Les malheurs de Clotilde Ch. 14

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Partie 14 de la série de 24 pièces

Actualisé 06/15/2023
Créé 12/19/2018
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Cette histoire est basée sur la déchéance d'une femme. C'est violent et difficile à lire pour une âme sensible. Si vous n'aimez pas le genre, vous n'aimerez pas cette histoire, alors inutile de la lire. Ce serait comme commander un gratin aux aubergines dans un restaurant, alors que vous détestez l'aubergine. Vous trouverez le plat dégueulasse, mais ça vous le saviez avant, ben pour cette histoire, c'est pareil. Pour les autres, bonne lecture, car je pense que c'est mon meilleur texte écrit jusque à présent.

Sinon, étant Italien, et arrivé à vingt ans en France, j'ai appris le français parlé, auprès de ma mère qui est française. Par contre pour ce qui est de l'écrit, je l'ai appris à l'école, en Italie, ce qui explique que j'ai pas mal de lacunes. Malgré les correcteurs d'orthographe et les petits trucs de quelques lecteurs, mes textes sont truffés de fautes de grammaires et d'accords, notamment sur le pluriel des verbes, mais aussi de fautes conjugaison. Veuillez m'excuser pour ce souci, que j'améliore à chaque texte. Pour ce que cela rebute, évitez de le lire, si pour vous les accords, la grammaire, la conjugaison, sont plus important que le texte. Je remercie pour leur courage ceux qui me pardonne ces fautes, et me lise quand même. Bonne lecture à vous.

Pour finir je ne fais aucunement l'apologie de la violence, ni d'ailleurs l'apologie de quoique ce soit. Le viol et tout ce qui est décrit dans ce texte est sévèrement puni dans toutes les démocraties de ce monde, ce qui est une très bonne chose, que j'approuve et soutien complètement. Ce n'est même pas le résultat d'un fantasme, juste une histoire que j'ai eus envie de raconter. En essayant de la rendre le plus proche possible de ce qui est malheureusement une réalité. Je dirais même que ce que font vivre les mafias albanaises ou tchétchène par exemple sont souvent bien pire, avant que les malheureuses arrivent en Europe de l'Ouest. D'ailleurs, l'afflux de prostituées ukrainienne sur le sol des pays d'Europe accueillant des réfugiées, n'est à priori pas toujours volontaire. Elles ne se sont pas dit: super, Poutine nous attaque, allons-nous prostituer à Paris, Rome, Londres ou Berlin. Mais cela la télé n'en parle pas, alors tout le monde s'en moque... Comparée à la réalité, mon texte est presque doux, comparé à la violence, la noirceur et la dépravation de notre monde.

Assurez-vous donc d'aimer ce type d'histoire d'avoir le cœur bien accrocher. C'est violent, âpre, dérangeant, très noir. Mais surtout il n'y a aucun espoir pour les protagonistes, ni douceur. Ce chapitre et les suivants seront dans le même style et du même type que les précédents. Si cela vous a gêné, ne lisez pas ce chapitre. Tous les personnages de cette histoire sont majeurs.

Je tiens aussi sincèrement à remercier Mecdual, pour son commentaire sur le chapitre 13. Il m'a ouvert les yeux sur mon avertissement pas assez explicite et dissuasif. Pour tous ceux qui ont aimés les 13 premier chapitre, merci pour vos bonnes notes, vos commentaire et bonne lecture.

Emma :

Ce n'est pas son père qu'Emma voit. C'est un homme dans la cinquantaine, gros, laid. Le sourire qui barre son visage lui promet un enfer sexuel. La jeune majeure tourne alors sa tête vers son géniteur :

- Papa... que toi... pitié... que toi...

Tout sourire, Jeff lui répond :

- Tu es décidément une belle salope ma fille. Me demander de te baiser... Malheureusement c'est les règles Emma, je t'ai eus, maintenant, il faut que je suive la loi de ce lieu. Désolé, mais à part être spectateur, je ne peux rien faire.

Comprenant qu'elle ne peut attendre aucune aide de son père, Emma tente de se débattre. Mais une paire de gifles qui lui éclate la lèvre inférieur, la calme immédiatement.

L'homme est le responsable de la sécurité de l'hôtel. Il se tourne vers le père :

- Tu me conseille quoi en premier?

