Les malheurs de Clotilde Ch. 13

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L'enfer continue pour les trois héroïnes...
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Partie 13 de la série de 24 pièces

Actualisé 06/15/2023
Créé 12/19/2018
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Cette histoire est basée sur la déchéance d'une femme. C'est violent et difficile à lire pour une âme sensible. Si vous n'aimez pas le genre, vous n'aimerez pas cette histoire, alors inutile de la lire. Ce serait comme commander un gratin aux aubergines dans un restaurant, alors que vous détestez l'aubergine. Vous trouverez le plat dégueulasse, mais ça vous le saviez avant, ben pour cette histoire, c'est pareil. Pour les autres, bonne lecture, car je pense que c'est mon meilleur texte écrit jusque à présent.

Sinon, étant Italien, et arrivé à vingt ans en France, j'ai appris le français parlé, auprès de ma mère qui est française. Par contre pour ce qui est de l'écrit, je l'ai appris à l'école, en Italie, ce qui explique que j'ai pas mal de lacunes. Malgré les correcteurs d'orthographe et les petits trucs de quelques lecteurs, mes textes sont truffés de fautes de grammaires et d'accords, notamment sur le pluriel des verbes, mais aussi de fautes conjugaison. Veuillez m'excuser pour ce souci, que j'améliore à chaque texte. Pour ce que cela rebute, évitez de le lire, si pour vous les accords, la grammaire, la conjugaison, sont plus important que le texte. Je remercie pour leur courage ceux qui me pardonne ces fautes, et me lise quand même. Bonne lecture à vous.

Emma :

Après avoir jouit sur le visage d'Emma, Jeff bande toujours, encore plus d'ailleurs. Il s'agenouille sur le lit, devant sa fille aux trous si accessible. Il fait aller-et-venir son gland entre les lèvre vaginale de la jeunette. Puis il descend et pose son gland contre le petit trou de son enfant. Comprenant ce qui l'attend, Emma se met à hurler derrière son bâillon. Alors un grand sourire éclaire le visage de Jeff, tandis qu'il se met à pousser pour forcer le barrage de la petite étoile plissée.

L'horreur envahit Emma. Ce n'est pas possible. Son père vient déjà de la violer, de la dépuceler par devant. Il ne peut pas en plus lui faire subir cela. Les choses sont faites pour sortir par cet orifice, pas entrer. Son éducation catholique lui fait croire que seul les gays et les salopes se font prendre par là. Elle est une fille bien, son père ne peut pas la sodomiser, c'est sale, trop sale.

L'homme se moque des états d'âmes de sa fille, seul son plaisir à lui compte. Il sait qu'il peut s'aider de ses doigts pour faciliter la sodomie qui s'annonce, mais il ne le veut pas. Il veut la dépuceler sans aucune dilatation, lui défoncer le trou du cul et la massacrer de sa bite. Tant pis si cela lui fait un peu mal à lui, la victoire en vaut le prix. L'enculer oui, mais sans la blesser bien entendu, quoique au final il s'en moque, son jouet doit rester le plus agréable possible pour sa bite le maximum de temps... Puis pour celle des autres, il faut bien respecter le deal.

Alors il se met à forcer, utilisant son engin comme une foreuse. Cherchant à percer l'anus de la magnifique Emma. Tout en forant, il malaxe brutalement les seins de la malheureuse qui hurle comme une folle derrière son bâillon.

Il y met tant de force que son gland franchit rapidement le vain barrage de ses sphincters, s'enfonçant alors d'un seul coup entre les fesses de la pauvrette. Un hurlement inhumain jaillit alors de la gorge de la malheureuse, étouffé par le bâillon... Laissant à l'homme le regret de ne pas l'entendre complètement, mais sa bite vient de perforer le plus étroit des culs qu'elle n'ait connu, ce qui en rajoute à son plaisir, c'est que cet anus qu'il profane, n'appartient à personne d'autre qu'à sa propre fille qu'il vient de violer de la plus horrible des manières.

Ninon :

Si le supplice en dessous de la ceinture s'est accru pour la pauvre et fragile prof, celui du haut à cessé, après que l'amateur de gros nichon est transformé ceux-ci en deux boules de feu ardent. D'ailleurs, après un tel traitement violent, ils ressemblent, maintenant qu'ils ont triplés de volumes, à des montgolfières d'un rouge vivace.

