Les malheurs de Sophie - Chapitre 07

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Obligée de se prostituer le temps d'un après-midi.
2.9k mots
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Récit n'a pas de balises

Partie 7 de la série de 13 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 08/03/2020
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LES MALHEURS DANS UN BORDEL
Le jeudi 15, en fin d’après-midi, le Directeur entre dans le bureau de Sophie :
- Tu t’es arrangée pour demain et samedi ?
- Oui, Monsieur.
- Tu as raconté à ton mec que tu avais un voyage professionnel ?
- Oui, Monsieur.
- Oh, la vilaine ! Mais c’est bien ! Parfois, il vaut mieux mentir, non ? Rendez-vous demain à 10h précises sur le parking de l’hôtel dans lequel tu as l’habitude de te faire baiser par mes bons soins. Ne sois pas en retard : nous en avons pour trois heures de route ! Pour le reste, tu n’as besoin de rien, à part peut-être une brosse à dents !
Le lendemain, vêtue de manière habituelle comme pour aller à son travail et une petite valise à la main, la secrétaire, à peine sa voiture garée, est embarquée dans celle de son patron. Celui-ci ne rompt le silence assourdissant qu’après plus de deux heures de trajet :
- J’ai une copine qui possède une entreprise offrant des services à des particuliers et qui manque de personnel. A titre exceptionnel, je lui ai proposé que tu viennes renforcer son équipe aujourd’hui, et ce, jusqu’en début de soirée. Après, nous irons au restaurant du palace que j’ai réservé pour nous deux. Il me tarde de retrouver tes charmes ! Rien de bien compliqué : tu dois la dépanner de 14h à 18h. C’est tout !
Sans en dire plus le reste du voyage, le supérieur dépose sa subalterne, vers 13h30, devant une magnifique maison de maître, à la façade à la fois élégante et austère.
- Voilà, c’est ici ! Tu sonnes et dès qu’on t’ouvre, tu entres. Moi, je vais à l’hôtel. Je te reprends à 18h30. Je me suis arrangé avec mon amie. Au fait, tu l’appelleras Madame Jeanne.
- Oui, Monsieur.
Regardant le véhicule de son chef s’éloigner, l’assistante sonne à la porte de l’impressionnant bâtiment. L’entrée s’entrebâille et la beauté naturelle y pénètre via cette ouverture.
A l’intérieur, pas vraiment de hall, mais une grande pièce avec plusieurs canapés et quelques chaises en cuir. Une télévision, que personne n’écoute, laisse échapper des sons dans un coin. Il n'y a personne dans ce salon, à part la matrone qui lui a offert l’accès. Celle-ci conduit la collaboratrice dans une salle située juste à côté du living :
- Nous ouvrons dans 20 minutes. Avez-vous apporté quelque chose pour vous changer ?
- Heu… non… je ne savais pas que je devais mettre d’autres vêtements…
- De toute façon, tu n'en auras pas vraiment besoin ! prévient la patronne en riant, avant de poursuivre : - Tu es si belle que la façon dont tu seras habillée n'aura pas d'importance.
- Qu’est-ce que je fais ici ? demande-t-elle, de plus en plus nerveuse.
- Roger ne t’a pas expliqué ? Eh bien, nous offrons un service complet. Les messieurs entrent et font une sélection parmi les filles présentes. Ensuite, vous les contentez.
- Que voulez-vous dire ?
- Ma chérie, ton boss m’a dit que tu étais un peu naïve. Il ne mentait pas, n’est-ce pas ? Tu les emmènes dans une chambre et tu couches avec eux ! C’est aussi simple que cela !
La subordonnée se liquéfie. Son esprit tourbillonne. Je ne peux pas faire cela ! Je ne peux pas ! se lamente-t-elle. Prenant une profonde inspiration, elle réussit à articuler :
- Vous voulez dire que je dois être une prostituée ?