- Oublie la pipe, elle suce atrocement mal. À part pour se nettoyer la bite, je ne vois aucun intérêt à enfoncer une bite dans sa bouche. Sa chatte est divine, j'ai adoré la baiser. Mais son cul... putain... son cul, c'est le paradis. À toi de voir... si tu veux commencer par le meilleur, défonce lui le cul, si tu veux finir par le meilleur, alors baise sa chatte en premier.

- Je l'enculerai en dernier alors, je durerais plus longtemps en elle.

Quand l'homme se couche sur elle, la pénétrant en même temps, Emma hurle. Il la déchire encore plus que son paternel. Il est plus long, plus large, plus épais. Mais surtout plus méchant...

Ninon :

Lorsque elle revient vraiment à elle, les yeux toujours bandés, Ninon se dit qu'elle a donc éponger un de ses agresseurs. Que celui qui a vidé ses couilles dans sa gorge, ne doit plus avoir envie. Mais ses kidnappeurs sont quatre... Il en reste donc trois pour lui faire du mal, ce qui n'est vraiment pas pour la rassurer.

L'homme qui lui a violé la chatte avec ses doigts, à cesse de la manipuler quand son premier agresseur l'a forcé à le sucer, puis s'est soulagé dans sa bouche. C'est lui qui la contraint à quitter l'espèce d'inconscience où elle se trouve, à demi-assommée, à demi-étouffée. Ses mains lui saisissent les cuisses, puis elle le sent s'installer entre elles, après les avoir ouvertes. Ninon sent sur elle, le regard sale du mâle qui se régale du spectacle obscène que donne sa chatte ouverte, les lèvres de son sexe gonflés par l'irritation des doigts, son clitoris à vif et sorti de son fourreau par le viol digital.

Puis les doigts épais du mâle tire sur les grandes lèvres, pour mieux voir les petites, mettant deux doigts cette fois pour écarquiller la petite gueule de sa chatte. Ninon gémit de douleur sous l'intromission. Nul ne parle. Les doigts qui l'ont ouverte demeurent immobile. La jeune prof n'en peut plus d'exaspération, d'humiliation. Elle en viendrait presque à souhaiter qu'il en finisse, qu'il la saute, qu'il la viole.

Mais son idée doit être de faire durer. Car ses deux doigts ressortent de son sexe, pour saisir son clitoris trop enflé pour demeurer à l'abri de son capuchon. Il la malaxe alors brutalement, faisant rouler le cylindre de chair avec le geste de qui roule une clope.

Sous l'acuité de la sensation, Ninon est agitée par des soubresauts. Des secousses nerveuses font trembler ses membres. Elle gémit comme un petit animal martyrisé. Cette fois les hommes rirent. Le salaud qui la tourmente insiste en pinçant le fragile clitoris avec une grande cruauté. En vérité, Ninon à l'impression qu'on le lui écrase, lui ôtant pour l'avenir, toute chance de jouir. Quoique après les viols qui s'annoncent, la jeune prof doutent retrouver l'envie de faire l'amour. Pour elle c'est certain, après eux, plus personne ne la touchera avant sa mort.

Le cri de Ninon devint hurlement, quand son bourreau tire sur le petit morceau de chair, de toutes ses forces, comme pour le lui arracher. Comme pour le retirer de son corps. A la pointe la plus aiguë de la douleur, la jeune femme s'évanouit.

Emma :

La violence de la pénétration, l'explosion de douleur, le sexe masculin qui lui déchire la chatte, tout cela fait que Emma s'évanouit. Cela ne gêne aucunement l'homme qui continue à entrer en elle. Il tourne sa tête vers Jeff, en souriant :

- Fragile ta pute!

- Je te l'ai souvent dit, tu es trop gros.

Cela à l'air d'amuser Jeff de voir sa fille dans les vapes, de voir son corps immobile profaner par un autre homme.

- Peu importe, j'adore aussi baiser une putain évanouit!

Une fois complètement en elle, il se met à baiser la jeune fille de dix-huit ans. La défonçant comme un sauvage, savourant son corps immobile qui se laisse faire.

