Les malheurs de Sophie - Chapitre 06

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Serveuse dans un bar très spécial...
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Récit n'a pas de balises

Partie 6 de la série de 13 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 08/03/2020
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LES MALHEURS AU SEIN D'UN NIGHT-CLUB

A son retour du « séjour en extérieur » et du week-end anormalement calme qui s'en suit, la subordonnée reprend sa routine : fellation à son supérieur chaque matin, sauf le mercredi pour combler deux heures durant son appétit sexuel.

Le vendredi arrivant, après avoir prodigué à M. Christophe sa pipe matinale, elle s'est résolue, en fin d'après-midi, à devoir se rendre chez Marcel. De manière étonnante, son patron, qu'elle vient de satisfaire avec sa langue, l'informe qu'elle n'ira pas : - Je sais que tu adores le voir, petite cochonne, mais ce soir, j'ai prévu d'autres plans. Ton homme étant en voyage, tu as donc ta soirée de libre. Je viendrai te chercher à 17h30. Il n'est pas utile de te changer. J'ai promis à un ami, qui tient un night-club, de lui trouver une remplaçante, car l'une de ses serveuses est malade. Et comme tu as déjà effectué cette tâche lors de ma partie de poker avec tes collègues, je me suis dit que tu ferais l'affaire. J'espère que tu n'y vois aucune objection?

- Non, Monsieur.

- Je viendrai te chercher et te ramènerai, vers deux heures du matin.

Le trajet dure environ une heure trente. Assise dans la voiture de son boss, l'assistante ne dit mot. Vers 19h, son chef se gare enfin, à proximité d'une sorte de bar, avec le mot « Eden » écrit en lettres roses et fluorescentes. Un videur est installé dehors et le Directeur, suivi par sa subalterne, s'approche directement de celui-ci :

- Paul m'attend!

- Il m'a prévenu. Entrez!

L'intérieur de la boîte de nuit apparaît : un vestiaire sur la gauche, une porte marquée « toilettes » sur la droite et un double accès vitré et teinté, situé face aux invités. Au fur et à mesure qu'ils avancent, le son augmente, mais il n'est pas désagréable, plutôt doux. La pièce est grande, avec de légers bassins de lumière, des tables élégamment dressées et, sur chaque côté, des alcôves pouvant être fermées chacune par une tenture.

Mais ce qui frappe l'assistante, ce sont les serveuses! Au nombre de quatre, elles affichent toutes le même look : elles sont vêtues uniquement de bretelles qui masquent juste le bout de leurs seins. Les bandes de tissu, noires, sont accrochées à un string ficelle de même couleur qui, à l'aide d'un porte-jarretelles noir, permet de maintenir deux bas tout aussi foncés. Immédiatement, un homme, qui semble être le patron, s'avance : - Salut, Roger! Content de te voir! C'est la fille?

- Oui, mon pote! Je t'avais promis une remplaçante. La voici! Elle s'appelle Sophie et est très heureuse de te rendre ce petit service! Elle ne sait rien me refuser : c'est ma secrétaire!

Ledit Paul, sans même prendre la peine de saluer l'adjointe, appelle aussitôt l'une des filles :

- Anna! C'est la doublure de Daisy pour ce soir! Emmène -- la en loge et explique-lui le boulot!

Visiblement, elle est impatiente de commencer!