Cependant la jeune femme n'a que peu de temps pour apprécier cette rémission. Pratiquement aussitôt, alors que ses seins sont enfin tranquille, que son attention est monopolisée par ce qui arrive à son sexe tendre et fragile, elle sent se presser contre ses lèvres du haut, un truc chaud, dur, énorme sur l'identification duquel elle n'a aucun doute. D'ailleurs avant la déplaisante pression, elle en a perçu l'odeur. Ce porc n'a pas dut se laver la queue depuis au moins quinze jours et, enduite de sécrétions séchées aux allures de fromage fort, elle exalte un fumet de crasse génitale aigre et pourrissante, qui soulève le cœur de la malheureuse, qui se sait en outre condamner dans un futur proche, à sucer cette bite horrible. Consciente de son impuissance à éviter cette fellation que l'on exige d'elle, Ninon se retire autant qu'elle peut.

Mais l'homme n'en ai pas à son premier viol. Le gland de son violeur proche, se pousse en avant quand elle retire en arrière sa tête. Rapidement le contact s'accroît entre le sexe et les lèvres pulpeuse de la jolie prof. Forçant le passage de ses lèvre, faîtes pour la pipe, mais pas pour cette sorte de fellation. Elle n'a fait que des pompiers à son amant, à son grand amour. Là, elle va être obligé de sucer le sexe d'un homme, que d'une elle n'aime pas, que de deux elle ne veut pas dans sa cavité buccale.

Comme elle refuse farouchement d'écarter ses jolies lèvres, l'homme lui saisit son petit nez entre deux de ses gros doigts. Il serre si cruellement, qu'il lui écrase les cartilages. Autant parce qu'il lui fait un mal atroce, que par besoin d'air, la belle Ninon est obligée, contrainte d'écarter ses belles dents toute blanche et de lui livrer passage... Tout en luttant contre cette bite cherchant à forcer sa bouche, Ninon capte un bout de phrase entre deux de ses agresseurs. « tout cela à cause de sa sœur... ». Elle n'a rien entendu de la conversation avant, ni après, trop occupé à lutter. Mais ce morceau de phrase, auquel Ninon ne fait pas attention dans un premier temps, va la hanter de plus en plus au fil du temps et de son agression.

Emma :

L'enfer s'abat sur elle. Le gland de son père vient d'éclater son sphincter en plusieurs morceaux. Il vient de lui casser réellement le cul. Comme pour sa mère, plus rien ne sera jamais plus comme avant, la pauvre gamine de dix-huit ans en gardera des séquelles atroces à vie. Emma ne s'en doute pas encore, si son père est le premier à violer son petit trou, des tas d'autres emprunteront la même voie plus tard, surement même dans la nuit.

Mais pour l'instant on en est pas là, on en est juste au fait que seul le gland de son père vient de dépuceler son trou-du-cul si étroit et fragile. Il ne fait montre d'aucune pitié. Il force, entre son engin en entier dans le fourreau anal de sa fille. Puis il y va fort, l'enculant comme une vieille pute. Ne pensant qu'à son plaisir, aucunement à son enfant. Quand il jouit en elle, il ne se retire même pas. Il attend juste d'avoir fini d'éjaculer, avant d'entamer immédiatement un nouveau coït.

Moi :

Je hurle quand le sexe du dogue entre dans mon sexe, autant de douleur que de dégoût. Je suis morte, ils viennent de me tuer. Comment ces monstres peuvent-ils faire cela. Prendre du plaisir en me faisant violer par un chien? Rapidement j'ai du mal à penser. Le pénis du dogue est énorme, il me déchire en me pénétrant. Ses griffes labourent mes seins, en rajoutant à la douleur, à l'horreur. Puis quand le chien commence à me défoncer, je ne suis plus alors, qu'une boule de souffrance atroce.

Le chien va vite, le chien va fort, le chien va sans pitié. Je suis sa femelle. Simplement sa femelle. Je mérite maintenant totalement le surnom que mes suborneurs m'ont donné : La chienne. Dix minutes. Pendant dix minutes je ne suis plus qu'une boule d'énergie douloureuse. Déchirée, griffée par un clebs. Je suis rabaissée en dessous de tout, en dessous du simple animal même. Je suis une pute à chien... Surtout que pour mon plus grand malheur, dans un avenir proche et plus lointain, des chiens, je vas en connaître intimement beaucoup.