La beauté de la poupée, la douceur de son sexe, le soyeux de son intérieur, tout cela fait qu'il ne la viole pas trop longtemps. Au bout de dix minutes de coïts intense, il sent le plaisir monter de ses reins. Il donne d'ailleurs ses derniers coups de reins, quand Emma ouvre les yeux, pour sentir son violeur se vider en elle, tout en grognant de plaisir.

A peine est-il sortit de son corps, qu'un flot de semence lui inonde l'entre-cuisse. Mais Emma n'a pas le temps de s'apitoyer. Déjà son suborneur la retourne sur le ventre, il se couche sur elle. Quand il commence à sodomiser la fragile jeune fille, elle reprend ses hurlements. Mais hélas pour elle, cette fois, elle ne s'évanouira pas, condamnée qu'elle est, à le subir jusque au bout.

Ninon :

Lorsque la jeune prof revient à elle, un gros nœud lui écartèle la chatte. Ninon comprend alors qu'elle n'en aura jamais finis avec ces brutes. Qui vont l'usée jusque au bout, peut-être même plus encore. Le pieu plonge et replonge en elle, sans prendre la précaution de se guider, ni d'éviter d'accroître ses souffrances.

Collée au sol, la magnifique femelle est crucifiée, le bas de son corps est cloué par l'épieu qui pénètre son vagin, comme si à chaque élan il va la défoncer. Chacun de ses coups de bites, la jeune femme le reçoit comme un coup de poignard, dont, en plus, la lame aurait été portée au rouge.

Ninon est si lourdement et sauvagement violée, que ses genoux se trouvent repliés, que ses cuisses écrasent ses seins fermes. Il la baise à la façon d'un forgeron battant le fer tant qu'il est chaud. Ninon à tellement mal, qu'elle est certaine d'être gravement déchirée, pire, ce monstre va la rendre infirme, en attendant pis, car il est impossible à une femme d'être plus ouverte sous un homme.

Martelée, Ninon sent et ressent chacun des coups de queue qu'il lui porte, dans tout son corps, jusque dans sa tête. Jamais elle ne s'est sentie aussi femelle, c'est-à-dire esclave, objet, victime. Il n'a aucune pitié pour elle, pour son corps, pour son vagin fragile. Il la défonce de plus en plus vite, de plus en plus fort. Ses seins volent en tout sens, quand pour mieux voir le beau visage de sa victime, son violeur s'appuie sur ses avant-bras. Cessant d'écraser la magnifique poitrine de la jeune prof, les libérant de son poids.

Quand ce sale porc décharge enfin en elle, le sexe de Ninon est tellement incandescent de souffrance, qu'elle en éprouve presque comme une impression de délivrance. Si ce n'est que ne prenant pas la pilule, ce bâtard risque de l'engrosser. Néanmoins ce geyser de foutre lui fait croire qu'une lance à incendie déverse son jet vigoureux sur du métal surchauffé, voir presque en fusion.

Ce très très faible bien-être ne dure pas. Du moins lui permet-il de souffler un peu, tandis que son violeur vide le contenu de ses couilles en elle, à n'en plus finir. Au rythme des éjaculations de son violeur, Ninon continue à pousser de petits gémissements de douleur. Rien à voir avec les cris qu'elle a poussée durant son viol, des plaintes accompagnant chaque violence dont il l'a perforé, blessant à chaque fois, de son trop long braquemart, son utérus si fragile.

Quand enfin il se retire sans précautions de son corps, la belle prof se rend compte que la queue qui vient de se vider en elle, est toujours aussi dur et longue. Prête à la labourer, à la forcer, à la maltraiter de nouveau. Même si elle vient d'en essorer deux, Ninon se décourage, il est fort possible que certains, voir tous, recommencent à la violer par l'un ou l'autre trou, après avoir éjaculer en elle.

Emma :

Comme les autres femelles de la famille, Emma souffre beaucoup ce soir. Totalement vierge et heureuse quelques heures plus tôt, elle se retrouve baiser par un homme vieux et gros qui la taraude de son pal énorme. La jeune fille de dix-huit ans n'aura jamais connu les joies du sexe consensuel, le bonheur de faire l'amour avec l'homme que l'on aime. Au lieu de cela elle ne connaîtra des choses du sexe, que la partie la plus abject, la plus sombre, la plus noire : le viol. Pas le viol simple, qui ne sert qu'à vider les couilles de l'agresseur. Pour elle ce ne sera que des viols sauvages, méchants. Qui cherchent en plus du plaisir sexuel de l'agresseur, à faire mal, à détruire, à anéantir.

