L'été de mes 18 ans 22

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Comment je dévergondai Clotilde.
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Récit n'a pas de balises

Partie 22 de la série de 37 pièces

Actualisé 06/07/2023
Créé 04/07/2014
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A partir de ce jour-là, nous nous retrouvâmes tous les matins, dès que son mari était parti au travail. La plupart du temps, elle me retrouvait dans la salle de bains et après nous être lavées mutuellement avec moult caresses et baisers, elle m'entrainait dans sa chambre. C'est là que je lui fis découvrir toute la gamme des plaisirs saphiques.

Le premier jour, je lui ordonnai de se mettre à quatre pattes et de faire saillir sa croupe. Je me plaçai derrière elle et lui dis :

« Clotilde, montre-moi toute ta vallée! ».

Elle comprit tout de suite ce que je voulais et écarta ses fesses de ses mains. Je me mis à lécher tout son sillon, puis sa rosette avant de descendre sur son bouton qui dardait entre ses lèvres gonflées et trempées. Tandis que je lui donnais de petits coups de langue, mon doigt se mit à agacer sa rosette. Puis je pris son bouton entre mes lèvres et le suçotai ; en même temps mon index forait sa rosette. Je suçai ensuite son bouton de plus en plus fort en faisant aller et venir un doigt, puis un deuxième entre ses fesses. Elle gémissait de plus en plus fort et poussa un grand cri en jouissant et en inondant le drap. Je m'allongeai ensuite sur le dos et lui ordonnai de me lécher. D'abord un peu réticente, elle me fit quelques bisous sur la fente, puis je sentis sa langue qui furetait dans ma fente. Je vis alors qu'elle y prenait goût. Je lui pris la main et la posai sur mon pubis. Elle comprit mon attente et glissa un doigt, puis deux dans mon sexe qu'elle fit aller et venir et je ne tardai pas à jouir à mon tour.

Le lendemain, je lui proposai d'aller nous promener. Elle parut d'abord déçue, mais je lui dis :

« Je vais choisir ta tenue... et tu vas voir que tu ne le regretteras pas! »

Je fouillai dans son armoire et sa commode et dénichai une jupe verte assez courte et un chemisier très léger en soie.

« Voilà, mets ça... et rien d'autre, d'accord? »

« Tu veux dire... pas de dessous? »

« Tu m'as très bien comprise! »

Elle hésita quelques secondes, mais l'envie fut la plus forte. Nous primes le bus pour aller au parc. A peine assise, je posai ma main sur son genou et me mis à la caresser. Ma main remontait doucement, entrainant le tissu de la jupe. Clotilde jeta un regard autour pour voir si quelqu'un nous observait. Heureusement, le bus était presque vide. Elle se détendit et écarta les jambes. Mes doigts jouèrent un moment avec ses poils pubiens très courts, puis je me mis à l'exciter en frottant son sexe avec mes doigts. Je sentis bien vite son bouton se dresser et elle ne put retenir un petit gémissement. Je me penchai entre ses jambes et vis son clitoris dardé qui dépassait de ses petites lèvres. Je mouillai mon doigt et le posai délicatement sur son bouton. Je le caressai doucement et je la sentis trembler.

Ne voulant pas la faire jouir trop vite, j'interrompis mon manège.

« Oh Claire, tu me rends folle! Je crois que je suis prête à tout avec toi... »

« Humm, tu crois? Bon, nous allons voir cela! »

Sans qu'elle le remarque, je mis un texto à Joséphine, en lui donnant rendez-vous à la terrasse du bar des amis en lui précisant que j'avais une surprise et qu'elle devait faire comme si nous ne nous connaissions pas. Bien sûr, elle accepta d'emblée. En attendant l'heure, nous allâmes au parc.

