Les malheurs de Sophie - Chapitre 12

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La secrétaire doit "prendre" un nouveau mari.
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Récit n'a pas de balises

Partie 12 de la série de 13 pièces

Actualisé 06/10/2023
Créé 08/03/2020
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LES MALHEURS ET LES BONHEURS AVEC SON "MARI" BLACK

Tel qu'exigé par M. Christophe, Sophie est présente dans le bureau de celui-ci. Nue, uniquement parée de ses nouveaux « bijoux », en ce y compris son collier et la chaînette passant entre les différents anneaux, elle se prépare, comme à l'accoutumée, à passer sous la table de travail de son Directeur. Après lui avoir présenté son café et s'apprêtant à fermer la porte à clé, elle est arrêtée dans son élan : - Laisse la porte telle quelle! Aujourd'hui, j'attends quelqu'un qui doit bientôt venir.

Allez, à la bite!

C'est la première fois que son patron l'oblige à ne pas barrer l'accès pendant leurs galipettes. Tout en le suçant avec application, elle ne peut s'empêcher d'être inquiète! Et si quelqu'un la voyait! Toute l'entreprise le saurait! Ce ne serait plus des rumeurs...

Tandis qu'elle s'escrime, tentant de satisfaire son supérieur avec toute l'étendue de son talent désormais reconnu, elle entend des coups sourds. Son boss, d'un bruyant « Entrez! » et d'un geste de la main, convie la personne à s'installer sur le confortable fauteuil situé face à lui. Au même moment, il éjacule dans la bouche de son assistante, qui avale jusqu'à la dernière goutte du liquide blanchâtre, prenant soin de nettoyer parfaitement le sexe de son chef, qui enchaîne aussitôt :

-- C'est gentil d'être venu, Driss!

Puis, s'adressant à sa subalterne : - Sors de là, petite vicieuse! Je dois te présenter quelqu'un!

Rouge comme une pivoine, celle-ci s'exécute et une fois debout, fait face au visiteur, qui découvre ses divers ornements, notamment les tatouages. Apeurée, elle jette un œil inquiet sur le nouvel arrivant : il s'agit d'un géant de près de deux mètres, tout en muscles, de couleur noir ébène. L'employeur s'amuse à faire les présentations :

- Driss, voici ma secrétaire très particulière, comme tu peux le constater!

- Sophie, permets-moi de t'inviter à faire connaissance avec le fils d'un ami. Afin de lui permettre de découvrir un peu l'Europe, j'ai proposé à son père de l'accueillir pendant trois mois. J'ai toutefois un souci de timing avec, comme tu le sais, ma promotion prochaine. Or, je dois m'envoler demain matin très tôt. En outre, ma femme part dès ce soir pour un mois chez sa mère, qui est au plus mal. Aussi est-ce difficile de laisser mon invité, d'origine togolaise, seul chez moi, d'autant qu'il connaît peu de monde dans notre pays, à part quelques amis issus de la même communauté. Je lui ai proposé de s'installer chez toi durant trois semaines...

Tu lui montreras l'étendue de tes « compétences » au lit. Il se sentira moins seul et toi, tu auras un « mari ». Je lui ai obtenu un contrat intérimaire de trois semaines au sein de notre entreprise. Comme cela, tu pourras le conduire à l'usine le matin et le reprendre le soir, puisque vous aurez les mêmes horaires. Tu es contente?

- Oh, oui, Monsieur! répond Sophie, effondrée.

- Je lui ai expliqué que tu étais très chaude, mais que, malheureusement pour toi, tu n'avais connu, malgré tes nombreux amants, que des blancs, un asiatique et des arabes. Il m'a déjà dit qu'il serait très heureux de te faire découvrir les délices d'une grosse queue africaine. Au fait, peux-tu lui préciser ton âge et le nombre de mecs qui te sont passés dessus?

- J'ai vingt-cinq ans et j'ai déjà eu 25 amants. On peut dire que je suis une jeune femme délurée pleine d'expérience! J'adore sucer, me faire baiser et sodomiser...

