Les malheurs de Clotilde Ch. 05

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Comme d'habitude je me repose un peu pendant le repas, ignorant alors que mon après-midi me fera descendre encore d'un cran dans les paliers de l'enfer. Par contre là je commence à avoir vraiment faim, je me retiens je ne sais comment les supplier de me nourrir.

Puis de nouveau ils sont au-dessus de moi. Sexe dur, dressé. Jérôme s'allonge sur le sol. Je dois m'empaler sur son pieu. Par derrière. Il me fait me coucher sur lui, mon dos contre son torse. Ils m'ont déjà pris en doublette comme cela. Je me dis que au moins ils ne me violeront pas le vagin à deux. Mais quand Greg remonte mes jambes, et que Meyer les tiens tendus en hauteur, je comprends qu'un truc pas clair va encore se passer. Mais comme toujours je ne vois pas quoi. Je ne m'imagine pas qu'ils vont me torturer d'une façon encore pire que la veille, mon sexe saignant sans discontinuer, pire serait me tuer. Vu comme ils s'amusent avec mon corps, je ne pense pas que ce soit leurs but. Dans l'immédiat du moins... malheureusement...

Quand, cette fois son gland se pose contre mon anus, et que ses doigts se crochent dans mes hanches, je comprends immédiatement ce qu'il m'attend. C'est encore pire que tout ce que j'ai pus imaginer dans tout les cauchemars que je fais depuis que Greg et sa clique s'occupe de moi. Bien pire qu'une double pénétration vaginale ou normale. « Normale » où en suis-je arriver pour penser qu'un viol fait en double pénétration est un viol normal? Je me rends compte que c'est la vérité, l'humain s'habitue à tout, quelle que soit sa condition.

Je les supplies, en pleure, mais rien n'y fait, Greg force par-dessus le sexe de Jérôme, contre mon anus. Encore une fois, il force comme un malade, je le vois à son visage, je l'entend à ses grognements, et surtout je le sent à la poussée contre mon petit trou. Cette fois c'est sur, je n'y survivrais pas. Alléluia, merci mon dieu, même si j'aurais préféré une mort plus douce, un fin beaucoup moins atroce. Comme une crise cardiaque plutôt qu'une double sodomie... Mourir déchirer du cul... quelle infamie...

Moi, je les supplies, et les supplies. Je leurs proposent de l'argent, je leurs demande de me tuer. Mais aucun ne répond. Peu à peu, mon petit trou que je contracte à fond s'ouvre. Puis un craquement sinistre résonne dans la pièce, suivit d'un hurlement non moins sinistre sortant de ma gorge, tandis que la moitié du gland de Greg vient de franchir le barrage de mon sphincter. Le fracassant en plusieurs morceaux. La douleur est telle, que cette fois ma ruade, fais que les deux sexe sortent de mon corps. Greg part à la renverse et s'effondre sur le sol, surpris par ma réaction. Jérôme à mal au sexe, qui s'est légèrement tordu lors du déculage forcé.

J'ai mis une telle force dans ma ruade, que Meyer lâche mes chevilles, mes pieds heurtent alors son menton, le sonnant à moitié. Comme les mères qui réussissent des exploits quand leurs progéniture sont en danger, un regain d'énergie envahit mon corps. J'ai les mains menottés dans le dos, pourtant je me relève d'un bond. Je suis déjà dans les escaliers, quand je les entends sortir de la chambre en courant. Je dévale les marches deux par deux. Je ne sais pas encore où, mais il faut que je fuis. J'arrive à courir malgré mes orifices qui dégorgent toujours de sang. Mon anus se joignant maintenant à mon sexe. Je fonce vers la porte d'entrée. J'essaie de l'ouvrir de dos, mais elle est fermée à clé. Je ne pense à rien, je n'ai pas peur, tout mon cerveau est concentré sur mon évasion.

Je me retourne, mes trois bourreaux sont en bas des marches. Je fonce dans le salon, je franchis les portes vitrées, qui restent ouverte dans cette douce nuit d'été. Je suis dans le jardin, ils se rapprochent. Je courts vers le portail d'entrée. Mais je ne l'atteins pas. Greg tel un rugbyman se jette sur moi. Il me manque, il s'écrase au sol, ses doigts effleurent mes fesses. Une brève seconde je pense pouvoir atteindre le portail ouvert. Mais du bout des doigts, il frappe ma cheville droite. Pas suffisamment pour m'attraper. Mais largement assez pour me déséquilibrer dans ma fuite éperdue et me faire tomber au sol. Je heurte la terre de la tête, je suis sonnée. Je n'ai pas le temps de me relever que déjà, Meyer puis Jérôme sont sur moi. Je reçois des coups de pieds dans les côtes, la douleur me traverse le corps. Pour ne pas changer, je hurle.

