L'esclave Mystère Ch. 05

Informations sur Récit
Peter repasse au marché des esclaves.
3.3k mots
4.64
3.4k
2

Partie 5 de la série de 12 pièces

Actualisé 03/06/2024
Créé 07/26/2023
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Cette histoire se passe dans un monde imaginaire où l'esclavage a été légalisé dans certains pays. Je me suis très largement inspiré de l'univers inventé par John_Doe_Stories et utilisé également par Carl_Bradford sur Literotica en langue Anglaise.

Ceci une fiction, écrite en tant que divertissement. Cela n'a pas pour but de faire l'apologie de l'esclavage, Il y a des scènes de violence, de relations sexuelles forcées, de manipulation qui n'ont pas leur place dans la vraie vie.

Si ce genre de chose n'est pas votre goût, je vous déconseille de poursuivre votre lecture.

Les légères interférences avec « Un Centre pour Roux » n'impliquent pas d'avoir lu l'autre histoire. L'univer est commun et certains personnages peuvent se rencontrer, ou se croiser.

Ceci est le chapitre 5. Il y a un petit résumé en début d'histoire.

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Esclave pour de vrai

Au coup de marteau, je cru que mon cœur allait s'arrêter. En fait je crois que c'est ce que j'aurais voulu! Je venais d'être condamné à 20 ans de servitude. Cela voulait dire que tous mes biens m'étaient confisqué, et que je ne redeviendrais un homme libre qu'à 55 ans!

J'avais du mal à m'imaginer arrivant à 55ans dans un centre de déconditionnement d'esclaves, ne possédant que les quelques vêtements que mon propriétaire m'aura donnés, et $50,00.

J'avalais ma salive. Je me projetais bien loin. Avant cela, j'avais 20 ans à passer. Avant cela encore, je devais repasser au SCCM.

Le SCCM, c'est le plus grand marché aux esclaves de Géorgie. Il se trouve à Atlanta, proche du World of Coca-cola dont il reprend les couleurs inversées, et le musé des droits de l'homme, qui retrace l'histoire des afro-américains, de l'esclavage et de la ségrégation. Ce que le 19 et le 20ème siècles avaient eut tant de mal à défaire, le 21eme l'avait refait, le racisme en moins : Tout le monde pouvait devenir esclave. Je travaillais au Slave Cock&Cunt Market, comme manipulateur d'esclaves. Certains disent gardiens, mais nous ne nous contentons pas de les garder. Or je ressentais le besoin de comprendre ces hommes et ses femmes que nous avions la charge d'humilier pour les déshumaniser.

Ryan Crawford, le directeur du centre avait voulu m'écarter du traitement des esclaves pour m'éviter une erreur. Mais avant, il m'avait proposé d'être un esclave mystère. De passer toute la chaîne du marché, de l'admission à la vente, en passant par l'évaluation. Ceci afin de noter le comportement de mes collègues. Tracer ceux qui était inutilement sadiques, et ceux qui étaient trop doux. Mais à la fin de journée, trop pressé d'en finir, Ryan m'a laissé partir comme ça. Dans le métro, j'ai déclenché les systèmes de détections d'esclaves en fuite. Un procès rapide me renvoi finalement au SCCM, mais cette fois-ci pas en tant qu'esclave mystère!

Aurais-je dû crier, hurler, insulter, implorer? C'est ce qu'avaient fait ceux qui me précédaient ce jour-là dans le tribunal, sans succès bien évidement. Moi, je n'ai pas réagi. Je suis resté immobile. Comme si rien ne c'était passé. Un peu comme si j'attendais encore le jugement, le vrai. Pas cette plaisanterie de mauvais goût.

-On y va, » me dit un policier. En fait ils durent me relever et me déplacer, je n'arrivais plus à marcher, ni même à supporter mon propre poids. Ils me portèrent jusqu'à un quai, où un chariot élévateur portait une palette avec quatre cages contenant les quatre précédents condamnés.

J'ai attendu sur le quai, que les trois autres cages se remplissent, puis le chariot chargea ma palette dans le camion. Celui-ci s'ébranla, et parti pour une traversé d'Atlanta à l'heure des embouteillages. Mes pensées dérivaient. J'en voulais à Ryan. Je me demandais qui serait mon propriétaire. Je m'accrochais à une phrase qu'il avait dite : « Au pire je vous loue pour la durée du contrat ».