Ninon :

Comme le sexe de son agresseur est de très belle taille, la fragile petite prof est obligée d'ouvrir grand la bouche afin que le bélier de chair puisse la pénétrer. Alors l'homme, lâchant son nez, crispe sa main dans la chevelure blonde et somptueuse, puis la tire en arrière. Renversant la jolie tête, nuque cassée. Lorsque il tord les cheveux qu'il tient en poignée, sa victime à l'impression douloureuse que son bourreau va lui arracher le cuir chevelu. Des flambées de souffrance irradient dans son crâne, dans ses mâchoires ouverte à l'extrême. Tout naturellement, elle ouvre plus grand sa bouche pour hurler. Tout aussi naturellement, l'homme en profite pour se pousser au fond de la cavité buccale. Son gros gland gorgé de sang bouscule la luette, pénètre l'arrière-gorge, étouffant la fellatrice, qui, en un réflexe automatique referme ses mâchoires.

Cela alors qu'il s'apprête à se servir de la bouche de la fille comme d'un sexe, qui compte bien la baiser au visage. C'est douloureux pour l'agresseur, les dents de Ninon, lui entaillant légèrement la queue. Pas assez pour la sectionnée, mais assez pour entailler la peau. Ce qui le sauve, c'est son sang qui envahir la bouche de Ninon, la répugnant tellement qu'elle ne mordit pas plus profondément le gros sexe. L'homme furieux, se retire alors, Ninon comprend qu'elle vient de faire la première grosse errer de son agression.

Emma :

Jeff sent qu'il est au bout des effets de la pilule qu'il a prit. Il a jouit quatre fois de suite dans le trou-du-cul de sa fille, inondant les entrailles de la pauvrette d'un flot de liquide séminal. Quand il s'est retiré du trou-du-cul de son enfant, il a put voir un geyser de sperme rouge s'échapper du cul cassé et fracassé. Cela, à part l'excité encore plus, ne lui a rien fait. Puis ensuite, les heures suivantes, il ne l'a prise que dans la chatte, à part deux jouissance sur le visage parfait de sa fille, il n'a fait que jouir dans son ventre. Il est certain de l'avoir mise enceinte, le dopant de fertilité qu'il a prit depuis deux jours, lui donne l'assurance à cent-pour-cent d'engrosser une meuf fertile en trois éjaculation interne maximum. Là, il en est au moins à vingt...

Depuis qu'il a cessé de l'enculer, Emma ne hurle plus, ne se débat plus. Elle se contente de geindre de douleur au rythme des coïts incestueux de son géniteur. Quand au son de ses ahanements, elle comprend qu'il se vide une nouvelle fois en elle, Emma gémit plus fort, se remettant à pleurer doucement. Mais cette fois, enfin, il ne la viole pas de nouveau. Il s'allonge contre elle. Emma ne supporte pas le contact de la peau de son père contre la sienne. Elle se met sur le côté, en position fœtale, pleurant toutes les larmes de son corps.

Elle ne réagit quand quelques minutes plus tard, son père se lève. Pas plus quand ensuite, elle entend le bruit de la douche. Emma ne réagit pas non plus quand son père sort de la salle-d'eau, pour revenir dans la pièce. La jeune fille de dix-huit ans ne le voit pas prendre le combiné téléphonique posé sur la table de nuit se trouvant de l'autre coté du lit. Par contre, sans comprendre ce qu'il veut dire, elle l'entend parler au téléphone :

- C'est bon, vous pouvez venir. Envoyez aussi la suite.

Emma est soulagée quand elle entend un bruit de tissu. Son père doit venir de s'asseoir sur le fauteuil en face du lit. Par contre l'horreur l'envahit, quand elle entend la porte de la chambre s'ouvrir, et une voix dire :

- C'est moi, c'est partit pour la fête...

Ninon :

Dans un premier temps, Ninon est soulagée que sa cavité buccale soit vide, même si de la commissure droite de sa lèvre, coule un liquide, dans lequel le sang du mâle se mélange à sa propre salive. Même si ce n'est qu'une petite entaille, sur le moment, c'est très douloureux, ce qui fait que le mordu ne peut se venger dans l'immédiat. Dans un second temps, ce fut de nouveau à elle de souffrir. Le troisième de ces messieurs, celui qui faisait la conversation un peu plus tôt, prend alors la suite du défaillant. Prenant la place toute chaude, mais aussi la défense de son acolyte. C'est-à-dire qu'il règle les comptes. Il est impossible qu'une vulgaire salope fasse sa loi, pas avec lui en tout cas. Il venge son ami à coups de poings, violemment assené sous le plexus de la malheureuse.