- Aujourd’hui seulement, mon cœur ! Quel homme pourrait te résister ? Ton corps et ton visage sont des atouts incroyables pour toi, bébé. Ajoute à cela, si ce que Roger m’a dit est vrai, tes fortes compétences sexuelles, et tu seras très vite la pute parfaite.
Bon, assez causé, il est temps d’aller au turbin ! Comme tu n’as rien apporté pour te changer, déshabille-toi. Tu garderas uniquement ton soutien-gorge et ta culotte.
- C’est que je n’en porte pas, Madame Jeanne, murmure Sophie, gênée.
- Oh, la vicieuse, va ! J’en étais sûre ! Et bien alors, garde uniquement tes hauts talons. Le salon est très bien chauffé, tu ne risques pas d’avoir froid ! A présent, exécute-toi !
Et tandis que la demoiselle commence à enlever son chemisier avant de faire glisser sa minijupe, le téléphone sonne et la femme d’âge mûr répond d’une voix légère :
- Oui, Mathieu, nous ouvrons dans cinq minutes. Et j’ai une surprise pour vous : elle est splendide et innocente. Vous allez l'adorer. J'ai entendu dire qu'elle était très portée sur le sexe. Vous voulez être le premier à la goûter ? D’autant qu’elle est juste temporaire.
L’adjointe sent des nœuds dans son estomac. Elle réussit néanmoins à terminer son effeuillage. La tenancière lui sourit et lui fait signe de sortir. La subalterne pénètre lentement dans le salon, où se trouvent déjà trois autres filles magnifiques. Leur apparence est séduisante. Elles sont toutes en lingerie fine. Alors que la matrone la présente à ses « collègues », celle-ci fixe le sol, de honte. L'air de la pièce est frais sur son corps et elle n'est que trop consciente de sa nudité.
Mais déjà la sonnette retentit. Alors que les donzelles accueillent la secrétaire de M. Christophe, Madame Jeanne se précipite vers la porte. Lorsqu'elle revient, toutes les nanas se sont levées. Sophie, qui est restée debout, essaie de ne pas avoir de contact visuel avec « le client » qui accompagne la responsable de la maison close.
- Mathieu, tu as dû sortir de ton bureau en courant ! taquine la maquerelle. Le « client » doit avoir probablement la quarantaine avancée, il est chauve et, de manière obscène, charnu. Il se tamponne le front avec un mouchoir. Ses yeux légèrement globuleux observent les professionnelles qui se trouvent devant lui. A part la subordonnée, qui reste muette, les trois autres le saluent d’un amical « Bonjour, Mathieu »
- Celle toute nue, c’est la nouvelle ? demande ce dernier. Je vais la prendre pour une demi-heure.
La subordonnée n’est toutefois pas préparée à ce qui se passe ensuite. L’homme sort son portefeuille et tend plusieurs billets à la patronne. La créature de rêve s’interroge en son for intérieur, se demandant combien d’argent liquide elle vaut pour qu’elle écarte les cuisses pour accueillir la queue d'un inconnu. L'expression "acheter, payer, et consommer" traverse son esprit. Alors que la dame les fait bouger vers un couloir très court, l’adjointe marche nerveusement devant les deux personnes.
Elle sent son visage rougir en pensant à l'individu qui fixe les deux globes nus de son postérieur. Ils se tournent brusquement et elle réalise que la pièce est adjacente au salon.
Madame Jeanne place un préservatif emballé sur le lit situé devant l’assistante du Directeur. La tenancière sourit, lâchant un "amusez-vous bien !", tout en fermant la porte. L’adjointe fait face au « client » qui est sur le point de la baiser. Mathieu, retirant ses chaussures, baissant son pantalon et enlevant sa chemise, l’interroge :
- Tu fais un remplacement ici, alors ?
- Oui, Monsieur, acquiesce-t-elle.
Il a manifestement déjà fait ça avant. L’employée le regarde alors qu'il commence à faire glisser son slip blanc le long de ses jambes. Il s'est rapidement mis nu. La poitrine, le dos et les épaules de l'inconnu sont couverts de poils courts et drus. Son outil semi-dressé est très épais et à un angle bizarre par rapport au sol. Des testicules apparemment lourds se nichent tout près de son pénis.
