Les malheurs de Sophie - Chapitre 08

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Dressée par deux vieux messieurs très vicieux...
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Récit n'a pas de balises

Partie 8 de la série de 13 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 08/03/2020
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LES MALHEURS AVEC MESSIEURS ALBERT ET MARCEL

Ce samedi-là, en soirée, la jeune femme mange au restaurant avec son cher et tendre fiancé. Elle essaie, comme depuis plusieurs mois, de faire bonne figure, sans rien laisser transparaître de la période ignoble qu'elle traverse. Son amoureux, qui n'a jamais rien remarqué, lui annonce, tout guilleret, une excellente nouvelle :

- Ma chérie, mon Directeur m'a convoqué ce matin. Il m'a demandé de suivre techniquement, dans le cadre de mon travail d'ingénieur, la mise en œuvre d'un barrage en Amazonie. Tu te rends compte? La chance de notre vie! C'est d'abord pour trois mois et, si cela se passe bien, j'aurai un contrat de cinq ans sur place. Et le salaire perdu par ma femme, si elle m'accompagne après cette période d'essai, sera pris en charge par la boîte! Tu t'imagines? On pourra vivre ensemble et se voir chaque jour, sans nos éternelles contraintes professionnelles. Tu serais d'accord? Je te promets que je me dépenserai sans compter pour toi... pour nous...

La secrétaire se force à sourire. Trois mois sans la seule et grande passion de sa vie, ce sera long. Très long! Mais c'est aussi, à terme, l'unique moyen d'échapper à cet enfer qu'elle vit au quotidien depuis plusieurs semaines. En plus, pour lui, et de manière indirecte, pour elle, il s'agit d'une occasion qui ne se refuse pas. Aussi l'invite-t-elle à accepter :

- C'est merveilleux, mon cœur! N'hésite pas! Je t'attendrai patiemment et, si tout va comme tu veux, te rejoindrai!

Libéré par l'accord de sa dulcinée, Éric, son complice de toujours, exulte : - Dès demain, je confirme à mon employeur. Je devrai alors m'envoler samedi prochain. Le vol est d'ores et déjà prévu, ainsi que la villa réservée, mais je voulais d'abord avoir ton approbation avant de marquer mon accord définitif sur cette magnifique proposition...

Au retour de leur moment en tête-en-tête, les deux tourtereaux font intensément l'amour, et les jours suivants aussi, malgré la pipe que, chaque matin, l'assistante doit prodiguer à son patron. Sans compter le mercredi midi, où elle est baisée et enculée par son Directeur. Par contre, assez étrangement, celui-ci ne l'oblige plus à se rendre chez Paulus. Le vendredi, en fin d'après-midi, la veille du départ de son petit copain, car elle sait que dans une petite région rurale les nouvelles vont vite, elle juge plus prudent d'en informer son patron, afin de ne pas être punie. En effet, volontairement, elle n'a pas inscrit cet événement sur l'agenda partagé avec son chef. Sollicitant la permission d'entrer dans le bureau de son supérieur, elle l'informe, tout en restant debout devant celui-ci, de l'absence prochaine de son fiancé.

Il la coupe immédiatement :

- Je sais! Marcel est déjà au courant et me l'a dit! Petite cachotière! Tu croyais me rouler?

- Pas du tout, Monsieur.

- Je ne te crois pas! Ce qui m'embête le plus, c'est que dès lundi, je pars moi aussi durant plus de quinze jours. On me propose une promotion au siège de la maison-mère. Avant d'accepter cette offre et de savoir si je peux m'adapter à ce nouvel environnement professionnel, j'ai demandé à pouvoir me rendre sur place durant deux semaines.

- Toutes mes félicitations, Monsieur.

- Tais-toi, espèce d'idiote! Je dois te dire que je suis extrêmement déçu de ton comportement, après tout ce que j'ai fait pour toi! Mais bon, il m'arrive d'être magnanime! Je te pardonne! Et la meilleure preuve que je ne t'en veux pas, c'est que je souhaite que ton entraînement de salope ne s'arrête pas durant mon absence.

Sophie craint le pire.

- Aussi ai-je demandé à un ami de prendre le relais quant à la poursuite de ton éducation. J'ai aussi dû calmer les ardeurs de l'un de tes admirateurs. Durant mon absence, j'ai réfléchi à un petit programme afin que ta formation intensive se poursuive. Tu es heureuse?

