais je n'ai pas le droit de le lui demander. J'ai juste le droit de me taire et de subir. Enfin, j'ai aussi le droit de crier, de pleurer et de souffrir...

Je suis toujours à quatre pattes devant ma gamelle d'eau vide. Mes trois bourreaux s'assoient dans le canapé, sexe dressé. Meyer est en premier, puis il y a Greg et enfin Jérôme. Je ne sais pas lequel sera le prochain à me faire subir différents outrages. Finalement c'est Meyer qui s'y colle.

- Approche la chienne!

Je le regarde, avec encore toute la misère du monde plein les yeux. Je suis trempée de larmes, je pleure encore et toujours. Je bave, j'ai le nez qui coule tellement je pleure fortement.

- Tu es dégueulasse sale pute. Tu as de la morve plein le nez. Essuie avec tes mains!

Bien entendu, je lui obéis. J'ai de la morve plein les mains.

- Lèche-tes mains sale putain!

Je regarde Meyer, mais je ne trouve pas la moindre once de pitié ou de compassion dans son regard. Seulement le mal à l'état pur. Alors je porte mes mains devant mon visage, et j'avale ma propre morve, jusque à ce qu'il n'y est plus rien.

- Bien, c'est mieux. Fais-moi une branlette espagnole. Avec les seins que tu as, cela va être géniale!

« Branlette espagnole »? Je ne connais pas ce terme. Je le regarde complètement perdue.

- Tu ne sais pas ce que c'est?

- Non.

- Tu es vraiment une ingénue! Pourtant vu la putain que tu es, on ne dirais pas. Tu es une putain ou une ingénue, la chienne?

Je le regarde hésitante, ne sachant pas quoi répondre. J'ai peur de me tromper. Puis une réponse me paraissant adéquate paraît dans mon esprit.

- Je suis ce que vous voulez que je sois.

- Bonne réponse la chienne. Pour la branlette espagnole je vais t'expliquer ce que c'est.

Il marque un petit temps d'arrêt, je comprends qu'il attend que je le remercie. Quel monstre, c'est humiliant et horrible de remercier quelqu'un pour les sévices qu'il va vous faire subir.

- Merci de m'éduquer.

Il fait comme si il n'avait pas entendu mon merci.

- Tu mets ma bite entre tes deux seins, tu les tiens serré avec tes main et tu me masturbe. Jusque à ce que je jouisse.

J'obéis. Sa bite disparaît presque entièrement dans mon énorme poitrine. Seul le gland dépasse. Je pose alors mes mains sur mes seins, et je me mets à monter-et-descendre.

Je crois qu'il apprécie, son sourire pervers le prouve.

- C'est très confortable la chienne, à la fois doux et ferme. Bravo, tu as bien compris le geste.

Si ce n'est pas douloureux, c'est horrible de sentir ce sexe entre mes seins. Je fais de mon mieux pour le masturber correctement. J'y arrive très bien, avec cette impression, toujours aussi vivace, de coopérer à mon propre viol. Rapidement un flot de sperme jaillit, inondant mon cou, le haut de mon torse et mes seins. Meyer me félicite.

- Bravo, tu es une brave chienne. Allez, nettoie toi avec tes mains et lèche tout!

Décidément, le fait que je me nettoie avec mes mains et que je lèche doit-être un fantasme pour Meyer. Je lui obéis, je commence à m'habituer au goût de la semence masculine.

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