Greg arrive, il attrape mon visage dans sa main droite, il croche ses doigts dans mes joues, sa paume sous mon menton. Il me relève comme ça. Je suis en larmes, comme toujours me direz-vous, mais là, je pleure encore plus. Greg approche son visage du mien, qu'il tient toujours dans sa main.

- Je vais te punir pour cela, tu va morfler grave...

- Pitié...

- Mais je ne te dis pas quand, sache juste que ce sera pire que tout. Je te punirais peut-être demain, ou après-demain, ou un peu plus tard.

- Pitié...

- Pitié! Pitié! Tu ne sais dire que ça! Allez on rentre, on a un enculage à reprendre! Tu rentre tranquillement en marchant à quatre pattes.

Il me lâche, je m'écroule au sol. Je me mets rapidement à quatre pattes, et je rentre dans la villa, marchant à côté d'eux tout en sanglotant. Je suis désespérée, épouvantée par sa menace de punition, qui, je sais, il mettra à exécution. Mais au moins, j'ai tentée.

J'ai dut refaire tout le chemin à l'envers, à quatre pattes, y compris les escaliers. J'ai dut remonter sur le lit, où Jérôme s'était de nouveau installé. J'ai dut de nouveau m'empaler sur son pénis et me remettre sur le dos, contre son torse. De nouveau Meyer m'a relevée haute les jambes en les prenant par les chevilles. Mais cette fois, quand Greg remonte sur le lit, je sais ce qu'il m'attend.

De nouveau son pieu se remet contre mon anus déjà occupé par le pénis de Greg, de nouveau, il crochète ses doigts dans mes hanches. Si il doit forcé quelques instant, la moitié de son gland entre rapidement entre mes reins. Mon saignement continue lubrifiant maintenant ce passage autrefois aride. Je reprends alors mes hurlements horrible. Cette fois il est obligé de réellement foré pour entrer son engin en moi. C'est plus fort que moi, je me contracte toujours. Rendant sa progression certes plus difficile, mais aussi ma douleur plus grande. J'ai l'impression d'avoir une batte de base-ball dans mes entrailles, alors que pourtant, il n'y a de rentré que son gland.

Mais cette fois, il a beau forcer, rien n'y fait, il n'avance plus. J'espère qu'il abandonne, mais le connaissant, je ne donne pas beaucoup de chance pour que cela arrive. Pour une fois, je n'ai pas tort. D'un violent coup de reins, il avance dans mon corps. Pas beaucoup, à peine un demi-centimètre. Je hurle comme une malade, la douleur effroyable, fulgurante, qui taraude comme jamais, jaillit dans tout mon corps. J'ai mal du bout des ongles de mes pieds, à la pointe de mes longs cheveux blonds.

Je ressens son sexe en 3D dans mon corps. J'ai l'impression, que comme dans les rois maudits, on me sodomise avec une lame chauffée à blanc. C'est incroyable comme le sexe d'un homme peut brûler une femme sodomisée de force, enfin double-sodomisée de force. Je ne fais plus que deux choses, enfin trois, hurler, souffrir et attendre la mort.

Mais pour l'instant, la mort ne viens pas. Alors je subie l'immonde pénétration du sexe de Greg dans mon anus. En plus de celui de Jérôme qui occupe déjà les lieux. Il progresse difficilement, de la même façon, de grands coups de reins, qui me font ruer et hurler de plus en plus fort. Beaucoup de force, pour peu de progression. Moi, je sent mon intérieur que se déchire, qui s'écarte, qui lui fait place sous son inéluctable progression. A chaque coups de reins, j'ai l'impression d'exploser, que des bouts de chairs se disséminent de partout dans la pièce. Que mon sang repeint la pièce blanche en rouge. Je ne suis plus que douleur et souffrance.