Tout en la conduisant vers l'arrière-salle, située derrière le bar et exclusivement réservée au personnel, la serveuse explique à la jeune femme le travail que l'on attend d'elle :

- T'es une drôle, toi, d'avoir accepté ce remplacement en voulant à tout prix le faire! Mais bon, c'est ton choix! Puis entrant dans la pièce : - Voilà ta tenue! Tu vois, il n'y a pas grand-chose à enfiler! Ton boulot, de 19h30 à 21h, consiste uniquement à servir les clients. En général, les plus audacieux se contentent de te mettre un doigt dans la chatte ou dans l'anus. Les bas sont utilisés pour y glisser les pourboires. De 21h à un peu moins de 23h, on fait une tournante et chacune à notre tour, on danse pendant 20 minutes sur le podium dont le sol sera éclairé par des verres lumineux de différentes couleurs. Simple précision : on fait le show uniquement en porte-jarretelles et avec les bas! Enfin, le temps d'aller chercher la carte des « desserts », on satisfait, de 23h à 1h du matin, les besoins des clients qui le souhaitent, mais uniquement dans les alcôves, qui sont alors obturées. En général, il ne reste pas grand monde.

Pigé? Dernière chose : chaque fille, quand elle bosse, se cantonne à sa zone : toi, ce sera le coin gauche, près du bar.

Une fois habillée (Paul avait même prévu des hauts talons noirs à sa pointure), Sophie revient près de son patron, toujours en discussion avec le gérant du bar. Ses « vêtements de travail » ne cache pas grand-chose, ni de sa poitrine ni de ses globes fessiers. En la regardant, le tenancier ne peut s'empêcher de s'exclamer : - Tu ne m'avais pas menti, Roger, c'est un beau petit lot! Tourne-toi un peu, ma jolie!

La beauté naturelle s'exécute, lui dévoilant son derrière. Le propriétaire en profite pour lui adresser une claque sur le postérieur : - Ma douce, il est temps d'aller bosser!

Pendant que l'assistante commence à travailler, elle voit son Directeur aller s'installer à une table, dans un coin à droite, près d'une alcôve. Il a rejoint visiblement deux personnes dont, en raison de la pénombre, elle ne parvient pas à distinguer le visage. En tout, l'assemblée doit compter de 70 à 80 personnes, exclusivement des hommes.

La soirée se passe plutôt bien, à part, de temps en temps, le doigt d'un client qui se perd dans son sexe ou dans son cul. La danse sur le podium, elle, est par contre plus pénible. Sachant que M. Christophe l'observe et ne lui pardonnera rien, elle ondule des fesses sensuellement ou prend des poses plus obscènes, projetant son bassin vers l'avant, afin d'offrir une belle vue sur son sexe surmonté du « ticket de métro ».

A la fin de son numéro, elle se détend un peu. Cela aurait plus être pire, pense-t-elle, soulagée. J'étais la dernière à danser. Encore le dessert à servir, et je pourrai enfin rentrer.

Une fois qu'elle est descendue du podium, Anna lui tend les menus : - Il y a trente tables et on est cinq, donc tu te contentes de déposer six cartes sur un même nombre de guéridons. Beaucoup de personnes vont partir d'ici quelques instants. Nous, on revient attendre au bar pendant quinze minutes, le temps que les commandes arrivent.

Presque joyeuse, la subalterne distribue les menus et retourne ensuite près du comptoir. Eh bien, ce n'est pas plus difficile que cela! se dit-elle, presque libérée d'un stress immense.

Anna revient soudain près de Sophie : - Au fait, je te conseille de lire et de bien retenir le menu, histoire de ne pas faire d'impair. Le patron n'aimerait pas cela du tout!

Intriguée, la jeune assistante ouvre la carte et s'étrangle à la lecture de celle-ci :

- Chers clients,

Que serait une soirée réussie sans un bon et délicieux dessert? Ce soir, avec la serveuse de votre choix, nous vous invitons à déguster nos différentes spécialités :

- pour 100 euros, la pipe melba, où, après avoir enduit votre membre de crème chantilly, notre hôtesse vous fera une merveilleuse fellation ;

- pour 100 euros, l'anus au chocolat, où, après avoir légèrement recouvert celui-ci de mousse chocolatée, votre serveuse préférée se fera un plaisir de vous prodiguer un anulingus ;

- pour 150 euros, le combiné des deux, valable seulement pour une seule et même table. Nous vous conseillons, bien évidemment, de commencer par la langue courant sur le rectum ;

