Les secrets de Christiana

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La cour condamne une femme à faire.
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Enfin mon petit Claude est dans son autobus scolaire. Ouf, fille!, je vais pouvoir respirer un peu. Surtout que depuis que je suis debout, je cours sans arrLt.

Maman par ci, maman par lB.

Bon relaxe la grande!. Tu te démPnes bien trop. En plus de cela, comme de raison, B chaque matin, il faut que je m'occupe de mon grand bébé de mari. Lui, sapristi, je crois qu'il a encore de besoin de sa mPre. Avec mon grand fland mou, pas moyen de continuer B dormir, car, il est tout le temps perdu. MLme pas capable de s'organiser. Ce n'est certainement pas la belle mPre qui a df lui apprendre. Oui!, parce qu'elle, elle n'a jamais cessé de le dorloter son grand bébé. Puis lui, il me tape sur les nerfs tous les matins, avec ses:

Chérie as-tu sortie ma chemise.

Trésor, oj sont mes bas.

Cristiane, quel pantalon je vais mettre?

Dis, mon bébé, mes toasts sont-elles prLtes?

Je me dis tout bas:

Normand, tu es mieux d’arrLter de m'appeler ton bébé.

Normand, si tu..

Puis va donc chier.

Toi, mon maudit fatiguant, je suis B la veille de te flusher.

Normand, un bon matin, tu vas connaître ma façon de penser.

Mais, rendu-lB, il va Ltre trop tard pour notre vie de couple.

Je vais te retourner chez ta mPre.

Salut, pour de bon, mon Normand et la belle-mPre.

Moi, je ne joue plus.

Normand, si tu savais comme je suis tannée de faire ta servante et de toujours te torcher.

Tu veux continué B rester assis sur ton cul et B crier aprPs moi. O.k, o.k.

Tu fais comme tu veux.

Mais, je t'avertis tout de suite, tu retournes chez ta mPre, si tu penses que moi, la folle, je vais continuée B courir comme un diable pour te servir.

Fini, f.i., fi, n.i., ni.

Bye-bye, Normand puis, la belle-mPre.

Moi, je décroche.

Ouf!, je me fatigue pour rien, oublies tout cela, fille!.

Enfin seule, je peux prendre mon café en sainte paix. En passant devant le miroir du salon, j'entrevois mon image.

Ouf, fille!. Ça parait que j'ai veillé tard. J'ai le visage des mauvais jours. Pinoutche que je m'hais dans ces moments-lB. Et en plus, comme ça m'arrive B chaque fois que je relPve d'une bonne cuite, je réalise que je suis pas mal moins vite que de coutume. Ouf, ma fille!, en plus, ce maudit mal de bloc.

Pinoutche, quand je repense B notre soirée, ce n'est pas possible comme nous avons fait les folles toutes les trois. Maudite boisson aussi!.

Ouais!, la Suzie est sautée bien nette. Elle doit en avoir plus sur le coeur qu'elle veut bien le laissée voir. Faut qu'elle y en veuille en chien B son ex pour avoir fait scandale comme hier au soir.

La Suzie s'est défoulée. Elle qui aime cela se montrée. Une vraie folle!

Sacrée Suzie!, ça prends du toupet en crime pour s'exhiber en public comme elle l'a fait hier soir devant tous ces mâles. C'est vrai que nous étions était pas mal packetées toutes les trois. Mais, ce n'est pas une excuse pour agir ainsi.

Ouf, fille!. Une chance que je suis seule, parce que le monde me croirait félée bien raide, de me voir rire ainsi toute seule. Ça en devient une mauvaise habitude.

Sapristi!, B chaque fois que nous sortons ensemble, nous nous packtons comme trois fofolles. O.k, va falloir modérer la dessus.

Ouais!, mais pour revenir B Suzie. Elle a accroché un sacré beau mâle. Wow!. Marco, c'est un beau nom B part de cela. Mais pinoutche!, personne ne sait pas d'oj il sort ce gibier-lB. Fille!, tu parles d'un bel homme, bâti tout d'un bloc. Ouf!, je m'imagine que lui, quand il te met les mains sur le corps, tu dois en ressentir des frissons.

Ouais!, mais l'as-tu vu, l'animal! Un vrai macho. Puis, vite en affaire. Moi icitte, fille, je l'ai bien observé lorsqu'il dansait avec Suzie.

Ouf, ma fille!, ses mains sont pas mal voyageuses.

Ouais!, encore un autre beau salaud.

