Les malheurs de Sophie - Chapitre 02

Informations sur Récit
Quand l'assistante "rencontre" l'un de ses collègues.
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Récit n'a pas de balises

Partie 2 de la série de 13 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 08/03/2020
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LES MALHEURS LORS D'UNE PROMENADE A LA CAMPAGNE

Marcel Paulus, une connaissance de M. Christophe, est un chef de production travaillant dans la même entreprise. Proche de la soixantaine, il a la particularité d'habiter le même village que celui de l'adjointe, à 300 mètres de la maison qu'elle loue avec son fiancé.

Elle ne l'apprécie d'ailleurs pas et bien que le croisant au boulot ou dans la rue, lui dit rarement bonjour. Il est vrai que l'intéressé, célibataire, a la réputation d'être un sacré pervers. Il ne se gêne pas pour reluquer les charmes délicats de la subordonnée.

Le Directeur n'a pas manqué, il y a trois jours, de proposer au vieil homme de faire une balade en forêt. Flatté d'une telle marque de sympathie de la part de celui qui est son patron, il a accepté avec empressement cette invitation aussi amicale que surprenante.

Rendez-vous est donc fixé au dimanche matin.

Une idée est en effet venue à son boss. Celui-ci veut profondément avilir sa jeune assistante, qu'il présente désormais à tous comme étant sa secrétaire particulière.

Disposant désormais du numéro de mobile de sa subalterne, il la contacte le samedi vers midi. Il sait qu'elle est seule le lendemain, un jour qui s'annonce des plus ensoleillé.

Le téléphone sonne et la jeune femme décroche, angoissée à la vue du numéro apparaissant sur l'écran.

- Comment va ma suceuse adorée? Toujours aussi salope? commente cyniquement son patron.

- Bonjour Monsieur, murmure timidement Sophie. Un moment d'inquiétude vient de la saisir.

- Demain matin, je vais faire une promenade dans les bois de ton village et tu m'accompagneras. Tu porteras une paire de baskets de marche, de petites chaussettes et une longue veste.

- Et pour les vêtements?

- Tu ne m'écoutes pas, espèce de sotte! Je t'ai dit des chaussures, des socquettes et une vareuse, et c'est tout! Rien d'autre! Ne me désobéis pas ou tu le regretteras. Je passe te chercher à 10h.

Son supérieur bande déjà, rien qu'à imaginer le scénario qu'il a concocté tout au long de la semaine. Le jeudi, il a acheté une petite caméra numérique de pointe, qui peut prendre des photos de manière régulière, même en marchant. Tout comme si l'on veut filmer l'une ou l'autre scène. Le vendredi soir, il a été chez un ami médecin, vétérinaire de profession, qui lui a fourni un puissant aphrodisiaque. Et le dimanche tant attendu arrive. Le boss a préparé, juste avant de partir, trois bouteilles d'eau minérale remplies avec ce produit stimulant le désir féminin.

Le jour s'est levé sans le moindre vent, avec une légère couverture nuageuse. La journée s'annonce parfaite, belle et chaude. Bien sûr, dès l'arrivée de la voiture de son chef, la porte du garage s'ouvre et Sophie s'engouffre dans l'automobile, ne voulant évidemment pas attirer l'attention de son seul voisin, qui habite à moins de 30 mètres.

Elle a fait exactement ce que son patron lui a ordonné, ses jambes apparaissant entre ses chaussettes jusqu'à quelque part sous la longue vareuse qu'elle a enfilée.

- Bonjour! Tu as l'air en forme?

La jeune femme s'est installée sur le siège passager en faisant attention de ne pas laisser la veste remonter sur ses cuisses. Assise, elle enfonce ses mains entre celles-ci, après avoir tiré la gabardine jusqu'à la butée. Son employeur savoure le grand moment de gêne et de solitude vécu par son aidante, dont les joues s'empourprent :

- As-tu fait ce que je te l'ai ordonné? Que portes-tu sous ta gabardine?

- Rien, comme vous me l'avez demandé! crache-t-elle.

- Bien, maintenant tire le vêtement vers le haut pour ne pas t'asseoir dessus! Je te veux fesses nues sur le siège en cuir.

Sophie obéit, laissant à son Directeur le plaisir de voir le côté de son joli cul.

