Les malheurs de Sophie - Chapitre 10

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Fin du dressage : strip-tease devant le sacristain.
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Récit n'a pas de balises

Partie 10 de la série de 13 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 08/03/2020
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LES MALHEURS AVEC MONSIEUR MARCEL ET SON AMI NICOLAS

Le week-end passé dans la maison de son vieux et laid collègue est relativement rude. A peine arrivée dans la tenue demandée qui, en l'absence de sous-vêtements, dévoile la moitié de ses fesses et, sur les côtés, largement sa poitrine, elle est complimentée par Marcel : - Très jolis ongles! Et une bien belle tenue mettant parfaitement en évidence, même un peu trop d'ailleurs, tes charmes plantureux! Je trouve que c'est en tout cas l'idéal pour faire une belle promenade à vélo. D'autant que le temps sera ensoleillé aujourd'hui et demain. Il y a d'ailleurs beaucoup de touristes! Mais assez bavardé, il est temps de nous mettre en route!

Les heures qui suivent sont un véritable calvaire, d'autant que la situation est de surcroît très gênante, voire profondément grotesque. Pédalant, collée à la roue de Paulus, tel un animal suivant son maître, Sophie passe son temps à arpenter les rues du village. De nombreux habitants du quartier, et bientôt du bourg dans son ensemble, découvrent, ébahis, une drôle de caravane, dont l'unique objectif est d'étaler à la vue de tous, mais sans y paraître, les délicieux appas de la secrétaire.

Si les hommes semblent s'en réjouir, certaines femmes froncent plutôt les sourcils. De retour à la maison, Marcel semble très satisfait de la ballade : - Et voilà, esclave, ta réputation est désormais, comme à l'usine, totalement détruite. Heureuse?

- Oui, Monsieur! Tout le monde sait maintenant qui je suis.

Le reste de la journée se déroule assez brutalement : nue, positionnée à quatre pattes, les fesses relevées, elle subit une nouvelle punition, sans que la moindre raison ne soit donnée : après dix coups de badine sur les fesses, elle est enculée par le chef de service. Deux heures plus tard, toujours dénudée, mais cette fois debout, elle doit compter les dix nouveaux de cravache qui s'abattent sur ses seins, avant d'être contrainte, pendant près de quarante minutes, de sucer la queue de Paulus.

Ses mâchoires sont ankylosées.

En fin de soirée, allongée à même le tapis du salon et les cuisses largement écartées, elle est contrainte de supporter dix coups de latte en bois sur ses lèvres vaginales. Une fois celles-ci suffisamment gonflées, le chef de production s'allonge au-dessus d'elle et éprouve l'indicible besoin de la baiser sans douceur.

Le dimanche se déroule de la même manière : après la promenade matinale à vélo dans le village, l'après-midi s'égrène au rythme des punitions et des dégradations sexuelles. Visiblement repu d'avoir satisfait ses nombreuses perversions, Marcel donne congé à Sophie vers 17h, non sans une dernière injonction :

- Tu connais ton voisin, Nicolas Gillet?

- Pas plus que cela, Monsieur!

- C'est un bon copain. Il m'a dit que tu ne lui disais jamais bonjour!

La jeune femme ne peut pas le nier, car elle déteste celui-ci. Agé d'environ une soixantaine d'années, retraité de l'enseignement, célibataire, il s'est installé il y a environ deux ans dans la localité. Dégarni, avec une tête peu avenante, il est doté un long nez surmonté d'une épaisse paire de lunettes. On dirait des loupes! Ses joues sont ostensiblement rosies par l'alcool. Sans doute du vin de messe, car celui-ci officie comme sacristain au sein de la paroisse du village. L'assistante s'est toujours méfiée de cet homme.

Cela doit être un sacré drôle de type, se dit-elle toujours en le croisant. Un gars véritablement malsain!

- Et bien, en repartant chez toi, tu t'arrêteras devant chez lui et tu frapperas à sa porte, vêtue tel que tu l'es. Et tu l'inviteras aimablement à venir chez moi samedi soir pour que l'on prenne un verre ensemble, tous les trois. Tu as bien compris, ma jolie messagère?

- Oui! répond-elle en blêmissant.

Stoppant devant le chalet de Gillet, elle fait tinter plusieurs fois la cloche qui sert de sonnette. Le marguiller passe la tête par la fenêtre : - Qui est-ce? Et que voulez-vous?

La secrétaire se force à avoir l'air sympathique : - Bonjour! C'est votre voisine. Je suis venue vous inviter à boire l'apéro chez votre ami Marcel. Ce sera l'occasion pour vous et moi de mieux nous connaître et de briser la glace. Nous sommes partis sur de mauvaises bases.

Autant s'entendre en toute amitié, non?

