L'été de mes 18 ans 24

Informations sur Récit
Clotilde en fait de belles!
1.4k mots
4
7.4k
1
Récit n'a pas de balises

Partie 24 de la série de 37 pièces

Actualisé 06/07/2023
Créé 04/07/2014
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Cette aventure a trois m'avait vraiment beaucoup plu et je me devais de raconter nos ébats à Clotilde. Ce que je fis quelques jours plus tard. Clotilde avait finalement passé quatre jours chez sa mère. Entre temps, Philippe en avait profité deux fois pour me sauter dessus dans la salle de bains. Je l'avais laissé faire, bien que cela me gênait un peu par rapport à Clotilde. Mais j'avais du mal à rester indifférent devant son sexe énorme. La deuxième fois, il me prit par derrière, penchée sur le lavabo, mais je refusais de le laisser m'enculer.

Clotilde vint le soir de son retour toquer à la porte de ma chambre. A peine entrée, elle m'enlaça et m'embrassa fougueusement. Puis elle me demanda de me raconter ce qui s'est passé. Elle s'exclama : « Ah oui? Il a joui trois fois? C'est la première fois que cela lui arrive. J'en reviens pas ».

« Et toi, c'était comment chez ta mère? », lui demandé-je. Elle me dit : « Il m'est arrivé un truc incroyable! Figure-toi que je me suis fait draguer! Par la boulangère! »

« Non! Eh bien, tu ne perds pas de temps! Je parie que c'est pour ça que tu es restée plus longtemps! Raconte! »

Clotilde ne se fit pas prier.

« Oui, il lui a fallu quelques jours pour qu'elle ose. J'allais à la boulangerie tous les matins chercher le pain et des croissants et j'avoue que la boulangère, une belle brune plantureuse, ne me laissait pas indifférente. Elle avait toujours un décolleté profond et je salivais devant ses seins volumineux. Le troisième jour, il n'y avait personne dans la boutique et notre conversation prit une allure plus intime. Elle me raconta que son mari était une brute qui lui sautait toujours dessus sans prévenir. En général il arrivait par derrière, la courbait en avant et lui arrachait sa culotte. Au bout de quelques va-et-vient, il déchargeait avant qu'elle ait eu le temps d'éprouver le moindre plaisir. En parlant, elle s'était petit à petit approchée de moi et avait posé sa main sur mon bras. Il était presque 13h et elle ferma le rideau en me proposant de partager son repas. Son mari était parti en ville.

Nous montâmes dans son appartement qui était juste au-dessus de la boutique. Elle me fit asseoir dans le canapé et alla nous chercher une bouteille de vin et deux verres. J'avais mis une robe d'été assez courte. Quant à elle, elle portait une jupe fendue et un chemisier. Elle s'assit tout près de moi. Sa jupe fendue ne cachait pas grand-chose de ses cuisses. Nous continuâmes à papoter en buvant le vin qui était assez corsé. En parlant, elle avait posé une main sur ma cuisse qu'elle caressait doucement. Je jouais la femme mariée et coincée et lui avouai que je ne prenais pas du tout de plaisir avec mon mari non plus. Solange me dit alors :

« Ah les hommes! Ils sont vraiment décevants. Il faudrait sans doute se passer d'eux ». Je fis celle qui n'avait pas compris. Elle me resservit un troisième verre et je commençai à en sentir les effets. Je lui avouai que j'avais la tête qui tournait un peu.

« Ah oui? Tu n'es pas habituée à boire? ». Elle était passé rapidement au tutoiement. « Viens donc t'allonger un peu! » Me prenant la main, elle m'entraina dans la chambre. Elle se glissa derrière moi et descendit le zip de ma robe en me disant que cela éviterait de la froisser. Je ne portais plus qu'une culotte et un soutien-gorge bleus avec de la dentelle. Elle me fit m'allonger et s'assit à côté de moi. Très vite elle retira aussi sa robe et son chemisier et s'allongea près de moi. Après, tout alla très vite. Elle m'enlaça et en même temps qu'elle me faisait des bisous de plus en plus prolongés, elle dégrafait mon soutien-gorge. Elle retira elle-même le sien et j'admirais ses globes somptueux aux larges aréoles brunes. Puis elle se mit à embrasser les miens et glissa très vite sa main dans ma culotte. Elle sentit tout de suite que j'étais trempée. Alors elle se laissa aller totalement. Elle me retira ma culotte et se mit à me donner des coups de langue, fascinée comme toi par mon gros bouton qu'elle suçotait avant de le relâcher quand elle sentait que je ne tiendrais plus longtemps. Elle retira aussi sa culotte : elle avait un sexe rasé avec de grosses lèvres proéminentes qu'elle se mit à caresser en me léchant. »

« Et elle a fini par te faire jouir? » lui demandé-je.

