L'été de mes 18 ans 28

Informations sur Récit
Ma voisine Françoise.
1.6k mots
4.1
4.7k
00
Récit n'a pas de balises

Partie 28 de la série de 37 pièces

Actualisé 06/07/2023
Créé 04/07/2014
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Tandis qu'elles récupéraient, je glissais l'objet dans ma fente te me mis à me masturber avec. « Dommage que vous soyez toutes les deux vierges, vous ne pouvez pas profiter de toute la longueur. Au fond, c'est fabuleux! ». Je me mis à gémir en donnant des coups de cul sous les regards envieux de mes deux visiteuses. Le plaisir me submergea bientôt.

Voyant leur envie, je leur dis : « Le couple chez qui je loge devrait pouvoir remédier à cela ». Je repensais en souriant à l'énorme sexe de Philippe. Je leur dis que je leur ferai signe bientôt.

Après leur départ, je restais pensive derrière la porte d'entrée entrebâillée lorsque j'entendis ma voisine rentrer. C'était une ravissante blonde que j'avais souvent dévisagée, mais qui ne semblait pas intéressée par les femmes. Elle allait ouvrir sa porte lorsque son portable sonna. Elle décrocha et se mit à murmurer : « Moi aussi, je pense à toi, mon amour! Oui, j'ai adoré quand tu m'as prise en levrette. Bon, je dois te quitter. »

Je compris qu'elle avait un amant. Comme ma mère m'avait dit que son mari était terriblement jaloux, je me dis que j'avais des chances d'arriver à mes fins et à la séduire. Je la vis le lendemain après-midi sortir, maquillée avec une jupe très courte. Je la suivis discrètement. Elle prit le métro, changea plusieurs fois de ligne et finit par arriver au jardin du Luxembourg. Elle alla tout au fond s'asseoir sur un banc bien à l'écart. Elle fut bientôt rejointe par homme, plus jeune qu'elle. Tous deux, voyant personne autour d'eux, se mirent à se bécoter. Je pris plusieurs photos avec mon portable. Sur l'une, on voyait la main de l'homme entre ses cuisses tandis qu'il l'embrassait à pleine bouche.

C'est cette photo-là que je lui envoyais le soir même. Elle m'envoya tout de suite un message en retour, affolée. « Qui êtes-vous? Que voulez-vous? ». Je lui répondis que je ne lui voulais aucun mal, juste la rencontrer... et plus si affinités. Je lui dis que je savais où elle habitait et que je souhaitais qu'elle reste chez elle le lendemain après-midi, qu'elle mette une tenue très osée et un bandeau sur les yeux. Au cas où elle ne suivrait pas mes instructions à la lettre, son mari recevrait aussi la photo que je lui avais déjà envoyée.

Je me préparais ensuite à la rencontre : je choisis une tenue assez ample, pantalon et pull ainsi qu'une cagoule. Restait le problème de la voix car je ne voulais pas qu'elle sache que j'étais une femme. Je trouvais une application pour mon téléphone qui prononçait les phrases écrites précédemment avec une voix synthétique. J'entrais ainsi une vingtaine de phrases dans la mémoire.

Le lendemain après-midi, je sonnai à la porte du bas, puis montai jusqu'à sa porte. Elle n'était pas fermée à clé. J'entrai. Françoise était assise sur le canapé, jambes croisées. Elle portait une petite nuisette presque transparente : on voyait très bien ses seins aux pointes érigées et sa petite culotte en dentelle blanche. Je sortis mon téléphone : « Bonjour Françoise. Merci d'avoir respecté mes directives! Tu vas maintenant te présenter, physiquement et moralement et tu n'oublies aucun détail s'il te plait ».

Elle commença : « Je m'appelle Françoise D., j'ai 32 ans, je suis blonde, 1m 71 pour 62 kg, je suis femme au foyer, mariée depuis 7 ans avec Claude, un employé de bureau qui m'avait séduite par son bagout, mais qui s'est avéré très décevant en particulier au lit. » Mon téléphone parla à nouveau : « Peux-tu préciser ce dernier point? ». Elle obéit : « Mon mari ne sait faire l'amour que dans le noir, dans la position du missionnaire. Il me pénètre presque tout de suite, me laboure le sexe violemment malgré mes gémissements puis il éjacule et se retire. Il n'y a quasiment aucune variation à ce rituel du samedi soir. »

Mon téléphone : « Depuis quand le trompes-tu? » Elle : « Depuis 2 ans. J'ai rencontré Robert sur un marché. Depuis nous nous voyons chaque semaine. Il m'a appris le plaisir. Il est tendre et patient. » Mon téléphone : « Cela te suffit, une fois par semaine ou aimes-tu te masturber entre deux? » Elle hésita avant de répondre. Mon téléphone : « N'oublie pas, je veux toute la vérité, sinon... ». Elle reprit : « Non, cela ne me suffit pas, j'ai envie tous les jours, alors je me caresse. »

