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Cliquez iciL'été de mes 18 ans...
Je m'appelle Claire et j'ai 19 ans. Je suis blonde, je mesure 1m68 pour 54 kg, j'ai les cheveux mi- longs, une peau assez blanche. J'aime bien mon corps, quoique je préfèrerais avoir davantage de fesses et de poitrine. Je fais un petit 85B, et mes seins ont des aréoles pales assez fines, mais très sensibles aux caresses.
Jusqu'à l'an dernier, j'étais une jeune fille sage. Je veux dire par là qu'en dehors des quelques caresses que je me prodiguais de temps en temps seule dans mon lit et que j'interrompais toujours avant l'orgasme par appréhension de ce qui allait arriver, je ne fréquentais pas de garçons et ne flirtais pas comme certaines de mes copines de lycée. Il faut dire que ma mère est plutôt du genre strict et elle m'a toujours laissé assez peu de liberté.
Et puis il m'est arrivé une histoire étonnante qui a changé ma vie...
Dans le pavillon voisin du notre, un jeune couple s'est installé il y a deux ans. L'homme, Serge, assez corpulent et avec un facies assez ingrat, ne m'a jamais fait rêver. Par contre sa femme, Mélanie, m'a tout de suite plu. Je veux dire par là que je l'ai trouvée mignonne, bien que plus âgée que moi, 27 ans comme je l'appris par la suite. Elle était brune, à peine plus grande que moi mais avait une silhouette très féminine. Elle était très sympa aussi et il nous arrivait de temps en temps de papoter dans l'allée devant notre maison. Elle portait souvent des robes courtes et ses jambes étaient bien galbées. Elle avait aussi une poitrine avantageuse, comme je devais m'en apercevoir peu de temps plus tard.
En effet, nos jardins étaient mitoyens et l'été venu, je me rendis compte qu'elle aimait bien les bains de soleil. Elle ne travaillait que le matin et l'après-midi elle s'allongeait souvent dans un transat au soleil. Elle arrivait toujours vêtue d'un petit deux-pièces blanc plutôt mini et elle n'était pas plutôt allongée qu'elle dégrafait son soutien-gorge et enduisait ses seins de crème solaire. J'avoue que je me mis peu à peu à la guetter et à la regarder par la fenêtre de ma chambre. Bien que n'ayant jamais été tentée par les femmes, je ne pouvais m'empêcher de la regarder masser ses seins : ils étaient en forme de poire et avaient de longues pointes brunes. Je me mis alors souvent à me caresser en pensant à elle, rêvant que c'était moi qui enduisais ses seins de crème...
Et puis l'automne arriva et elle cessa de venir dans le jardin, le soleil se faisant moins présent. Ma mère m'apprit un matin d'octobre qu'elle était enceinte. Lorsque je la rencontrais par la suite dans l'allée, elle me parla de cette grossesse désirée et de sa joie d'avoir une petite fille. Je voyais à chaque rencontre son ventre s'arrondir et puis un jour ma mère m'apprit qu'elle était à la clinique et que l'accouchement s'était bien passé : elle avait mis au monde un adorable bout de chou, prénommé Carla. Nous allâmes lui rendre visite, ma mère et moi et je fus très fière de pouvoir porter Carla dans mes bras et de la bercer.
Quelque temps plus tard, elle rentra chez elle avec sa petite fille. Un après-midi que je l'a rencontrai dans l'allée, elle me proposa de venir prendre un verre chez elle :
« Excuse-moi, Claire, mais je ne peux pas discuter avec toi ici. Cela va être l'heure de la tétée de Carla. Viens donc à la maison prendre un rafraîchissement. »
N'ayant pas de devoirs à faire ce jour-là, je la suivis chez elle. Elle s'installa dans le canapé du salon et me dit :
« Va voir dans le frigo, il y a du jus de fruit, du coca, sers-toi ce que tu veux et apporte-moi un grand verre d'eau, s'il-te-plait. »
Je fis ce qu'elle me demandait. En revenant dans le salon, je vis qu'elle avait dégrafé son corsage et qu'elle donnait le sein à Carla. Je ne pus m'empêcher de sentir un trouble m'envahir en regardant cette scène intime. Au bout d'un moment, elle donna à Carla l'autre sein ce qui me permit d'entrevoir sa poitrine gonflée. Et puis Carla s'endormit et Mélanie alla la déposer délicatement dans son berceau. En revenant, elle me dit :
« J'ai l'impression que je pourrais en nourrir deux comme elle. » En parlant elle soupesait ses seins, puis elle les essuya délicatement avec un mouchoir avant de les remettre dans son soutien-gorge. Une envie folle me traversa l'esprit : téter ses seins et goûter son lait! Cette pensée me troubla tellement que je préférai la quitter un peu brusquement en prétextant que j'avais des devoirs à faire...
Cette nuit-là, je me caressais plusieurs fois en pensant à elle. Mais je n'eus pas le courage d'aller jusqu'au plaisir... Pas encore!