« Oui, oui et pas qu'une fois... mais pas avec sa bouche! Elle s'est levée pour aller fouiller dans l'armoire et est revenue avec un gode très long. Elle a commencé par le glisser dans ma fentine et à faire des va-et-vient. Ensuite elle a approché son minet et s'est enfilé l'autre bout dans le vagin. C'était délicieux, surtout quand nos minous se collaient l'un à l'autre. J'ai vu ensuite qu'elle avait une télécommande à la main et elle a appuyé sur un des boutons. Alors, figure-toi que le gode s'est mis à vibrer. La sensation était énorme. J'étais déjà en train de jouir comme une folle et elle aussi râlait de plaisir. Hélas, nous avons dû nous interrompre car elle devait rouvrir son magasin. »

« Mais, je suppose que tu l'as revue? »

« Oui, plusieurs fois! A chaque fois, c'était divin. Et puis un jour, elle m'a parlé de la fille du la bouchère à côté qui lui plaisait beaucoup malgré son jeune âge et qu'elle aimerait bien dévergonder. Elle me la montra lorsqu'elle sortit de chez elle et je la trouvais également à mon goût. Je lui suggérais de l'inviter jeudi après-midi, jour de la fermeture du magasin en lui proposant de venir gouter. »

« Et alors? Ne me dis pas que vous l'avez séduite? »

« Ben tiens! Et elle a apprécié, je t'assure. Bon, au début, elle était plutôt sur la réserve. Il faut dire que nous la dévorions toutes les deux des yeux. C'est une jolie blonde, tout juste formée : de petits seins pointus et pas de hanches, un peu androgyne, quoi! Elle portait une petite robe en coton assez courte qui mettait en valeur ses longues jambes. Nous avons papoté un moment en partageant une galette et en buvant du cidre. Petit à petit, elle est devenue plus loquace. Nous en avons profité pour lui poser des questions de plus en plus intimes : dis-moi, Annie, tu es encore vierge? -- euh non, avoua-t-elle en rougissant. Un copain de lycée l'avait déflorée l'an passé, mais cela ne lui avait pas vraiment plu -- Et tu aimes te caresser? -- Elle avoua qu'elle aimait beaucoup ça. Elle le faisait tous les jours. -- Solange lui dit de ne pas avoir honte, que c'était normal, que nous aussi nous le faisions très souvent. -- D'ailleurs là, j'ai très envie! Et joignant le geste à la parole, elle retroussa sa jupe, dévoilant son sexe et elle commença à se caresser entre les jambes. Annie la regardait fascinée.

Ne voulant pas être en reste, je fis glisser mon jeans et me rassis en glissant ma main dans ma culotte. Annie nous regardait alternativement, très troublée. -- Tu peux le faire aussi, lui dis-je, attends je vais t'aider. Je descendis la fermeture éclair de sa robe et la fis glisser au sol. Annie ne portait plus qu'une petite culotte en coton blanc. Ses petits seins pointus étaient tout dressés. Elle se rassit sur le canapé et commença à se caresser la poitrine. Je vins m'asseoir à côté d'elle et je continuais à me caresser d'une main. De l'autre je caressai son bras, puis remontai sur ses épaules, puis sur ses seins que je me mis à agacer. Elle se laissa faire en soupirant et commença à se caresser l'intérieur des cuisses.

Solange avait fait glisser sa jupe et ôté son chemisier, elle portait une culotte et un soutien-gorge en dentelle noire qui mettait en valeur sa belle poitrine. Elle vint s'asseoir aussi sur le canapé, de l'autre côté d'Annie. Très vite elle posa sa main libre sur la cuisse d'Annie et commença à remonter tout doucement. Annie était de plus en plus excitée. Solange me fit un signe et nous attrapâmes chacune de notre côté la culotte d'Annie et nous la fîmes glisser à ses pieds. Annie avait un joli minou blond quoiqu'un peu trop fourni.

Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 4 ans

J'adore Aurailiens

Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE

Histoires SIMILAIRES

Addiction à la Fessee Une jeune mariée découvre le plaisir de la fessée.
Un Vieux Couple Un vieux couple séduit un étudiant naïf pour le plaisir.
L'esclave Mystère Ch. 01 Peter découvre que ses désirs secrets sont connus...
Massage pour Emilie Enceinte Sensualité et jouissance pour Emilie
Les Bijoux de Florence NICOLE et les bijoux de florence.
Plus d'histoires