L'été de mes 18 ans 06

Mon Dieu Mélanie, mais tu n'as pas de culotte! Attends, tu vas voir! » Dis-je en riant. Je me mis à caresser ses grandes lèvres, avant de plonger mon index dans son minou.

« Oui, Claire, mets encore un doigt... hmmm, c'est bon, va bien profond... «

Je me penchais pour profiter de la vue : entre ses lèvres trempées, son bourgeon apparut. Je le caressai délicatement, puis le pinçai. Je sentais son bassin osciller d'avant en arrière.

« Oh oui Claire, continue, caresse mon bouton... ooh je vais jouir, oooh! ». Elle poussa un cri de plaisir. Je continuais à caresser ses cuisses, puis rabattis sa robe avec regret.

Arrivées en ville, elle gara la voiture au parking souterrain et nous primes l'ascenseur pour monter dans la galerie marchande. Elle m'entraina dans une boutique de lingerie.

« Va dans la cabine et retire ta jupe et ton chemisier. Je t'apporte des dessous. N'aie pas peur, je te les offre! »

Je gagnai la cabine d'essayage et ôtai ma jupe et mon chemisier. Je vis bientôt le bras de Mélanie écarter le rideau et me tendre un ensemble culotte et soutien-gorge en dentelle ajourée blanche. J'enfilai la culotte qui était ravissante et qui dévoilait une grande partie de mon minou, puis le soutien-gorge, un modèle corbeille qui rapprochait et soulevait mes seins.

« Viens voir Mélanie! Cela me plait beaucoup »

Elle écarta le rideau et me détailla du haut en bas.

« Tourne-toi! Oui, cela te va à ravir, aussi bien la culotte que le soutien-gorge ».

Jetant un regard derrière elle, elle vit que personne ne regardait, elle entra dans la cabine et referma le rideau. Déjà elle m'enlaçait et m'embrassait goulûment. En même temps, je sentis sa main sur mes fesses qui écartait la culotte et s'immisçait dans mon sillon. Son doigt glissa entre mes lèvres intimes et vint agacer mon bouton. Mais elle ne fit que m'exciter un peu, puis ressortit de la cabine.

« Retire ces dessous, je vais aller payer à la caisse... et ne remets pas ta culotte, hein! »

« Mais ma jupe est très courte! »

« Justement! Et ne discute pas, tu as promis de m'obéir. »

Je mis ma culotte dans mon et la rejoignis à la caisse. J'étais un peu honteuse, j'avais l'impression que tout le monde se rendait compte que je me promenais sans culotte. Mélanie me prit la main et m'entraina dans un bar. Elle me dit de m'asseoir sur la banquette du fond et s'assit en face de moi. Tandis que nous sirotions un coca en papotant, je sentis soudain son pied nu qui écartait mes genoux et remontait.

« Oh Mélanie, que fais-tu? Arrête, on va nous voir! »

En souriant, elle continua à me caresser l'intérieur des cuisses de son pied nu. Bientôt je sentis son gros orteil sur les lèvres de mon sexe. Cela m'excitait terriblement qu'elle me caresse ainsi alors que des clients allaient et venaient dans le bar. Son orteil glissait le long de ma vulve trempée et venait régulièrement presser mon bouton déjà tout dur. Je sentais que je n'allais pas tarder à jouir. Mon corps tressautait au gré de ses caresses. Je faisais tout mon possible pour retenir mes gémissements.

« Oh Mélanie, ooh, tu vas me faire jouir.... »

« Ben j'espère bien, jouis ma belle! »

Le plaisir m'emporta alors et je poussai un cri. Plusieurs clients tournèrent la tête dans notre direction. J'étais écarlate. Mélanie posa un billet sur la table et nous sortîmes rapidement. Arrivées à la voiture, elle m'embrassa tendrement en me disant :

« Tu es au moins aussi coquine que moi! Cela me plait beaucoup. Depuis le lycée, je n'avais plus connu de plaisir entre filles. »

« Ah bon? Tu avais quel âge la première fois? Et c'était avec qui? »

« Tout juste seize ans... C'était ma prof de français. Mes parents m'ont payé des cours particuliers auprès d'elle pour être surs que j'aurai une bonne note au bac! Tu parles, à part la première leçon, nous passions les cours particuliers au lit. Elle m'a tout appris, elle était insatiable. Des fois, je rentrai à la maison avec des cernes sous les yeux, tellement elle m'avait fait jouir. »

« Ben, tu me fais penser à ma prof de bio de cette année. Pour le bac, elle voulait aussi me donner des cours gratis. Peut-être qu'elle avait une idée derrière la tête! »

« Tu n'as pas accepté? »

« Non, mes parents ont refusé. Mais je dois avoir son numéro de téléphone quelque part. »

« Eh bien, si elle te plait, tu n'as qu'à l'appeler! »

« Peut-être, on verra. »

« Bon, il faut que je récupère Carla. Cela va être l'heure de la tétée. A bientôt, ma chérie »

Elle m'embrassa fougueusement, glissant sa main dans l'échancrure de mon chemisier et palpa mes seins longuement. Je la quittais, à nouveau toute excitée. Bien entendu, arrivée chez moi, je ne tardais pas à me réfugier dans la salle de bains pour me caresser longuement.

Le lendemain, ce fut à nouveau un feu d'artifice. J'étais arrivé chez elle au moment de la tétée de Carla. Elle me dit :

« Va dans ma chambre, allonge-toi sur le lit... et bien sûr, tout vêtement est superflu! »