Et son Directeur de conclure :

- Magnifique! Demain soir, à la sortie du travail, tu le ramèneras chez toi, et ce, pour une vingtaine de jours. La veille de son départ, tu le déposeras simplement chez moi. Je le conduirai moi-même le lendemain à l'aéroport. Comme cela, il pourra, dans la voiture, me raconter son séjour dans ta maison. Une dernière chose : que fait, selon toi, une femme aimante et passionnée, éperdument amoureuse de son mari?

Réfléchissant quelques instants, elle répond afin de ne pas décevoir son boss et surtout de ne pas être punie : - Je pense, Monsieur Christophe, qu'elle lui doit obéissance.

- Parfait! Pour une fois, tu as compris! Allez, va t'habiller maintenant, enlève tes décorations --car cela ferait mauvais genre à l'usine!- et ferme la porte mitoyenne! Je dois régler les dernières modalités avec Driss. Je suis sur que tu vas bien t'amuser!

Dès le mardi soir, après avoir invité son « mari », avec sa valise emplie de vêtements, à prendre place dans la voiture, la subalterne le ramène à son domicile.

La fille, discrètement, contemple le colosse assis sur le siège passager. Agé d'une vingtaine d'années, son corps apparaît particulièrement ferme : pectoraux bien dessinés, tablettes ventrales visibles sous le simple t-shirt porté par l'intéressé. L'assistante frémit légèrement à la vue de ce physique d'athlète. Le Togolais lui adresse un sourire avenant, invitant à l'amour. Depuis qu'il l'a vue la veille, entièrement dénudée, décorée de piercings et de tatouages, il convoite et le vagin et le mignon derrière de cette créature de rêve. Elle ressemble à un ange, avec la blondeur de ses cheveux et son sexe aussi lisse qu'un abricot. Il imagine déjà ses jambes galbées se verrouiller dans son dos, tandis qu'il la fouaille sans pitié. S'introduire dans l'anus de l'assistante « dévouée » devient aussi son autre priorité.

Cette nuit-là, la jeune femme connaît un premier orgasme suite à un merveilleux cunnilingus prodigué par son amant. Sa jouissance terminée, le jeune black l'attire à nouveau à lui et caresse lascivement sa poitrine, tout en titillant ses tétons. Elle ferme les yeux, frémit sous les caresses emplies d'égards qui lui sont dispensées dans sa demeure et, surtout, dans son propre lit conjugal. Malgré ses protestations, l'adjointe est forcée par l'Africain de poser sa main sur la bosse qui déforme le slip de celui-ci et sent combien le membre de ce dernier est imposant.

Baissant son caleçon et invitant l'auxiliaire à branler son chibre, il lui ordonne ensuite de poser sa langue sur ce dernier. La secrétaire écarquille les yeux de surprise : elle n'a jamais vu une aussi grosse pine, noire de surcroît. L'impudicité de ce moment est soulignée par le contraste entre ses fins doigts et l'épaisse colonne qu'elle astique d'ailleurs de plus en plus vite. Pendant ce temps, le colosse triture le clitoris de sa maîtresse. A l'écoute des ondulations langoureuses du corps de sa « victime », il sait que celle-ci est désormais prête à recevoir ses assauts : il la couche sur le lit et, faisant attention à ne pas la déchirer lors de la pénétration, la remplit progressivement de son membre plus que monstrueux.

Posant ses mains sur les fesses de son « mari », elle mugit sous les mouvements de bassin de celui-ci. Elle est secouée par un orgasme convulsif. C'est la première fois qu'un spasme d'une telle intensité la submerge aussi vite et radicalement, après quelques manipulations anodines. Jamais elle n'a été aussi comblée. Se retirant de la vulve profanée, mais toujours trempée, il invite la beauté naturelle à le chevaucher.

Après dix minutes, elle le regarde et supplie :

- Oohhhh... Je vous en prie... Noooon...! soupire-t-elle bruyamment. Une seconde contraction, aussi soudaine que violente, la foudroie, comme lorsqu'elle fait l'amour avec son compagnon. Même avec ce dernier, elle n'a jamais connu de telles sensations.