Ninon, traitée en vulgaire punching-ball, se casse en deux en criant. La jeune femme est alors redressée par deux paires de gifles à lui décoller la tête, achevées par un coup du tranchant de la main, qui, l'atteignant sur l'arrête du nez, déclenche une nouvelle giclée de larmes ainsi qu'une hémorragie nasale.

À partir de là, Ninon décide de cesser de lutter, quand une nouvelle queue au gland énorme se presse contre ses lèvres. Désespérée la jeune prof se rend compte qu'elle n'est pas la plus forte, qu'il n'y a aucune aide à espérer, mais surtout qu'en continuant à se refuser, elle risque tout simplement sa vie. Sans oublier qu'elle ne se prend pas pour ce qu'elle n'est pas : une résistante, une combattante. Ninon n'est qu'une petite bourgeoise, faible et fragile. La seule chose qu'elle peut espérer en luttant, c'est de se faire martyriser, ses bourreaux arrivant alors à leurs fins. La jeune femme craint la violence, mais encore plus la souffrance, elle a toujours fait ce qui était en son pouvoir pour l'éviter. Le plus simple, le plus sécuritaire pour Ninon, est donc d'être docile, et au besoin, suivant leurs envie, d'être aussi bien salope.

Moi :

Ce maudit chien qui me laboure la chatte, qui me déchire encore plus, me fait hurler à la mort. Ses griffes maintenant plantées dans mes seins, en rajoutant à l'horreur, à ma souffrance. Je le subis comme une pute, sous les rires de mes tourmenteurs, sous les vivas du public. Comment des êtres humains peuvent-ils être heureux de voir une femme se faire prendre par un animal? De la voir subir un tel martyr? De la voir souffrir autant que je souffre?

J'augmente les volumes de mes hurlements, tandis que le canidé va de plus en plus vite en moi. Me détruisant, arrachant les derniers sentiments que j'ai, atomisant mon humanité, me reléguant au simple état de jouet sexuel pour chien... Je veux mourir ou au moins m'évanouir, mais le liquide que m'a injecté ce fils-de-pute de Greg m'en empêche.

Mon sexe explose, se désintègre, quand juste avant de jouir en moi, le chien enfonce la grosse boule à la base de sa pine dans mon vagin. La douleur est telle, que d'abord, j'ouvre la bouche sur un cri muet. L'air manquant dans mes poumons vide, m'empêche de faire un son. Puis le pire hurlement que j'ai poussée jusque à présent sort enfin de ma gorge.

C'est le signe de départ de l'hallali, le coup de revolver d'une course d'athlétisme. Tandis que le chien attend que la boule dégonfle à la base de sa bite, le public se jette sur moi. Une bite s'enfonce dans ma bouche, me violant la gorge. D'autres se branlent au-dessus de moi, pour jouir sur mes cheveux, contre mes oreilles, mes yeux. Tandis que les bites se multiplient pour me violer la bouche, la gorge. S'enfonçant dans ma cavité buccale pour jouir instantanément, m'obligeant à avaler leurs poison. Le pire, au fond de mon horreur, je le sais, c'est qu'il reste un troisième chien... et moi j'ai un troisième trou pas encore visité par un canidé... Je deviens folle en pensant à ce qui m'attend...

Ninon :

Ninon ouvre donc les lèvres, effaçant ses dents dont le contact est désagréable à la queue de l'homme. Le gros gland écarlate plonge aussitôt dans sa bouche, l'homme au contact du moelleux fourreau, pousse un grondement de bûcheron lançant sa hache dans l'entaille d'un arbre. Là, il ne se sert que du manche, si il n'a pas affaire à l'entaille que la femelle porte entre les cuisses, la salive dans laquelle il noie son gros machin, la chaleur du fourreau, la douceur caressante de la langue active, valent toutes les chattes du monde en matière de sensation.

Ninon accroît le plaisir du gros cigare qu'elle fume, serrant bien les lèvres autour du corps de ce dernier, afin d'accroître le contact velouté. L'homme à ainsi l'impression de nique une jeune pucelle, tant c'est tendre, chaud et étroit.