L’habitué regarde avec convoitise les beaux seins de Sophie, ainsi que sa fente soigneusement taillée. Il va bientôt avoir son plaisir. Il ouvre les bras et lui fait signe de s'approcher. La subalterne arrive lentement vers lui. Tandis qu'il la serre, elle sent son corps serré contre ses pectoraux. Son torse et ses jambes sont particulièrement poilus. Alors que les mains du type descendent vers la chute de reins de la prostituée d’un jour et atteignent ses fesses, celle-ci tremble de façon presque incontrôlable.
Une des dextres du personnage se déplace et écarte ses cuisses pour sonder l'ouverture de son vagin. La secrétaire ouvre légèrement les jambes pour lui, acceptant l'inévitable. Un doigt s'enfonce profondément dans sa chatte, qui n’a pas été préparée à cette rencontre sexuelle et n'est pas encore très humidifiée. La paume de la main du « client » appuie à présent sur son mont de venus. Il entreprend aussi de lui lécher la poitrine. La pénétration de son tunnel d’amour commence à avoir un léger effet sur la jeune femme, le rythme lent et régulier du majeur qui la fouille lubrifiant le passage. Elle laisse échapper un petit gémissement, réagissant involontairement au toucher de l'homme, qui trouve son clitoris de façon experte et commence à le frotter régulièrement. Le type âgé et poilu fait alors descendre les dextres de Sophie jusqu'à son membre raide. Il sait qu'il a affaire à une innocente et qu'il doit assurer lui-même le temps qu'il a avec elle. Sous la pression des fins doigts qui commencent à serrer son outil, celui-ci se raidit et grandit encore, un gros gland formant la tête de la queue. Mais les minutes s’égrènent et Mathieu sait qu'il va devoir utiliser rapidement la fille. Aussi lui demande-t-il d’enfiler le préservatif sur sa bite épaisse. Ce qu’elle fait, à la fois excitée et dégoûtée par ce mâle répugnant, qui l’oblige rapidement à se mettre en levrette sur le lit. Il la pénètre. Elle sent l’impressionnante pine forcer son ouverture.
Pour lui faciliter les choses, elle se cambre, tout en s’agrippant aux barreaux de la tête de lit. Le chibre disparaît en entier dans le vagin profané, et entame un va-et-vient. La beauté naturelle gémit profondément lorsqu’elle sent les couilles poilues frapper l'arrière de sa croupe, indiquant que le membre est complètement en elle. Ce n'est pas tant la longueur qui pose problème, mais sa largeur anormale.
L'homme a maintenant un accès complet à la fente humide et luisante. Et il en profite, ses yeux avides regardant cette demoiselle aux jambes ciselées et aux fesses bien rondes. Mathieu se met à présent à la pilonner, sa formidable queue claquant fort sur le cul de celle-ci :
- Ohhhh ! crie-t-elle, quand il se retire, puis replonge. Son rythme impitoyable augmente à chaque coup.
- Tu aimes, hein, bébé ! l’encourage-t-il, avant d’ajouter : - Oui, prends tout ! L’habitué la bourre avec une énergie quasiment sauvage, tandis qu’elle respire bruyamment et sans retenue.
Ses mains restent fermement accrochées aux montants de la literie, comme si ceux-ci étaient soudain devenus un gilet de sauvetage alors qu'elle serait perdue dans l'océan. Sa peau douce se couvre de gouttes de transpiration tandis qu'il l’enfile durement, la travaillant ainsi pendant plusieurs minutes, profitant de ses soupirs de plaisir et de ses cris. Bien qu'elle ait voulu l'éviter, elle est désormais à la limite de l'orgasme :
- Continuez ! Baisez – moi !