Et lui continue et continue, se moquant de ce que je vie, de ce que je ressent, de la douleur qu'il fait vivre en moi. Au contraire, à son sourire sadique, je vois qu'il est heureux de tout cela. Ce monstre est enfin lui. Adieu la belle façade du gentil collègue de travail et ami homo, bonjour le sadique pervers, le destructeur, le violeur. Moi, pauvre petite chose fragile, je suis désormais la victime de ses plus vils instincts. Il n'a plus qu'un seul but, faire de moi sa chose, son petit animal de compagnie, qui acceptera toutes ses volontés, qui endurera toutes les bassesses.

Je voudrais m'évader, au moins en pensée de ce que je subis, mais impossible, la douleur est trop forte, trop puissante. Trop vivante. Elle pulse en moi, irradie dans tout mon corps. Et grandit, grandit, à chaque coups de reins qui fait pénétrer sa chose encore plus loin dans mes entrailles. Je pourrais vous expliquer, décrire, dessiner, mon rectum, mes intestins, mes entrailles. J'en connais chaque centimètre, chaque recoin, la douleur me permet cela. Et ce fou me donne l'impression d'écarter de son sexe, mes poumons, mon cœur. Que tel une lance, il va ressortir par une quelconque partie de mon corps en me transperçant.

A force de hurler, ma gorge est en feu, mais j'ai tellement mal, qu'il est impossible de me taire. Mon corps dégouline de sueur, je tremble, que dis-je je tressaute. Mon intérieur se défend contre la violent intrusion, mais eux ont l'impression que je leurs branle le pénis grâce aux pulsations affolées de mes parois intimes. Greg prend son temps, savoure, espace ses coups de reins. Mon conduit anal contracté le serre à fond, mais cela reste, pour lui délicieux. Ce monstre me dit que j'ai un trou du cul de velours. Que je sais recevoir et donner du plaisir à un homme.

Finalement il se fiche lui aussi complètement en moi. Tout mon corps est crispé, mon visage déformé, ma bouche grande ouverte sur un hurlement sans fin. Mon anus est dilaté au-delà de ses possibilités. La douleur qui en émane en fait le point central de mon corps. Je les entends rire, ils sont satisfait de ce que je subis, de ma douleur, mais surtout d'être parvenu à enfourné leurs deux sexes dans mon orifice si étroit. Puis l'enfer se multiplié quand, ils se mettent à bouger en moi. Multipliant la souffrance pourtant déjà horrible que je ressens. Ils sont synchrone, ils me défoncent comme si je ne suis plus, pour eux, qu'une poupée gonflable à remplir. La seule chance que j'ai, c'est que vu l'étroitesse du fourreau, ils ne peuvent y mettre toute leurs forces, toutes leurs violences. Mais à leurs gémissements de plaisir, je peux dire qu'ils apprécient grandement ce qu'ils font.

Moi beaucoup moi, les hurlements que je pousse sont si strident qu'ils devraient les faire débander, ou au moins, tellement leurs vriller les tympans, qu'ils devraient me laisser tranquille. Mais non, eux, les trouve délicieux, résonnant à leurs oreilles comme la plus douce des sonates. Les cris que je poussent, les font même me sodomiser plus durement. Ils m'enculent et ils m'enculent sans fin.

Enfin, au bout d'une double-sodomie qui à durée un temps fou, j'entends et je ressens, à leurs gémissements, et à leurs coups de reins plus puissant qu'ils ne vont pas tarder à jouir en moi. Enfin, ils vont sortir de mon corps. Mais une vérité éclate alors dans mon cerveau : Pour combien de temps? Peu sûrement.

Ils éjaculent ensemble, en criant. Leurs semences me brûlent encore plus mes entrailles et mes muqueuses, rendus encore plus sensible par ce nouveau viol anal. Je hurle encore plus fort, mais malheureusement cette fois je ne m'évanouis pas. Quand il a fini, Greg s'effondre sur moi, reprenant, tout comme Jérôme son souffle.

Moi j'agonise tellement j'ai mal. Leurs spermes dans mes entrailles, me donne l'impression, réelle ou pas, que mon ventre est gonflé de leurs semences. Puis ils m'arrachent un nouveau cri d'agonie, qui devient hurlement. Ils déculent ensemble. Mon anus adhère à leur gland, ressortant légèrement en même temps qu'eux, la douleur est atroce, irréel. J'ai un prolapsus, je le sens, c'est horrible, me faisant hurler alors qu'ils sont déjà sortis de moi. Jérôme remet en place, le bout de mon intestin. Ce sera malheureusement sans conséquence vitale... mais les séquelles mes suivront jusque à ma mort...

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