- Aujourd'hui, poursuit celui-ci, tu vas faire exactement ce qu'on te dit et tu te tairas. Tu ne nous parleras pas et tu ne répondras que si nous t'adressons la parole. Tu as compris?

- Nous? s'inquiète l'assistante, interloquée.

Et son supérieur de prendre un air faussement naïf :

- Je ne t'ai pas dit que j'avais un ami qui allait venir? Je suis sûr que cela ne te dérangera pas. Et puis, tu n'as pas le choix.

Les routes sont relativement calmes. Afin de ne pas dévoiler le nom de l'invité-surprise, il entreprend de faire quelques détours et, profitant d'un petit parking désert, M. Christophe demande à sa subalterne de sortir de la voiture et de passer sur la banquette arrière :

- Il y a un paquet sur le siège situé à ta droite. Ouvre-le et enfile sous ta vareuse la tenue qui s'y trouve. Tu boiras aussi la bouteille --de suite et sans t'arrêter- posée à côté du colis.

Elle s'exécute et une fois la boîte déballée, découvre avec stupéfaction un bikini, ou plutôt un micro bikini, couvrant uniquement les aréoles de ses seins et dévoilant totalement ses globes fessiers, hormis une ficelle séparant ceux-ci. Le pubis, par contre, est plus au moins protégé. S'amusant des contorsions que son auxiliaire fait pour ne pas dévoiler ses charmes tout en enfilant le vêtement indécent, son patron peut apercevoir sa toison et ses seins, avant qu'elle ne remette son manteau. Comme demandé, elle boit également l'intégralité du pichet d'eau.

Le patron redémarre et prend cette fois la rue concernée, se garant devant une maison que la fille reconnaît immédiatement. Son collège Paulus attend d'ailleurs dehors, près d'une barrière ouverte vers l'extérieur. La demoiselle se liquéfie à la vue de cet homme qu'elle déteste vraiment... Et son chef de faire les présentations :

- Sophie, voici Marcel ; Marcel, voici Sophie. Vous avez certainement dû vous croiser au travail.

- Bonjour, Sophie.

- Bonjour, Marcel.

Directement, son chef la reprend vivement :

- Ce n'est pas Marcel, c'est Monsieur. Et comme moi, il peut te tutoyer mais toi, tu dois le vouvoyer. C'est le privilège de l'âge.

- Bonjour, Monsieur Paulus, répond timidement l'adjointe.

Le vieux type porte un frigo box et un panier. D'une voix joyeuse, il précise qu'il n'a pas oublié le pique-nique.

Le véhicule se remet en route, et la jolie fille voit le sourire du chef de production dans le rétroviseur. Le silence est total, chacun se perdant dans ses propres pensées.

Le village est déjà loin et l'auto s'engage dans un chemin agricole menant vers des champs à perte de vue. La campagne est douce, avec des vallons, de l'herbe coupée court et des maïs déjà grands. Des haies bordent la route en terre, créant un effet d'édredon.

Des arbres se dressent au-dessus de l'allée, lui donnant un aspect de cathédrale. Le soleil brille sur la voiture qui s'arrête dans un espace ombragé. Tout paraît calme et tranquille.

Le Directeur prend alors la parole :

- Nous allons marcher à partir d'ici, et monter lentement à travers les buissons vers une colline peu connue et rarement empruntée. Le paysage est splendide et bucolique, vous verrez!

Tous sortent. Les deux hommes en tee-shirt et en short, et la secrétaire sur-habillée avec sa veste inadaptée pour cette magnifique journée. Le chef de production mate les jambes de son ingénue collègue, heureux de ce spectacle étrange.

Tandis que le boss ouvre le coffre et en sort la caméra numérique achetée récemment, Marcel se saisit de la glacière et de la corbeille. L'adjointe regarde nerveusement les alentours, scrutant ceux-ci afin, évidemment, de s'assurer qu'il n'y a personne.

- Sommes-nous prêts? interroge le supérieur, avant de poursuivre : - Sophie, tu es vraiment sexy dans cette vareuse, mais elle n'est vraiment pas adaptée à un temps pareil. Enlève-la : on va la laisser dans la voiture! Le temps ne va pas changer aujourd'hui.

- Pardon, Monsieur?

- Tu m'as entendu : ôte ton manteau et mets-le dans mon auto.

- Mais je ne peux pas faire cela, pas ici!

