Les malheurs de Clotilde Ch. 16

La jeune et magnifique prof a atrocement mal. L'impression puissante d'être ouverte en deux, demeure en elle, se faisant de plus en plus présente. Elle est persuadée que son cul va se déchirer, d'abord en sa rosette, puis se fendre en deux, à la raie des fesses. Une douleur si lancinante la cisaille, qu'elle en devient folle. Son supplice grandit au rythme dont il la fout, la sodomisant comme jamais elle ne l'a été.

Aujourd'hui tout est différent de ce que Vladimir lui a fait connaître. On lui casse littéralement le pot, sans préparation, ni lubrification : à sec! Sans amour, cela va sans dire, mais surtout sans précaution, son bourreau se moquant des dégâts qu'il peut faire. En plus le fait d'être sodomisée aussi violemment, contre son gré, fait que ses muscles ne se prêtent pas, que son trou n'est pas prêt à s'ouvrir pour accueillir une bite désirée.

Alors elle fait ce que toutes femelles font dans le même cas : elle hurle et elle pleure. Elle sent qu'il la fissure, qu'il l'a fait saigner. Son cul héroïque subit ce pal redoutable, sans pitié, jusque à la lie. Ninon a beau être une fille courageuse, après avoir eu l'impression que l'on visse en son fondement, un mandrin porté au rouge, qui détruit toutes ses entrailles, elle s'évanouit. Ce fut entre des fesses inertes, qu'après une dizaine de minutes d'une sodomie sauvage et destructrice, que l'ignoble éjacule.

Je précise qu'il ne le trouve pas moins délicieux pour autant. Foutre au cul une fille entièrement matée, qui se laisse faire comme un cadavre, cadavre aux intestins onctueux, à la température anale élevée, au muscle anal résistant qui fait à la queue un anneau serré, est très excitant. Aussi sa lave bouillonnante n'en jaillit qu'avec plus de virulence. Il trouve, dans les réserves de ses couilles durcies, de quoi lui emplir l'abdomen, comme si il lui injecte un lavement d'un litre.

Lorsque le butor s'arrache, après avoir grondé de jouissance, comme Tarzan au clair de lune dans la jungle, Ninon revint à elle, en beuglant, tant la nouvelle douleur qui la poigne au rectum est aiguë. Elle a eu l'impression, au fond de son inconscience qu'on lui arrache la pastille. La queue dure et noueuse, qui se retire de son corps, après l'avoir sauvagement sodomisée, est encore plus douloureuse, après de longues minutes de sodomie, que l'intromission. Tant son intérieur est maintenant ravagé.

Ninon fait ensuite semblant de s'évanouir de nouveau, demeurant immobile, feignant l'inconscience pour ne pas éveiller de nouveau leurs intérêt. Sous ses fesses, elle sent la frêle lingerie qu'ils lui ont arrachée, toute humide déjà de leurs semences. À laquelle vient se mêler celle qui s'échappe de ses ouvertures outragées et profanées. Elle se sait, se sent sale, souillée surtout. Elle qui est d'une propreté presque trop méticuleuse, n'ose pas imaginer l'état de dégradation dans lequel ils ont mis son corps, sa chatte, ses fesses. Ninon est devenue une femelle, un morceau de viande, emplie du jus des mâles. Elle vient de connaître le sexe dans ce qu'il a de plus ignoble, connu des viols en chaîne. Elle se réconforte en se disant, que au moins maintenant, elle peut tout endurer. Hélas pour elle, la jeune et belle prof ne sait pas combien elle est loin de la vérité.

Emma :

La jeune fille de dix-huit ans maudit les pilules que prend son père. La veille, il l'a violée uniquement dans le sexe pendant six heures, éjaculant à de multiples reprises. Puis après un repas qu'il a pris seul, la laissant dans la faim et la soif, il a fait une petite sieste d'environ une heure. Avant de la violer de nouveau pendant six heures. Cette fois elle a eu droit aussi, à deux sodomie, et une fellation. À chaque fois, matin comme après-midi, il a jouit dans son ventre, ses entrailles, sa gorge. Uniquement à l'intérieur d'elle.

Le cours d'aujourd'hui, a été basé sur le serrage de son vagin quand une bite d'un mâle est en elle. À force de coups, de violences, mais aussi avec l'appui de vidéo où des femmes de dix-huit à quarante ans, de toutes nationalités ou couleurs de peau, sont sauvagement prises par tous les trous. En plus des coïts forcés et violents, elle a pu voir des ongles arrachés, des doigts ou des orteils brisés, des clopes s'éteignant sur le corps ou la langue des malheureuses. Son père lui faisant bien comprendre, qui si elle n'apprend pas avec lui, la même chose l'attend à elle. Alors malgré toute l'horreur et la révulsion de ces viols incestueux, Emma fait de son mieux pour apprendre.

D'ailleurs le gros homme qui vient de la violer pour le test, jouissant dans une capote dont il lui a fait avaler la semence à l'intérieur, paraît satisfait.

- Bien ta fille apprend vite. Niveau sensation, elle se sert parfaitement de son vagin. Elle serre parfaitement, au bon moment, j'adore.

- Oui, c'est une bonne élève et une belle salope. Il faut aimer cela pour apprendre aussi vite!

- Parfait, si demain elle apprend aussi vite, si elle apprend comment sourire et simuler, elle aura deux jours d'avance. Un record.

- Emma va apprendre, ne t'en fais pas. Ensuite je passe à la sodomie. Si elle a toujours de l'avance, on pourra même lui apprendre le DP et le TP en plus.

- Ce serait génial.

L'homme sort de la pièce. Son père la force à se coucher sur le ventre et l'encule. Au milieu de la douleur, Emma se demande ce que DP et TP veut dire. Mais elle sait une chose, cela ne sera pas bon pour elle.