Quand il jouit dans son ventre, envoyant encore plus de sperme à sa matrice fertile, l'homme se retire encore dur. Il la retourne comme une crêpe, malgré la résistance inutile d'Emma, la pauvre fille se retrouve à plat-ventre. Il se couche sur elle et l'encule. Lui, encore plus que son père, est bien trop gros pour elle. Il lui casse littéralement le cul. Ce qui sera bientôt un signe de reconnaissance, un peu comme une marque de naissance, pour la tante, la mère et la fille.

Il y va fort, il y va loin, très loin, trop loin. Il transforme son cul serré et étroit, en celui d'une vieille putain. Tout en l'enculant, il a ses deux mains sous leurs corps. Il en profite pour malmener les seins fabuleux de la jeunette. Ce n'est pas la première femelle qu'il force, ce ne sera pas la dernière non plus, mais il doit bien avouer une chose, malgré tout les canons qu'il s'est fait, Emma est de loin la plus belle et la mieux foutu. Cette pute, en plus d'être une bombe atomique, est un vrai bonbon délicieux à violer.

Quand enfin il se retire de l'anus détruit, il remet Emma sur le dos. Il s'assoit sur son torse, lui ouvre la bouche de force et s'enfonce dedans. Le goût du sperme, de son sang et de sa merde, envahit immédiatement la bouche au palais délicat d'Emma. L'homme n'en a cure, il ira jusque au bout. Lui faisant avaler sa semence.

C'est une bite propre qui sortira des lèvres de la jeune fille. L'homme se lève et va se rhabiller. Dès que la place est libre, le père d'Emma, exciter comme un pou par la vue du viol de son enfant par un autre homme, monte sur le corps agonisant de douleur de sa fille, et pénètre la chatte de la jeune majeure.

Une fois vêtu, l'homme regarde quelques instants le viol incestueux, se disant qu'il reviendra goûter aux joies de cette chienne si bonne et douce à baiser. Il hésite même à attendre que le père est fini pour se faire de nouveau le cul serré de la fille. Mais au lieu de cela, juste avant de quitter la pièce, il lance :

- Bon, je retourne bosser. J'ouvre la case de ta chienne. Mais je reviendrais me la faire. Cette putain est trop bonne, elle va plaire!

Ninon :

Quand son violeur la laisse, une seule chose vient à l'esprit de Ninon, le petit bout de phrase qu'elle a entendu plus tôt : Tout cela à cause de sa sœur. La belle prof se jure, qui si sa sœur, et c'est probablement le cas, est la cause de tout ses tourments, alors elle le paiera. Elle le paiera cher. Mais en attendant, la suite de son calvaire la tire de ses pensées.

Quand elle est retournée fesses à l'air, la belle prof comprend que cela va recommencer. Elle offre à leurs vues sa formidable, son harmonieuse chute de reins. Un nouveau mâle s'installe entre ses genoux, les écartant sans aucune douceur. Mais sans, non plus, qu'elle oppose de résistance. Ninon à renoncée à les combattre, elle sait qu'elle se laisse faire ou pas, le résultat sera le même, ils l'auront. La seule différence sera la souffrance qu'elle ressentira sous leurs coups.

Son troisième violeur, sans doute mis en appétit par tout ce que ses deux copains lui ont donné à voir, se montre aussi brutal que le précédent, mais plus rapide. Il faut préciser, que le cul qu'elle lui montre involontairement, bien malgré elle, est d'un érotisme fou. Il a une cambrure, une masse joliment séparé en deux par un profond sillon, une chair d'un tel éclat, qu'un eunuque en aurait bandé rien qu'à le contempler. Hélas pour elle, l'amateur n'est pas impuissant, ni, il le prouve, incontinent.