- Bien sûr que tu peux et tu vas le faire immédiatement.

En pleurnichant, la jeune femme s'exécute, complètement abattue.

Paulus est au bord de l'apoplexie, tandis que M. Christophe filme toute la scène. Le bas du blazer s'évanouit, tombe des épaules et expose ainsi la totalité du devant de la nymphe.

Après avoir déposé le vêtement sur la banquette arrière, elle est contrainte de vider à nouveau et totalement une seconde bouteille d'eau. Son Directeur l'invite à ouvrir la marche. Le dos et les fesses parfaites de Sophie luisent sous le soleil tamisé. L'étendue de son corps n'est couverte que par la fine ficelle du string qui sépare ses fesses pour se relier à une mince bretelle autour de ses hanches, et au lien de son haut en travers de son dos. Son cul arrondi et pâle est bien sûr complètement exposé. Le chef de production ne peut détacher ses yeux d'une si belle anatomie.

Tout comme son patron, il sent le renflement de son érection qui appuie sur le devant de son short. La secrétaire, elle, est au bord des larmes. La blancheur de sa nudité est brisée par les trois petits triangles couvrant ses points les plus intéressants. Ses beaux seins ont été expulsés, les bouts de tissu reliés par d'étroites lanières ne servant qu'à les souligner. On peut voir leurs courbes tout autour de ceux-ci, qui font ressortir les mamelons, définitivement durs et dressés. Elle est éblouissante avec son ventre encore plat et son nombril parfait. Le minuscule trigone censé caché son pubis est, lui, trop réduit pour recouvrir complètement ses poils pubiens. Elle rougit plus encore lorsqu'elle voit les yeux concupiscents des deux hommes qui étudient chaque parcelle de son anatomie.

Leurs regards se portent sur l'auxiliaire, qui marche devant eux, presque nue, entre les buissons. Ses globes fessiers chaloupent à mesure de sa démarche, tandis que les côtés de sa poitrine bougent légèrement. Paulus observe sa collègue, souriant d'un air idiot.

M. Christophe lui glisse à voix basse :

- Elle n'est pas belle la vie, mon ami? Je vous raconterai toute l'histoire plus tard mais, en attendant, profitez de l'instant présent.

Sophie, elle, se dépêche, regardant craintivement autour d'elle, consciente de sa vulnérabilité. Sa quasi-nudité lui semble primitive parmi les arbres. Son supérieur, lui, continue de la filmer alors qu'elle ouvre toujours la promenade. Après une dizaine de minutes apparaît une trouée. C'est l'endroit prévu par le Directeur pour faire un arrêt :

- Marcel et moi allons nous reposer ici pour manger un peu. Toi, tu vas jusqu'au bout de la clairière et quand tu y es arrivée, tu fais demi-tour et tu reviens vers nous en courant.

Tandis que la jeune femme s'exécute, le vieux pervers s'adresse tout bas à son chef :

- C'est incroyable! Elle fait tout ce que vous voulez. C'est votre esclave?

- Pas encore, mais je suis bien décidé à en faire prochainement ma chienne soumise...

La subordonnée a maintenant atteint le fond de la trouée et revient vers ses tourmenteurs. Son employeur la filme à nouveau, tandis que ses gros seins se déplacent dans les limites de son minuscule deux-pièces. A mesure qu'elle s'approche en courant, les courbes de son corps deviennent de plus en plus claires.

Sur l'écran du caméscope, tout est révélé et lorsqu'elle se tient devant les deux hommes, ceux-ci apprécient le mouvement de sa poitrine, qui rebondit, car le bikini ne peut en aucun cas contrôler chaque mouvement des miches! Ses deux mamelons sont visibles à l'endroit où le haut a été forcé de remonter sur ses seins.

Elle tire à nouveau les bouts de tissu vers le bas. Son corps est en sueur et son chef lui tend une dernière bouteille d'eau : - Tu es trempée! Tiens, désaltère-toi! D'une traite...

Dès que sa subalterne a vidé le contenu de celle-ci, son Directeur poursuit : - Tu as encore visiblement très chaud, Sophie. Il est temps d'enlever ton deux-pièces! Maintenant!

- Mais, Monsieur...

- Tu as entendu : ôte-le! Rappelle-toi ce que je t'ai dit.

