L'été de mes 18 ans 27

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Angélique séduit Manon.
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Récit n'a pas de balises

Partie 27 de la série de 37 pièces

Actualisé 06/07/2023
Créé 04/07/2014
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Angélique avait sous les yeux de grandes lèvres violacées, assez proéminentes et toutes luisantes de mouille. Elle prit la main d'Angélique et la posa sur sa fourche : « Touche comme c'est doux! ». Avant qu'Angélique puisse s'écarter, elle se mit à faire aller ses doigts entre ses lèvres intimes en poussant des soupirs. « Hmmm, j'adore ça, pas toi? ». Angélique acquiesça d'un signe de tête. Brigitte lui ôta alors sa culotte, puis elle passa sa main entre ses poils.

« Que dirais-tu d'une petite coupe? ». Elle abandonna Angélique quelques secondes et revint avec des ciseaux et un miroir. Elle fit lever Angélique et lui fit poser la jambe droite sur le canapé, ouvrant ainsi largement ses cuisses. Puis elle saisit plusieurs touffes de poils pubiens de la main gauche qu'elle coupait en suite de la main droite. Au bout de quelques minutes, il ne restait plus grand-chose. Elle fit ensuite pencher Angélique en avant jambes écartées et coupa encore les poils qui restaient entre les cuisses.

Angélique voulut alors se redresser mais Brigitte posa sa main gauche sur ses reins, la forçant à rester dans cette position. Angélique sentit alors un souffle chaud sur ses cuisses, puis la bouche de Brigitte qui embrassait ses fesses avant de sentir sa langue se glisser dans son sillon et gagner le rivage de son sexe. La langue se mit à fureter un moment, puis Brigitte fit retourner Angélique avant de l'allonger sur le canapé. Elle écarta alors largement ses cuisses dont elle se mit à embrasser l'intérieur, remontant jusqu'à sa fourche.

« Oui, c'est déjà mieux! ». Puis Angélique sentit la bouche de Brigitte se poser sur son minou. Elle se mit à gémir de plus en plus fort. Brigitte la lécha un long moment avant de s'emparer de son bourgeon qu'elle se mit à suçoter, arrachant à Angélique des râles de plaisir. Soudain le corps d'Angélique se tendit comme un arc et elle jouit dans un grand cri. Brigitte aspira goulument toute sa mouille.

Puis elle fit allonger Angélique sur le tapis et l'enjamba, approchant son sexe luisant de sa bouche. De deux doigts elle s'écarta la corolle : « Vas-y, lèche-moi bien, partout... ». Angélique ne demandait pas mieux et elle la lécha et la suça jusqu'à ce que Brigitte décharge abondamment. Pendant tout ce temps, il lui sembla voir la porte du salon s'entrebâiller, mais dans le feu de l'action elle n'y accorda pas d'attention.

Le lendemain, il y avait piscine au lycée. Après la séance, Manon demanda à Angélique de l'attendre qu'elle finisse de se doucher. Lorsqu'elle sortit de la douche, elle se sécha avant de commencer à se rhabiller. Angélique la regardait faire, déjà excitée par ce qu'elle voyait. Soudain Manon lui dit : « Je t'ai vu hier avec ma mère! Qu'est-ce que tu as crié! Et ma mère aussi... ».

Angélique rougit et prétendit que sa mère l'avait forcée au départ, mais qu'elle avait ensuite beaucoup apprécié ses caresses. « C'est drôle de se lécher là en bas », dit Manon en rougissant. Angélique saisit la balle au bond : « Tu veux que je te le fasse? ». Manon hésita un moment, puis elle fit glisser la culotte qu'elle venait d'enfiler au sol. Angélique s'assit sur le sol et attira Manon au-dessus d'elle : « Ouvre bien tes jambes! ».

De ses doigts elle écarta les lèvres intimes de Manon et approcha sa langue. Elle sentit Manon se raidir quelques secondes, puis elle colla ses lèvres intimes à la bouche d'Angélique qui se mit à la lécher tendrement. Elle sentit les jambes de Manon se mettre à trembler de plus en plus.

C'est alors qu'elles entendirent la porte du vestiaire s'ouvrir. La prof jeta un œil et dit « Dépêchez-vous, vous allez être en retard au cours de physique ». Puis elle referma la porte. Angélique arrêta la main de Manon qui voulait remettre sa culotte. « Donne-la-moi, je te donne la mienne! ». Et Angélique fourra la culotte dans son sac, imitée par Manon dont les yeux brillaient de désir.

Arrivées dans la salle de physique, il ne restait plus de place qu'au dernier rang. Elles commencèrent à faire la fiche de comptes-rendus d'expériences. Au bout de quelques minutes, Angélique n'y tint plus et elle glissa sa main sous la table avant de la poser sur le genou de Manon. Celle-ci tressauta. Angélique se mit à remonter le long de la jambe, entrainant le tissu de la jupe. Bientôt elle atteignit la fourche. Le sexe de Manon était encore un peu humide de sa salive. Elle se mit à la doigter doucement.