- pour 200 euros, la chevauchée fantastique où, sur l'un des canapés ornementant nos alcôves, notre hôtesse ne manquera de monter et descendre sensuellement sur votre sexe ;

- pour 200 euros, l'enculade sauvage où, cette fois appuyée sur le canapé, croupe tendue, la fille choisie vous fera découvrir, rien que pour vous seul, sa petite porte du paradis ;

- il est à noter que pour les deux derniers desserts, il n'y a pas de combiné possible, sauf pour deux invités qui souhaiteraient profiter en même temps, et pour 275 euros, des charmes de notre hôtesse.

Nous vous souhaitons un grand moment de plaisir!

La Direction

L'employée est tirée de ses pensées, toujours par cette maudite Anna : - Eh, la nouvelle, il y a une commande pour toi! La table tout au fond, dans le coin droit. Une pipe melba, un anus au chocolat et un combiné chevauchée fantastique -- enculade sauvage!

Arrivant à proximité de la desserte, en portant un plateau sur lequel est posé de la crème chocolatée, une bombe de chantilly et un pot de vaseline, l'adjointe reconnaît soudain les personnes assises à côté de M. Christophe et qui semblent surgir d'outre-tombe. Un sourire amusé aux lèvres, son chef lui présente les deux hommes, qu'elle connaît déjà, même si elle ne les a plus rencontrés depuis la sortie du lycée :

- Alors, dis-moi! Ta soirée t'a plu? Elle s'est déroulée comme tu le souhaitais?

- Oui, Monsieur.

- Bien. Tu reconnais Richard Merlot et Jacques Lacoste, n'est-ce pas? Figure-toi qu'il y a quinze jours, je suis tombé par hasard sur tes anciens condisciples de classe. Ils jouent dans l'équipe amateur de football de mon village, dont je suis le Président. Je ne sais plus comment on a fini par parler de toi, mais je les ai informés que tu travaillais pour moi en tant que secrétaire particulière. Je leur ai également dit que, pour arrondir tes fins de mois, tu prestais occasionnellement dans un night-club un peu spécial.

Quand ils m'ont dit que tu n'étais pas très sympa avec eux alors qu'ils étaient dans la même classe que toi et que tu les traitais de boutonneux, je leur ai promis, si on gagnait le match de la semaine dernière, de leur offrir une belle récompense! Toi, en l'occurrence! J'espère que tu es contente de les revoir pour te faire pardonner?

- Oui et je regrette les propos que j'ai tenus.

- Super, ma chère! Nous allons donc passer tous les quatre dans l'alcôve pour être plus à l'aise. Cela permettra à Richard et Jacques d'être libérés de tout vêtement gênant. Tu as de la chance, toi, tu n'auras presque pas à le faire, car tu as l'habitude d'être toujours toute nue!

Tandis que les deux hommes se déshabillent, la subalterne les observe, le regard vague. Ils n'ont pas tellement changé, se dit-elle. Certes, ils n'ont jamais été gros, mais ils sont toujours aussi moches, leurs visages étant encore recouverts d'acné.

Ceux-ci, désormais dans le plus simple appareil, s'installent dans les canapés, tandis que M. Christophe, lui, observe la scène en expliquant à son adjointe ce qui est souhaité :

- Sophie, c'est Jacques qui doit être servi en premier, car il a été le plus rapide à commander! Je te demande de faire ton travail en silence, afin d'éviter que tes anciens condisciples ne découvrent, dès que tu parles, à quel point tu es stupide! D'accord?

- Oui, Monsieur.

Et sur ce, l'auxiliaire commence à s'activer : après avoir doucement relevé les jambes de Lacoste, en les écartant, elle couvre l'anneau rectal, ainsi devenu accessible, de chocolat et commence à faire lentement rouler sa langue sur celui-ci.