Marcel et M. Christophe la fixent et lui sourient, attendant le moment fatidique. Lentement, sachant qu'elle n'a pas le choix, elle passe ses mains derrière son dos, défait le petit lien, faisant tomber le morceau de vêtement et révélant ainsi pleinement ses beaux tétons, parfaitement plissés. Vaincue, elle ne prend plus la peine de les couvrir, sachant que toute tentative est inutile. Elle regarde toujours autour d'elle avec anxiété, mais il n'y a rien d'autre que le bruit des buissons et le léger murmure du vent à travers la cime des arbres. Ses doigts se dirigent alors vers les lanières de chaque côté de ses hanches, dont elle défait les deux sangles. Le string tombe et elle se révèle toute entière dans sa glorieuse nudité.

Elle se tient debout, consciente de son exposition indécente, la tête baissée, les bras relâchés sur les côtés, humiliée devant les deux vicieux, dont l'un est son patron et l'autre son collègue tant haï, tandis que ces pervers la regardent. Les poils du pubis contrastent parfaitement avec sa peau laiteuse et là, juste entre le haut de ses cuisses, au bas de son ventre, on peut voir le début de sa vulve : sa fente disparait entre ses cuisses. Son Directeur et le chef de production sont toujours assis. Elle s'apprête à les rejoindre. M. Christophe l'en empêche sèchement, hurlant :

- Non! Tu restes là, debout, pendant que nous admirons ton avant et ton arrière!

La poitrine de la jeune femme monte et descend, suivant sa respiration, qui semble s'accélérer. Son patron consulte sa montre. Le puissant aphrodisiaque est en train de faire effet.

Trépignant sur place, les mains de la jeune femme commencent à s'approcher de son entrejambe. Ses doigts, subrepticement, caressent soudain sa chatte, avant qu'elle ne lève les yeux et, découvrant le regard obscène des deux hommes âgés, cherche à cacher son sexe et, surtout, son profond sentiment de culpabilité. Son supérieur l'encourage :

- Encore!

Ne pouvant plus contrôler ses pulsions sexuelles et sentant son désir monter irrésistiblement, elle frotte sa vulve, sa main droite se déplaçant à nouveau vers son vagin humidifié.

- Viens ici, et montre tes seins à Marcel.

Elle se rapproche, comme dans un rêve. Elle est désormais juste devant lui, à un mètre à peine.

- Plus près!

Elle avance à nouveau. Ses nichons sont désormais face au visage de Paulus, qui s'est levé.

- Maintenant, ferme les yeux!

Elle fait ce que son Directeur lui demande. Elle sent les mains de son presque voisin toucher sa poitrine. Il soupèse lentement chaque globe, tirant sur les mamelons et les faisant rouler entre ses doigts. C'est ensuite la langue de l'intéressé qui parcourt, à tour de rôle, les seins de la malheureuse. M. Christophe, qui filme la scène dans son intégralité, se lève à son tour, défait son pantalon en le faisant glisser vers le bas pour être nu à partir de la taille. Son érection se détache comme un mât de cocagne, sous son ventre, le bout gonflé, presque violet. Marcel l'imite, dévoilant lui aussi une forte bandaison, tout en continuant à pétrir et lécher les miches de Sophie.

Le souffle de celle-ci s'accélère, ce dont profite son supérieur :

- A présent, et toujours les yeux clos, retourne-toi, penche-toi et montre ta chatte à ton collègue.

L'assistante administrative fait demi-tour et s'abaisse. Les ordres fusent :

- Avec les jambes plus écartées, c'est mieux!

Alors que celles-ci s'ouvrent, Paulus peut voir la fente et l'anus de la jeune femme pour la première fois. Ses lèvres vaginales sont enroulées et fermées. Elle reste courbée pendant que le chef de production lui tâte les fesses. Le boss, lui, la caméra toujours à la main, la filme de dos mais aussi de côté, capturant sur image ses seins fermes qui, vu la position, « pendent » vers le sol.

- Retourne-toi! rugit son Directeur.

Elle fait ce qu'on lui demande, vaincue et soumise aux injonctions de son patron :

- Ouvre tes lèvres et caresse ton clito!