Pendant près de trois semaines, incapable de se défendre contre les assauts à la fois lubriques et excitants de Driss, elle hurle sans retenue, tandis qu'il rampe sur son corps, l'assaille et la pilonne. Hypnotisée, elle ne peut s'empêcher de fixer l'épais mandrin, dont elle entretient l'érection tantôt avec ses pieds ou ses mains, tantôt avec sa langue. Avide, elle l'aspire jusqu'à la dernière goutte, lui offre son trou luxuriant et, sans discuter, son anus ouvert, malgré la difficulté à accueillir un aussi large robinet d'amour entre ses fesses! Les sens perpétuellement en éveil, elle s'offre à lui. Celui-ci savoure les charmes de Sophie, les goûte et, en épicurien, les cueille.

L'adjointe ne peut bientôt plus se passer de la bite massive du taureau togolais. Sa fente juteuse s'ouvre pour lui chaque fois qu'il le désire. Lorsqu'elle sent son impressionnant chibre presser contre son clitoris en éruption, celui-ci gonfle quasi instantanément de désir. Durant ces quelques jours, après avoir connu de longues semaines d'humiliation(s), Sophie s'abandonne totalement au plaisir entre ses bras.

Par deux fois uniquement, cette orgie perpétuelle est quelque peu gâchée. Le samedi du second week-end, la jeune femme reçoit, en début de soirée, un appel de son patron :

- Bonjour, salope! Alors, comment se passe ta rencontre avec une grosse bite africaine? Je parie que tu ne sais plus t'en passer! Il te défonce beaucoup, au moins?

- Il me baise sans arrêt, Monsieur. Je vous remercie pour votre délicate attention à mon égard.

- Driss ne te l'a sans doute pas dit, mais il va partir d'ici une heure voir des amis, qui vivent à la Capitale. Tu vas le conduire à la gare de suite. Il reviendra demain soir. En attendant son retour, voilà ce que tu vas faire. Et au risque de me répéter, ne me déçois pas!

Le jeune togolais étant parti, l'assistante du Directeur, respectant les ordres de celui-ci, se rend dans le plus simple appareil, vêtue uniquement de hauts talons et de ses « bijoux », en ce y compris le collier et la chaînette, chez Gillet. Dès que le sacristain, ayant entendu la sonnette, lui ouvre, elle récite ce que son supérieur lui a demandé : - Bonjour, Nicolas! Je ne vous dérange pas? Mon « mari » est absent jusqu'à demain soir. Aussi mon boss, M. Christophe, pense que je suis trop stupide pour rester seule. Accepteriez-vous de me garder cette nuit? Si vous acceptez, sachez que je ne manquerai pas de vous témoigner ma profonde reconnaissance...

- Ton « conjoint »? s'esclaffe le bedeau : - Tu veux dire ta dernière queue en date, oui! Qui voudrait comme épouse d'une putain affichant autant de pines à son actif. Dis plutôt que si tu viens ici, c'est parce que tu as peur de te ne pas avoir ta ration de bite!

Baissant les yeux, Sophie est invitée à rentrer illico et d'une claque sonore sur le postérieur, à se diriger vers le salon, ou plus précisément le canapé qui en occupe le centre.

Cinq minutes plus tard, elle est déjà en action, montant et descendant sur la queue de Nicolas. Ce dernier, ayant éjaculé dans son vagin, l'oblige à passer dans le garage.

L'air frais fait durcir ses tétons. Conviée à prendre place sur une couverture, elle est ensuite, pendant plus d'heure, fouettée à l'aide de la badine que Gillet, prétextant la nécessité d'éduquer Max, son nouveau chien, à emprunter à son ami Marcel.

D'abord ses seins, puis ses fesses, ses cuisses et ensuite son sexe, sont marqués. Mais le plus pénible pour elle est d'endurer les coups de badine s'abattant sur la plante des pieds.

Ayant prodigué une fellation au sacristain, « pour le remercier de sa bonté à son égard », elle est autorisée à se reposer dans la chambre de celui-ci, afin de se remettre de sa punition.

Après une nuit quasiment blanche, où elle doit, sans discuter, se plier aux fantaisies du vieil homme pervers et à la laideur repoussante, elle est à nouveau emmenée dans la remise.

Cette fois, il n'y a pas de plaid, mais une table basse, sur laquelle elle est invitée à se coucher sur le ventre, ses bras et ses pieds étant liés et surtout, bloqués, à l'aide de quatre larges bracelets de cuir. Un coussin a été placé sous ses hanches afin de surélever sa croupe.