Mais un esclave ne pouvait pas être Manipulateur. Pourrais-je être au marketing tout en étant esclave? Je crois que rarement je me suis autant interrogé sur mon avenir!

Puis, il y eut le bip-bip caractéristique du camion qui recule : nous approchions du quai de déchargement. J'en avais des frissons : j'allais repasser au SCCM.

Le chariot élévateur déchargea les palettes. Un manipulateur se chargea de chaque palette. C'est Deborah Upchruch qui scanna l'étiquette de ma cage, et au lieu de dire mon nom, elle me regarda surprise.

-Peter... Mon dieu! » dit-elle avant de se reprendre.

- Peter McBreath 0071. »

-Oui, Madame, » dis-je alors qu'elle ouvrit ma cage.

-Tu es sous la responsabilité du Slave's Cock'n'Cunt Market. A partir de maintenant, n'importe quel employé du SCCM est habilité à te punir par le moyen qu'il juge approprié. En particulier ce collier peut délivrer des décharges électriques en cas de tentative d'évasion. As-tu compris ce que j'ai dit. » dit-elle alors en me mettant le collier du SCCM dont elle tenait la laisse. Je fis oui de la tête.

Elle me fit sortir, puis attacha ma laisse à un crochet dans le sol. Avec mes mains attachées dans le dos, je n'avais d'autre choix que d'attendre là, avec les autres. Les esclaves judiciaires étaient plus surveillés que les autres esclaves. C'est à ce moment que je compris que tout ceci n'était qu'une mascarade. Ryan voulait que je teste aussi le marché par l'entré des esclaves judiciaires. Je m'y accrochais de toutes mes forces, mais je me demandais comment il avait obtenu que le juge se soit prêté à cet exercice.

-Allez, grillade pour tout le monde » annonça Darren Escobedo. Je frémis alors. Je n'aimais pas son humour. Surtout que là, j'allais en être victime. Il y avait un passage obligé pour les esclaves judiciaires à leur entrée au SCCM. Rien que d'y penser, je ne pus retenir ma vessie.

-Tu as raison d'avoir peur Peter » se moqua Darren, en attachant nos laisses au collier de l'esclave de devant. Ainsi, ces deux manipulateurs nous guidaient au travers du marché. Nous arrivions à l'opposé de l'atelier de marquage. Nous devions donc traverser entre l'espace vétérinaire et la scène de slave yoga, puis passer entre les cages pour entrer dans une de ces cages couloir. Etroites, elles obligent les esclaves à rester alignés. Là Darren fit le tour de la cage et fit sortir ceux qui avaient été condamné avant moi : une prostituée en premier. Puis le pickpocket. Debborah, les accompagnaient à la sortie. Alors ils boitaient, et serraient de la glace sur leur fesse. Tout est fait pour que les esclaves qui vont être marqués ne voient pas les esclaves marqués sortir, mais moi je connaissais le plan du SCCM. Je voyais mon futur immédiat en serrant les fesses.

Bien trop vite, ce fût mon tour.

-Alors Peter, tu vas voir ; c'est chaud ici » me dit Darren. Toujours mes mains dans le dos, et les fers au pieds, que pouvais faire d'autre que de le suivre?

L'espace de marquage était fermé par d'épais rideaux, et quand nous les eûmes passés l'odeur de chair brulée m'agressa. L'odeur de ma chair allait bientôt se joindre à ces odeurs pensais-je sans bien l'accepter. Il allait se passer quelque chose, je n'allais pas être marqué comme ça!

-Si tu veux pisser a nouveau, le sable est là pour absorber. Mais avec ta petite cage tu ferais bien de t'accroupir, comme une femelle » me dit Darren.

-Euh, non, merci... Monsieur » dis-je. Lui montrer du respect était difficile et pour tout dire assez humiliant.

-Alors vient t'allonger ici » me dit-il en me montrant une table recouverte de cuir, avec des straps pour immobiliser l'esclave à marquer. Encore une fois, avec les mains attachées dans le dos et les fers au pieds ce n'était pas évident. Mais Darren me guidait, puis il rabattit les straps. Toute évasion, futile de toute manière était impossible. Les straps étaient plus là pour m'empêcher de bouger au moment d'être marqué, pour éviter que la marque soit « bougée ».

-Alors Peter, c'est un moment intense, non. Regarde la pêche, embrasse là » me dit il alors qu'il passait le marqueur pêche sous mes yeux effrayés. Il était froid, mais j'avais une appréhension quand il le présenta devant mes lèvres. Evidement, ne pouvant rien faire d'autre, j'embrassais l'objet de torture. Puis il le posa sur la prise de courant, mais ne l'activa pas.

