L'été de mes 18 ans 17

Informations sur Récit
Un job de babysitter.
1.1k mots
4.25
17.3k
1

Partie 17 de la série de 37 pièces

Actualisé 06/07/2023
Créé 04/07/2014
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De plus en plus tentée par les tenues coquines, j'avais besoin d'argent pour financer tout ça. Le peu d'argent de poche que me donnaient mes parents ne suffisait pas. Je cherchai donc sur internet des personnes qui recherchaient des baby-sitters. Je ciblai bien sûr mes recherches sur des annonces de femmes : pourquoi ne pas joindre l'utile à l'agréable? Une annonce attira mon attention : « Jeune femme, 35 ans, devant souvent travailler tard le soir, cherche personne pour s'occuper de son fils de 5 ans ». Je téléphonai, la voix me sembla très agréable et nous primes rendez-vous pour l'après-midi.

J'arrivai vers 15h chez Marianne Petit. C'était une belle brune au corps épanoui. Mes yeux s'attardèrent tout de suite sur sa poitrine avantageuse. Elle portait une jupe assez courte et un chemisier blanc qui laissait apparaitre son soutien-gorge noir et le sillon entre ses seins. Nous nous assîmes devant une tasse de thé et fîmes connaissance. Elle me raconta que le père de Paul, son fils, l'avait quitté l'année passée et qu'elle avait un peu de mal à s'occuper de l'enfant tout en travaillant. Il lui arrivait surtout assez souvent de travailler le soir jusqu'à 22h et il lui fallait alors quelqu'un pour donner à manger à Paul et le coucher. Nous nous mîmes d'accord sur les conditions. Puis nous allâmes chercher Paul à l'école maternelle. C'était un gamin très mignon, calme et je me dis que s'occuper de lui serait un vrai plaisir. Deux fois par semaine, j'allais donc chercher Paul à l'école, le ramenais chez lui, l'occupais, lui donnais à manger, puis le couchais vers 8h30, non sans lui avoir raconté une histoire. Les choses se passaient très bien. Ensuite je regardais la télé tranquillement jusqu'au retour de Marianne. Lorsqu'elle rentrait, nous papotions souvent un long moment avant que je ne rentre à la maison. Petit à petit, nos conversations devinrent plus intimes, elle me parlait du père de Paul, de ses flirts avec des collègues de bureau. Je restais pour ma part assez évasive sur ma vie sexuelle, craignant de la choquer en lui avouant mon homosexualité.

Ce soir-là, lorsque Marianne rentra, sa bonne humeur me sauta aux yeux. Elle me raconta que son chef, très content de son travail, venait de l'augmenter. « Claire, nous allons fêter ça! », me dit-elle en sortant une bouteille de Champagne du réfrigérateur. Elle nous servit une coupe à chacune, puis bientôt une deuxième. Elle devenait de plus en plus volubile et moi, je me sentais de plus en plus désinhibée... Elle mit un CD sur la chaine, une musique entrainante envahit la pièce. Je me levai et me mis à me déhancher, Marianne se mit elle-aussi à danser. Nous nous trémoussâmes ainsi pendant un bon quart d'heures. Je sentais ma robe en coton coller dans mon dos. N'y tenant plus, je la fis passer par-dessus ma tête, je ne portais plus qu'une culotte et un soutien-gorge en dentelle blanche ajourée. Je me remis à danser de plus belle. Je vis que Marianne me détaillait de la tête aux pieds, avec un intérêt certain.

« Tu n'as pas trop chaud? », lui demandais-je, « avec ce jeans et ce pull? »

« Hou, si, je suis en nage! Je vais faire comme toi ».

Elle fit passer son pull par-dessus sa tête, puis déboutonna son jeans et le fis glisser à terre. Elle portait un ensemble culotte et soutien-gorge en dentelle noire. Elle se remit à danser. J'avais sous les yeux sa poitrine superbe qui tressautait au rythme de la danse, je voyais les aréoles larges distinctement sous le tissu fin et cela me troublait énormément. Je ne pus résister à l'envie d'ôter mon soutien-gorge afin de voir ce que Marianne allait faire. Elle ne dit rien mais je sentis ses regards sur mes seins dont les pointes étaient déjà toutes raides d'excitation.

« Tu es très impudique », me dit-elle d'une voix changée.

« Oh, excuse-moi, je t'ai choquée? »

« Non, non, mais tu m'obliges à faire comme toi! »

Elle dégrafa alors son soutien-gorge. Sa poitrine était vraiment fabuleuse, volumineuse et pourtant elle ne pendait absolument pas. J'avais du mal à en détacher mes yeux. De plus en plus excitée, je fis glisser ma culotte à terre, dévoilant mon minou imberbe. Je vis son regard se troubler et avec un soupir elle descendit aussi sa culotte et j'aperçus les poils noirs assez touffus qui recouvraient son mont de vénus. Nous continuâmes à danser quelques minutes et puis, n'y tenant plus, je lui dis :

« Pfff, je prendrais bien une douche! Je suis trempée ».

« Bien sûr! », répondit-elle en me prenant la main et en m'entrainant dans la salle de bains. Il y avait une douche à l'italienne et je m'empressai d'ouvrir les robinets pour jouir d'un peu de fraicheur. Je vis qu'elle restait là debout à me regarder. Je lui dis :

« Ben, viens donc, il y a assez de place pour deux! »

Elle me rejoignit alors. Je décidai d'agir et lui dis doucement :

« Tourne-toi, je vais te savonner le dos ».

Elle m'obéit et je me mis à savonner ses épaules, son dos, puis mes mains descendirent sur ses fesses. Je la sentis frémir, mais elle ne dit rien. Je m'enhardis alors et me mis à les masser doucement, descendant sur le haut de ses cuisses. Petit à petit, ma main s'immisça dans son sillon, frôla plusieurs fois son petit trou avant d'atteindre les rivages de son sexe. Mon autre main pesa sur son épaule, la forçant à se pencher en avant et à s'appuyer sur la paroi de verre. De mon pied je lui fis ouvrir les jambes un peu plus et mes doigts coururent dans sa toison. Puis mon index s'immisça entre les lèvres de son minou : il dégoulinait de mouille. Je me mis à la doigter doucement, puis mon majeur rejoignit l'index et elle se mit à gémir. J'appuyai mon corps nu contre le sien et ma main gauche vint se poser sur sa poitrine. Je massai ses seins lourds en insistant de plus en plus sur les pointes que je me mis à presser et tordre entre mes doigts. Elle poussait des cris plus aigus maintenant. Ma main gauche descendit sur son mont de vénus. Tandis que de la droite je la doigtais de plus en plus rapidement, ma main gauche se mit à agacer son bouton, je le pressai, le fis rouler entre mes doigts. Elle se mit à haleter et à trembler, puis elle jouit avec un grand cri. Elle se retourna les yeux hagards :

« Mon Dieu, je n'ai jamais joui ainsi! »

Elle me prit par la main, nous sortîmes de la douche et elle me sécha tendrement avant de se sécher elle-même. Puis elle m'entraina dans sa chambre.

« Tu sais, j'ai un peu honte, tu es si jeune... et puis c'est la première fois qu'une femme me fait ça... mais je suis prête à recommencer! Tu veux bien m'aider? Je voudrais m'occuper de toi... »

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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a environ 5 ans
Langage démodé

On dirait des siècles plus tôt. FIMES et MIMES peuvent m exciter seulement s'il s'agit d'un roman de cette époque

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