L'esclave de Maman 03

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Maman se rend au supermarché avec son fils esclave en laisse.
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Récit n'a pas de balises

Partie 3 de la série de 4 pièces

Actualisé 06/09/2023
Créé 06/13/2006
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J'avais la nausée, je suis sûr que j'étais pâle.

Le court fil de pêche transparent que maman s'était attaché au poignet se fixait solidement à mon pénis, de la base de la verge à celle du gland. Et chaque mouvement maternel, alors qu'elle tournait brusquement le volant de la voiture, enserrait davantage mon sexe; rendant impossible l'idée d'oublier. Oublier l'humiliation qui viendra, lorsque les gens s'apercevront de ce fil qui traverse ma braguette pour relier ma mère à sa propriété...

La voiture se gare, mon estomac est toujours noué alors que le mouvement sec du frein à main me réveille de douleur. "On est arrivé!", s'écrie maman. "Mais on est pas au supermarché habituel?", elle me jeta un regard noir... je m'apprêtais à ce qu'elle tire sur le fil, qu'elle me foudroie de douleur, mais non...

"Les supermarchés vendent surtout des saletés que j'achetais pour toi, et font payer très cher les produits féminins. Maintenant que je t'ai réduit en esclavage, c'est plus simple; je peux fréquenter un magasin pour les femmes, qui privilégie des prix justes et des produits bio, fair-trade et pensés pour les femmes.", on sortait de la voiture, ma mère par la porte dans l'indifférence, moi en devenant rouge pivoine alors que sa main droite sortait de la voiture, je rampais vers le siège conducteur pour qu'elle ne m'arrache pas ma virilité.

"Tu remarqueras qu'il n'y a rien pour les hommes ici", continua-t-elle, "c'est donc aussi plus simple pour maman que tu ne portes plus de pyjama ou de slip que tu troues à l'entre-jambe en te masturbant sans arrêt; on en trouve pas ici".

J'étais à présent bien plus interpellé par le genre d'endroit que par ma situation. De loin, on voyait des publicités pour des produits cosmétiques à l'aloe vera et des escalopes bio en réduction.

Devant l'entrée, une jeune étudiante d'à peu près mon âge semblait récolter des signatures. Elle portait un t-shirt rouge avec le sigle de venus terminé par un poing serré. Je trainais un peu, le fil tendait mon pantalon et, à la lumière du jour, ses yeux se sont portés sur les reflets du fil et un large sourire s'est dessinée sur son visage alors que ma mère s'approchait de l'entrée.

"Bonjour madame, je récolte des signatures pour Femi-Nation. Nous sommes une ONG spécialisée dans la lutte des femmes à travers le monde pour leurs Droits et l'accès à leurs besoins de subsistance. Seriez-vous intéressée de nous marrainner avec un montant fixe mensuel de 5€?"

Ma mère la regarda longuement, souri, et lui rétorqua "Et de quels Droits et besoins parle-t-on?". La fille éclata de rire; "Ahah, moi je ne sais pas, je suis juste étudiante.", elle jeta à noueau un oeil à mon pantalon, "Mais moi j'ai pour droit et pour besoin de me défouler sur les boules de mon chéri en fin de journée, hihi". Ma mère éclata de rire à son tour.

Alors qu'elles riaient de bon coeur, et que je me sentais embarrassé, bien qu'un peu excité par la situation, je vis ma mère remplir le formulaire de don en esquissant ses derniers sourires.

Elle lui tendit, elles se remercièrent et nous sommes finalement rentrés.

Je regardais autour, le magasin était grand mais fait de beaucoup de vides, d'affiches, de pancartes et les produits avaient tous quelques mérites à vanter sur leur petites étagères espacées.

Malgré l'espace, l'éclairage était tamisé, la musique étaient calmes et douces; parfois du classique, parfois du jazz et quelques morceaux de rock et de pop assez calmes. Le mot d'ordre était au bien être et les gens semblaient passer comme des fantômes entre les rayons; sans s'attarder sur autrui, sans faire trop de bruit. Ca me convenait!

Ma braguette n'allait pas m'attirer le moindre soucis, on ne verrait un fin fil transparent que de près ici.