Ensuite Ninon n'a plus qu'à se laisser faire, tant le malotru traite sa tête comme celle d'une poupée suceuse. Se cramponnant des deux mains dans la chevelure blonde, il la baise en bouche, allant à chaque coup de reins, tout au fond de la gorge profonde. Se retirant juste ce qu'il faut, c'est-à-dire sans que le gland sorte des lèvres ventouses. Pour replonger aussitôt, enfonçant son gland dans l'arrière-gorge de la malheureuse. Bloquant sa respiration, l'étouffant à chaque fois, la fellatrice forcée vie un enfer buccale, son visage commençant à se cyanoser en est la preuve vivante.

Pour survivre cependant, la jeune femme doit renverser la tête, pour qu'il la pénètre avec plus de facilité, mais hélas pour elle, aussi plus profondément encore. Sa technique en plus de lui permettre de respirer un peu, a également un autre but, qu'il en finisse vite avant qu'il ne la tue.

Emma :

Dans un marasme psychique totale, Emma, dix-huit ans, tout juste dépucelée de partout par son père, est juste épouvantée qu'un autre homme que son violeur incestueux la voie nue. Enfin, on ne voit surtout que son dos et son cul, ainsi que le sperme rouge qui s'échappe de son vagin et son anus. Elle se demande qui c'est, ce qu'il veut.

Emma entend bien un bruit d'étoffe froissé, mais son cerveau ne fait aucun lien entre le bruit et son futur proche. Emma, le corps secoué par ses sanglots, en position fœtale ne bouge pas, perdue dans son monde, dans son enfer. Elle ne bouge pas plus quand elle sent le matelas qui s'affaisse sous le poids d'un homme montant sur le lit. Elle gémit juste quand une main se pose sur sa hanche et une autre sur son épaule. Elle supplie :

- Pas... plus... papa... peux... plus...

Mais quand les mains la tourne sur le dos, elle sent la peur l'envahir, elle pousse alors un cri d'effroi, fragile défense face à ce qui l'attend. Surtout quand ledit cri est étouffé par un bâillon...

Ninon :

Au bout de quelques minutes, elle voit enfin le bout du tunnel. Elle vit alors la fin de son supplice, mais à quel prix! Saisit par une agitation effrénée, son violeur buccal lui met les lèvres, la bouche, l'œsophage, la gorge de sa victime en feu. Avant de consentir afin, à se répandre dans l'intérieur de sa bouche.

De brusques giclées claquent lourdement contre la luette. Sous la morsure de l'orgasme, les mains de la brute se resserrent sur la tête fragile de Ninon, comme elles le feraient sur la coquille d'une noix qu'elles prétendent écraser. La fragile prof croit sa dernière heure venue, le sperme qui l'envahit, la bite en entier en elle, l'empêche de respirer. Son visage devient violet, ses yeux s'exorbitent.

Imperturbable, l'ignoble individu déverse en elle, son foutre à l'amer saveur. Le liquide épais, salé et visqueux, n'a qu'un avantage, atténué légèrement la brûlure de ses muqueuses à vif. Pendant quelques secondes, la belle prof se retient d'avaler. Puis à la fois pour que l'écume du mâle ne lui ressorte pas par le nez, puis pour pouvoir respirer, Ninon doit se rendre et déglutir. Elle sent alors le liquide gluant couler en elle, tout le long de son tube digestif, atteindre son estomac et l'emplir. Sa répugnance lui procure des crampes violentes, qui manque lui faire rendre, ce qu'elle a été forcée d'ingurgiter. Par peur de ce qui pourrait bien lui arriver, grâce à un farouche effort de volonté, Ninon réussit cette fois à se contenir. Jamais au cours de sa vie, la jeune femme n'a éprouvé un tel dégoût.

Son violeur de bouche la lâche enfin. Mais, si brusquement, que à demi-inconsciente comme elle l'est, son crâne part lourdement en arrière, résonnant de façon sinistre contre le sol. Manquant se fêler.

Moi :

Enfin, le nœud à la base de la bite de mon violeur canin se dégonfle. Le nœud a servi à fermer hermétiquement mon sexe, enfin que la semence du chien ne s'échappe pas de sa femelle, qu'il l'imprègne complètement... Les sexes cessent de me violer la bouche. À ma grande tristesse, car cela veut dire, je le sais, que le troisième clébard va s'occuper de moi. Rien que l'idée de me faire de nouveau prendre par un autre animal me fait vomir, provoquant les rire de la foule.

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