Les malheurs de Sophie - Chapitre 11

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Visite au sex-shop et dans un cinéma porno.
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Récit n'a pas de balises

Partie 11 de la série de 13 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 08/03/2020
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LES MALHEURS AU SEX SHOP ET AU CINEMA PORNO

Le lundi matin, après avoir longuement montré à son employeur l'ensemble de des anneaux placés au niveau de ses seins et de ses lèvres vaginales, le piercing changé au niveau de sa langue et le nouveau inséré dans son clitoris, l'adjointe, après avoir aussi exhibé les deux tatouages récemment réalisés, prodigue, avec la dextérité de sa langue habile, une merveilleuse pipe à son supérieur. Celui-ci, l'œuvre accomplie, lui caresse la tête, comme on le fait avec une bête de compagnie :

- Bien, ma chienne, bien! Marcel m'a dit qu'il t'avait fait baiser par deux de ses amis, ce qui porte ton total à vingt bites. Au fait, j'ai vu que vendredi prochain, c'était ton anniversaire! Je ne pourrai pas le fêter avec toi, en raison d'obligations familiales, une chose que tu ne connais pas, vu la façon dont tu trompes ton fiancé de manière éhontée.

Nous allons donc anticiper celui-ci. Je t'ai préparé un cadeau. Tu me réserveras donc la totalité de ta journée de demain. Il est temps pour toi de faire enfin « le tour de la queue en 80 jours ». Après le blanc et le jaune, il est temps pour toi de faire intimement connaissance avec d'autres ethnies : pakistanaise, indienne, arabe, noire. On va commencer par des pines du Maghreb. Je viendrai te chercher demain, vers 11h, à ton domicile. Nous en aurons ensuite pour environ une heure de trajet.

- Je vous remercie de participer à mon ouverture culturelle sur le monde. Je suis sûre que je ne manquerai pas de tirer de cette expérience de nombreuses satisfactions.

- « Tirer », c'est le mot, rit son Directeur.

Pour la première fois, il lui demande de s'habiller très classe pour le jour suivant.

La jeune femme porte donc une attention particulière à sa tenue : une robe d'une seule pièce, très courte, d'un ton rouge délavé, qui dissimule des sous-vêtements de couleur rose, soutien-gorge et culotte transparente étant assortis. L'ensemble est complété par des sandales avec des lanières en cuir grenat dessinant ses pieds et ses chevilles, et remontant jusqu'au bas de ses mollets.

Vers le midi, dans le quartier chaud d'une grande ville, le véhicule du patron s'arrête devant l'enseigne d'une boutique miteuse : -- On est arrivé! Descends! Et n'oublie pas d'utiliser les préservatifs! Je t'en ai préparé cinq : remplis -- les!

Sophie et son chef pénètrent alors dans un bouge mal famé mélangeant les genres : un rez-de-chaussée consacré à un sex-shop et, après avoir traversé celui-ci, la présence d'un escalier, au fond du magasin, indiquant à l'aide d'une flèche rose « cinéma au premier étage ».

Bonjour la discrétion! pense la subalterne.

Se conformant aux directives données par son boss dans la voiture, l'adjointe se dirige vers le comptoir, derrière lequel se trouve un homme d'origine arabe : - Pourriez-vous me montrer votre sélection de godes noirs, s'il vous plaît, Monsieur?

- Mais certainement, Mademoiselle, répond le vendeur, sans doute dans la trentaine, voire peut-être un peu plus : - Y a-t-il quelque chose en particulier que vous recherchez?

- Le plus gros que vous ayez, précise, très mal à l'aise, la subordonnée, avant d'ajouter, rougissante :

- Aussi long et large que possible, et surtout de couleur noire.

Le tenancier, bien que surpris par cette demande, pose un phallus artificiel de taille moyenne sur le comptoir, puis un autre, énorme. Ce dernier fait près de vingt-cinq centimètres de long et est aussi épais que le poignet de Sophie, qui ne peut même pas mettre ses doigts autour. Elle le caresse de façon langoureuse et demande ensuite :

- Vous pensez que cela sera suffisant?

- Vous pouvez le tester dans la cabine d'essayage, suggère l'individu.

- Vous m'accompagnez alors pour me donner votre avis? minaude-t-elle.

- Oui... bien sûr, par ici! bégaie le boutiquier, sans croire à sa chance. Il conduit Sophie dans une pièce qui ressemble plutôt à un placard de rangement inutilisé, à peine fermé par une porte mal ajustée sans serrure, et contenant un fauteuil taché, dont le rembourrage fait ressortir les coutures, ainsi qu'une poubelle débordante et malodorante.