Calmes-toi, ma grande! Ce genre de club, ce n'est pas un endroit pour une femme mariée. Pas pour celles qui veulent rester sage en tout les cas. Oui, les maudits mâles!. Ils sont tous une belle gang de macho.

Pinoutche!, eux, ils cherchent tous du premier au dernier, juste B se trouver une aventure pour la nuit.

Moi, je serais bien trop farouche pour me laisser cruiser B la hâte comme cela. Tu vois cela, la grande!

Qu'est-ce que tu ferais si un beau mâle te disait dret lB?

Ça te tentes-tu, fille.

Tu m'accompagnes au motel.

Toi, tu t'imagines qu'il te dit cela en te donnant une petite claque sur les fesses. Puis toi, la folle!, tu es déjB prLte B le suivre. Dans ta tLte, tu rLves B tout le romantisme de te retrouver dans ses bras.

Le grand bang quoi?

Mais, la premiPre chose que tu sais, le beau salaud ne pense qu'a t'enlever ta petite culotte.

Pinoutche!, moi, je gélerais sur place. Je serais bien trop figée pour essayer de le calmer un peu. Puis, de nos jours, tu ne sais jamais B quel genre de moineau!, tu as affaire.

Pour eux, les mâles, c'est bien simple. Pourvu qu'ils ont leur fun tout de suite. Je suis certaine qu’il n’y en a pas un seul d’entre eux qui se casse la tLte. Et, comme ils ne se génent pas avec les conséquances. Ils peuvent te donner m'importe quelle maladie.

Attrappée une M.T.S.? Moi, je me suiciderais, certain, avant d'Ltre obliger d'annoncer cela B Normand.

Bon!, arrLtes de te conter des peurs. Nous avons eu du fun hier soir.

Il faudrait que je l'appelle, la Suzie. Huit heures et quart, nous allons pouvoir placotter un bon quart d'heure avant que son boss rentre travailler.

Allo!,

Oup!, c'est encore le grand foinfoin B Gerry.

Je peux-tu parler B Suzie?

Quoi?, elle n'est pas rentrée ce matin.

O.k., je vais rappeler plus tard.

C'est curieux!, Suzie n'a pas l'habitude de manquer sur la job. Dis-moi pas qu'elle est malade?

Maudit mélange de boisson aussi. Je l'appelle chez elle.

Allo!

O!, excusez-moi.

Je me suis trompée de numéro.

Pourtant, depuis le temps que je compose son numéro. O.k., cette fois, ça devrait fonctionner.

Christiane?

Oui, Allo!.

C'est encore la mLme voix de mâle. Pourtant, cette fois, je ne me suis pas trompée de numéro de téléphone. Ça ne me reviens pas, cette voix.

En tous les cas, je ne dois pas oublier de lui demander B Suzie, qui c'est cette belle voix? La Suzie, ne me compte pas tout. Elle va se faire gronder, si elle me fait des cachettes.

Bon, assez de révasser!, déjB neuf heures. Fille!, j'ai juste le temps de m'habiller pour aller B mon avant-midi de bénévolat.

Une chance, ce matin, je dois me rendre chez pépPre Albert. Lui au moins, il est tranquille. C'est gentil pas possible, ce vieux-lB. Jamais une parole plus haute que l'autre. Le pépPre ne se plaint jamais. On dirait qu'il n'est jamais contrarié, mon petit vieux.

Ça doit Ltre, parce qu'il n'a jamais d'autre personne avec qui placoter. C’est vrai, il n’a jamais de visite. Le genre plutôt solitaire quoi?.

AprPs tout ce n'est pas de mes affaires. Puis, s'il aime mieux cela ainsi. Je me demande ce que ça peut penser un petit vieux comme lui. C'est drôle B dire, mais, je crois que sa vie est au calme plat. Va faloir que je le réveille un peu, mon petit vieux.

S'il continue B se laisser aller ainsi sans réagir, mon petit vieux, B un moment donné, il n'aura mLme pas le temps de s'en apercevoir qu'il va se retrouvé dans sa tombe.

Puis, aprPs tout, ce ne doit pas Ltre plus plat que sa petite vie tranquille.

Mon gentil, petit vieux, la derniPre fois que j'ai été chez-lui, il me regardait avec un drôle d'air.

Aie!, pour moi, je le dérange le bonhomme? Je ne suis certainement pas la seule femme qu'il voit.

Aie!, ça se peux-tu? Je crois que j'ai deviné juste. C'est certainement cela. Plus je réfléchis B son comportement, plus je suis sfr qu'il en pince encore pour les femmes.