Son ancien compagnon de classe lui ordonne : - Tu me lècheras l'anus en enfonçant bien ta langue dedans, tout en me branlant. Quand tu sentiras que je vais jouir, tu me feras éjaculer sur tes gros seins! L'assistante s'exécute, utilisant toute sa technique orale pour en finir au plus vite. En complément, elle agite doucement la queue de Jacques, afin de le faire craquer rapidement. C'est d'ailleurs ce qui se passe au bout de dix minutes, des traces blanchâtres maculant désormais la poitrine ronde et ferme de l'adjointe du Directeur. Elle enchaîne ensuite, toujours sans un mot, avec Richard. Elle est surprise par la grosseur de sa queue, qui est tout bonnement énorme. Après l'avoir recouverte de crème chantilly, elle entreprend de lécher celle-ci de manière systématique, et surtout partout, sans en oublier le moindre centimètre : testicules, hampe, gland décalotté.

Même si elle a du mal à enfourner dans sa bouche cette bite impressionnante et que ses mâchoires lui font mal, là encore, elle arrive à ses fins en quinze minutes. Comme lui a demandé Merlot, elle guide l'éjaculation massive de celui-ci vers son visage. Son front, ses paupières et ses joues se sont à présent couverts de sperme. Et tandis que les deux hommes reprennent leurs forces en s'astiquant tout en regardant avidement le corps de Sophie, celle-ci passe sur son rectum une épaisse couche de vaseline.

Elle sait ce qui, à son grand dam, l'attend...

Lacoste, dont le sexe est à nouveau tendu, lui fait simplement un signe de la main et, suivant cette indication à la fois sommaire et précise, elle guide le membre avec ses doigts pour qu'il pénètre doucement dans son vagin. Avant de commencer ensuite un lent mouvement de va-et-vient, montant et descendant langoureusement sur le sexe de son « client ». Richard, dont la vigueur est également redevenue intacte, se lève et se positionne derrière la secrétaire, qui, malgré tous ses efforts, ne peut réprimer un regard de terreur devant ce qu'elle sait être un monstre phallique. Les mains de l'homme écartent ses fesses. Puis, l'extrémité de sa bite, dure et grosse, se positionne contre le sphincter convoité. Sans se préoccuper des craintes de la fille, Merlot s'arc-boute et commence à pousser sur l'anus de celle-ci.

L'assistante, respectant les consignes initiales de son supérieur, se mord les lèvres, bouchée fermée. Même si ses yeux sont exorbités, elle sait qu'elle ne peut et ne doit pas crier, tandis que l'énorme queue progresse inexorablement dans son magnifique cul.

Malgré le lubrifiant, et les nombreuses pines qui l'ont désormais pénétrée analement, elle ressent une douleur atroce. S'enfonçant jusqu'à la garde dans le boyau de la fille, Merlot redouble d'efforts. Bien que n'ayant jamais été aussi écartelée, la subalterne, plus que remplie dans chacun de ses deux trous, s'efforce de se détendre.

Au bout d'une vingtaine de minutes d'un pareil traitement, tandis que ses anciens condisciples éjaculent à tour de rôle au plus profond de son être, elle laisse échapper un cri...

Ses amants d'un soir se retirent de son corps profané et, après s'être rhabillés, glissent, comble de l'avilissement, deux billets de 50 euros dans l'un de ses bas. Avant de partir, ils lui adressent une dernière remarque bien sentie : - Quand on pense que nous étions amoureux de toi! A voir la pute que tu es devenue, on est bien heureux de ne jamais être sortis avec toi! Tu es vraiment, sous tes airs de sainte-nitouche, la pire des salopes! Une véritable boîte à queues! Mais on ne regrette pas de t'avoir revue car, au moins, tu nous auras donné un sacré plaisir!