- Voilà, prenez tout le temps qu'il vous faut et revenez quand vous vous serez décidée.

- Restez avec moi, Monsieur. J'ai besoin de l'avis d'un professionnel!

La subalterne glisse sa robe vers le bas, enlève son soutien-gorge et sa culotte, puis entreprend, devant le vendeur, de se baiser avec le sexe factice, qu'elle fait coulisser, au prix de maints efforts, dans son vagin. L'employé, excité comme un fou devant ce spectacle infiniment érotique, baisse son pantalon, révèle une queue étonnamment noueuse et introduit sa pine --protégée par un des préservatifs que la jeune femme vient de lui donner- dans la bouche de la subalterne.

Celle-ci a instinctivement ouvert ses lèvres et commence à sucer la bite ainsi présentée, tout en continuant à enfoncer de plus en plus loin le gode noir surdimensionné dans sa chatte. Pendant ce temps, le commerçant, après moins de trois minutes, envoie une énorme charge de sperme dans la gorge de la fille, avant de replacer sa queue, libérée du caoutchouc, dans le trou buccal toujours béant. L'auxiliaire la nettoie en silence, sans le moindre signe de rébellion. S'étant rhabillée, elle revient près du Directeur, afin de lui montrer le premier condom rempli.

Ce dernier l'accueille sans ménagement : - Tu crois que je n'ai que cela à faire? T'attendre? Il est temps d'aller maintenant au premier étage! Tu verras : ce n'est pas qu'une simple salle de cinéma, car il y a aussi plusieurs cabines individuelles qui diffusent des films pornos.

Elle suit son supérieur dans l'un desdits cagibis. Celui-ci invite un client, un homme d'origine maghrébine et d'une quarantaine d'années, à pénétrer avec eux dans l'espace réduit :

- Bonjour, vous êtes intéressé? Mademoiselle souhaite vous faire profiter de son corps...

Elle est obligée par son patron, entre chaque visiteur, de se rhabiller, puis de se mettre à nouveau nue. L'employée est baisée, debout les mains contre la cloison, deux fois, avant de sucer longuement un chibre, et enfin de se laisser sodomiser par un dernier nord-africain.

Soit quatre pénétrations, plus la fellation prodiguée au vendeur du sex-shop. Bref, cinq capotes utilisées. Son Directeur est satisfait : - Vingt-cinq ans et vingt-cinq bites!

N'est-ce pas un merveilleux cadeau, salope?

- Oui, Monsieur, merci pour tout! C'est un bel anniversaire. Je n'aurais pas rêvé d'un plus beau présent!

- Avec plaisir! Tu viens de te faire cinq arabes!

Avant de quitter les lieux, M. Christophe insiste pour s'arrêter à nouveau dans le magasin du rez-de-chaussée : - Si Marcel a eu le bon goût d'infibuler tes tétons et ta chatte, il manque par contre de la classe la plus élémentaire. Il convient de compléter ton attirail par une chaînette reliant les bijoux de tes seins à ceux de tes lèvres vaginales, puis de la faire passer entre tes fesses pour qu'elle remonte dans ton dos jusqu'à ton cou.

Malgré les faibles protestations de sa secrétaire, il achète le fin ornement en question ainsi qu'un collier en cuir orné de deux anneaux dorés, l'un devant et l'autre derrière.

Le harnachement étant complet et une fois les emplettes terminées, le Directeur ramène son assistante à son domicile, où il la pénètre brutalement dans le lit conjugal.

Il la quitte vers minuit, avec de nouvelles instructions :

- Qui dépose le courrier chez toi?

- Un facteur, Monsieur.

- Je m'en doute, idiote! Comme tu peux être stupide! Mais revenons aux choses sérieuses. Je te donne congé quelques jours, mais je ne voudrais pas te laisser sans queue, connaissant ta sexualité débridée.

Donc, dès demain et jusqu'à samedi compris, je pense t'éviter la déprime de ne pas être régulièrement baisée. Il est important que tu te trouves un mâle. Comment ce postier est-il physiquement?

- Je ne sais pas, je n'ai jamais fait trop attention à lui. La cinquantaine, sans doute. J'ai juste remarqué qu'il est trapu et un peu gras. On dirait un catcheur ou un lutteur de fête foraine...