Nicolas constate la qualité de son travail :

- Impeccable! Tes fesses sont bien mises en évidence, et ton anus et ta fente sont parfaitement visibles et accessibles. Pour ce qui va suivre, je pense qu'il vaut mieux t'empêcher de crier...

Et ce faisant, il invite la fille à ouvrir la bouche, dans laquelle il place un gag, ce bâillon composé en son centre d'une boule et qui peut être fermé par une boucle à l'arrière de la tête. Gillet se rend ensuite derrière la malheureuse et applique, sur son œillet et ses lèvres vaginales, un gel lubrifiant. Désormais muette, la jeune femme ne peut qu'écouter le monologue délirant qui émane du sacristain : - Je ne sais pas si tu le sais, mais j'adore bricoler. Tu as été mon inspiratrice. Une sorte de muse! Aussi ai-je fabriqué, en m'inspirant d'un catalogue de vente, une « fucking machine ».

J'ai besoin d'une véritable salope pour l'essayer, alors je me suis dit que tu ferais parfaitement l'affaire.

Ma création est une version assez basique : deux cylindres qui, grâce à un petit moteur, recréent, grâce à deux petits pistons, un mouvement de va-et-vient proche de celui d'une pénétration masculine. Au bout du manchon qui va coulisser dans tes deux orifices, on peut choisir la taille du godemichet. On va commencer par deux moyens. Celui pour ton anus sera d'un diamètre inférieur à celui pour ta chatte. Je vais les faire fonctionner en même temps, comme cela tu auras perpétuellement une sensation de double pénétration. Bon amusement pendant la prochaine heure!

Gillet s'installe sur une chaise pour contempler le spectacle qui va s'offrir à lui. Il enclenche la « machine à baiser » et pendant près de soixante minutes, Sophie est impitoyablement pilonnée dans sa vulve et son cul. Elle ne peut empêcher trois orgasmes de l'assaillir. Satisfait du résultat, le marguiller brise enfin le silence absolu qui règne dans le garage et qui est seulement perturbé par le léger ronronnement du moteur : - On va maintenant poursuivre l'expérience! Je vais arrêter la machine quelques instants et placer des godes plus gros avant de la relancer.

Et le pilonnage intensif repart de plus belle, déclenchant, au cours de l'heure qui suit, de nouveaux moments de jouissance chez l'employée, toujours immobilisée sur la table basse. Le sacristain a dénombré trois spasmes impressionnants. Il prend une dernière fois la parole : - On va clôturer cet essai instructif et positif! Je vais encore changer la taille des godemichets pour les soixante prochaines minutes. Tu vas être heureuse : regarde les deux monstres! Et Nicolas d'exhiber sous les yeux terrifiés de l'assistante un sexe en plastique de 25 x 8 cm et un autre de 20 x 6 : - Le premier est pour ta chatte, le second pour ton anus! Tu vas être élargie comme jamais!

Ayant l'impression à chaque instant d'allant être déchirée, Sophie subit une véritable torture, où douleur extrême et plaisir s'entremêlent. En pleurs, après avoir connu deux orgasmes, elle ne peut retenir, lors du dernier, un relâchement de ses sphincters, irrités et dilatés comme jamais. Tandis que la machine s'arrête définitivement, elle lâche un jet d'urine et de déjection fécale, sous l'œil goguenard de Nicolas :

- Tu es vraiment une fille sale, dans tous les sens du terme! Il la détache, l'aide à se remettre debout, tant ses muscles sont ankylosés et endoloris, avant de la renvoyer chez elle : - Tu as eu ta dose, je pense. Rentre chez toi et va te laver! Et rassure-toi, ton petit accident restera entre nous deux, ou plutôt entre nous trois!

Recroquevillée sous la douche, la subalterne ne parvient pas à effacer de son esprit cette expérience traumatisante qu'elle vient de vivre. Lorsque Driss rentre le soir, elle ne dit rien et, une fois couchée, accueille son « mari » dans ses trois trous, bien qu'incapable de jouir. Le reste de la semaine se déroule sans incident majeur. Le vendredi, vers midi, son amant lui annonce simplement qu'ils iront chercher ensemble, en début de soirée, deux amis à la gare. Ceux-ci viennent lui rendre visite. Avant de monter dans la voiture sur le siège passager, l'adjointe est invitée par son amant à ne porter qu'un imper, des bas autoportants et des hauts talons.