Manon frémit. Lorsqu'elle eut bien humecté ses doigts au contact de son minou, Angélique les porta à sa bouche et les suça. Puis elle prit la main de Manon et la posa sur son propre genou. Manon commença par retirer sa main. Angélique la reprit et la posa une nouvelle fois sur son genou. Manon se laissa faire, mais sa main ne bougeait pas. Angélique prit la main de Manon et la fit monter le long de ses cuisses, l'amenant au contact de son sexe. Elle glissa ensuite l'index de Manon dans sa fente trempée. Elle lui fit faire quelques va-et-vient, puis elle lui murmura : « Vas-y, goute-moi! ».

Elle vit alors le regard trouble de Manon qui retirait ses doigts de dessous la table avant de les porter à ses narines, puis à sa bouche. « Mon odeur intime te plait? ». Manon ne put répondre car la prof de physique approchait pour voir où elles en étaient de leur travail. Pendant le reste du cours, elles durent travailler sans relâche pour rattraper le temps perdu.

Ensuite, c'était la pause déjeuner. Angélique avait décidé d'exciter au maximum Manon pour que celle-ci oublie ses scrupules et s'abandonne totalement. Ainsi elle profita qu'elles étaient toutes les deux seules dans un couloir pour plaquer Manon contre le mur. Elle se mit alors à lui faire des bises sur les lèvres de plus en plus insistantes avant de forcer sa bouche avec sa langue. Manon, d'abord réticente, répondit ensuite à son baiser.

Mais un bruit les força à se séparer. Un peu plus tard Angélique entraina Manon dans les toilettes. Mais les deux cabines étaient occupées. Angélique poussa Manon contre le lavabo, et sa main droite retroussa sa jupe. La regardant droit dans les yeux, elle se mit à la doigter. Manon étouffa un gémissement. La porte qui s'ouvrait les obligea à cesser et à reprendre une attitude décente.

A la fin des cours, Manon n'en pouvait plus, tant elle était excitée. Elle aura bien ramené Angélique chez elle, mais elle craignait d'être surprise par sa mère. Angélique avait les mêmes craintes. Sachant que me parents étaient en voyage, Angélique proposa à Manon de venir chez moi. « Claire est très sympa, elle nous laissera tranquilles! ».

C'est ainsi que je les vis arriver toutes les deux chez moi. Je vis très vite le degré d'excitation de Manon et je les emmenai dans ma chambre. Je les laissais seules, laissant la porte entrebâillée, afin de ne pas perdre une miette du spectacle. A peine seules, elles se déshabillèrent mutuellement avant de s'allonger sur mon lit. Je les regardais alors se caresser, se lécher, s'embrasser pendant un long moment, de plus en plus excitée par ce spectacle. Elles eurent chacune au moins deux orgasmes et elles finirent par s'endormir dans les bras l'une de l'autre.

Je les laissais se reposer un moment, puis j'entrai dans ma chambre. Je me dévêtis totalement et me glissai dans le lit, heureusement assez grand pour trois. Je commençai par réveiller Angélique en la caressant sur tout le corps. Puis nous nous tournâmes toutes deux vers Manon. Celle-ci, sous le coup des fortes émotions qu'elle ressentait seulement depuis peu, était profondément endormie.

Nous en profitâmes pour lui lier les pieds et les mains aux barreaux du lit avec des foulards. Puis nous commençâmes à la caresser. Tandis qu'Angélique embrassait ses seins, je lui écartai les cuisses et lui embrassai le sexe. Elle se réveilla doucement et poussa un cri en nous voyant toutes les deux occupées sur son corps. Mais elle vit très vite qu'elle ne pouvait pas s'enfuir et en prit son parti. Nous la caressâmes un petit moment, puis je dis à Angélique :

« Attends, je reviens! ». Je venais de repenser au vibromasseur de ma mère que j'avais découvert il y a quelques mois et que j'utilisais régulièrement. Je revins avec l'appareil, le mis en marche à vitesse lente et commençai à caresser le sexe de Manon avec. Elle se raidit tout d'abord en sentant les vibrations mais se détendis très vite devant les sensations que lui procurait l'objet. Angélique abandonna les seins de Manon pour venir regarder de près. Elle me demanda : « Je peux le faire, moi-aussi? ».

Je lui abandonnai le cylindre de métal et me mis à embrasser tour à tour les lèvres et les seins de Manon qui était de plus en plus excitée. Elle jouit bientôt avec un grand cri. Angélique, curieuse de tester l'objet aussi, me le tendit en me disant : « Caresse-moi aussi avec! ». Je le tendis à Manon en lui montrant Angélique qui s'était déjà mise à quatre pattes sur le lit. Manon prit l'objet et s'approcha de la croupe d'Angélique. Elle se mit à parcourir le sillon entre ses cuisses tout en augmentant petit à petit la vitesse de vibration. Angélique se cabrait de plus en plus en gémissant et fut emportée par un orgasme foudroyant.

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