- Parfait! Ce mercredi matin, tu l'accueilleras lors de sa tournée, lorsqu'il vient à ton domicile. Tu lui ouvriras la porte avec ton micro bikini blanc et l'inviteras à prendre une tasse de café. Tu auras préalablement enlevé ton collier et ta chaînette. Je ne veux pas qu'il pense que tu es une esclave, mais une chaudasse tatouée, avec les tétons et la chatte piercés. Tu lui expliqueras que tu te sens seule, que ton mari est parti à l'étranger pour un long séjour, que tu n'en peux plus et que tu aimes la pine.

Bref, tu le séduis et tu lui demanderas de venir te baiser tous les jours, au moment de sa tournée, ou plutôt devrais-je dire de sa fournée. Le dernier jour, samedi, après votre petite séance de « va et vient », prétextant que ton mec est un vicieux, tu lui demanderas, via ton mobile, de m'appeler afin qu'il me confirme personnellement que tu as été comblée durant ces quelques jours.

Compris?

- Oui, Monsieur!

- Et remplie dans tes trois trous, évidemment!

Sur ce, le boss s'éclipse, laissant son adjointe dans sa position de soumise involontaire.

Des pensées l'assaillent. Comment vais-je faire? Et si j'échoue dans ma tentative de séduction?

Elle le sait : la punition serait alors terrible!

Le jour J, après avoir réfléchi une partie de la nuit au meilleur angle d'attaque, elle accueille le facteur dès qu'il a arrêté le véhicule de « La Poste » pour déposer le courrier. Ouvrant largement la porte, vêtue des deux bouts de tissu qui lui font office de vêtement, elle lui adresse, dans un grand sourire :

- Bonjour! Une petite tasse de café?

Le préposé n'en croit pas ses yeux : une splendide jeune femme, quasi nue, l'invite à entrer chez elle. Elle marche devant lui, ondule des fesses. Il est écrit sur l'une d'entre elles : « Je suis une salope aimant... les grosses bites ». La chair est faible, surtout chez un homme, aussi celui-ci accepte-t-il avec un empressement difficilement contenu :

- Bien volontiers, Mademoiselle!

- Appelez-moi Sophie, voyons!

Et, après avoir servi l'intéressé dans la cuisine équipée, l'assistante engage la conversation :

- Vous savez, la vie n'est pas facile en ce moment. Mon fiancé est parti pour trois mois à l'étranger et je me sens seule...

- Ah bon? l'interroge le postier, soucieux d'en savoir plus.

- Oui, je me sens très délaissée. Et, comment dirais-je, j'ai de gros besoins journaliers. Voyez-vous, j'aime passionnément le sexe. Bref, tous les jours, j'ai besoin d'une bonne queue! Vous voudriez bien me rendre service en m'aidant à soulager mes « tensions »?

La secrétaire, malgré la nausée qu'elle ressent, réussi à aller au bout de sa tentative de séduction vulgaire. Le préposé n'en demandait pas tant et répond immédiatement :

- Si je peux vous être utile, Sophie!

Alors, chaque matin, elle s'offre au facteur, un certain Robert, qu'elle comble de sa science de l'amour hors pair : tantôt une pipe sensuelle ; tantôt une séance de baise où, à califourchon sur son amant, elle lui prodigue des sensations extraordinaires ; tantôt, à quatre pattes sur le lit, où elle lui offre pendant de longues minutes, qui lui paraissent sans fin, son cul. Et le samedi en fin de matinée, conformément aux ordres de son chef, elle tend son mobile au postier afin qu'il confirme à son soi-disant fiancé qu'il s'est intensément occupé d'elle durant quatre jours.

- Pouvez-vous me repasser mon épouse? demande, d'un air amical, le Directeur. Au fait, comme je reviens lundi, Madame n'aura plus besoin de vos services pour le moment!

- Bien sûr, Monsieur, répond le facteur, presque gêné.

Dès le portable à nouveau entre les mains de l'adjointe, son patron la félicite : - C'est très bien! Et de vingt-six bites! Je t'attends après le week-end, dans mon bureau, à 8h30 précises.

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Anonymous
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2 Commentaires
NuhNuhNuhNuhil y a plus de 3 ans

Alors et ce plan. Il ne semble pas beaucoup avancer. En attendant elle engrange !!

Il faudrait qu’elle se réveille si elle ne veut pas être à la disposition de toute l’usine !!

Mais sa vengeance serait peut-être que tout ses gens soit à SA disposition...en tant que nouvelle RH !!

AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans
C'est trop court ;-) Mais très bien ! On en redemande !

Belle description des pieds chaussés de Sophie.

Mais elle serait bien tout le temps pieds nus, cette belle esclave !

Très bien ce collier et cette chaînette aussi.

Je sens que je vais changer de métier et devenir postier ;-)

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