- Oui, Monsieur!

- Parfait : dès dimanche soir, tu passeras une nuit complète avec ton plus grand fan : Albert qui, depuis qu'il a baisé dans mon salon tes trois trous, se languit de toi! Je vous ai réservé une chambre dans un très bel hôtel, à trente kilomètres d'ici. A partir de lundi, et pendant mon absence, Marcel prendra le relais. Celui-ci m'a promis de te dresser, car il trouve que je suis trop gentil avec toi. Et depuis qu'il attend ce moment, il m'a dit que tu prendrais cher! J'espère que tu es ravie de ces deux magnifiques surprises?

- Oh oui, merci! répond-elle, ayant du mal à contenir ses larmes.

- Bon, comme tout est réglé, passe sous mon bureau et suce-moi! Ce sera ta pipe d'au revoir!

Après s'être exécutée, la subordonnée quitte son travail et rentre chez elle. Elle sait que la quinzaine qui s'annonce va être particulièrement rude. Surtout que son supérieur l'a avertie : elle devra obéir en tout point aux deux hommes, qui la contacteront directement sur son mobile. Malgré son absolu désespoir, elle réussit à masquer son total désarroi à son fiancé, car elle ne veut pas gâcher le bonheur qu'il ressent.

Après avoir fait l'amour une dernière fois durant la nuit qui précède le départ de son chéri, l'assistante le conduit à l'aéroport. Lorsqu'il passe le portique de sécurité, il lui jette un dernier regard, les yeux embués mais empreints d'une tendresse infinie à l'égard de sa chérie. Celle-ci, des larmes coulant sur ses joues, lui adresse un dernier baiser virtuel, en soufflant un cœur imaginaire allant vers le visage de l'être tant aimé. Moins d'une heure plus tard, tandis qu'elle rentre en voiture, ayant avoir quitté l'aéroport, elle reçoit un appel d'Albert : - Bonjour, Sophie! Tu vas bien? Je suis impatient de te revoir, tu sais! Depuis la partie de poker, il n'y a pas un jour sans que je ne me souvienne de tes impressionnantes « performances »! M. Christophe m'a annoncé la bonne nouvelle! Je passe te chercher vers 19h.

- Oui, je serai rentrée.

A l'heure convenue, la secrétaire monte dans la voiture du vieux ventripotent. Celui-ci entame la conversation :

- Quand notre Directeur m'a appelé pour me dire qu'il souhaitait m'offrir un beau cadeau pour tout le travail fourni au sein de l'entreprise, j'ai cru qu'il se moquait de moi. Mais non! Il était sincère! C'est un grand homme! Je te promets que tu vas prendre de la queue toute la nuit : depuis le temps que je rêve de ce moment!

Tout en parlant, l'homme se gare devant un hôtel-restaurant :

- Purée, un quatre étoiles! Le chef a fait les choses de façon grandiose!

Les amants d'un soir, après s'être délestés de leurs légers bagages et pris possession de leur chambre, entrent dans la salle à manger chic, où un serveur les place.

Dès que celui-ci s'est éloigné, le responsable des expéditions se lâche : - Tu sais, depuis que je t'ai niquée chez notre patron, je ne pense qu'à toi. Tu m'excites à mort, ma salope!

Le repas débute : foie gras, turbot, canard, fromages affinés. Il est temps de prendre le dessert.

- Pour Mademoiselle, interroge le serveur?

Albert s'interpose dans la conversation : - Nous allons passer la nuit ensemble. Dès lors, je pense que pour ma jeune maîtresse, une bonne grosse banane flambée s'impose, non?

- Oui, répond la secrétaire, rouge comme une tomate.

Malgré son air interloqué, le garçon ne dit mot et se contente d'enregistrer la commande. Lorsque celui-ci revient à table pour servir les plats, le collègue de Sophie insiste à nouveau :

- Madame adore ce qui est large, long et dur, n'est-ce pas, ma cochonne?

L'assistante se contente d'une courte réplique : - Oui...

