Les malheurs de Sophie - Chapitre 03

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Humiliée par son patron.
2.7k mots
4.42
18.4k
5
Récit n'a pas de balises

Partie 3 de la série de 13 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 08/03/2020
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LES MALHEURS LORS D'UNE PARTIE DE POKER

Présente à l'usine le lendemain à l'heure exigée, Sophie, comme chaque matin, s'apprête à se préparer pour apporter à son employeur un délicieux café. Elle a alors la surprise d'apprendre que M. Christophe est en voyage d'affaires pour toute la semaine. Soulagée, celle-ci passe quelques jours tranquilles, se concentrant uniquement sur son travail, même si elle croise de temps à autre Marcel et ne peut s'empêcher d'être mal à l'aise, proche de la nausée, tandis que le chef de production lui adresse des sourires narquois ou des paroles pleines de sous-entendus.

Le répit n'est toutefois que de courte durée. Le vendredi soir, vers 18h, le GSM de l'adjointe sonne :

- Bonjour, salope!

- Bonjour, Monsieur, répond-elle, ayant reconnu immédiatement la voix de son supérieur.

- Ce soir, j'organise chez moi ma traditionnelle partie de poker avec quelques amis. Mon épouse est allée chez sa mère et j'ai besoin de quelqu'un pour la remplacer, car c'est elle, habituellement, qui fait le service. Voici mon adresse... Sois là à 20h précises. Réserve ta soirée : je sais que ton compagnon est de toute façon absent jusqu'à samedi matin.

Sur ce, il raccroche, tandis que son adjointe, la boule au ventre, se prépare rapidement. Pénétrant, après avoir sonné, dans la maison de son chef, elle découvre que celui-ci est seul, même si une table de jeu a été préparée pour quatre personnes dans le salon, qui jouxte la cuisine. Immédiatement, après l'avoir à peine saluée, son patron lui donne ses instructions : - Monte les escaliers et va dans la chambre située sur la droite. Il y a une tenue qui t'attend et respecte les consignes qui sont notées sur le papier posé à côté de tes futurs vêtements de travail. Tu as 10 minutes!

Avant que le délai ne soit écoulé, Sophie, le feu aux joues, redescend. Elle est vêtue d'un costume de femme de chambre, noir et blanc, particulièrement révélateur. Celui-ci est composé d'une micro-jupe en dentelle noire, recouvrant un string ficelle de la même couleur et des bas autoportants. Ceux-ci restent apparents, car la jupette, trop courte, ne descend pas assez pour en cacher la lisière. La partie supérieure, elle, est composée d'un tablier à bavette. Le port du soutien-gorge ayant été interdit, si le plastron couvre les seins qui se trémoussent librement, toute personne a toutefois, sur les côtés, une vue particulièrement révélatrice de sa poitrine! La tenue est complétée par une paire de chaussures noires à talons hauts. Son boss lui adresse un dernier propos quelque peu railleur :

- Ma chère, tu es vraiment ravissante. Mes amis vont être charmés! J'espère qu'ils se déconcentreront lors de notre soirée, ce qui me permettra de remporter la mise.

Un bruit de sonnette se fait entendre! Et le Directeur d'aboyer violemment sur sa subalterne :

- Et bien, espèce de débile, ne reste pas planter là! Va ouvrir et conduit mes invités jusqu'à la table.

Elle s'exécute et bizarrement, lorsqu'ils entrent, se demande si elle ne les a pas déjà vus quelque part. Chacun des trois hommes jette un regard admiratif à la subalterne et complimente son patron d'avoir une si jolie bonne. Deux d'entre eux semblent avoir la cinquantaine, le troisième, lui, est plus proche de la vingtaine.

L'employeur, fièrement, fait les présentations, avec un léger fond d'ironie :

- Vous connaissez tous ma secrétaire. Mon épouse étant absente, elle a accepté, pour me faire plaisir, car elle m'est très dévouée, même en-dehors de ses heures de travail, de nous servir ce soir. Sophie, voici Jean, qui travaille au service des expéditions de notre usine ; Albert, qui bosse au sein de notre service comptabilité ; et enfin, Antonin, qui est à la chaîne de production depuis un an.

Chacun de ses collègues se penche pour serrer la main de l'assistante, qui rougit de honte, puis va les installer aux places prévues à la table de poker. Son patron demande à l'adjointe de se rendre à la cuisine et d'apporter les boissons, déjà préparées, à ses invités.

