L'été de mes 18 ans 16

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Une soirée chez ma patronne.
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Récit n'a pas de balises

Partie 16 de la série de 37 pièces

Actualisé 06/07/2023
Créé 04/07/2014
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Je la quittai les jambes flageolantes en me promettant de revenir. Je me rendais compte que les pratiques sexuelles « déviantes » ne me faisaient pas vraiment peur et j'avais hâte de faire d'autres expériences. Je me disais que cela risquait d'arriver très vite car l'invitation pour le samedi soir chez Mme Meyer me faisait espérer une soirée assez chaude. Effectivement, je ne fus pas déçue!

J'arrivai peu après 19h chez Mme Meyer, vêtue d'une robe verte, moulante et plutôt courte. C'était une belle maison bourgeoise au fond d'un grand parc. Je sonnai à la porte et une domestique avec un décolleté vertigineux vint m'ouvrir et me conduisit au salon où Mme Meyer était assise avec une autre femme, une grande blonde de type scandinave. Toutes deux portaient les jupes longues et des chemisiers échancrées.

« Claire, je te présente mon amie Uta..., Uta, voici Claire, la jeune fille dont je t'ai parlé »

Uta s'approcha de moi et me fis une bise sur les lèvres.

« Les amies d'Angela sont mes amies », dit-elle avec un fort accent étranger. En même temps sa main se posait sur ma fourche, retroussant ma robe et palpant mon minou. Troublée, je la laissai faire. Elle me doigta puis se mit à frotter mon minou de la paume de sa main. Au bout de quelques instants, j'étais trempée. Elle retira sa main, me laissant frustrée.

« On commence par une partie d'échecs? », dit Mme Meyer à son amie. Celle-ci acquiesça et elles s'installèrent à la table où était posé un échiquier. Puis elle me dit :

« Va sous la table et fais ce que tu as envie! On va voir qui gagne dans ses conditions. »

Je me mis à genoux et me glissai sous la table. Je vis que toutes deux avaient retroussé leur jupe très haut. Uta ne portait aucun dessous et son minou blond était taillé très court. Mme Meyer portait seulement des bas fumés et un porte-jarretelles. Je me mis à caresser l'intérieur des cuisses d'Uta, elle ouvrit ses cuisses en grand et j'en profitai pour approcher ma bouche. J'écartai ses grandes lèvres de mes doigts et me mis à lécher sa vulve déjà bien mouillée. Je sentais ses cuisses frémir sous mes caresses. Lorsque je la sentis proche de l'orgasme, je l'abandonnai et m'approchai du minet de Mme Meyer. Je lui fis subir à peu près le même traitement et je m'arrêtai là aussi avant qu'elle ne jouisse. Je répétai plusieurs fois ce manège jusqu'à ce que j'entende « Echec et mat! ». Mme Meyer avait gagné, c'est elle qui avait le mieux contrôlé son excitation.

Je me relevai. Toutes deux se levèrent et s'approchèrent de moi.

« Hmm tu nous as bien excitées, dis donc... à ton tour! », déclara Mme Meyer. Elle se positionna derrière moi, tandis qu'Uta me faisait face. En quelques secondes, je fus nue. Tandis qu'Uta m'embrassait langoureusement et pelotait mes seins, je sentais les mains de Mme Meyer sur mes fesses et donc mon sillon. Je me mis bientôt à gémir. Mais elles interrompirent leurs caresses avant que je jouisse. Uta se débarrassa de sa jupe et de son chemisier et s'allongea sur la moquette en m'attirant sur elle tête bêche. Je me mis à nouveau à lécher son minet, tandis qu'elle me rendait la pareille. Mme Meyer sortit un moment puis elle revint se positionner derrière moi. Elle se mit à caresser mes fesses qu'elle écarta de ses mains. Je sentis alors sa langue autour de mon petit trou. Un doigt, puis deux s'immiscèrent dans mon anus et je gémis. Puis je sentis qu'elle se mettait en position derrière moi. Abandonnant quelques secondes le sexe d'Uta qui ruisselait, je jetai un œil et vis qu'elle avait mis une ceinture avec un godemiché et qu'elle s'apprêtait à me le mettre dans le cul. Comme il me semblait énorme, je me raidis. Elle s'en rendit compte et se mit à me pincer les seins d'une main tout en promenant sa paume dans mon sillon. Uta s'était emparé de mon bouton et elle le suçait furieusement. Mme Meyer positionna le membre en latex sur ma corolle et poussa. Je poussai un cri, mais elle continua à pousser et je sentis le phallus en latex s'introduire centimètre par centimètre dans mon conduit. La douleur était forte, mais petit à petit je sentis mon sphincter se dilater et accepter l'intrusion. Elle se mit alors à me prendre de plus en plus vite tandis qu'Uta mordillait mon bouton. Je sentis un orgasme fabuleux monter dans mes reins et je jouis en hurlant.