Sapristi!, depuis prPs de quatre mois que je passe faire son ménage une fois par semaine. Je ne m'étais jamais imaginée que le vieux sacripant peut encore Ltre dérangé par la présence d'une femme.

Sapristi!, ça se peux-tu? Un bonhomme de plus de quatre-vingt ans.

Je gage, et puis sapristi!, ça ne se peut pas? Le vieux torrieux! Peut-il encore s'exciter pour un jupon?. Bien, ma fille!, c'est la meilleur que j'apprends ce matin.

Fille!, il va falloir que je fasse plus attention B ma tenue. Je ne veux pas que mon gentil petit vieux me pLte une crise cardiaque en pleine face.

Le pépPre, lui, je l'aime bien trop, il me fait tellement penser B grand-pPre. Les mLme yeux rieurs.

Pinoutche!, ma fille. MLme pas moyen de truster un petit vieux, asteure!. Pourtant B son âge, sapristi! Ça se peux-tu?

Calmes-toi, la grande! Tu t'en fais encore pour rien. Pour lui, pépPre, c'est sfrement son seul divertissement.

O.k., mais, B partir de ce matin, je l'ai B l'oeil. Ce ne sera pas long que je vais savoir se qu'il manigance vraiment. Si je l'excite, mon petit vieux, je vais en avoir le coeur net.

PépPre aime tellement parler. Ça va m'Ltre facile de le faire se raconter. Il faut que je m'informe. PépPre doit bien y avoir quelque présence féminine dans sa vie.

Sapristi!, je ne connais mLme pas ses enfants, ses proches. Remarques fille!, que j'en n'ai jamais vu aucun auprPs de lui. PépPre doit sfrement avoir encore un lien quelque part.

Bon!, ce matin, le vieux sacripant va tout me raconter pendant que moi, je vais faire le ménage.

Bonjour PépPre.

C'est encore la fatiguante qui vient vous déranger pour le ménage de la semaine.

Debout pépPre, fini la matinée B paresser au lit.

Dix heures! Il est temps de secouer vos puces.

PépPre qui aime toujours m'étriver avec ses farces, ce matin, reste bien tranquille sans mLme me sourire.

Bon, qu'est-ce qu'il y a, B matin, pépPre.

Ça n'a pas l'air d'aller bien bien fort la santé.

Vous me semblez pas mal songeur.

Le pépPre ne réagit mLme pas.

Bon!, dis-moi pas qu'il va falloir que je dorlote encore mon petit vieux préféré.

O.k., pépPre.

Ne bougez pas, je m'occupe de vous.

Je m'approche tout prPs de lui pendant que pépPre me regarde avec ses grands yeux tristes. Le veillard appui sa main sur mon épaule. Il semble complétement abattu.

Bon PépPre, on raconte tout B sa petite amie.

On lui dit son gros chagrin.

Ce n'est pas dans ses habitudes, l'homme agé se penche la tLte et il évite mon regard.

Je sens son désarroi. Je le berce tout contre moi. Je lui caresse doucement la tLte comme je faisais B mes enfants lorsqu'ils avaient un gros chagrin. Je suis toute bouleversée en voyant de grosses larmes coulées sur les joues du vieillard.

PépPre pleure silencieusement. L'homme agé s'abandonne en toute confiance contre mon épaule pendant que de profonds sanglots font sursauter ses fragiles épaules.

Je ne peux que sympatiser avec lui, J'en suis toute chavirée. C'est la premiPre fois que je vis ce genre d'événement depuis que je fais du bénévolat. Je me sens si impuissante, si petite, totalement bouleversée par la peine que vit pépPre.

Inconsolable, pépPre pleure sans arrLt. Lorsqu'il se calme, je le trouve trLs épuisé. Je l'aide B s'étendre sur son lit, pépPre tombe endormi presqu'aussitôt.

Ce comportement inhabituel me surprend et me chagrine beaucoup. Le vieillard dort les traits crispés. Sa respiration est trPs saccagée, aprPs quelques minutes, il se met B ronfler B fond de train.

Je me dépPche de faire son ménage en essayant de faire le moins de bruit possible.

Ça doit faire une bonne demi-heure que j'époussette et que je m'efforce de tout faire reluire.

A un certain moment, pendant que je suis en train d'essuyer le vidéo, ma curiosité est attirée par une cassette qui se trouve encore B l'intérieur de celui-ci.