On frappe à la porte : - Il reste cinq minutes ! Vous feriez mieux, tous les deux, de finir rapidement !
Elle réalise que tout le monde dehors sait que cet inconnu va la faire jouir. Ce qui arrive, dans un râle sonore, tandis qu’au même moment, elle sent le sperme du client exploser dans le préservatif glissant à l’intérieur d’elle. Quelques instants plus tard, elle perçoit un discret « merci, bébé ! » tandis que l’individu sort par la porte. Deux minutes s’écoulent et la voix de la patronne se fait à nouveau entendre :
- La remplaçante, il est temps !
Elle saute du lit, les seins frétillants. Le condom utilisé a été posé sur le lit à côté d'elle. Elle s’essuie l’entrejambe avec une serviette, ramasse la preuve sordide que constitue la capote et courre vers la salle de bain, située au bout du couloir. Chemin faisant, elle tombe sur un homme en costume qui est emmené dans une autre pièce par la maquerelle.
- Excusez-moi, dit-elle.
Le « client » rit aux éclats et la regarde intensément : - Pas besoin de justification, ma belle ! Mais qu'est-ce que vous avez donc là ? lui demande-t-il, d’un ton moqueur, en fixant la protection en latex usagée qu'elle tient à la main. Tandis qu’elle s’enfuit devant les deux personnes, elle perçoit des rires à gorge déployée. Et ce n'est qu'après une courte douche chaude que le cœur de la subordonnée s’arrête de battre furieusement.
Elle retourne s'asseoir dans le salon et y retrouve l’une des autres prostituées, qui attend tranquillement dans un coin et lui sourit. L’adjointe du Directeur croise et décroise sans cesse ses jambes, nerveusement. Elle est étonnée des geignements de deux personnes dans la chambre où elle vient de se trouver avec Mathieu. Ses yeux s’élargissent lorsqu'elle réalise que les murs sont fins comme du papier ! Tandis qu'elle écoute les cris du couple qui s’envoie en l’air dans la pièce voisine, elle regarde les yeux, bienveillants, de la jeune entraîneuse qui se trouve dans en salon avec elle :
- Vous avez entendu tout ce qui s'est passé entre lui et moi ?
La fille hausse les épaules : - Il est un peu pénible, mais, heureusement pour toi, il n’avait qu’une demi-heure !
La subalterne passe les heures suivantes à alterner entre prendre une douche, s’asseoir dans le salon et ouvrir ses cuisses pour que les « clients » puissent expulser leur sperme dans sa chatte. Déjà quatre préservatifs remplis, soupire-t-elle. Elle réalise que son corps ne lui appartient plus. Elle est aussi très ahurie de voir à quel point l'appartement est occupé. Des hommes de tous âges et de toutes tailles, pour la plupart bien habillés, se glissent tranquillement par la porte et, après que leurs yeux se soient adaptés à la faible lumière, balaient la file des beautés peu vêtues qui se trouvent devant eux et choisissent, comme dans une foire aux bestiaux, celle avec qui ils vont batifoler. Alors que l’heure de fermeture approche, la secrétaire se dirige à nouveau vers une pièce, sachant qu’une cinquième bite dure va s’introduire dans son sexe. A part Mathieu, aucun des trois « clients » suivants ne lui a apporté le moindre plaisir. Elle se retrouve en levrette, coudes sur les draps, face à la tête du lit. Ses jambes sont écartées, son cul est en l'air, et un inconnu d’origine asiatique -son premier amant jaune, se dit-elle- s'accroche à ses hanches en faisant entrer et sortir son membre dans sa vulve accueillante.
Le client, à genoux, se tient debout derrière l’employée. La tête de celle-ci est couchée sur un oreiller et elle regarde, la bouche ouverte, le grand miroir de la commode située sur le côté du lit. Pour elle, c'est presque une expérience hors du temps. Le reflet dans la glace montre clairement sa chatte en train de se faire marteler par un homme maigre et étrange, avec des lunettes fumées et des cheveux noirs raides. Ses bras et ses jambes minces sont tendus et son visage se déforme tandis qu'il pompe sa petite queue rigide dans le trou luxuriant de l’assistante.
