L'été de mes 18 ans 08

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Comment je devins femme (2).
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Récit n'a pas de balises

Partie 8 de la série de 37 pièces

Actualisé 06/07/2023
Créé 04/07/2014
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Après avoir grignoté une salade et du fromage avec un verre de rosé, le jeu reprit. Charles perdit la manche suivante et dut ôter son boxer. Mélanie et moi, jetèrent un regard gourmand à son pénis à demi dressé. Il était long et assez fin, ce qui me rassura pour la suite. Puis Je perdis encore une fois et je dus ôter ma culotte. Charles regarda mon minou, les yeux écarquillés. Il ne devait jamais avoir vu de minou tout lisse. Il en eut bientôt un deuxième sous les yeux car Mélanie perdit les deux manches suivantes et dut abandonner sa jupe et sa culotte.

« Bon maintenant que nous sommes tous les trois nus, je propose que nous écrivions tous les trois 5 gages sur des papiers. Celui qui perd, devra accomplir le gage qu'il aura tiré. D'accord?, demanda Mélanie. »

Nous acceptâmes, Charles et moi. Comme j'étais très émoustillée et désinhibée par l'alcool, j'écrivis des trucs osés. Je m'aperçus très vite que les autres avaient fait de même. Je perdis la manche suivante. Je tirais le papier : « Embrasse ton/ta voisin(e) de gauche avec la langue ». C'était Mélanie. Nous nous embrassâmes passionnément sous les yeux ébahis de Charles. Un coup d'œil sur son pénis me permit de constater qu'il était dressé à l'horizontale. Puis ce fut lui qui perdit. Il tira le papier « Lèche et suce les tétons les plus gros que tu vois ». Il n'y avait pas photo : même si mes seins avaient pris du volume, mes tétons restaient assez petits alors que ceux de Mélanie devaient dépasser les deux centimètres. Intimidé, il s'approcha de sa tante. Celle-ci lui prit la tête et approcha sa bouche de son sein gauche. Il commença à lécher maladroitement, puis se mit à sucer. Très vite, il y prit goût, d'autant plus qu'il recevait des rasades de lait en récompense de ses efforts. Mélanie le laissa faire pendant dix bonnes minutes en laissant échapper soupirs et gémissements. Ce fut moi qui perdis à nouveau la manche suivante. Le papier disait : « Caresse le sexe de ton/ta voisin(e) de droite avec tes doigts jusqu'à ce qu'il/elle jouisse. » Voyant mon désarroi, Mélanie dit :

« N'aie crainte, je vais te guider. Prends le pénis de Charles dans ta main, oui comme ça. Tire vers l'arrière pour faire apparaitre le gland. Oui, comme ça. Laisse à nouveau la peau le recouvrir. Voilà ; tu as compris, continue le même mouvement. Tu peux accélérer un peu! Oui comme ça! »

Je fis aller et venir ma main de plus en plus vite. Je sentis le pénis durcir et grossir encore, Charles se mit à pousser des râles, puis un cri. Alors, plusieurs jets d'un liquide blanc jaillirent et inondèrent mes cuisses. Je continuais à caresser Charles jusqu'à ce qu'il arrête ma main. Mélanie s'approcha et recueillit un peu du liquide sur son doigt, elle l'approcha de ma bouche et dit :

« Tiens goute ça! C'est du sperme. »

Je léchais et avalais le liquide. C'était un peu douceâtre mais pas mauvais du tout. Tandis que Charles récupérait, Mélanie m'entraina dans la salle de bains. Elle s'agenouilla devant moi et se mit à lécher et à avaler tout le sperme répandu sur mes cuisses. Elle en profita pour me lécher le minou jusqu'à ce que je crie. La porte de la salle de bains était restée ouverte. Lorsque je rouvris les yeux après avoir joui, je vis Charles qui nous regardait. Son pénis commençait à se redresser. Mélanie lui dit :

« Approche Charles. Et toi, Claire, regarde comment on taille une pipe! »

Elle saisit le pénis de Charles, fit apparaitre le gland et se mit à lui donner des coups de langue. Il se mit à grossir. Alors elle le prit dans sa bouche et se mit à aller et venir d'avant en arrière, faisant réapparaitre le gland de temps en temps. Alors, elle parcourait tout le pénis avec sa langue avant de le sucer à nouveau. Puis elle s'interrompit et me dit :

« Allez, à ton tour maintenant! »

Je saisis le pénis de Charles qui était de plus en plus excité et m'efforçais de faire comme Mélanie. Je ne m'en tirais pas trop mal car Mélanie m'arrêta :

« Arrête un peu, sinon il va jouir à nouveau! Tu sais, les hommes ne peuvent pas jouir autant de fois que nous. Mets-toi à 4 pattes sur le tapis de bains. Voilà! Et mets bien tes fesses en l'air, comme l'autre fois. »

Elle se plaça derrière moi et se mit à me lécher le sexe et l'anus en alternance, m'arrachant des soupirs de plus en plus bruyants. En même temps, elle entretenait l'érection de Charles avec sa main. Puis elle s'interrompit et fit mettre Charles à genoux derrière moi. Je voyais toute la scène dans le grand miroir qui couvrait le mur du fond. Elle suça un peu le pénis de Charles puis le saisit de sa main et l'approcha de mon minou. Elle se mit à le faire aller et venir dans mon sillon. Ce petit jeu m'excitait terriblement. Enfin elle présenta le gland à l'entrée de mon minou et dit à Charles :

« Vas-y maintenant, Charles! Prends-la, d'un seul coup! »

Je poussai un cri de douleur, lorsqu'il me pénétra. Mélanie le fit s'arrêter, le temps que la douleur s'estompe. En même temps elle caressait mes seins et mes fesses. Puis elle dit à Charles :

« Tu peux reprendre maintenant, doucement. Oui, comme ça! Un peu plus vite! »

Je sentais le pénis de Charles me prendre de toute sa longueur et cela me plaisait beaucoup. Mélanie nous abandonna quelques secondes, puis réapparut, tenant son vibromasseur dans la main. Elle dit :

« Il ne faut pas que Charles jouisse en toi, il risque de te faire un bébé. Mais n'ayez pas peur, je vais m'occuper de vous! »

Elle fit sortir le pénis de Charles de mon minou et le remplaça par le vibromasseur qu'elle fit aller et venir une paire de fois avant de le mettre en marche. La sensation était encore meilleure qu'avec le vrai pénis. Je me mis à gémir de plus en plus fort. En même temps elle reprit le sexe de Charles dans sa bouche et se mit à le sucer de plus en plus vite. Il poussa bientôt des râles. Charles et moi, nous jouîmes presque au même moment. Lorsque nous eûmes un peu récupéré, Mélanie nous dit :

« A vous de me faire jouir maintenant! »

Elle s'allongea sur le tapis de bains. Je plongeais la tête entre ses cuisses tandis que Charles reprenait ses caresses sur ses seins. Puis elle me tendit le vibromasseur :

« Lèche bien mon petit trou! Et puis mets-le dans mes fesses et suce-moi le bouton en même temps! »

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