Profitant de l'absence de la femme, les individus interrogent leur chef quant à la présence incongrue de celle-ci et, surtout, de son apparence. M. Christophe se contente d'être vague :

- Elle aime s'exhiber devant des mâles, voilà tout. Et parfois, si on s'y prend bien, on découvre que c'est une véritable salope. On verra si vous savez y faire! Au fait, j'ai demandé qu'elle vous appelle par vos prénoms, mais en vous vouvoyant. Vous devez par contre la tutoyer! Et n'hésitez à avoir les mains un peu baladeuses, elle adore qu'on la touche!

La subalterne revient de la cuisine, avec les boissons, à savoir du vin blanc et de la bière. Elle sert les quatre joueurs. Alors qu'elle fait le tour de la table en distribuant les breuvages, chaque participant tient à lui adresser une remarque sexuelle ou à lui tapoter les fesses. Lorsqu'elle se penche pour servir le prénommé Albert, le chauve ventripotent de la comptabilité, celui-ci glisse sa main sous sa robe courte. La jeune femme s'apprête à le gifler, mais un simple regard noir de son patron la décourage de le faire. Elle adresse alors à un sourire nerveux au gros homme.

Ce dernier proclame haut et fort : - Sophie, tu as vraiment un très beau cul! Lorsque je te croise à l'usine, je n'avais jamais fait attention à ton corps! Ce ne sera désormais plus le cas!

Et les garçons de s'esclaffer de cette blague graveleuse. La partie de cartes dure depuis plus d'une heure, les mâles consommant de plus en plus de demis et de vin. Ils continuent à être de plus en plus effrontés, tandis que M. Christophe s'amuse à donner des ordres à sa subalterne. Disparaissant à son tour dans la cuisine, il prépare un Picon, dans lequel il glisse le même aphrodisiaque que celui utilisé lors de la promenade avec Marcel. De retour, il tend la boisson à son assistante :

- Depuis le temps que tu travailles, ma chère, il convient de te désaltérer! Bois!

Elle n'ose refuser, sachant de toute façon qu'il est vain de s'opposer. Assurant un nouveau tour de table, elle est cette fois la victime de Jean, le responsable du service des expéditions.

Celui-ci profite d'un moment d'inattention de la beauté naturelle, enroulent ses bras autour de son dos, déplace ses mains rapidement et les glisse sous le devant du tablier, caressant sans la moindre gêne chacun des deux seins puis les pétrissant. Elle parvient néanmoins à échapper à l'étreinte et se rue vers la cuisine. Son chef l'y rejoint et l'oblige à boire un deuxième verre, qui contient une nouvelle dose de stimulant.

Antonin, pendant ce temps, a allumé un joint et propose, au retour de son hôte et de sa bonne, de partager celui-ci. Le Directeur approche de la table de poker un tabouret de bar pris dans le salon et demande à la serveuse d'un soir de s'y installer, en lui tendant le cannabis : - Tu as l'air d'être un peu stressée! Il faut te détendre un peu! Prends! Ce n'est que du shit et je suis sûr que tu en déjà fumé! Exact, non?

- Oui, Monsieur.

Pendant une quinzaine de minutes, son adjointe est contrainte de tirer sur la fumette tout en prenant un troisième Picon, qu'elle peut boire cette fois par petites gorgées. Les mains d'Albert, son plus proche voisin, ont commencé à parcourir les bas autoportants de la fille, qui tente de les repousser doucement pour ne pas subir la colère de son employeur. Un nouveau quart d'heure s'écoule avant que son boss ne lui ordonne d'aller rechercher des boissons dans la cuisine pour ses invités.

Lorsqu'elle s'éloigne, son supérieur remarque que son pas est désormais mal assuré. Elle revient avec les breuvages et se réinstalle sur le siège en hauteur. Son patron se lève alors de sa chaise, passe derrière elle et lui parle, tandis qu'il commence à défaire lentement la bretelle arrière -la seule- de la tenue portée par son assistante :

- Sophie, mes invités sont très frustrés, car ils aimeraient beaucoup voir tes seins. En tant qu'employée dévouée, il est normal que tu fasses plaisir à tes collègues!