A peine ceux-ci sont-ils sortis de l'alcôve que la subordonnée s'effondre en pleurs sur le canapé, prise d'une incontrôlable crise de nerfs. M. Christophe, en fin psychologue, pense qu'il est temps d'arrêter, pour ce soir, l'asservissement de sa secrétaire. Après l'avoir raccompagnée à la salle réservée au personnel et l'avoir invitée à se vêtir, il lui fait prendre place dans sa voiture, afin de la ramener chez elle. Au cours du voyage, il ne résiste toutefois pas à la rabaisser un peu plus encore :

- Sophie, je suis très heureux de ta prestation pour le moins impressionnante! J'ai bien eu raison de t'éduquer : tes fellations sont en train de devenir, visiblement, une référence en la matière! Et ta façon de baiser aussi! Je suis très heureux de t'avoir formée : j'ai tout de suite détecté ton potentiel! Tu m'as surpris : prendre une aussi grosse bite dans le cul sans piper mot, si je puis dire, mérite toutes mes félicitations!

Au départ, j'avais prévu, comme tu aimes le sexe, de conserver pour moi tous tes pourboires.

Question : combien as-tu gagné?

- 720 euros, Monsieur.

- Sois heureuse : avec ton derrière, tu as gagné en une soirée la moitié de ton salaire mensuel dans notre société! Tu as bien mérité ta paie, sacrée vicieuse! Profite-en : offre un bon restaurant à ton mec pour te faire pardonner tes écarts et tes excès! Mais aussi pour fêter l'augmentation de ton compteur à bites : tu en es désormais à treize! Note que c'est un chiffre porte-malheur! Tu ne peux pas en rester là! Comme il est impossible de diminuer ce nombre, autant l'augmenter, non?

- Oui, Monsieur, si vous le souhaitez...

- Je te sens un peu tristounette, ce soir! Allez, nous sommes arrivés : rentre chez toi! Et profite de ton week-end!

Et alors que sa subordonnée vient de sortir de la voiture et s'apprête à ouvrir la porte d'entrée de sa maison, son patron l'arrête dans son élan. Il vient de sortir subitement son sexe :

- Avant de nous quitter, je t'invite vivement à me sucer. Je ne voudrais pas te laisser rentrer le ventre vide!

Après avoir, docilement et de manière expresse, exécuté sa tâche immonde, elle montre à son boss le sperme récolté dans sa bouche, avant ensuite de l'avaler. La collaboratrice, à peine arrivée dans son salon, se sert de grands verres de vodka qui, faisant office d'anesthésiant, lui permettent de partir en vol direct dans les bras de Morphée!

Le lendemain, l'aube à peine levée, l'adjointe reçoit sur son mobile un appel énigmatique de M. Christophe : - Durant 15 jours, tu peux mettre toutes tes obligations sexuelles, tant à mon égard qu'à celui de Marcel, entre parenthèses. Contente-toi de travailler. Nous sommes le samedi 3. Bloque dès à présent le vendredi 16 et le samedi 17. Débrouille-toi pour trouver une excuse pour ton compagnon : tu n'as qu'à prétexter un voyage professionnel auquel tu ne peux te soustraire.

D'ici là, lorsque tu arrives à l'usine, je te dispense de ta pipe matinale, mais aussi de notre séance du mercredi et de ta visite du vendredi chez ton ami Marcel, qui a été informé.

Avant d'ajouter, dans un éclat de rire : - Bref, réfrène ta sexualité et fais comme si tu étais normale!

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Anonymous
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2 Commentaires
alexandredelafressangealexandredelafressangeil y a plus de 3 ansAuteur

Bonjour Anonymous,

Il reste 7 chapitres, d'ores et déjà transmis à Litterotica. Je suppose que la publication sera donc régulière.

Merci pour vos différents commentaires, en tout cas...

AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans
Allons - nous attendre quinze jours?

Espérons que non !

je suis sûr que l'imagination de l'auteur va encore tourner à plein régime !

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