L'été de mes 18 ans 25

Informations sur Récit
Angélique et sa copine.
1.5k mots
3.87
5.5k
00
Récit n'a pas de balises

Partie 25 de la série de 37 pièces

Actualisé 06/07/2023
Créé 04/07/2014
Partagez cette Récit

Taille de Police

Taille de Police par Défaut

Espacement des Polices

Espacement des Polices par Défaut

Face de Police

Face de Police par Défaut

Thème de Lecture

Thème par Défaut (Blanc)
Tu dois Connectez-Vous ou Inscrivez-Vous pour enregistrer votre personnalisation dans votre profil Literotica.
BÊTA PUBLIQUE

Remarque : Vous pouvez modifier la taille de la police, la police et activer le mode sombre en cliquant sur l'onglet de l'icône "A" dans la boîte d'informations sur l'histoire.

Vous pouvez temporairement revenir à une expérience Classic Literotica® pendant nos tests bêta publics en cours. Veuillez envisager de laisser des commentaires sur les problèmes que vous rencontrez ou de suggérer des améliorations.

Cliquez ici

Solange et moi nous penchâmes de concert pour lécher et suçoter les petits seins d'Annie tout raidis. Elle glissa sa main entre ses cuisses et se mit à se caresser en soupirant de plus en plus bruyamment. Puis Solange se laissa glisser au sol et écarta tout grand les cuisses d'Annie. Celle-ci interrompit ses caresses, un peu effrayée. Solange lui dit :

« Annie, j'ai envie de te goûter, qu'en dis-tu? ». Annie n'était manifestement plus en état de refuser ce genre de propositions. Solange et moi, nous débarrassâmes rapidement la table et je fis allonger Annie sur celle-ci. Solange se positionna entre ses cuisses et je me mis à sa tête. Je me mis à l'embrasser de plus en plus profondément en caressant ses seins tandis que Solange lui embrassait l'intérieur des cuisses avant de s'approcher de sa fourche. Aux frémissements d'Annie, je sentis que Solange s'était emparée goulûment de son sexe. Elle se mit à gémir de plus en plus bruyamment et se raidit soudain, soulevant les fesses, tendue comme un arc. Elle poussa un grand cri en mouillant abondamment la bouche de Solange qui aspira tout le jus avec délectation.

Celle-ci était loin d'être rassasiée. Elle prit la main d'Annie et l'entraina dans sa chambre. Je suivis le mouvement en me débarrassant de ma culotte. Nous nous allongeâmes sur le lit. Je pris Annie dans mes bras et me mis à la bécoter tendrement. En même temps je caressais sa poitrine qui se remit bientôt à pointer. Je vis d'un œil Solange qui était derrière Annie s'équiper d'un gode ceinture de belle taille et se coller ensuite contre Annie. Voulant lui venir en aide, ma main s'était glissée entre les cuisses d'Annie et je me mis à la doigter doucement. Je sentis alors le sexe de latex contre ma main. Je le saisis et le poussai doucement dans la vulve d'Annie. Celle-ci se raidit d'abord en sentant l'objet la pénétrer, mais elle se mit très vite à gémir, emportée par cette nouvelle sensation. Solange la fit ensuite se mettre à quatre pattes, faisant saillir sa croupe. Tandis qu'elle continuait à la besogner, je me redressais er me mis à embrasser et lécher les fesses d'Annie. J'avais sous les yeux le sexe de latex qui entrait et sortait à un bon rythme. J'humectai mon index et me mis à agacer la corolle d'Annie, qui se mit à s'assouplir au fur et à mesure que mon doigt l'investissait. Annie gémissait maintenant sans discontinuer en murmurant : « Oh mon Dieu, que faites-vous? Oh, que c'est bon... ».

J'écartai Solange quelques secondes, le temps de me glisser entre les cuisses d'Annie. J'avais maintenant sous les yeux sa vulve trempée et tout ouverte. Je ne résistai pas à l'envie de la suçoter. Je vis Solange se rapprocher et doigter la rosette d'Annie qui gémit. Puis j'entendis Annie pousser un cri et je devinai que Solange commençait à pénétrer l'anus d'Annie avec le sexe de latex. Je continuais à sucer et à mordiller les grandes lèvres d'Annie avant de me concentrer sur son bouton. Entretemps, Solange avait réussi à investir totalement l'anus d'Annie, laquelle, une fois la douleur passée, semblait apprécier beaucoup cette pénétration. Je sentais son bassin tressauter au rythme des coups de boutoir que lui prodiguait Solange. J'avais fort à faire pour ne pas perdre le contact avec son petit berlingot que je me mis à sucer de plus en plus fort. Annie râlait maintenant sans discontinuer et je sentais la vague arriver qui la submergerait entièrement. Elle poussa tout d'un coup un cri terrible et je sentis un jet de liquide remplir ma bouche et mouiller mon visage. J'avalai avec délice une partie de son jus. Sentant qu'Annie était épuisée, Solange s'écarta d'elle et me fis signe de me dégager. Je m'allongeai sur le dos les jambes bien ouvertes et Solange positionna son gode à l'entrée de mon sexe. « Oui, murmuré-je, prends-moi! ». Elle ne se fit pas prier pour investir ma chatte et me besogner jusqu'à l'orgasme.