Le sacristain, d'abord surpris, découvre alors les charmes largement exposés de la cycliste sexy : - Demandé aussi gentiment et par une dame splendide, ce sera bien volontiers! Vous devriez vous habiller plus souvent comme cela. Vous êtes un régal pour les yeux!

- Merci beaucoup pour ce charmant compliment! A samedi, alors, 20h! conclut-elle, dans un large sourire totalement forcé.

A peine est-elle arrivée chez elle depuis dix minutes que son mobile sonne déjà. C'est Paulus : - Au fait, j'ai oublié! Rendez-vous demain, à la sortie du boulot, à 17h, chez mon ami tatoueur. Il y a une ultime retouche à effectuer sur ton corps si parfait!

Préférant ne pas penser à ce que cette ordure lui réserve encore et afin d'éviter une terrible crise de stress, la subordonnée s'annihile en vidant d'une traite une bouteille de vodka.

Le lundi, à l'heure convenue, elle arrive au salon où, sans attendre, le patron l'emmène dans la petite salle située à l'arrière-boutique. Tout le matériel est prêt. Cette fois, la table est placée en position totalement couchée. Son collègue, lui aussi, est déjà là.

Une injonction fuse : - Mets-toi à poil! Et allonge-toi sur le ventre!

Durant près d'une heure, sa fesse droite est quelque peu martyrisée par la machine à aiguille. La douleur est toutefois supportable. Elle tente d'identifier le type de dessin qui a été choisi, mais elle ne parvient pas à le faire. Soudain, le tatoueur s'arrête brusquement :

- C'est presque fini! Reste plus que la touche finale. Il y en a encore pour deux minutes. Mais avant, je vais me payer, car aujourd'hui, je suis pressé : j'ai un autre client dans quinze minutes.

Se levant, il fait le tour de la table et, arrivé devant le visage de Sophie, sort sa queue. L'auxiliaire a compris et, toujours allongée sur le ventre, redresse sa tête pour arriver à hauteur du gland, en s'appuyant sur ses coudes. Elle enfourne le membre en érection dans sa bouche, léchant alternativement la hampe avant de téter, délicatement, le bout du sexe présenté. Moins de sept minutes suffisent pour provoquer l'éjaculation de l'homme en face d'elle. L'employée est presque fière de sa performance et du compliment qui lui est adressé par le propriétaire du salon : - Quelle avaleuse de bites! Tu devrais l'inscrire à un championnat du monde!

Comme l'avait promis le propriétaire, après seulement quelques minutes supplémentaires de travail, celui-ci invite la fille à se relever et à se rhabiller, après qu'il ait préalablement enduit sa fesse de pommade cicatrisante. Avant d'ajouter :

- Chérie, je ne peux pas te montrer mon œuvre, car je n'ai pas de grand miroir. Tu n'auras qu'à regarder dans la glace de ta salle de bain. Je suis sûr que cela te plairas...

- Surtout si elle aime les Stones! ironise Marcel.

Comme la dernière fois au sortir de la boutique, le vieux pervers la congédie et l'invite à rentrer directement chez elle.

- A samedi soir! rappelle-t-il simplement.

Parvenue à son domicile, la subordonnée se déshabille rapidement avant de se ruer vers la pièce d'eau. Se mettant de dos face au miroir, elle tourne sa tête de côté afin de découvrir ce qui été a été tatoué sur son globe fessier. Abasourdie, elle s'effondre en pleurs en découvrant non seulement le logo des Stones -la bouche tirant la langue- mais aussi ce qui est écrit au-dessus et en-dessous de celui-ci, en petites lettres noires visibles : « Je suis une salope... aimant les grosses bites ».

Le samedi matin, la subalterne reçoit un texto de Marcel : - A ce soir, 19h30 très exactement. Tu seras habillée entièrement en vêtements de couleur noire et de la manière suivante : un chemisier finement transparent et une minijupe. Pour les sous-vêtements : un soutien-gorge en dentelle, un porte-jarretelle auquel seront accrochés des bas. Ta tenue sera complétée par un string ficelle assorti au soutif.

Et au crépuscule, à l'heure exigée, l'assistante de Direction se présente chez le chef de production. Nicolas, le bedeau, n'est pas encore arrivé, mais son ami tient à donner à Sophie certaines consignes quant à l'ordre de marche de la soirée qui s'annonce.

A 20h, la sonnette retentit et Sophie, vêtue comme demandé, va ouvrir la porte et invite son voisin a pénétré dans la demeure, non sans lui donner trois bises sur les joues.

Surpris de cette entrée en matière, Gillet, l'air content, complimente la jeune femme :

- Vous êtes très en beauté ce soir! Classe, sexy, dans des vêtements qui vous mettent en valeur sans être, comment dirais-je, inappropriés. Vous avez du goût!