Vers midi, nous allâmes nous installer à la terrasse du café. J'avais tout de suite repéré Joséphine et je guidai Clotilde à une table toute proche et je m'installai en tournant le dos à Joséphine. Nous papotions tranquillement lorsque je vis Clotilde fixer un point derrière moi et se mettre à rosir. Jouant l'étonnée, je lui demandai ce qui se passait. Elle balbutia ;

« Il y a une jolie femme derrière toi. Et euh... elle a posé un pied sur la chaise devant elle et je vois tout! »

« Comment ça, tout? »

« Elle est en jupe et elle n'a pas de dessous non plus! »

« Humm! Je crois que tu as une touche. Tu sais quoi, je vais aller aux toilettes et on va voir ce qui se passe. »

A peine hors de vue de Clotilde, je mis un texte à Joséphine en lui disant d'aller aborder Clotilde en lui faisant des compliments sur sa tenue et son corps. Puis j'attendis quelques minutes. Lorsque je regagnai la terrasse, je vis Joséphine assise à côté de Clotilde. Elle n'avait pas perdu son temps : elle avait déjà posé une main sur la cuisse de Clotilde. Je m'approchais et dis :

« Ah, tu as retrouvé une amie? »

Clotilde rougit comme une pivoine et bégaya :

« Euh oui, c'est une vieille copine de lycée. Nous nous sommes retrouvées par hasard. Je n'étais pas sûre, mais elle m'a reconnu tout de suite. »

Je me rassis à côté d'elles. Je fis mine de m'absorber dans un magazine, les laissant papoter. Joséphine n'était manifestement pas insensible aux charmes de Clotilde. Tout en lui parlant, elle s'était rapproché d'elle et, profitant que la table masquait ses gestes, sa main était remontée, entrainant la jupe avec elle. Je voyais Clotilde faire ce qu'elle pouvait pour masquer son trouble mais j'entendais sa respiration s'accélérer et elle tressautait par moments sous les attouchements de Joséphine. Cette dernière faisait tout pour l'exciter. Lorsqu'elle sentit qu'elle était mure, elle dit :

« Venez donc prendre un café chez moi, j'habite à deux pas. »

« Ben oui, pourquoi pas? », répondis-je sans laisser à Clotilde le temps d'hésiter.

Arrivées chez Joséphine, celle-ci nous fit asseoir dans le canapé puis elle alla à la cuisine faire le café. J'en profitais pour bécoter Clotilde et entretenir son excitation en pinçant ses pointes de seins à travers le chemisier. Puis Joséphine revint avec un plateau et le café. Elle nous servit puis s'assit à côté de nous. Clotilde était prise en sandwich entre Joséphine et moi. Joséphine se pencha sur Clotilde et se mit à lui faire des bisous dans le cou, sur le visage, puis ses lèvres atteignirent sa bouche. Un long baiser s'ensuivit. J'en profitai pour caresser les cuisses de Clotilde et remonter jusqu'à sa fourche. Puis tandis que Joséphine continuait ses baisers et palpait en même temps les seins de Clotilde, je m'agenouillai entre ses cuisses et les mis sur mes épaules, approchant ma bouche de son minou. Je me mis à la lécher et elle se mit à haleter. Je voyais son bouton grossir et je ne résistai pas à l'envie de le sucer. Mais je ne voulais pas qu'elle jouisse encore. Je me redressai et écartai Joséphine. Je lui fis signe d'aller chercher un gode ceinture et je m'emparai de la bouche de Clotilde. J'entendis Joséphine revenir et jetai un œil : elle avait mis une ceinture et un gode de belle taille qu'elle enduisait de vaseline. Elle se mit à caresser le sexe de Clotilde avec la pointe du gode. Clotilde n'avait rien remarqué dans son excitation. Elle enfila le gode dans le sexe de Clotilde d'un coup et celle-ci se redressa, effrayée. Mais prise par cette nouvelle sensation et excitée comme elle était, elle se laissa prendre en gémissant de plus en plus fort. Elle ne tarda pas à jouir en hurlant.

Une fois calmée, Clotilde se tourna vers moi :

« Mon Dieu Claire, j'ai honte, ce que tu me fais faire! »

« Ben quoi, cela ne t'a pas plu? »

« Ben si justement! Je vais avoir du mal à me contenter de Philippe désormais. »

« Tu sais, c'est une question d'entrainement. Si tu veux, nous pourrions nous occuper de Philippe, Joséphine et moi. Nous lui montrerions comment faire jouir une femme. »

« Ah oui? Vous feriez cela? Cela serait vraiment épatant! »

Rassurée, Clotilde s'allongea sur Joséphine et tandis qu'elles se bécotaient, mes mains ne restaient pas inactives.

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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a plus de 7 ans

C'est frais, c'est juteux, ça glisse. C'est très bien pour accompagner les soirées chaudes de l'été. Une suite pour Philippe ?

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