-Tu voudrais que 'j'oublie' de te marquer? » me dit-il, en me caressant les cheveux. Voyant là l'occasion rêvée d'échapper à cette marque douloureuse et indélébile, je fis oui de la tête.

-Oui, mais je prends des risques, moi... » commença-t-il en touchant le marqueur comme s'il voulait l'encliqueter pour le mettre à chauffer.

-Mais je te propose un deal. Je t'encule, avec pour tout lubrifiant ta salive, et en échange j'oublie de te marquer, d'accord » proposa-t-il avec un sourire qui faisait peur. Je me doutais que cette sodomie serait douloureuse, mais cela valait sans doute bien une marque au fer chaud. De plus je ne serais pas marqué à vie. Je fis oui de la tête.

-Dis-moi, que tu veux que je t'encule » me dit-il lentement en souriant.

-Maître, je veux votre magnifique bite dans mon cul » dis-je comme une variante du slave yoga.

Darren ouvrit son pantalon, et me présenta sa queue circoncise.

-Lèche, et salive bien, pense que ce sera tout ce que tu auras comme lubrifiant. » dit-il en me tenant par les chevaux alors qu'il ondulait du bassin pour faire aller et venir son sexe dans ma bouche. Je cherchais à saliver le plus possible dans l'appréhension de ce qui allait se passer. Je restais dans l'idée que cette sodomie serait douloureuse et humiliante pendant quelques minutes. La pêche sur ma fesse y resterait à vie.

C'est Darren qui estima que c'était suffisant. A vrai dire, excité comme il était je doutais qu'il tienne longtemps. Il attrapa une épaisse lanière de cuir, celle que l'on fait mordre aux esclaves que l'on marque. Il me la présenta. Je mordis dedans, et lui l'attacha derrière ma tête. Il avait l'intention de me faire mal, et que je ne puisse pas crier. J'avais du mal à me détendre. Je savais que c'était ce qu'il fallait faire. C'était ce que j'avais conseillé aux esclaves. Darren se plaça entre mes cuisses. Il écarta mes fesses. Il cracha sur mon anus et étala sa salive. Puis positionna son sexe sur mon anus, et avec ses doigts il tirait sur mes fesses. Je me sentais m'ouvrir pour lui. Je repensais que seuls les esclaves peuvent être enculés. Mais j'étais un esclave. Darren commença à pousser. Comme je l'avais expliqué, je poussais moi aussi, pour m'ouvrir et faciliter les choses. J'étais humilié, mais aussi mort de peur. Très vite je commençais à avoir mal. J'aurais voulu dire à Darren de ralentir, de faire une pause. Mais avec la sangle à mordre, je ne pouvais pas. Je ne pouvais que serrer les dents. Par reflexe je serrais les fesses, et la douleur légère jusque là s'amplifia et diffusa, je criais comme je pouvais.

-Oh oui, quand tu te resserre sur moi, c'est délicieux » dit Darren en s'enfonçant tellement que je senti ses couilles contres les miennes. Il fit deux ou trois allers-retours. Puis fit une pause en s'enfonçant bien profond en moi. Je compris qu'il venait d'éjaculer.

Il se retira, et essuya son sexe. Et me regarda pleurer. Il essuya mes larmes

-Voilà c'est fini. Tu es un esclave maintenant. Tu va voir, tu va prendre l'habitude de te faire baiser » en me caressant les cheveux dans un geste presque amical. Il avait raison, c'était fini, j'avais mal, mais j'échappais à la marque infamante. Il l'attrapa pour la retirer de la prise. J'étais soulagé.

-Je risque gros, tu sais, j'ai pas envie d'être à ta place. » dit-il en ré-en-cliquant la marque, puis en appuyant dessus pour la faire chauffer.

-Gnn! » fis-je en essayant de dire non.

-Tu t'es fait baiser, c'est que le début » fit Darren, qui passa derrière moi, attacha mes jambes et pulvérisa de l'eau sur ma fesse. La marque me fit sursauter en faisant clic, car elle était chaude.

Darren, la prit. Puis il l'appliqua sur ma fesse dans un bruit de crépitement. La douleur était terrible. Darren laissa la marque sur ma fesse 3 secondes, puis la retira. La douleur, elle irradiait dans toute ma fesse, même après le retrait de la marque.