Mon téléphone : « Avec les doigts ou utilises-tu d'autres objets? ». Elle soupira et ajouta : « Surtout avec mes doigts... mais il m'arrive d'utiliser ma brosse à cheveux, une grosse carotte... ou un concombre. » Mon téléphone : « As-tu déjà eu d'autres expériences sexuelles un peu particulières? » Elle hésita à nouveau. Mon téléphone : « Attention! Pas de mensonges! » Elle reprit : « Depuis que je suis mariée, je suis plutôt sage, si l'on oublie le fait que j'ai un amant, mais c'est le seul et le même depuis deux ans. Par contre, avant mon mariage, lorsque j'étais étudiante, j'ai fait plusieurs expériences à plusieurs. »

Mon téléphone : « Raconte celle qui t'a le plus plu! ». Elle reprit : « J'avais 19 ans. C'était lors d'une soirée entre étudiants. Nous étions 7 et la soirée se passait chez un étudiant dont les parents étaient partis en congés. Nous nous connaissions bien, il y avait 4 garçons et 3 filles. Nous avons commencé à faire de petits jeux de cartes, tout en buvant des cocktails. Petit à petit l'ambiance est devenue électrique. Quelqu'un a dit : si on faisait une partie de bataille, mais comme au strippoker? On a dix cartes chacun et celui qui n'a plus aucune carte, retire un vêtement!

Les garçons étaient tous d'accord et même une fille, alors nous avons suivi le mouvement. Bientôt, j'ai dû retirer mon T-shirt. A cette époque, je portais rarement de soutien-gorge. Je vis que les garçons louchaient sur ma poitrine. Un garçon se retrouva aussi très vite en boxer. Puis ma copine Annabelle dût retirer sa jupe. Elle ne portait plus qu'un petit string très mini. Voyant que plusieurs n'allaient pas tarder à se retrouver nu(e)s, un garçon suggéra que le voisin/la voisine de gauche donne un gage à celui qui serait nu et qui perdrait une nouvelle fois.

L'alcool aidant, tout le monde était de plus en plus désinhibé. C'est un garçon, Pierre, qui se retrouva nu le premier. Je m'efforçais de ne pas trop regarder son pénis déjà à demi dressé. Puis Annabelle dût ôter son string et perdit une nouvelle fois. Sa voisine Agnès lui dit d'embrasser le pénis de Pierre. Elle refusa mais tout le monde se récria et elle dût s'exécuter. Elle prit le pénis de Pierre dans la main et lui fis plusieurs bisous sur le gland. Je me retrouvai nue à mon tour et je sentis les regards des garçons sur mon sexe rasé. Les autres filles avaient des toisons assez courtes mais qui cachaient néanmoins un peu leur fentine.

Pierre perdit ensuite et ma copine Annabelle lui donna comme gage de me lécher le sexe. Je voulus refuser mais il s'approcha de moi et me fit lever. Il s'assit entre mes jambes et se mit à me lécher le sexe en poussant des murmures de contentement. Les autres riaient aux éclats. Je ne me rappelle plus tous les gages qui furent donnés, mais les choses devinrent de plus en plus scabreuses. Par exemple je dus faire une pipe à Antoine, un autre garçon qui avait un très gros sexe. Heureusement, il avait d'autres idées en tête et se dégagea avant d'éjaculer. Je me souviens aussi qu'un autre garçon, Paul je crois, me donna comme gage de sucer les tétons d'Agnès. Je dus m'exécuter et je remarquai qu'elle respirait très fort tandis que je lui suçais les pointes.

Après je dus me mettre à quatre pattes et Paul me pénétra par derrière. Je prenais la pilule et je le laissai me pilonner et éjaculer en moi. Je me remettais à peine de mes émotions lorsque je vis Antoine prendre sa place. Je gémis lorsque son gros sexe me pénétra. Mais il savait y faire et me prit lentement et longuement, m'arrachant moult gémissements. Mais il se retira avant d'avoir joui car Annabelle lui faisait signe, les jambes grandes ouvertes.

C'est elle qui s'avéra la plus délurée : elle attira déjà Antoine et son gros mandrin en elle et tandis qu'il la besognait, elle fit signe à Maurice qui bandait en les regardant. Elle le suça un long moment. Puis dans un grand râle, Antoine éjacula en elle. Elle se mit alors à quatre pattes et attira Maurice derrière elle. Elle prit son sexe dans sa main et le guida. Aux grimaces qu'elle fit alors, je compris qu'elle voulait qu'il l'encule, chose que je n'avais encore jamais pratiquée à cette époque. Elle devait l'avoir fait déjà plusieurs fois car cela fut assez facile. Elle y prit aussi pas mal de plaisir si bien que ses cris rameutèrent d'autres participants.

Quant à moi, ce fut avec Pierre que je jouis le plus. Il s'allongea sur le tapis et m'attira sur lui. Je pris son sexe raidi entre mes doigts et l'introduisis doucement dans mon vagin. Puis je me mis à le chevaucher d'abord lentement, puis j'accélérai. Je sentais son sexe durcir de plus en plus. Pour qu'il dure plus longtemps, j'arrêtais de temps en temps mes va-et-vient et frottai mes lèvres intimes sur son sexe. Puis je reprenais ma chevauchée. Je sentis bientôt mon plaisir monter en entendant Pierre pousser des râles. Il m'inonda le sexe et cela déclencha mon orgasme.

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