En revanche, pas le moindre chariot. Maman me fait prendre deux paniers à main: "Tu porteras les courses pendant que je choisirai. Et, comme tu le sais, interdit de ralentir, de t'essouffler ou de t'enfuir!", dit-elle en donnant un petit coup sur le fil. "Oui, maman!" m'exclamais-je avant d'occuper mes deux mains avec les paniers.

Sa façon de marcher était erratique; elle accélérait et s'arrêtait pour se déplacer dans les allées en évitant les obstacles, mais ne se souciait pas de ma difficulté à m'y faufiler avec elle. Je pense qu'une fois, entre le chariot d'un couple de vieux et une caisse de fruits, elle n'est pas passé loin de me l'arracher, et du tout de même s'arrêter, mais sans me regarder. Elle s'est ainsi baladée dans toutes les allées, les yeux rivés sur les produits, me traînant par le sexe et remplissant progressivement les paniers, jusqu'à ce que la tâche devienne vraiment ardue. Elle fit finalement une pause à l'évocation d'un nom qui me glaça: "Catherine, quel plaisir de te trouver ici!", elle avança son regard vers ce qui se cachait derrière sa meilleure amie, "Et Thibaut!", s'exclama-t-elle brièvement sur un ton un peu sec.

Catherine se tournait d'ailleurs vers lui "Eh bien, tu ne la salues pas?", ça me rappelait sa dernière visite, m'enfin ça aurait été surprenant que... il s'est exécuté, en plein entre les allées du magasin, il s'est rapidement baissé, a baisé les chaussures de ma mère, avec un coup de langue sur les orteils dépassant, puis s'est rapidement relevé. Lui aussi a conscience de l'humiliation donc mais, comment a-t-il pu faire une chose pareille sans poser de question? Elle a juste donné un coup de talon au sol, et il a exécuté son ordre... C'est donc ça que ma mère veut faire de moi? Je répliquais de même, sur les chaussures de Catherine, qui me tendit même ses talons poisseux à sucer.

Et pourquoi personne ne semble regarder? Est-ce que les gens sont prêts à tolérer ce comportement ici?

Catherine se penche alors sur une allée, dans une curieuse position avec la jambe arquée contre l'étalage, comme si elle était dos à un mur. Nous recevons tous deux l'ordre de "poser". On lâche les paniers et les laisonss discuter. Thibaut ne dira pas un mot et, moi, je regarderai simplement ma braguette danser alors que maman parle vigoureusement avec les mains, et je tenterai de ne pas attirer l'attention sur celle-ci pour ne pas être bien plus humilié.

Jusqu'à ce que, sur un ton un peu plus fort, Catherine s'exclafe "Ah oui, ahah, tu l'as attaché au poignet!", ma mère pouffe, son amie d'ajouter "Moi c'est au talon de ma chaussure. Ainsi, à chaque pas que je fais, ça le tient éveillé". Soudain, ça semblait plus clair pourquoi il avait obéi de suite lorsqu'elle a frappé le sol de son talon et pourquoi elle se tenait appuyée étrangement contre l'étalage.

A peine avais-je compris que Catherine donna un coup de talon sur le sol, je vis Thibaut se baisser pour ramasser les paniers, et je fis de même. Alors que nous nous quittions, je ne pus m'empêcher de me dire que je n'étais pas le seul à vivre cet interdit, ce tabou; Thibaut aussi. Et qu'en pense-t-il? Comment le vit-il? Catherine est-elle plus cruelle que maman? Combien d'autres bons garçons sont l'esclave dévoué de leur maman?

Perdu dans mes réflexions, je ne voyais pas que maman s'était arrêtée devant la voiture et attendait que je rampe du siège conducteur vers le siège passager une fois mes courses mises dans le coffre.

On ne parlait pas sur le chemin du retour, mais je me sentais soudain plus à l'aise dans mon rôle. Je me disais que, peut-être, Thibaut appréciait aussi certains moments, tout comme moi. La tendresse du visage de maman, quand elle constate que ses leçons d'éducation portent leurs fruits, que mon seuil de tolérance à la douleur s'est améliorée, quand je lui offre un orgasme bucchal sur le divan ou un bon repas dans la cuisine. Peut-être que lui aussi, au final, est heureux ainsi.