Elle obéit et maintenant, presque avidement, joue avec son sexe tout en ouvrant ses jambes de façon obscène et en poussant son entrejambe vers l'avant. Ses doigts taquinent son vagin alors qu'elle en ouvre les rabats et montre l'ouverture de celui-ci. Elle frissonne en frottant son bourgeon. Ses mains sont devenues plus pressantes.

Son corps se met à trembler, car sous l'effet de la drogue, sa sexualité explose. Le chef de production est subjugué par la vue de cette nymphette qui se masturbe devant lui, au sommet d'une colline en plein air. Elle gémit tandis que ses doigts appuient frénétiquement sur son bouton d'amour. Pendant qu'il la regarde, ses jambes tremblent alors que son excitation augmente. Elle murmure soudain, ne pouvant attendre :

- S'il vous plaît, M. Christophe...

- Qui y-a-t-il, Sophie?

- J'ai... j'ai besoin... d'un phallus.

Son Directeur, poursuivant son œuvre de cinéaste amateur, la fait languir :

- Un quoi? Je ne connais pas ce mot désuet. Sois plus explicite, petite salope!

- J'ai besoin... d'une queue, Monsieur! Je veux... de... la pine!

- Voilà qui est mieux!

Le supérieur fait signe à Paulus de s'allonger sur l'herbe et, rangeant sa caméra, empoigne sa subalterne par les cheveux et l'oblige à s'asseoir sur le sexe dressé de son vieux collègue :

- Et bien, vas-y, chienne! Sers-toi : c'est l'heure de ta ration de bite! Il est temps pour toi de faire du cheval! Et donne du plaisir à ton nouvel amant en bougeant bien ton joli cul!

Le fier membre pénètre aisément dans l'organe distendu du vagin. La secrétaire gémit et accélère le mouvement de manière sensuelle, montant et descendant sur le chibre du pervers. Marcel, lui, la pilonne, faisant rentrer et sortir sa queue de la chatte affamée de la pouliche, tout en empoignant ses seins et en léchant leur bout. Sophie sent alors qu'on pose une pommade sur son œillet. Son supérieur lui masse sa petite porte du paradis avec de la vaseline et, sans plus attendre, l'encule, s'enfonçant inexorablement dans celle-ci. Son assistante hurle de surprise et de douleur. Mais bientôt, sous l'effet des deux pines qui bougent en elle, la jeune femme, dans un ultime feulement, est terrassée par un violent orgasme.

Elle s'effondre sur Paulus, tandis que les deux hommes, presque au même moment, éjaculent profondément et abondamment en elle, et ce, sans porter le moindre préservatif. Ils se retirent et, la laissant de côté comme un sac de viande, la chatte à la vue de tous, regardent le sperme s'écouler de son vagin et de son rectum.

Le boss reprend la parole :

- Alors, la chienne a bien pris son pied? Tu devrais remercier ton collègue. Et avec des mots crus. Allez!

La tête basse, tandis que son Directeur et le chef de production savourent leur chaleur post-sexuelle, Sophie, dans un effort presque surhumain, s'efforce de répondre comme ordonné :

- Je vous remercie... Monsieur Paulus... de m'avoir baisée.

- C'est bien! Tu commences à connaître là où ta place! D'autant que désormais, ce serait dommage qu'un film montrant tes exploits parvienne à tes parents, tes amis et surtout, ton compagnon. Qu'en penses-tu? poursuit son supérieur. Je suis sûr que tu aimerais à nouveau laisser Marcel jouer avec toi. Est-ce que je me trompe?

- Non, Monsieur, murmure l'adjointe, de grosses larmes coulant sur ses joues.

- Demande-lui alors, et poliment! Et explique bien ce que tu feras avec ta bouche et tes fesses...

- Monsieur Paulus, j'aimerais beaucoup... que vous acceptiez que... je puisse faire des choses pour... vous faire plaisir, articule péniblement Sophie, au bord de la syncope.

- Sois plus précise et plus vulgaire, petite idiote!

Toujours en pleurs, la jolie fille est contrainte de faire semblant de désirer avoir des actes sexuels dégradants avec son vieux collègue : - J'aimerais... prendre votre queue... dans ma bouche... J'aimerais aussi que vous mettiez... votre bite... dans mon cul...

- Eh bien, tu vois, ce n'est pas difficile de t'exprimer clairement! constate ironiquement son supérieur. Etes-vous au moins d'accord, Marcel, de satisfaire de temps en temps cette demoiselle en rut?

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