Machinalement j'actionne le vidéo. Surprise!. Je tombe sur une vieille épisode de La Série Rose, série B saveur érotique qui passait B la télévision il y a au moins quatre ou cinq ans.

J'arrLte mon ménage et je regarde ce bout de film qui commence quand un homme B l'allure rustre empoigne une jeune femme qu'il couche brftalement sur ses genoux.

La demoiselle se débat énergiquement, mais, l'homme n'a aucun trouble B l'immobiliser en la retenant d'une seule main sur ses genoux, tandis que de son autre main, l'homme retrousse sa robe. Aussitôt, la main de la brfte se promPne allPgrement sur les cuisses de la fille qui comme de raison dans ce genre de film se trouve nue sous la robe.

L'homme prend le temps d'admirer ses rondeurs, puis, sans avertissement, il donne la fessée B la demoiselle en frappant sur ses fesses nues que le caméraman se dépLche B nous montre en gros plan.

Captivée par l'action, je ne me suis pas aperçue que pépPre s'est réveillé. Soudain, je le surprend qui me relouque.

Et, comme je suis accroupie en face de son lit, le bonhomme a une bonne vue sur mon postérieur. AprPs l'avoir vu si triste, je suis soulagée en remarquant que pépPre est beaucoup plus serein.

Malgré tout, je suis choquée de me faire relouquer si cavaliPrement. Je me dépLche de réprimander pépPre en lui faisant les gros yeux.

PépPre me sourit d'un air géné, et aussitôt, son visage devient tout rouge comme un enfant qu'on surprendrait B faire une mauvaise action.

Ouf!, la femme en moi se sens flattée de le voir subitement si mal B l'aise. Machinalement, je cambre le dos et du mLme mouvement, je bouge le fessier dans des gestes trPs provocateurs. Je fais semblant de m'accrocher dans ma robe, et, délibérément, je la retrousse pour lui dévoiler le haut de ma cuisse.

Pinoutche!, pépPre.

C'est assez d'émotions pour ce matin.

Fermez vos yeux, pépPre.

Il faut vous reposer.

Essayez de continuer B dormir.

Vous en avez bien besoin, vous B votre âge.

Et, surtout, avec ce que vous avez vécu ce matin.

Un peu de repos va vous faire du bien.

PépPre me répond: Calmes-toi ma fille!

Je vais te dire une chose.

Tu ne t'en doutes peut-Ltre mLme pas, mais, depuis que je suis vieux, je ne fais que cela dormir.

Et, éffrontémemt, le bonhomme se liche les babines en continuant de fixer mes fesses.

Mon âge!, mon âge!

Tout le monde ne me parle que de cela mon âge.

Pas moyen d'aller chez le médecin, sans qu'il ne me répPte toujours ce mLme refrain.

Et, en plus, je dois te dire qu'B chaque visite de l'infirmiPre, elle me répPte encore la mLme chose.

Madame!, encore la semaine passée, c'était au tour de monsieur le curé de me répéter qu'B mon âge, je dois seulement penser B me reposer.

Torrieux!, les jeunes!, je commences B croire que c'est vous autres, les jeunes qui radotez.

Vous devriez arrLter de me le dire que j'ai dépassé l'âge de mourir.

Ma gang de jeune, vous allez apprendre que je suis encore assez vert que je vais vous faire patienter encore un bout de temps, si le bon Dieu le veut.

Rendu B mon âge, comme vous dites, je sais que je suis B la veille de dormir pour longtemps.

AprPs avoir vu pépPre secoué par son gros chagrin, le voir réagir de nouveau B la vie, me fait du bien. Je n'ose pas le contrarier.

Pendant ce temps-lB, B la télévision, c'est au tour de la jeune servante de surprendre sa patronne qui s'ébat en pleine nature avec un jeune travailleur agricole. Le couple est grimpé sur une meule de foin B la vue de tous le monde.

Ma foi, c'est toute une partie de jambe en l'air qui se passe B l'écran. Ouf!, c'est vraiment, toute une histoire de fou.

L’épouse qui était si choquée d'avoir surprise son mari de la tromper avec une autre, se reprend avec coeur. La polissonne chevauche son partenaire avec entrain.

Le language est vraiment grivoire, et, B la vue de ce couple qui se donne avec enthousiasme, je commence ressentir une chaleur entre mes cuisses. Comme de raison, B chaque fois que je me tourne en direction de pépPre, je remarque qu'il en oublie le film.