Je me sentais plus léger, plus à l'aise, et l'érection me venait malgré l'étranglement du fil de pêche.

J'étais dans l'entrée avec les sacs, ma mère me lançait alors un froid "C'est dur!", "Pardon maman?", répliquais-je. "Je sens ton sexe, il est moins maléable, plus rigide à travers ton pantalon. Je le voyais sur la route, tu n'as rien dit, tu connais la règle". Elle me sourit pendant que je posais les paniers sur le pas de la porte et commençait à me déshabiller alors qu'elle n'était qu'entrebâillée. Maman attendit que je sois complètement nu pour la refermer. Je vis alors mon gland tout bleu et mon érection à moitié étouffée par l'encordement.

Pas le temps de m'y attarder, maman me lance un "Viens avec moi!", comme si je pouvais faire autrement. Je me baisse pour empoigner les sacs, elle empoigne le fil pour le raccourcir. Je me redresse sec par le tiraillement, mais la voilà déjà partie vers l'escalier avec mon pénis et mes testicules nus et exposés que ma mère allonge. Je la suis donc à grandes enjambées dans l'escalier. La douleur est ignoble; je la supplie de déserrer mais mes suppliques ont juste droit à des "tsss" de sa part, froids et égaux. Je pense même qu'elle prend plaisir à ralentir dans les escaliers mais le pincement est trop fort; l'un des noeuds a bougé et enserre mon gland de plusieurs parts, le fil est tendu comme jamais et j'ai peur que mon sexe ne tienne pas le coup. Je gémis "Mamaaaan", je frotte mon visage contre le bas de ses reins en face de moi, elle continue de s'en moquer et se plaît à rendre la douleur pire.

Enfin, nous arrivons dans la cuisine. Je pose les sacs, tends mes mains vers mon sexe pour rajuster le noeud qui m'étreint le gland: "Hey, qu'est-ce que tu fais là? QU'EST-CE QUE TU FAIS LA AVEC MA CHOSE?", son ton avait fortement changé. "Tu oses touché ma propriété sans ma permission?

- Mais, maman, un noeud s'est déplacé et me détruit le gland. C'est horrible! Par pitié, laisse-moi au moins le réajuster...

- Pas de pitié avec moi, jeune homme. Je te retirerai le fil quand tu auras bien tout rangé.

- Mais ça brûle maman...

- Tu vois, tu perds inutilement du temps. Si tu continues à parler, tu risques la gangrène."

Là-dessus, elle relâche la corde, et le noeud au poignet qui était défait. Libéré, ou presque, je me hâte de ranger toutes les courses.

A peine les courses en place, me revoilà devant ma mère qui me voyait courir nu en souffrant pour son plus grand amusement; "Pitié, maman, libère-moi à présent."

Elle m'imposa un long silence, qui semblait insoutenable face à la sensation de mon sexe s'endormissant. Et puis ses mains approchèrent mon pénis;"Bien, tu as fait du bon travail. Mais te rappelles-tu comment tout ça a commencé?, me demandait-elle en défaisant les noeuds avec ses ongles longs et coupants

- Euh... quand tu m'as vu me masturber pour la première fois?

- Non, ça faisait longtemps que je te voyais déjà te masturber en pensant à moi. Ton ordinateur est plein de trucs à propos de "femdom", "cbt", "pegging", "shoejob" et des vilains termes incestueux. Un fils ne peut rien cacher à sa mère.

- Alors quand?, dis-je en rougissant

- Eh bien... tu ne te rappelles pas...? "Maman, je veux que tu saches que mon pénis t'appartient, car moi je ne t'abandonnerai pas!"

- Ah oui, c'était un peu après le divorce, quand papa *aïe* a disparu avec celle que tu appelais *aïe* "la manipulatrice de bites" *Aaaaaïe*, ma mère donnait de petits coups secs au noeud coincé, me pinçant la verge de ses ongles, je voyais même quelques marques légèrement sanglantes tant ils sont effilés.