Se forçant à faire comme si elle était heureuse de cette flatterie, elle lui répond : - Merci! Flatteur, va! Vous allez me faire rougir! Vous pouvez me tutoyer, vous savez et m'appeler Sophie! Installez-vous dans le canapé, près de Monsieur Paulus. Je m'éclipse dans la cuisine et revient dans quelques instants avec les boissons...

S'installant dans le sofa à côté de son ami, le sacristain ne peut que manifester sa surprise : - Marcel, je me suis trompée sur cette demoiselle. Finalement, elle est très gentille!

Malicieux, le vieil homme se contente de lui répondre d'un air mystérieux : - Et encore, tu n'as rien vu!

Revenant de la cuisine en portant un plateau en argent, la secrétaire débouche une bouteille de champagne, remplit deux flutes qu'elle tend aux hommes et place le restant dans un seau à glace. Elle prend une chaise, située non loin, allume la stéréo, qui diffuse une musique sensuelle et, faisant face aux deux vicieux, prend la parole : - Nicolas, je n'ai pas été très gentille avec vous. Je vous snobe depuis votre arrivée il y a deux ans. Aussi, j'ai proposé à votre ami Marcel, qui a accepté, de vous offrir un petit spectacle pour m'excuser! La jeune femme a pensé, jusqu'au dernier moment, qu'elle ne parviendrait pas à terminer ce laïus qui lui a été imposé par son infâme collègue. Malgré son état psychologique, elle y a réussi.

Guidée par le son lancinant de la chanson, elle déboutonne lentement, un par un, chacun des boutons de son chemisier aérien et vaporeux. De temps à autre, entre deux pressions ouvertes, elle se retourne, abaisse le vêtement sur la moitié d'une épaule, dévoilant celle-ci avant de la masquer à nouveau. Pour la plus grande excitation des deux spectateurs.

Elle leur divulgue bientôt son opulente poitrine, protégée encore par sa brassière, ouvrant et refermant les pans de son dessus. Le marguillier semble hypnotisé par la scène surréaliste que lui offre sa voisine. Après que sa blouse transparente soit tombée sur le sol, la minijupe, suite à une lente et langoureuse ondulation des hanches, subit le même sort. Vêtue uniquement de ses dessous, l'assistante inverse sa position, dévoilant au bedeau ses fesses rondes et fermes, à peine masquées par le string ficelle. Après avoir exagéré son mouvement de bassin, elle se retrouve une fois encore face aux deux sexagénaires et dégrafe son soutien-gorge.

De cette façon, elle libère ses seins somptueux avant, tout aussi lentement, de baisser son string. Elle est à présent uniquement en porte-jarretelle, bas et hauts talons. D'une voix étranglée, presque inaudible, elle s'adresse à son voisin, le nommé Gillet :

- J'espère que cela vous a plu. Je me rends maintenant à la cuisine chercher une autre surprise...

Interloqué par le présence inattendue d'anneaux, de piercings et de tatouages sur l'ensemble du corps de l'adjointe, surtout dans ses endroits les plus intimes, charmé de surcroît par ce numéro hors pair, le sacristain ne pipe mot, attendant la suite.

Sophie revient avec une autre bouteille de champagne. Sur le plateau, outre le breuvage, on peut remarquer la présence unique d'une grosse bougie rose. La subordonnée enchaîne les explications à l'égard de l'aidant du curé, après avoir rechargé sa coupe : - Aujourd'hui, Nicolas, je fête un anniversaire! Si vous êtes d'accord, vous serez ma vingtième bite! Sur ce, elle dépose le support en argent sur la table, se retourne, tend la bougie à l'intéressé et, l'anus enduit de vaseline, écarte ses globes fessiers. Séance tenante, elle l'invite à procéder à l'intromission du cierge et à l'allumer.

Un instant interloqué, le bedeau ne se fait pas prier, et tandis que la subalterne s'agenouille et commence à le sucer, Marcel pose sous les fesses de l'assistante un grand bol destiné à recueillir la cire s'écoulant du flambeau, afin d'éviter de tacher le parquet et le tapis. Après quelques minutes du traitement inhumain dont il est victime de la part d'une gobeuse hors pair, Gillet émet un râle annonciateur de sa proche jouissance. La suceuse émérite anticipe le danger d'un orgasme précoce :

- Monsieur, avec cette bougie qui brûle, je commence à avoir le feu au cul l Je serais très heureuse si vous vouliez bien éteindre l'incendie qui m'embrase avec votre lance!

Le sacristain, aussi surpris que béat devant cette proposition, s'empresse de souffler sur la mèche, d'enlever le cierge et de profaner le temple anal de la créature de rêve.

Sentant celui-ci encore sur le point d'éjaculer et se conformant aux instructions de Paulus, la jeune femme l'invite à s'arrêter et à s'asseoir sur le confortable canapé :

- Si vous le permettez, afin de me faire définitivement pardonner, je propose que vous vous installiez confortablement dans le sofa, afin que je puisse m'enfiler sur votre queue et vous faire ainsi découvrir les délices de mon dernier trou, que vous ne connaissez pas encore.