Son esprit et son corps sont envahis par la honte et l'excitation. Son compagnon aimant ne l’a jamais baisée dans cette position. Après environ vingt minutes de cet exercice, elle explose en jouissant de manière incontrôlée tandis que son client éjacule en elle. Pour la deuxième fois durant cet après-midi, ses sens l’ont trahie.
A peine arrivée dans le salon pour s’y asseoir, elle est stoppée par la tenancière : - Tu as fini ton service, ma chérie ! Tu peux aller te rhabiller ! Je dirai à Roger que tu as été merveilleuse ! Si tu cherches prochainement du travail, tu sais où venir : il te suffira de m’appeler ! Voilà mon numéro et, surtout, voici pour toi, ton cadeau !
Ce faisant, Madame Jeanne tend à Sophie une enveloppe. Une fois vêtue, celle-ci l’ouvre et découvre les 750 euros qui y sont glissés. Voilà donc ce que je vaux, pense-t-elle…
Désormais dehors, elle se glisse dans la voiture qui l’attend, celle de son patron. Celui-ci la questionne :
- Il paraît que tu as été fantastique ! Tu peux me dire merci !
- Je vous remercie, Monsieur.
- Dis-moi, qui étais-tu avant de me rencontrer ?
Elle sait désormais ce qu’elle doit répondre : - Une bourgeoise un peu pétasse…
- Absolument ! Et maintenant, depuis que j’ai sérieusement pris en main ton éducation, qu’es-tu progressivement devenue ?
- Une salope, Monsieur. Vous m’avez appris là où était ma place. Grâce à vous, je me suis rendue compte que j’étais juste une conne, bonne à sucer des pines. Je vous remercie, Monsieur, d’avoir ouvert les yeux à la chienne qui sommeillait en moi.
- Et aujourd’hui, qu’es-tu maintenant ?
- Une pute, Monsieur, une pute. Je me fais baiser pour de l’argent. Je ne suis douée que dans un lit, avec une bonne queue.
- Bien, Sophie ! Tu as appris ta leçon !
Mon amie m’a dit que tu avais gagné 750 euros en un après-midi et que tu les avais bien mérités. Tu peux donc les garder. Je sais aussi que tu as assuré le service pour cinq clients. Ton compteur à bites affiche désormais le nombre de dix-huit. Tu progresses rapidement, je suis content de toi ! Pour fêter cela, je t’emmène ce soir dans l’excellent restaurant de notre hôtel. Et après avoir mangé, pendant que tu me raconteras dans les détails ce que tu as fait avec tes clients, je te baiserai durant toute la nuit…
Son Directeur ne lui a pas menti. Le lendemain, lorsqu’il dépose son adjointe devant la maison où elle habite, elle a des cernes noirs sous les yeux. Sa chatte est irritée.
Ereintée, elle s’affale sur le canapé et s’endort directement dans celui-ci, d’un sommeil profond, dont elle est seulement tirée par le retour tardif de son compagnon.

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5 Commentaires
MasterttaMMasterttaMil y a plus de 3 ans

Superbe histoire! Passionnant!

AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans

Tu pense faire une histoire sur une lycéenne dominer ?

NuhNuhNuhNuhil y a plus de 3 ans
Et maintenant

On se demande pourquoi son patron a jeté son dévolu sur Sophie ! Et maintenant donc ? Elle devient la pute de la boîte ? Obligée de venir travailler à poil et de « servir » tout le monde avec un bonus ? Ou au moins ceux que son patron a décidé.

Ses tendances au pétage de plomb alcoolisé ont disparu ?

AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans
18 !

Jusqu'où Sophie va - t - elle aller ?

Elle n'a pas été fessée ?

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