Tandis que je récupérais, épuisée par cet assaut, les deux amies se mirent à se caresser. Elles s'allongèrent face à face et se mirent à frotter leurs minets l'un contre l'autre, les jambes en ciseaux. Elles gémissaient et ce spectacle me réveilla. Je m'approchais de leurs fourches : le spectacle de ces minets qui se collaient l'un à l'autre avant de se séparer, était très excitant. Je me mis à caresser leurs seins et à les embrasser tour à tour. Puis je glissai mon doigt et massai leurs deux fentes. Elles ne tardèrent pas à jouir en criant.

« Il est temps de passer à table », déclara Mme Meyer. Effectivement, les plaisirs ressentis avaient aiguisé mon appétit et je dévorais la collation qui avait été préparée. C'est la domestique qui m'avait ouvert la porte qui nous servait. Je vis qu'Uta et Angela ne rechignaient pas à lui peloter les fesses tandis qu'elle nous servait. A la fin du repas, Mme Meyer renversa la domestique sur la table qu'elle venait de desservir et retroussa sa robe. Son sexe rasé apparut : elle avait de grandes lèvres couleur vermillon. Uta se pencha et se mit à la lécher ; la domestique se mit à soupirer, puis à gémir plus fort. Comme elle commençait à haleter, Uta se redressa et me dit : « approche, tu vas voir! ». Je m'approchai, intriguée. Uta introduisit deux, puis trois doigts dans le minet de la domestique et se mit à la doigter de plus en plus vite. Celle-ci de mit à haleter de plus en plus, puis poussa un grand cri.

Uta retira ses doigts et je vis un véritable jet sortir de la vulve de la domestique. Elle recommença à la doigter et retira à nouveau ses doigts, faisant jaillir un nouveau geyser. J'étais stupéfaite, je n'avais jamais rien vu de tel. Mme Meyer, qui regardait la scène en se caressant les seins, m'expliqua : « C'est une femme fontaine, tu as vu, tout ce qu'elle mouille, c'est comme une éjaculation ». Puis elle me dit : « Hmm, ça m'excite toujours beaucoup de la voir jouir comme ça. Viens me sucer, Claire, j'ai trop envie ». Elle s'assit sur un fauteuil et je m'agenouillai devant elle. Je me mis à la lécher et à la sucer. Très vite, je sentis une présence derrière moi. Uta se mit à caresser mes fesses, puis les écarta. Je sentis sa langue glisser dans mon sillon. Sa langue lécha ma rosette pendant un moment, puis elle introduisit un doigt dans mon petit trou.

Elle se mit à me doigter l'anus tandis qu'elle massait ma vulve de l'autre main. Je sentais l'excitation grandir et je léchais Mme Meyer de plus en plus frénétiquement, ne voulant pas jouir avant elle. Bientôt, celle-ci se renversa dans le fauteuil en hurlant sa jouissance. Uta en profita pour me retourner sur le dos et se jeter sur ma vulve qu'elle se mit à parcourir de sa grosse langue râpeuse. Quand elle sentit que je n'allais pas tarder à jouir, elle retira sa bouche et pinça violemment les lèvres de mon sexe. La douleur me fit crier et redescendre sur terre. Aussitôt elle se remit à me sucer. Elle recommença plusieurs ce manège qui me rendait folle. Je me mis à gémir sans discontinuer, la suppliant de me faire jouir. Elle attendit encore plusieurs minutes, puis elle se mit à mordiller mon bouton tout en me doigtant frénétiquement de ses doigts. Je hurlai alors comme une folle, terrassée par un orgasme fou.

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