Pleurant, sanglotant, Ninon se laisse violer par cette troisième bite. Le désir lubrique le possède à tel point, qu'il prend la femelle comme un lapin. Puis, au bout de quelques minutes d'une défonce sauvage, il se retire et tourne sa victime de côté, la contraignant à prendre la position du fœtus, il fait saillir exagérément le postérieur et la motte de la salope. Puis pressé, il s'emboîte littéralement en elle. Avec une vigueur définitive, qui fait crier de douleur Ninon, il propulse au fond de la gaine, lubrifiée par son camarade, son trop dur et trop long mandrin.

Cette fois encore Ninon a très mal, ses hurlements, son visage déformé par la douleur, le prouvent. Une douleur en provenance de son vagin, comme elle commence à en avoir l'habitude depuis son enlèvement. Cependant, la position qu'il a fait adopter, à sa partenaire contrainte, est une de celle qui permet la pénétration la plus profonde d'une bite dans un vagin. La belle prof, à de nouveau, mais en plus aigu, l'impression horrible, d'être enfilée jusque au entrailles par un épieu rougit.

Naturellement, sous les sensations que son viol lui donne, elle hurle de plus en plus fort. Sans que cela ne ralentisse son agression. À chaque fois, pour faire plus de mal, son bourreau retire presque entièrement, sa queue, de la gaine qu'il déchire. Qui fait emplie de sperme qu'elle est, des bruits de clapotis puis de succions, fort agréables à l'oreille des violeurs. Il s'enfonce alors, d'un seul coup, tout du long, jusque à ce que son dur pubis rencontre, heurtant avec violence, les grandes lèvres épanouies et distendues.

Les hurlements que leurs putain poussent, réjouissent les oreilles des quatre ravisseurs. Trois d'entre eux s'amusent, riant, devant le spectacle de la belle prof violée, tandis que celui qui la couvre, cramponné à sa magnifique chair pulpeuse, la laboure à tout-va, rendu littéralement fou par l'étroitesse et la douceur du fourreau qu'il pourfend, mais surtout pressé de vider ses bourses dans ce corps si accueillant.

En gardant ce rythme, l'augmentant d'ailleurs encore, il n'est pas long à éjaculer en elle. Cambré contre les fesses qu'il écrase à la façon d'un marteau-pilon, il se secoue, pris de frénésie, ébranlant la jeune femme jusque au tréfonds. Puis son sperme gicle, Ninon est si irritée, qu'elle le reçoit comme un choc. Elle aurait été consentante, la prof aurait eut le plus puissant des orgasmes, mais là, la semence la brûle atrocement, la faisant gueuler comme jamais jusque alors. Et dieu sait qu'aujourd'hui, elle a gueulée.

Moi :

Je ne vous décrirais pas ce que je ressent, ni la douleur, ni la honte. Je ne vous décrirais pas non plus plus les hurlements que je pousse quand le chien entre en moi, me détruisant l'anus. Je ne peux pas vous décrire tout cela. Non. Je n'ai pas les mots. Ses griffes plantés dans mes seins, le canidé me sodomise, me détruisant l'intérieur. Je ne peux pas plus vous décrire précisément, l'effet que fait son sperme en jaillissant dans mes entrailles, ni quand sa boule, son nœud à la base de sa bite, entre dans mon anus, détruisant ce qui reste à détruire.

Le douleur est telle, que je délire. Je ne suis plus que souffrance atroce. Son nœud me ferme hermétiquement, empêchant sa semence et mon sang de sortir. Quand enfin, au bout d'un temps plus long que l'enfer, il sort de moi, me faisant gueuler comme une truie, je ne suis pas soulagée. Je sens des litres se vider de mon anus. Je sens mon trou-du-cul rester grand ouvert, ne se refermant pas. Je sens comme un vent fort, que fait l'air, en entrant en moi.

Puis on éloigne le chien, on me détache. Mais je n'ai pas de répits, tous se jettent sur moi, me pénétrant en se moquant de la présence de sperme canin dans ma chatte et mon anus. Trop épuisée pour hurlée, c'est en silence, la bouche grande ouverte sous un cri muet, que je me fait prendre plusieurs fois, dans tous mes trous, par la foule ayant assisté au spectacle. Je n'espère juste qu'une chose, la même chose depuis des jours... qu'enfin, l'on me tue.

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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus d’un an

Vivement la suite !

SalomeDSalomeDil y a plus d’un an

Splendide, j'adore l'histoire et l'auteur. Merci pour cette saga.

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