Les deux copains en question sont eux aussi togolais et durant le chemin du retour, l'assistante les observe dans le rétroviseur. Plus ou moins dans la même tranche d'âge que celle de Driss, de même taille, ils affichent des corps tout aussi athlétiques.

Ces deux jours vont être épuisants, pense-t-elle.

A mi-chemin, la route étant déserte, son amant l'invite à arrêter la voiture, à enlever son ciré et, tandis qu'il prend le volant, à « faire connaissance » avec ses amis.

Assise maintenant à l'arrière, au milieu des deux colosses, elle est manipulée. Ces derniers, la complimentant sur ses « décorations », tâtent ses seins, branlent son clito et caressent sa fente. Avant même d'arriver à la maison, elle a déjà dû tailler deux pipes.

Le reste du week-end n'est que fornication, la jeune femme se découvrant une véritable passion pour les queues ébènes. Elle les suce, les baise, se fait niquer ou sodomiser, le comble de la jouissance étant d'être prise en même temps par les trois blacks...

Jamais, sauf par la « machine à baiser », elle n'a été aussi bien remplie dans ses orifices accueillants.

Les Noirs repartis vers la Capitale, elle passe les quelques dernières journées suivantes dans le bras de son « mari », profitant pleinement de ces moments. Après une séance intense d'adieu, elle dépose, comme convenu, celui-ci chez M. Christophe.

Quittant son amant, non sans un long baiser passionné, elle est invitée par son Directeur à rentrer chez elle, non sans avoir écouté ses ultimes ordres : - Driss m'a déjà tout expliqué. Te voilà désormais experte en chocolat, et pas celui que nous produisons! Nicolas m'a aussi dit que tu avais fait une rencontre très chaude, mais il n'a pas voulu m'en dire plus, préférant te laisser me décrire cette aventure. Je suis impatient de t'entendre. En attendant, je te félicite : ton compteur à bites atteint désormais trente queues. Tu montes quatre à quatre les marches de l'échelle de la débauche! Et ce n'est pas fini, rassure-toi. Je ne serai pas là de la semaine : je dois retourner encore à l'étranger pour finaliser les préparatifs de mon départ définitif. Je n'aurai donc pas besoin de tes services. D'ailleurs, tu as bien mérité une semaine de congé. Je t'attends lundi en huit, à 8h30, dans mon bureau. Après ta traditionnelle tâche matinale, je règlerai les détails de la transition vers ton nouveau maître. Durant ma longue absence, j'ai décidé de confier la poursuite de ton éducation... à Marcel! Je suis sûr que c'est ton souhait le plus cher!

- Je vous remercie beaucoup, répond Sophie, d'un air faussement reconnaissant. C'est le plus beau cadeau que vous puissiez me faire! J'espère que je ne décevrai pas Monsieur Paulus.

Sur le chemin la ramenant à son domicile, elle esquisse un sourire : son patron vient enfin de commettre l'erreur qu'elle attend depuis si longtemps. Son plan va être mis à exécution.

Son chef ne le sait pas encore, mais c'est la dernière fois qu'il voit son adjointe!

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Anonymous
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4 Commentaires
trouchardtrouchardil y a plus de 3 ans
Merci

Je ne met pas de commentaires à toutes les parties de l'histoire, mais elles le méritent. Merci pour ce bon récit.

AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans

J'ai hâte de découvrir ce qu'elle a prévue de faire pour se défaire de l'emprise de son chef et de tous ses complices pervers

OlivX

AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans
Quelle erreur?

Je suis impatient de connaître ce plan ainsi que l’erreur que son chef a commise.

Suis content que Sophie ait finalement pris beaucoup de plaisir, elle le mérite après toutes les humiliations subies...

Grands moments d’érotisme et sexe...

AnonymousAnonymeil y a plus de 3 ans

Finalement, j’attends avec impatience la vengeance de la belle Sophie...

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