L'été de mes 18 ans 26 bis

Informations sur Récit
Angélique et la mère de Manon.
1.5k mots
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Récit n'a pas de balises

Partie 26 de la série de 37 pièces

Actualisé 06/07/2023
Créé 04/07/2014
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« Tu sais », me dit-elle, « je ne crois pas qu'elle ait déjà eu d'aventures avec une femme ». Je réfléchis un moment puis je lui suggérai de lui proposer de venir se faire masser chez moi. « Tu lui diras que je suis une jeune masseuse qui voudrait s'installer mais qui n'a pas encore de salon. Dis-lui qu'en attendant, je préfère m'entrainer pour ne pas perdre la main et que je fais des massages gratuits ». Angélique trouva l'idée à son goût et me promit de m'appeler dès qu'elle en aurait parlé à sa copine Manon.

Angélique me rappela dès le lendemain. Elle me dit que Manon avait beaucoup hésité car elle n'avait jamais reçu de massage. Angélique lui avait alors raconté que j'étais une masseuse très compétente et très douce, qu'elle-même en avait déjà profité deux fois et que c'était vraiment une occasion en or de pouvoir se faire masser gratuitement par une professionnelle. Manon accepta de venir à condition qu'Angélique l'accompagne et nous présente.

Le lendemain après-midi, je savais que je serai tranquille à la maison, mes parents étant partis en voyage. De plus je pourrai utiliser la table de massage de ma mère qui avait autrefois pratiqué cette activité. Je me préparai donc soigneusement pour avoir l'air tout à fait pro et attendis leur arrivée. Angélique sonna vers 15h et me présenta Manon qui était une jolie brune bien faite et plutôt sexy. Puis elle nous abandonna.

Je proposai d'abord un thé à Manon et nous fîmes connaissance. D'abord un peu intimidée, Manon se détendit ensuite petit à petit. Je la menai ensuite dans le petit bureau où j'avais installé la table de massage. Je lui demandai de se dévêtir entièrement et de l'allonger sur le ventre. Je l'abandonnai quelques instants. Lorsque je revins, je fus tout de suite charmé par son corps nu, ses fesses bien galbées et rebondies.

Je m'approchai et je pris un petit flacon d'huile. Je laissai tomber quelques gouttes sur son dos et ses épaules et commençai à la masser doucement. Elle avait la peau très douce et je lui en fis compliment. Je descendis ensuite sur ses reins qu'elle ne put s'empêcher de creuser, emportée par le bien-être. Je descendis ensuite à ses pieds que je massai avant de remonter sur ses chevilles, ses mollets. J'écartai ensuite légèrement ses jambes et commençai à masser ses cuisses.

Je lui fis ensuite plier le genou gauche et je massai toute sa jambe. Bien sûr je louchai sur son sexe totalement dénué de poils. Elle avait des lèvres fines et longues, ravissantes et je me retins de ne pas chercher à les effleurer. Je massai ensuite l'autre jambe, puis je lui demandai de se retourner. Je la regardai faire et elle se mit à rosir, un peu gênée par mon regard qui la détaillait. Je lui dis qu'elle avait vraiment un corps superbe. Elle me remercia en souriant.

Je me mis alors à masser ses épaules, puis son abdomen, avant de remonter sur sa poitrine. « Ça ne te gêne pas si je te masse la poitrine? ». Elle me fit signe que non et je me mis à masser ses seins et évitant de trop toucher à ses mamelons qui me semblaient déjà bien dressés. Puis mes mains descendirent sur ses chevilles. Je les massai, puis remontai doucement : tibias, genoux, cuisses. A nouveau je pliai sa jambe gauche, ouvrant largement ses cuisses. Elle me jeta un regard trouble.

« Hmmm, quel joli minet! », lui dis-je...

Elle rougit, mais ne pipa mot. Je caressai alors l'intérieur de ses cuisses, remontant toujours plus vers sa fourche. Ma main gauche atteignit l'aine. Je caressai de chaque côté de son sexe. Comme par mégarde, j'effleurai ses grandes lèvres. « Tu souhaites que je continue? ». Elle ouvrit les yeux et le fit un signe de tête affirmatif. J'enduisis mes doigts d'huile et les posai sur son sexe.

En même temps, j'ouvris davantage ses cuisses, sans rencontrer la moindre résistance. Ma main gauche remonta le long de son abdomen avant d'atteindre ses seins que je me mis à agacer alternativement. Ma main droite glissa dans sa vallée, écartant ses lèvres. Je sentis alors qu'elle était trempée. Mon index la pénétra doucement. Elle poussa un soupir et ouvrit en grand ses cuisses comme pour me signifier qu'elle était prête à tout.

Je me penchai alors sur sa poitrine, léchant doucement ses mamelons dressés. Elle gémit. Mon index allait et venait dans sa vulve trempée. De temps à autre, mon doigt remontait pour effleurer son bourgeon d'amour, la faisant tressauter. N'y tenant plus, ma bouche descendit et se posa sur son sexe. Elle se cabra sous la caresse précise. Je me mis à la lécher et à mordiller son bouton. Elle se mit à pousser de petits cris, de plus en plus rapprochés.