Son café fini, le vieil homme invite la subalterne à l'accompagner dans la chambre prévue. A peine arrivé, il saisit la beauté naturelle par les épaules et commence à l'embrasser goulûment :

- Vite, déshabille-toi, montre-moi ton cul et tes gros nibards! A poil, putain! La subordonnée obéit et l'homme chauve empoigne ses seins et se met à les peloter, insinuant une main dans son entrejambe et commençant à triturer son clitoris :

- Allonge -- toi sur le lit et écarte tes cuisses! Je vais te bouffer la moule!

Joignant le geste à la parole, il la rejoint, lui embrasse le ventre, descend jusqu'à la fente et commence le cunnilingus. Pendant dix minutes, une langue avide fouille le sexe de l'auxiliaire, tout en titillant son bouton. La secrétaire ne ressent rien, un immense dégoût primant sur tout plaisir éventuel. Subitement, il amène son gland turgescent vers la bouche de son « amante » : - A toi de me donner du plaisir! Suce-moi!

Elle prend la bite en bouche, l'engloutit, la ressort, lèche la hampe. Le vieux l'encourage :

- Tu aspires comme une pute! Quand je pense comment tu te baladais dans l'usine en faisant la fière!

Tout à coup, il se retire :

- A quatre pattes! Je veux te fourrer en levrette... avant de te perforer l'œillet!

L'assistante prend la position voulue, tandis qu'Albert la lime en cadence, se cramponne à ses hanches, lui pelote ses seins qui se balancent. Le vieux pervers accélère encore le rythme, puis opère un retrait imprévu, passe ses doigts sur la chatte de Sophie, en recueille l'humidité, et masse ensuite l'anus. Pour compléter, il crache sur la rondelle de la jolie fille et, sans plus tarder, l'encule sauvagement. La verge de l'homme, toute entière, est entrée dans le rectum :

- Tiens, prends-la bien dans ton petit trou, salope! Tu aimes ça, hein... te faire défoncer par l'arrière. Tu es devenue une enculée! Si ton mec te voyait, en train de faire tringler par un ancêtre comme moi et d'en prendre plein le cul! Dis-le que tu adores!

Souhaitant mettre fin à ses tourments, l'adjointe du Directeur se soumet à la demande :

- Oui, cela m'excite à mort... Je suis une chienne qui aime les grosses bites! J'aime me faire baiser! J'aime les queues énormes comme la vôtre, dans tous mes trous!

- Je le savais! Tu es une dégueulasse!

Emoustillé comme jamais, il éjacule puissamment dans le fondement de sa collègue :

- C'était bon! Je t'ai bien rempli les boyaux! Va te laver, maintenant! On passera ensuite au deuxième round!

A peine douchée, l'employée doit se mettre à genoux et sucer le jonc d'Albert, juste pour le revigorer. Dès que son sexe est à nouveau tendu, le chef de service l'emmène sur le lit et l'oblige, allongée sur le dos, à écarter les cuisses. Sans autre préliminaire, il entreprend de la limer furieusement avant, à peine quelques minutes plus tard, de se vider dans la chatte sans défense. Regardant sa montre, il arbore un large sourire auto-satisfait : - Il n'est que minuit et je t'ai déjà mis deux coups! Je me repose une demi-heure et on remet le couvert! Le timing décidé par le sale type est strictement respecté et, la subordonnée, encouragée par de grandes claques répétées sur ses fesses rougissantes, chevauche son collègue, empalée à fond sur sa queue. Elle suit les injonctions de son amant et ondule de plus en plus, malgré le doigt qui vient de s'introduire dans son anus. Après une nouvelle éjaculation, le chauve s'endort enfin. Couchée à ses côtés, la secrétaire, elle, ne parvient pas à trouver le sommeil. Et repense aux raisons qui, récemment, ont fait de sa vie en enfer. Elle cherche, mais ne trouve aucune réponse. Pourquoi, ressasse-t-elle, suis-je près de ce gros porc, qui vient de me violer?

Le matin, vers 6h30, alors qu'elle s'endort enfin, elle est brutalement réveillée par Albert :

- Allez, chienne, à la bite! C'est l'heure de ta sodo!

Aussitôt dit, aussitôt fait, et la malheureuse est bientôt secouée d'avant en arrière, tandis que des larmes perlent sur ses joues. Son collègue la dégrade : - Humm... il est bon ton cul... il est chaud et reste serré... malgré toutes les queues qui te l'ont élargi! Sophie, je t'encule! Haaaah.... Je jouis dans ta rondelle! On dit merci qui?