- Mais tu avais déjà des signes précurseurs. J'ai toujours su que tu embrasserais une vie de soumis, je l'ai toujours vu en toi, mais je voulais que ton avenir se passe bien. J'ai vu les abus, les extrêmes, ce que certaines filles pouvaient faire avant de délaisser mon fils... je me suis torturée l'esprit pour savoir comment te torturer toi. Puis tout m'a semblé clair quand tu m'as dit que ton pénis m'appartenait; je pourrai ainsi t'éduquer dans ta nature soumise mais de façon à ce qu'elle fasse mon bonheur."

Je ne savais plus quoi répondre. "Maintenant, rejoins-moi dans ma chambre, il est temps de te punir.". Je la suivais à nouveau dans les escaliers, mais cette fois le pénis libre; juste marqué par les traces du fil et les ongles maternels.

Je reste debout, au pied du lit, ma mère s'y couche sur le ventre. Elle attrape ma verge, tire et frappe dessus, puis le serre répétitivement. Elle ne semble pas chercher à me faire plaisir, juste à causer une douloureuse érection par la force. A peine y parvient-elle, qu'elle m'attrape par les testicules; "Bien, on va commencer ta punition, mets-toi ici".

Elle remonte sa jupe d'une main et écarte ses cuisses où apparaît une chatte modérément poilue et grande ouverte; la chatte maternelle, là d'où je viens et là où j'ai ma place. Je n'ai généralement l'occasion de l'apercevoir qu'avant de me faire écraser le visage contre pour, comme le dit maman, "vénérer ce qui m'a donné la vie".

Mais, ici, l'objectif est différent. Elle me tire alors par les testicules vers le dessus de ses jambes; je me mets en position pour recevoir une fessée, mais elle m'agrippe à présent par le pénis, maintenant dur, lâche mes testicules et me laisse m'effondrer sur ses cuisses.

Tirant sur mon pénis de toutes ses forces, elle me lance un froid "Rappelle-toi que tu n'as rien à dire, je fais ce que je veux avec ce qui m'appartient". Elle finit par glisser mon sexe entre les lèvres de son vagin et se met à serrer ses cuisses violemment; impossible que je m'en échappe.

La punition commence sagement, ses claques sont fortes mais lentement expédiées, je me débats, la douleur est intense et soudaine. Je la sens gémir lorsque je me débats; ses reins bougent, mon pénis est concassé, ainsi qu'un de mes testicules oublié entre ses cuisses. C'est moins douloureux que la corde, mais je vois que maman cherche surtout son plaisir.

Elle ferme les yeux et continue de frapper la bouche ouverte. Sa main m'ouvre les cuisses, et je fais soudain un bond pour tenter de m'extirper; elle frappe mes testicules. Au même moment, elle pousse un cri. Son jeu continue par alterner mes couilles et mes fesses; je souffre, j'ai les larmes aux yeux, mon pénis reste concassé et impossible de m'échapper. Voir Catherine et Thibaut semble avoir excité maman; elle ne pense plus à la douleur, juste à l'orgasme qu'elle se prépare à avoir. Ses cuisses se raidissent soudain; je hurle pour mes parties intimes broyées, puis maman se relâche; elle sourit.

Elle s'étale à nouveau sur le lit, je me repose sur ses cuisses, le sexe toujours entre, mais la douleur est à présent supportable.

"J'ai une suprise pour toi", me lance-t-elle. Ses cuisses s'ouvrent; "ramène-moi ce qu'il y a dans le tiroir du bas de la commode de droite". Je me lève, ouvre le tiroir et découvre une sorte de petites laisses en cuir avec des maillons lourds en métal. "Je ne pensais pas te l'offrir", continue-t-elle, "car la laisse est jolie mais trop courte; ça ne me laisserait même pas la place pour lever les bras. Mais Catherine m'a donné une grande idée";

Elle attache l'extrémité à mon pénis et mes testicules; "Regarde, tu vas suivre maman au pas, à présent", dit-elle avant de s'attacher la laisse à la cheville et de me glisser un petit coup dans les couilles en rigolant.

"Maman, laisse-moi t'offrir ce massage des pieds car tu es merveilleuse, je t'aime!"

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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 5 ans

Genial ! Vite la suite svp

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