Mon index s'enfonça dans son sexe tandis que ma langue s'attentionnait sur son bouton. Elle posa sa main sur mon bras et se tendit comme un arc en poussant un grand cri. Je continuai à la lécher tendrement tandis que sa respiration se calmait lentement.

« Tu as aimé? ». Elle rougit et m'avoua qu'elle avait adoré. « Tu sais, j'ai un peu honte qu'une femme me fasse des choses comme ça! »

« Ah bon? Mais pourquoi cela? »

« Ben, d'abord, je ne te connais pas! Et puis je ne suis pas lesbienne! »

« Eh bien moi, j'ai appris à te connaitre très intimement. J'ai adoré te faire jouir comme ça. Tu sais, c'est délicieux, les caresses entre femmes... veux-tu venir dans mon lit? »

Manon fit non de la tête, elle se rhabilla rapidement et partit, me laissant totalement frustrée.

Du coup, je rappelai Jeanne, ma prof de bio. Celle-ci me dit de passer la voir tout de suite. Je n'hésitai qu'une seconde. J'avais à peine sonné à la porte de son appartement qu'elle ouvrit, m'attira à l'intérieur et m'embrassa à pleine bouche. Puis elle ôta mes vêtements en toute hâte et me fit mettre à 4 pattes sur le canapé. Avant que j'aie pu protester, elle écartait mes fesses et sa langue se mit à fouiller mon sexe. Puis elle poussa deux doigts dans mon sexe trempé tandis que sa langue s'attentionnait sur ma rosette.

Pendant deux heures, elle n'arrêta pas de me faire jouir avec ses doigts, sa bouche et plusieurs godemichés qu'elle avait en sa possession. Hmmm juste ce qu'il me fallait pour oublier ma frustration avec Manon.

Angélique me rappela une semaine plus tard et je lui proposai de venir me voir. Elle me raconta que Manon était passée chez elle après la séance de massage, totalement perturbée. Angélique l'avait fait parler et essayé de la calmer. Manon s'en voulait beaucoup de s'être laissé faire et d'avoir joui autant. Angélique fit ce qu'elle put, mais Manon repartit sans être vraiment rassurée.

Le lendemain, Angélique avait reçu un appel de la mère de Manon qui lui demanda de passer la voir. Angélique était plutôt inquiète car c'était elle qui avait poussé Manon à venir me voir. Brigitte, la mère de Manon était une belle femme avec des formes opulentes. Elle commença par sermonner Angélique.

« Qu'est-ce qui t'a pris d'envoyer ma fille se faire masser? Elle est totalement perturbée. Je ne comprends pas pourquoi! ». Angélique fit l'innocente et se mit à sangloter. Du coup Brigitte se radoucit, elle s'assit près d'elle et lui prit les mains. « Voyons, ne pleure pas, ce n'est pas si grave! Je pense que Manon est en train de découvrir sa féminité et ses désirs et cela l'inquiète un peu. »

Angélique était très troublée par la proximité de Brigitte, son parfum et son peignoir qui baillait. Elle ne pouvait pas s'empêcher de regarder les seins voluptueux qui tressautaient sous ses yeux. Brigitte la serra contre elle et la berça un moment pour la calmer, ce qui ne fit qu'empirer le trouble d'Angélique. « Et toi, cela ne t'a pas perturbée de te faire masser? ». Angélique lui répondit rougissante qu'elle avait au contraire beaucoup apprécié. Brigitte lui demanda si elle voulait bien lui montrer comment la masseuse faisait et lui masser le dos. Angélique accepta, de plus en plus troublée.

Brigitte retira son peignoir. Elle ne portait plus qu'une culotte en dentelle noire. Angélique commença à lui masser le dos et les épaules, fascinée par la poitrine de Brigitte : des seins en poire avec de larges aréoles brunes et de longs tétons plus foncés. Brigitte se laissa faire pendant un quart d'heure, appréciant manifestement beaucoup ce traitement. « Veux-tu que je te rende la pareille? », lui demanda Brigitte. Avant que celle-ci réagisse, Brigitte s'était mise à déboutonner la petite robe d'Angélique. Puis elle dégrafa son soutien-gorge.

« Hmmm, mais ils sont vraiment mignons, ces petits seins pointus! ». Brigitte commença à masser le dos et les épaules d'Angélique. Petit à petit, ses mains se faisaient plus entreprenantes, descendant jusqu'aux reins en repoussant de plus en plus la robe d'Angélique. Elle finit par la faire lever et descendit la robe jusqu'aux pieds « pour ne pas la froisser ». Angélique n'avait plus qu'une petite culotte en coton, très sage. Brigitte glissa deux doigts sous l'élastique et jeta un coup d'œil à l'intérieur. « Hmmm, tu ne devrais pas laisser tant de poils, regarde! ». Et elle fit glisser sa culotte au sol, dévoilant un sexe totalement dépourvu de pilosité.

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