- Merci, Albert...

Un peu plus tard, la voiture de celui-ci la ramène dans son village. Mais au lieu de s'arrêter directement devant la maison habitée par la fille, elle stoppe devant la demeure de Paulus.

- Changement de programme, ma belle! Mon ami n'en peut plus de bander en pensant à toi. On a donc décidé d'avancer un peu les réjouissances! Allez, entre chez lui!

L'homme suit la fille, en lui mettant ostensiblement la main aux fesses et, surtout, en ne l'enlevant pas :

- Avance, la pouliche! Mon pote t'attend...

A peine entrée dans le salon, l'assistante de M. Christophe est accueillie par un cinglant : - Enfin, te voilà! A poil! Immédiatement! Debout, mains derrière la tête, jambes écartées!

Pendant plus de trente minutes, elle reste dans la même position, sous le regard moqueur des deux copains, qui commentent tantôt la grosseur de ses miches, la fermeté de son postérieur, ses talents de suceuse, sa façon de baiser ou de se faire mettre par l'arrière. Avilie une fois encore, elle reste néanmoins stoïque, de peur d'aggraver plus encore sa situation, d'autant qu'elle commence à ressentir des crampes un peu partout.

- Notre femelle a l'air soumise, aujourd'hui! constate Marcel, en s'adressant à son camarade d'usine. Avant d'ajouter : - Nous allons voir maintenant si elle est réceptive!

Joignant le geste à la parole, il s'approche de l'employée, attache deux cordelettes afin d'enserrer ses tétons, les passe ensuite dans son dos par-dessus ses épaules et l'invite également à mettre ses mains derrière elle. Il attrape ensuite lesdites dextres et fixe l'une des ficelles à chacun des pouces. Il s'applique à régler leur longueur, afin de soutenir les seins, mais aussi en les raccourcissant de telle manière que, malgré ses mains positionnées au plus haut près de ses épaules, les globes mammaires restent en tension perpétuelle et, surtout, maximale.

Il tire plusieurs fois les dextres de sa collègue vers le bas, juste par jeu. Il s'amuse à voir ses loches se tendre et se soulever sous la traction, ainsi que l'expression de son visage grimaçant à chaque fois qu'elle sent ses mamelons supporter le poids de sa poitrine.

Paulus prend un peu de recul, observe son nouveau jouet, semble satisfait de son œuvre et part chercher une autre cordelette. Il parcourt cette fois le ventre de Sophie et finit sa course sur son sexe, ses doigts commençant à titiller son clitoris. La suite du traitement proposé traverse alors l'esprit de l'auxiliaire qui imagine, avec terreur et l'espace d'un instant, les conséquences de cette corde sur son bouton d'amour :

- Non, pas là, Monsieur, s'il vous plaît! Ce sera trop douloureux, trop sensible...

Les supplications de la subalterne n'y font rien : le bras du vieux pervers entoure ses hanches pour éviter qu'elle ne se soustraie à ses caresses. Il décapuchonne son clitoris et commence à le branler. Celui-ci, contrastant avec la finesse des lèvres vaginales, devient gros devant la sollicitation effectuée! Son objectif ayant été atteint, le vieux vicieux attache le cordon, le serrant sans compassion mais dans les limites du supportable, avant de passer la cordelette entre les fesses de la subordonnée. L'autre extrémité du lien étant scindé en deux, il en attache, là encore, chaque partie à l'un des pouces, de telle façon que ses mains soient à mi - chemin entre ses seins et son bourgeon. Aidant l'assistante du Directeur à se mettre à genoux, cuisses bien écartées, il la détaille, un sourire triomphant au visage :

- Alors, Albert, qu'en penses-tu?

- Un vrai travail d'orfèvre, Marcel!

- Voilà, salope! Tu as maintenant un vrai choix : tu peux soulager la tension sur ton clito si tu tires sur tes seins et inversement! Je te laisse avec tes préférences. Pendant que tu réfléchis, je vais te poser quelques questions. Tu es d'accord, esclave?

- Oui, Monsieur.

- Bien! On commence : crois-tu que tu nous es supérieure?

- Non, certainement pas.

- Alors, pourquoi nous snobais-tu?

- Parce que je ne savais pas où était ma place.

- C'est-à-dire?