« Eh bien, ma cochonne! Tu en as sacrément profité! », dis-je à Clotilde. Je voyais qu'elle était tout émoustillée à raconter ses souvenirs et j'étais moi-même bien excitée de les avoir entendus. Ma main dénoua la ceinture de sa robe de chambre. Dessous elle ne portait qu'une petite nuisette bien courte. Je la renversai sur mon lit et entrepris de lécher sa fentine déjà complètement trempée. Elle se mit à gémir de plus en plus fort. Tout à coup, la porte de ma chambre s'ouvrit. C'était Philippe qui resta ébahi en voyant sa femme dans cette position compromettante. Je lui fis signe d'entrer et lui murmurai : « Regarde comme elle a envie! Je te l'ai préparée. ».

Je voyais la bosse énorme qui déformait son boxer. Je le fis glisser et découvrit son sexe complètement raidi. Je me mis à le sucer quelques instants avant de dire à Clotilde : « Regarde comme il bande! Viens le gouter! ». Celle-ci ne se fit pas prier. Craignant cependant que Philippe ne décharge trop vite, je l'éloignai du sexe turgescent et la fis mettre à quatre pattes. Je saisis Philippe par la queue et le positionnai derrière Clotilde. Après quelques va-et-vient, je plaçais le gland de Philippe à l'entrée de la vulve ruisselante de Clotilde. Il s'engouffra d'un coup et Clotilde poussa un gémissement. Il se mit à la besogner lentement. Pendant ce temps, je ne restais pas inactive : j'embrassai Philippe goulument tout en caressant les seins de Clotilde. Puis je titillais les seins de Philippe avec la langue tout en caressant ses testicules pleins à craquer. Il se mit à accélérer ses coups de boutoir tandis que Clotilde poussait des cris de plus en plus suraigus. Philippe se mit à râler sourdement et je sentis qu'il déchargeait dans le sexe de sa femme. Celle-ci n'avait pas encore joui, bien qu'elle ait manifestement apprécié la pénétration que son mari lui avait fait subir. Aussi, tandis que Philippe récupérait un peu, je pris sa place derrière Clotilde et me mis à caresser sa vallée, allant de son bouton dressé à sa rosette frémissante. Philippe me regarda avec intérêt lorsque je me mis à pénétrer celle-ci de mon doigt. Je voyais que son pénis commençait tout doucement à se redresser. J'approchai ma bouche et me mis à lui lécher le gland encore tout collant de son sperme. En même temps je pénétrai de plus en plus profondément l'anus de Clotilde et ses gémissements me montraient qu'elle appréciait l'intrusion. « Tu veux qu'il te prenne par-là? », lui demandé-je.

Clotilde eut un murmure de protestation, mais j'avais déjà laissé la place derrière elle à son mari et approché le sexe de ce dernier de sa rosette bien humectée par ma salive. Je murmurai à Philippe : « Doucement! » et je glissais la main sous elle pour pincer et pétrir ses seins. Je vis le pénis de Philippe s'immiscer doucement, ressortir puis pénétrer un peu plus avant dans l'anus de sa femme. Après quelques va-et-vient, il avait investi toute la place malgré les gémissements que poussait Clotilde. Très vite la douleur fit place à la jouissance. Il faut dire que j'avais maintenant la main sur son minet et lui caressais la vulve avant de m'emparer de son bouton que je titillais de plus en plus vite. Clotilde poussait maintenant des cris de plus en plus aigus et projetait ses fesses à la rencontre de Philippe, s'offrant totalement à la pénétration. Puis elle s'effondra sur le ventre dans un grand cri. Philippe n'avait pas déchargé et je me devais d'y remédier. Je m'allongeais sur le dos et l'attirai sur moi, nouant ensuite mes jambes autour de ses reins pour qu'il me prenne plus profondément. Clotilde, encore sous le coup de sa jouissance s'approcha et m'offrit ses lèvres tout en me caressant les seins. Je me sentis partir comme une fusée tandis que Philippe se vidait en moi.

Nous avions tous les trois notre compte et je les laissai regagner leur chambre. Epuisée, je ne mis pas longtemps à m'endormir. Le lendemain matin, j'eus envie d'aller à la piscine. Je nageais quelques longueurs, puis m'allongeais dans un transat. Tout à coup je sentis une main sur mon épaule : c'était Angélique, rougissante, qui était ravie de me revoir. Elle s'allongea sur le transat à côté et nous papotâmes un moment. Elle me raconta qu'elle était maintenant complètement attirée par les femmes. Elle avait essayé de refaire l'amour avec un copain, mais cela avait été un fiasco. Hélas, elle était assez timide et ne savait pas comment s'y prendre pour séduire une femme. Je lui demandais si elle avait quelqu'un en vue et elle m'avoua qu'elle fantasmait beaucoup sur une copine de lycée. Je lui proposai alors mon aide pour l'aider à la séduire. Elle fut aussitôt d'accord. « Tu sais », me dit-elle, « je ne crois pas qu'elle ait déjà eu d'aventures avec une femme ». Je réfléchis un moment puis je lui suggérai de lui proposer de venir se faire masser chez moi. « Tu lui diras que je suis une jeune masseuse qui voudrait s'installer mais qui n'a pas encore de salon. Dis-lui qu'en attendant, je préfère m'entrainer pour ne pas perdre la main et que je fais des massages gratuits ». Angélique trouva l'idée à son goût et me promit de m'appeler dès qu'elle en aurait parlé à sa copine Jeanne.

Veuillez évaluer cet récit
L’auteur apprécierait un commentaire de votre part.
  • COMMENTAIRES
Anonymous
Our Comments Policy is available in the Lit FAQ
Publier comme:
Partagez cette Récit

LIRE LA SUITE DE CETTE SÉRIE