Résignée, elle ne lutte pas et laisse la partie supérieure du tablier tomber sur ses genoux, dévoilant sa splendide poitrine aux quatre joueurs, tandis que M. Christophe commence à caresser celle-ci sans la moindre retenue. Ses tétons, sous l'effet de l'air frais et du puissant stimulant, sont désormais en totale érection.

La tête lui tournant, elle remarque à peine que son patron invite, d'un simple geste et d'un regard, le jeune Antonin à enclencher la caméra numérique, installée dans un coin du salon, sur un trépied, tout en continuant son monologue :

- Lève -- toi, maintenant!

Toujours derrière elle, alors qu'elle prend la position indiquée, il abaisse, toujours avec des gestes au ralenti, la jupette de sa pauvre subordonnée, et ce, sous les regards attentifs des trois autres mâles. Elle est devant eux avec seulement son mini-string et ses bas autoportants. Son chef lui donne une nouvelle injonction :

- Sophie, il est temps d'enlever ta culotte à présent, et de la placer sur la table de jeu. Immédiatement!

Elle s'exécute, presque nue comme un ver, non seulement devant son boss et ses trois collègues.

- C'est très bien, ma belle! Tu peux garder tes bas et tes chaussures! Comme cela, ta pudeur sera sauvée! Va dans la cuisine, en bougeant ton cul, comme tu le sais faire, et rapporte -- nous une nouvelle tournée de boissons. Et cette fois, après avoir fait ton service, tu te tiendras debout, à côté de moi, afin de me porter chance!

Avant qu'elle ne revienne, les hommes en profitent pour poursuivre leur séance de cartes. Tout en jouant, une fois sa subalterne revenue et figée dans la posture exigée, son supérieur lui caresse allègrement les fesses, tout en perdant plusieurs parties d'affilée.

Le Directeur s'exclame soudain : - Mes amis, je commence à vous devoir beaucoup d'argent! Je propose que ma secrétaire, qui me porte visiblement malheur, aille près du vainqueur de chaque mise, afin de lui faire rater la suivante! Evidemment, si celui-ci gagne, mon assistante dévouée, pour se faire pardonner de m'avoir encore fait perdre, devra s'acquitter d'un gage! N'importe lequel!

Albert remporte la manche suivante et la jeune fille est obligée de s'asseoir sur celui-ci, qui lui réclame un tendre baiser avec la langue. Elle n'a aucune autre option et, malgré son dégoût, accepte que sa bouche soit envahie par l'organe d'un homme qu'elle n'aime pas...

Jean est le nouveau vainqueur. Tirant l'assistante vers lui, il lui ordonne de s'installer sur ses genoux et d'écarter les cuisses afin qu'il puisse jouer avec son clitoris. Là encore, la tête lui tournant de plus en plus, elle s'exécute, la mort dans l'âme. Son collègue, après avoir longuement trituré son bourgeon d'amour, la doigte sans ménagement.

Avant le prochain tour, son boss lui tend un quatrième et dernier verre : - Vide - moi cela d'une traite, afin de te calmer et, surtout, de te remettre de tes émotions! Tu as l'air vraiment très excitée, Sophie! Comment peux-tu être une femme si délurée?

Mortifiée, le regard étourdi, elle se rend près d'Antonin, le dernier champion en date, qui exige de pouvoir lui lécher les seins. Ce qu'il fait avidement. Le gagnant qui s'en suit est à nouveau Albert, qui décide de faire monter les enchères et s'adresse directement à son patron : - Patron, je veux que votre employée me lèche la bite!

- Tu as entendu? Tu m'as fait perdre! Donc tu vas lui faire une pipe pour t'excuser à mon égard. Va sous la table et suce-le durant toute la durée de la mise qui vient!

Des larmes coulant sur ses joues, elle passe sous la table, s'agenouille, défait le pantalon de l'homme, ouvre sa braguette, abaisse son slip et prend le membre dressé dans sa bouche, avant de faire courir sa langue non seulement sur son gland, mais aussi sur sa hampe. Le tout devant les regards vicieux des autres joueurs.

Albert, prenant la tête de Sophie entre ses mains, l'oblige à accueillir sa queue jusque dans le fond de sa gorge. Après cinq minutes, il ne peut retenir une forte éjaculation, l'assistante administrative se forçant à avaler le sperme qui envahit sa bouche, et ce, malgré sa nausée. L'homme ventripotent ne peut s'empêcher de commenter vulgairement la performance de l'adjointe : - Putain, quelle cochonne! Vous avez là une sacrée bouffeuse de bites, M. Christophe! Un vrai aspirateur!