- Je n'avais pas conscience que j'étais une imbécile, sans aucune compétence.

- Saurais-tu uniquement sucer des bites?

- Non. Je sais aussi baiser des pines et les accueillir dans mon cul, comme hier soir et ce matin, avec Albert, qui s'est vidé deux fois dans mon anus. Ce dernier est toujours accessible.

- Au fond, tu es juste un sac à foutre, n'est-ce pas? Comme une vraie bimbo...

- Oui, Monsieur.

- Mais alors, pourquoi n'es-tu pas blonde?

Désarçonnée par cette question imprévue, elle ne sait pas quoi répondre. Paulus en profite :

- Ton silence prouve bien que tu es bête. Et une femme stupide, c'est souvent une blonde. Donc, comme tu ne l'es pas, il fait falloir que demain, tu ailles chez le coiffeur. A l'usine, tout le monde pense que tu es une super vicieuse, avec tes minijupes, tes chemisiers sous lesquels tes gros seins se balancent librement en l'absence de soutien-gorge, ou encore avec tes chaussures à talons hauts qui font rouler tes fesses!

Mais, en plus d'être une chienne, il faut aussi que tu montres à tous que tu es une idiote! Aussi, après ta journée de travail, quand tu viendras chez moi, je te veux en blonde.

Tu as compris?

- Oui, Monsieur.

Cela doit faire une bonne demi-heure que Sophie couine de douleur, son clito et ses tétons la lançant en continu. Elle a l'impression qu'ils ont doublé de volume. Chaque mouvement devient un vrai calvaire, un petit filet de bave coule sans interruption de sa bouche.

Marcel se lève enfin de son canapé, dans lequel il sirotait un verre de vin avec son ami Albert. Il vient présenter sa bite à la jeune femme bondée et la colle contre sa bouche. Il précise alors ses intentions : - Je te détache quand tu m'auras fait jouir, femelle. Moi, et bien sûr, ensuite, mon ami ici présent! D'accord, pétasse?

Arguant qu'elle ne pourra pas le sucer dans cette position, où elle totalement immobilisée, elle le supplie de la délier, mais son collègue se contente de lui répondre :

- Une bonne gobeuse se débrouille quelle que soit la situation. Au boulot!

Vaincue, elle se met en action, mais chaque mouvement de tête crée des frottements très rugueux sur son capuchon. La douleur devient intenable. La subalterne se concentre sur le sexe qui coulisse dans sa bouche, pour le faire jouir le plus rapidement possible en se servant de sa langue, désormais rompue à ce type d'exercice.

Malgré tous ses efforts, cela lui prend quand même quinze minutes avant de sentir le sperme envahir son palais. Il se vide enfin, pense-t-elle. Le répit est de courte durée, car déjà le membre d'Albert se présente sous ses narines. Là encore, la jeune femme use de toute sa technique orale pour obtenir un résultat rapide. Dix minutes suffisent cette fois pour obtenir une éjaculation abondante contre sa glotte!

- Tu vois que tu sais le faire! ironise Paulus, en lui caressant les cheveux pour lui faire comprendre qu'il est content d'elle. Il la détache, s'affaire sur ses tétons, dénoue les liens, tandis que l'afflux du sang provoque chez Sophie une immense douleur qui lui fait serrer les dents à chaque libération. Il en va de même pour son clitoris. L'adjointe du Directeur masse alors ses seins et son bouton d'amour pour faciliter un retour à la normale, tant au niveau volume que de la couleur initiale.

Marcel se tourne vers son ami : - Maintenant, tu peux ramener la salope chez elle. Un instant encore...

Le vieil homme s'avance vers la secrétaire, lui passe un collier autour du cou et, tendant la laisse à Albert, prononce des paroles qui glacent d'effroi l'assistante du Directeur :

- Va faire pisser la chienne dans le jardin!

Et le chef du service des expéditions de renchérir immédiatement sur les propos de son collègue :

- A quatre pattes, vite! Et n'oublie pas, les animaux ne parlent pas. Donc tu t'exprimeras uniquement en aboyant!

La subalterne, anéantie, pliant les bras et les jambes sur le sol, suit son « maître ». Sa dépravation semble sans limite. D'autant qu'il lui est ordonné de japper d'une voix parfaitement claire. Elle est consciente du ridicule de sa situation.

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