Assez vite un objet froid fut appliqué.

-Je te détache tout de suite » de dit alors Deborah, me libérant de la sangle dans ma bouche, des straps, mais aussi des fers à mes pieds. Maintenant que j'avais la marque en forme de pêche, tout le monde savait que j'étais un esclave judiciaire. Quand à mes mains, elles étaient occupées à appliquer la glace qui anesthésiait la douleur.

Elle me conduit alors à l'entrée du marché, ou mon dossier fut constitué, puis au marquage, où mon tatouage fut vérifié. Evidement tout cela passa un peu plus vite que la veille.

Thach vérifia ma brulure, et me mit un pansement.

-Ton anus est irrité, tu as été bien baisé, le sperme coule » se moqua-t-il.

-Je te met un lubrifiant anesthésiant » me dit-il en me mettant un plug. L'introduction dans mon anus endolori fut délicate.

Macha n'insista pas sur la slave yoga, « Avec cette brûlure ça ne sert pas à grand-chose » se justifia-t-elle. Les autres esclaves judicaires avant moi, avait aussi sauté cette étape.

Finalement je me retrouvais dans la cage d'attente avant l'évaluation. J'allais me trouver face à Paul à nouveau.

-Peter, tu dois passer immédiatement. Les autres vous passerez vers midi » dit Paul en ouvrant la porte.

-Je ne sais pas ce que tu as fait. Je crois que c'est la première fois que je fais passer un esclave en évaluation deux jours de suite. » me dit-il, en me dirigeant vers le présentoir. Je passais avec des jeunes qui n'étaient là que pour évaluation simple.

De mon arrivé au marché jusqu'à ce moment je n'avais pas eu de vrai moment de calme. Et la question qui m'obsédait après ma condamnation, qui m'obsédait pendant mon voyage en camion, me revint en tête : qu'allait-je devenir?

J'arrivais à me dire que Ryan avait voulu que je teste de marché du point de vue d'un esclave judiciaire et ma vente se ferait comme la veille, avec un prix de réserve. J'étais conscient de l'improbabilité de la chose, mais je m'y accrochais comme un naufragé à sa bouée. J'étais effrayé d'oser même penser à autre chose.

Une fois la plateforme en position haute, les jeunes se sont précipités sur nous.

-On aurait dû te bruler la pêche là, plutôt que de te mettre une cage » me dit un jeune garçon manifestement intrigué par ma cage. Avec le gag dans la bouche, je me gardait bien de lui répondre, pour éviter les clics supplémentaires. D'autres voulaient enlever mon pansement pour voir la marque infamante. J'essayais de rester de marbre : de toute manière je ne pouvais rien faire que de laisser agir les gardes.

Puis, ce fut le tour des acheteurs. Une jeune femme me tourna autour, puis elle vint m'aborder.

-Tu as déjà été mis en vente deux fois hier? » me dit-elle. Je fit oui de la tête.

-Mais tu n'étais pas un esclave judiciaire? » je fit non de la tête.

-Tu seras plus abordable aujourd'hui alors? » dit-elle en passant sa langue sur sa lèvre et recoiffant ses cheveux roux.

-Tu voudrais que je t'achète? » me demanda-t-elle. Je fis oui de la tête. Je préférais être la propriété d'une jeune femme que d'une agence de location d'esclave, ou d'une banque qui revend les périodes d'esclavage longues à la découpe.

Puis la plateforme est descendue. Paul était trop occupé, je crois, et il s'est contenté de me conduire dans la cage suivante. J'étais en mode automatique alors que Shirley me donnait de l'eau. De cette série j'étais le seul à passer en vente.

-Tu sais s'il y a un prix de réserve? » demandais-je à Shirley pour me rassurer.

-Ben Peter, c'est une vente judicaire, bien sûr que non! » me dit-elle surprise. Je préférais penser qu'elle ne savait pas. Le directeur ne l'avait pas mise au courant, forcement. Une petite voix me disait qu'elle avait raison, que j'allais être venu pour 20 ans d'esclavage, mais je préférais m'arrocher à mon idée.

Comme j'étais le seul à être vendu à cette heure, c'est Shirley qui m'a conduit à la partie vente.

-Bonne chance Peter » me dit-elle, alors que je franchissais la limite entre la préparation des esclaves et la vente.