Les quatre joueurs applaudissent lorsque la subordonnée, toujours à genoux, se relève. Ses trois collègues, désormais tous debout, l'entourent et posent leurs dextres sur tout son corps, tandis que son supérieur débarrasse la table de poker. Quelques instants plus tard, Sophie est allongée sur celle-ci, livrant sa chair à huit mains baladeuses, tandis que l'aphrodisiaque précédemment ingurgité fait désormais pleinement effet. Deux des joueurs -Antonin et Jean- sortent leur queue et lui frappent le visage, le tout face à la caméra numérique. Lui relevant les jambes au maximum, le patron enfourne son sexe dans celui, trempé, de son adjointe.

Tandis que son boss la baise sans ménagement, Antonin et Jean, placent un chibre tendu de chaque côté du visage de Sophie, qui engouffre, en alternance et dans sa bouche en forme de cœur, les deux bites qui se présentent. Avec un regard lointain et vitreux dans les yeux, elle semble apprécier l'agression sexuelle de tous ces vicieux. Après une vingtaine de minutes, ceux-ci éjaculent de manière quasi coordonnée, tandis que leur victime presque consentante --et surtout droguée- ne peut retenir quelques gémissements. Le reste de la soirée n'est que tournante, chacun des quatre hommes, tantôt en solo, tantôt en duo, se vidant successivement dans les trois orifices de Sophie, qui est toujours soit sur le meuble, soit à même le tapis protégeant le carrelage du salon, malgré le relatif inconfort en découlant.

Le tout sans le préservatif.

L'orgie étant terminée et chaque mâle enfin rassasié, le supérieur s'adresse durement à son assistante :

- Et bien, ma chère, je croyais que tu étais simplement une salope! En fait, tu es une vicieuse qui adore faire l'amour avec plusieurs mecs en même temps! Tu n'as pas de remords? Et n'oublie pas de remercier, comme je te l'ai appris, tes bienfaiteurs...

La jeune femme, drillée, sait ce qu'elle doit répondre, même si elle n'en pense pas un mot : - Non, Monsieur, je n'ai pas honte. Je remercie bien Jean, Albert et Antonin d'avoir rempli mes trous avec leurs pines. J'ai beaucoup aimé les sucer, être baisée et enculée.

Mais son supérieur a décidé de la dégrader encore plus. Il reprend la parole :

- Tu n'es pas une simple femelle, tu es une chienne! Suis-moi à la cuisine, afin d'offrir une dernière surprise à mes amis qui, par ailleurs, savent désormais qui tu es!

- Oui, Monsieur.

Une fois dans ladite pièce, le Directeur ordonne à Sophie d'enduire une fois encore son anus de vaseline et d'enfoncer dans celui-ci une carotte, dont seules les feuilles vertes dépassent. Il sort ensuite, d'un tiroir, un collier attaché à une laisse. Après avoir placé la parure autour du cou de son assistante, il l'oblige à marcher à quatre pattes et, triomphant, rentre dans le salon sous les yeux ébahis de ses invités :

- Messieurs, voici le vrai visage de mon assistante! C'est un vulgaire animal de compagnie!

Humiliée comme jamais, Sophie baisse les yeux vers le sol, tandis que son chef invite les trois hommes à rentrer chez eux. Il est près de deux heures du matin. Après avoir libéré son auxiliaire de sa condition et lui avoir permis de se rhabiller, il la renvoie chez elle, sans ménagement et non sans une dernière dégradation :

- Je ne savais pas que tu étais insatiable! Je suis très satisfait de toi : en quelques semaines, ton compteur à bites est passé d'une seule, celle de ton mec, à six, dont la mienne, celle de Marcel et, aujourd'hui, de trois de tes collègues. Rassure-toi, c'est loin d'être fini!

A lundi, 8h30, sans faute!

Arrivée chez elle, après avoir failli faire plusieurs sorties de route, elle s'annihile en buvant une bouteille complète d'armagnac. Hagarde, elle monte ensuite se coucher.

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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans
Ça va mal finir

Si elle est obligé d’obéir, la contrainte et l’alcool l’a conduise tout droit vers peut-être l’inéluctable ! En tout cas, elle ne fait pas ça de gaité de cœur.

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