Laissez-moi vous baiser!

L'air légèrement demeuré, l'intéressé, sans un mot, s'abandonne à la science de la fille qui, d'un mouvement lent, monte et descend sur sa pine tout en, avec l'une de ses mains mise en arrière, touche et joue avec ses testicules. Le chef de production, lui, devant le scandaleux spectacle proposé, se positionne contre l'œillet de la fausse blonde et l'encule sans ménagement. Bien que soumise à une double pénétration, l'adjointe de M. Christophe ne ressent aucun plaisir. Sentant les deux hommes au bord de l'orgasme et afin d'abréger ses souffrances, elle simule plusieurs gémissements afin de faciliter la fin de ces ébats non désirés. Moins de trente secondes plus tard, les deux mâles la remplissent de leur foutre chaud.

La séance terminée, Sophie est rapidement congédiée, Marcel souhaitant passer un moment amical avec Nicolas, autour d'un bon verre de vin rouge. Il adresse toutefois un ultime message à la subordonnée : - Pour info, salope, le Directeur revient demain soir.

Tu es attendue le jour suivant, lundi, dans son bureau, à 8h30 précises. Selon ses instructions, il souhaite te garder un peu pour lui seul. Dès lors, on ne se verra pas pendant quelque temps. Alors, en accord avec Albert et maintenant, avec Nicolas, on a décidé de te préparer pour ce dimanche une chouette fête d'adieu, même si notre séparation est temporaire.

Donc, chez moi, à 19h!

Rentrée à son domicile, elle éprouve des sentiments mitigés : à la fois heureuse d'échapper, même durant un laps de temps limité, à Marcel, elle est inquiète quant à la « fête » qui s'annonce. Cela n'augure rien de réjouissant, pense-t-elle.

Elle a raison : la soirée du dimanche est extraordinairement pénible. Après s'être déshabillée immédiatement, l'assistante est victime de punitions répétées de la part des trois sexagénaires : fouettée, à coups de badine, sur ses fesses, ses seins, sa chatte et ses cuisses, elle est ensuite liée aux quatre pieds de la table de la salle à manger et immobilisée par des lanières en cuir cerclant ses poignets et ses chevilles.

Après avoir été successivement sodomisée par ses tourmenteurs, elle est ensuite détachée, remise debout, avant d'être ligotée par de solides cordes tant au niveau de ses mains (qui sont attachées ensemble derrière son dos) que de ses pieds (enchaînés). Ficelée tel un saucisson, toujours nue comme un ver, elle voit son corps emporté, de manière horizontale, par ses tortionnaires, vers le garage.

Déposée sur le sol, à même le béton, elle voit passer entre ses chevilles un câble en acier, accroché à un anneau solidement vissé dans le plafond de la remise et situé à environ trois mètres de hauteur. Marcel s'esclaffe : - Idéal pour suspendre une cochonne!

A peine ces propos terminés, le vieil homme tire manuellement sur le filin afin de suspendre la jeune femme, tel un animal mené à l'abattoir avant d'être égorgé ou dépecé. Désormais pendue par les pieds et la tête à l'envers, dans une position inconfortable, elle entend les indications du chef de production : - Comme tu le sais certainement, même si tu n'as pas de cerveau, le sang descend vite à la tête. Tu vas devoir te dépêcher pour nous sucer tous les trois, car si tu tardes, tu risques de t'évanouir.

Devant ce constat froid n'affichant aucune trace de compassion ni de pitié, Sophie a compris : il n'y a rien à attendre. Elle est désormais un simple sac de viande, avec trois orifices. Salope comme elle ne l'a jamais été, oubliant toute pudeur et retenue, elle s'escrime vulgairement sur chaque queue, afin de les faire dégorger au plus vite.

Pari réussi : en moins de vingt minutes, elle fait cracher les trois zobs, tantôt dans sa bouche, tantôt sur visage, tantôt sur ses seins. Quel que soit l'endroit, quelle importance, pense-t-elle.

Enfin décrochée, le regard plus proche de celui d'une morte que d'une vivante, elle rentre chez elle et reste enfermée dans sa maison jusqu'au mardi matin. Elle programme péniblement son réveil, pour se lever et arriver à temps au travail pour 8h30.

Au programme : tailler une pipe à son implacable patron.

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2 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans
La place d’un animal

Et puisqu’elle accepte de se comporter en animal, sans doute existe il des chenils dans son village, pour l’exhiber publiquement avec ses désormais semblables ?

AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans
Ce bel animal qu'est Sophie !

Je suis certain que l'usine a des caves…

Elle sera bientôt toujours nue ?

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