La lumière dans les yeux, j'avais du mal à voir qui était là. La salle était vide, ou presque. Quelques institutions ont des acheteurs présents à toutes les ventes. Souvent ces mêmes acheteurs représentent plusieurs sociétés. Le centre de conservation des Roux peut comme cela ne laisser passer aucun esclave roux mis en vente au SCCM, et partage les frais avec la Fleur de Coton, une plantation de coton dont tous les esclaves sont blancs. Chatain, je savais que je ne serais pas la cible du centre de conservation des roux. J'espérais échapper à la Fleur de Coton et à ses propriétaires noirs.

-0071, Peter, Manipulateur d'esclave, Chatain, excitable, obéissant pour un mâle, Devenu esclave à la suite d'une erreur punissable, il est vente judiciaire pour avoir tenté de s'échapper. Il résiste apparemment bien aux coups de canne, comme vous pouvez le voir. C'est un contrat de 20 ans. » dit Jack Andrews.

-Oui, madame. »

-Monsieur ici. »

-Madame encore. »

-Monsieur non? »

-Personne pour dire plus? »

-Une fois, deux fois, trois fois? » demanda-t-il et le marteau tomba sur la table. Il n'y avait pas de prix de réserve.

-Avec une marque, qu'il soit symétrique » dit la fille... ma nouvelle propriétaire.

J'étais un peu sonné en sortant. Je venais d'être vendu pour 20 ans d'esclavage. Et j'allais être marqué à nouveau! Shirley me conduit vers la cage « avec marque »

Darren m'attendait déjà de l'autre côté de la cage couloir. »

-Comme c'est gentil à toi d'être revenu me voir! Je te promets ça va être chaud entre nous! »

J'avais du mal à marcher. Pourtant je n'avais pas le choix, et je savais que si je n'avançais pas j'aurais des coups de matraque, ou pire de tazer. Mais la brûlure de la marque était telle, que je crois que sur le moment, la douleur de la matraque aurait été acceptable, même pour ne gagner que quelques instants.

-Peter, dépêche-toi! » cria Shirley.

-Il fait durer le plaisir » taquina Darren.

Finalement je me retrouvais à nouveau sanglé sur la table recouverte de cuir. Je pensais que Darren allait me faire embrasser la marque encore froide, mais il semblait attendre.

-Excusez-moi. Je m'installe. » dit ma nouvelle propriétaire. Je sentis un hérissement passer dans mon dos. Ayant été intégralement épilé la veille, je ne peux pas dire un hérissement de poils. En fait je voulais épater ma propriétaire qui assistait à mon marquage.

Darren me fit embrasser la marque, je le fis sans rouspéter. Je sentais bien l'humiliation qu'il y avait dans ce geste, mais je venais d'être vendu comme esclave, je me devais d'accepter cette humiliation.

Il posa la marque sur son support et la fit chauffer. Pendant ce temps il me mit la sangle, et vaporisa de l'eau sur ma fesse intacte.

-La marque du SCCM, prend un peu plus de temps à chauffer que la pêche » dit Darren. Ce me remémora la séance du matin. J'étais terrorisé quand la marque claqua pour indiquer qu'elle était à température. Quelques instants plus tard, je criais sous l'effet de la douleur, même en essayant de faire le fier.

-On va le garder encore quelques minutes » expliqua Deborah, en posant de la glace sur ma brûlure.

J'étais dans une cage au milieu du SCCM. Ma propriétaire attendait que la glace face effet en me regardant de l'étage des clients au-dessus.

Je vis Ryan l'approcher. Et ils discutèrent. Mon idée selon laquelle Ryan était de mèche avec le juge avait vécue. Mais là il était en train de me racheter, ou de me louer auprès de ma propriétaire.... ...Enfin c'est ce que j'espérais.

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6 Commentaires
LePandaSeLaRaconteLePandaSeLaRaconteil y a 7 moisAuteur

@HistoiresdO : C'est dispo depuis ce matin !

HistoiresdOHistoiresdOil y a 7 mois

Merci. J'ai hâte.

@Literotica, qu'attendez vous? ;)

LePandaSeLaRaconteLePandaSeLaRaconteil y a 7 moisAuteur

Merci pour ces commentaires

J'ai mis à disposition l'épisode 6 sur Literotica le 25/09/23

La version d'un centre pour Roux de la semaine dernière n'est pas encore publié.

HistoiresdOHistoiresdOil y a 7 mois

Terriblement hâte de la suite

AnonymousAnonymeil y a 7 mois

Super histoire! Hate de lire la suite, ça promet! Merci pour votre temps!

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