Le bonhomme est comme hynoptisé B la vue de mes cuisses et de mes fesses. Et, pour le provoquer davantage, je tire sur ma robe pour que le bonhomme puisse entrevoir ma petite culotte.

Je me surprend B entendre ma voix la plus langoureuse lorsque je demande B pépPre:

Aimez-vous cela regarder ce genre de film?

Pour toute réponse, le vieux sacripant me répond par un sourire.

Vous Ltes juste un autre vieux matou.

Qu'est-ce que ca vous donne de vous exciter comme cela.

Ce n’est mLme pas de bon film de cul.

Ce genre de film, c'est juste des histoires pour obsédés.

Ma derniPre réplique choque pépPre, il enchaine:

Comme cela, je suis un vieux obsédé.

Ecoutes-moi bien, ma fille.

PremiPrement, c'est toi qui a voulu regarder ce bout de film.

Et deuxiPmement, ce matin, je n'ai vraiment pas le goft de me faire sermoner.

Si ce n'est pas B ton goft?

Tu ramasses tes torchons et tes guénilles et tu fiches le camp tout de suite.

Tut, tut, pépPre.

Ne vous choquez pas!

Je ne suis pas venue ici pour vous chicaner.

Je trouve juste que ça fais pitié en chien d'Ltre pris pour regarder ce genre de film archi cheap.

Ouf!, je crois que je viens de rajouter de l'huile sur le feu car le vieillard me réplique.

C'est cela astheure!, je suis juste vieux cheap.

Tut!, tut!, pépPre.

LB, on va prendre le temps de ce parler.

Si ce matin, je suis si scandalisée, c'est parce que moi, je ne m'attendais pas B voir ce genre de film chez une personne de votre âge.

En tous les cas, moi, je ne perd pas notre temps B regarder ce genre de film, je laisse cela B mon mari.

Lui, il n'a pas peur de perdre son temps avec ce genre de film si quétaine.

Mais, cela ne m'empLche pas de vous donner mon opinion.

PremiPrement dans ce genre de film, il n'y a pas de romantisme.

La femme est lB, seulement comme objet, le joujou de monsieur, quoi?

DeuxiPmement, avez-vous remarquez que dans ce genre de film?, ca semble trop arrangé avec le gars des vues.

Pour toute action, il nous montre toujours une fille nue.

PépPre me répond.

Ma fille, si je regarde ce genre de film, c'est justement pour en voir du nue.

Et, en parlant d'action, remarques que cette épisode se passait B la fin du siPcle dernier.

Je connais assez l'histoire pour te dire que dans ce temps-lB, les femmes n'avaient pas le temps de s'arrLter pour suivre la mode comme aujourd'hui.

Tu sauras ma fille que mLme dans mon jeune temps, il y avait des femmes qui ne portaient jamais de petite culotte, ni de brassiPre, du moins dans le petit rang de campagne oj je vivais.

Ma premiPre femme Emilienne, que Dieu est son âme.

Milienne n'a jamais porté aucune culotte, du moins durant nos premiPres années de mariage.

Je me souviens encore de la premiPre fois que je lui en ai acheté une paire de ces fameuses petites culottes.

Milienne devait avoir trente-cinq, trente six ans.

Je m'en souviens comme si c'était hier.

Et, je dois te dire que premiPrement, elle m'a fait une crise mémorable.

Et que deuxiPmement, lorsque Milienne s'est enfin décidée B l'essayer, je te dis que je la surveillait attentivement tout le temps que Emilienne se pavanait devant son miroir.

Nous en avons ri un coup, tous les deux.

Ma fille, je vais te conter une anecdote, Emilienne, lorsqu'elle devait se rendre chez son docteur pour son examen annuelle.

Milienne ne mettait jamais de petite culotte.

Qu'est-ce que ca me donne?, qu'elle me disait.

Aussitôt que j'entre dans le bureau du docteur, tu sais la premiPre chose qu'il me dit le beau docteur:

Déshabiles-toi.

Et je sais pour en avoir parler avec d'autres femmes, que le beau docteur dit cela B toutes les femmes, avant mLme de leur dire bonjour.

LB, elle riait de bon coeur, ma Milienne.

Pour les brassiPres, c'est assez simple, Milienne n'a jamais voulu en portée aucune de toute sa vie.

Elle me disait:

Je ne suis plus une jeune pouliche et si tu penses que je vais mettre cette attelage-lB, tu te trompes en crime.

Ma fille, si tu penses que le sexe, c'est fini, chez une personne âgée?

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