L'été de mes 18 ans 29

Informations sur Récit
Ma voisine Françoise (2)
1.6k mots
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4.5k
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Récit n'a pas de balises

Partie 29 de la série de 37 pièces

Actualisé 06/07/2023
Créé 04/07/2014
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La nuit était déjà bien avancée lorsque nous primes un peu de repos. Je trouvai un lit disponible à l'étage et me couchai. J'étais bien endormie lorsque je sentis que des lèvres me suçotaient les seins. C'était plutôt agréable et je me laissais faire. Puis la bouche descendit entre mes jambes. Cela m'étonna qu'un garçon me lèche comme ça spontanément, mais je goutai la caresse sans m'interroger davantage. La bouche et les doigts me menèrent à un superbe orgasme.

Dans le noir, je tâtonnai pour trouver la queue de celui qui m'avait si bien fait jouir et je me rendis compte que c'était une fille! C'était Agnès qui m'avait si bien léchée. J'avoue que j'étais très troublée par cette découverte. Elle me prit la main et la posa sur sa fourche. J'hésitai, puis je me mis à la doigter doucement. J'eus même envie de plus et m'allongeai entre ses cuisses pour lécher et sucer son sexe. Je l'amenai aussi à l'orgasme. Nous nous endormîmes dans les bras l'une de l'autre. »

Mon téléphone : « Et il y a eu d'autres fois avec elle? » Françoise soupira : « Non, elle a cherché plusieurs fois, mais je l'ai toujours repoussée. Je trouvais cela dégoutant entre filles. J'étais idiote à cette époque. » Mon téléphone : « Et depuis, aucune fille? ». Françoise hésita avant de m'avouer qu'elle avait eu envie plusieurs fois, mais n'avait jamais osé prendre l'initiative.

Mon téléphone : « Et ces souvenirs t'ont excitée? ». Elle m'avoua qu'elle était trempée. Mon téléphone : « Bon! Retire ta culotte... et caresse-toi pour moi! ». Françoise n'hésita que quelques secondes, puis elle se leva pour faire glisser sa culotte à ses pieds. Puis elle se rassit sur le canapé, écarta largement les cuisses et se mit à se masturber frénétiquement. Je la quittais sur la pointe des pieds car je commençais à avoir du mal à me retenir. Son histoire m'avait terriblement excitée.

Un peu plus tard, je lui envoyai un message avec une autre photo. « Que veux-tu encore? » me demanda-t-elle. Je lui renvoyai un long message. « Je sais que tu as une jeune voisine d'environ 19 ans. Je voudrais que tu l'attires chez toi sous un prétexte et que tu la séduises. Tu me laisseras d'abord entrer pour que je suive vos ébats depuis la pièce à côté. Es-tu d'accord? Si tu y arrives, je détruirai les photos. » Françoise accepta mon marché.

Le lendemain, je sonnai à nouveau chez elle. Mon téléphone : « Bonjour Françoise, bien dormi? » Elle répondit qu'elle avait très bien dormi. Mon téléphone : « Bon, je me cache à côté. Tu peux passer à l'action. Prête? » Elle répondit : « Oui, je vais faire ce que je peux ». Je ressortis de son appartement et rentrai chez moi. Un quart d'heure plus tard, on sonna à ma porte. J'avais juste eu le temps de mettre une petite robe d'été assez courte. J'ouvris. Elle : « Bonjour, je suis Françoise, votre voisine d'en face. ». « Oui, je vous ai déjà vue. Que puis-je faire pour vous? ». « Pouvez-vous venir m'aider? Je suis en train de ranger ma bibliothèque et cela m'aiderait beaucoup si je pouvais vous passer les livres plutôt que de descendre à chaque fois de l'escabeau. »

Je l'accompagnai chez elle. Elle portait elle aussi une petite robe d'été très courte. Elle monta sur l'escabeau et me passa les livres un par un. Je voyais ses jambes nues, sentais son parfum et pus même plusieurs fois apercevoir sa culotte de dentelle rose lorsqu'elle se mit sur la pointe des pieds. Au bout de 45 minutes, nous avions tout descendu. Elle me remercia et me proposa une boisson. Nous nous assîmes sur le canapé et commençâmes à papoter. Elle me demanda si j'étais étudiante. Je répondis que oui et je vis une lueur dans ses yeux. Elle me demanda si j'avais un petit ami et je dis que non avec un air gêné. « Ou une petite amie », suggéra-t-elle. Je rougis, puis avouais que j'aimerais bien.

Elle me demanda alors comment je la trouvais, si elle n'était pas trop vieille à mon goût et je répondis que non, toujours aussi gênée. Elle me raconta alors qu'elle n'avait fait l'amour qu'une seule fois avec une femme lors d'une soirée étudiante. Puis elle me prit la main et m'entraina dans la salle de bains. « Ces livres étaient pleins de poussière. Nous pourrions prendre une douche, d'accord? » Sans attendre ma réponse, elle fit passer sa robe par-dessus sa tête. Elle n'avait plus que sa culotte rose. « Attends, je vais t'aider! » Elle passa derrière moi et descendit la fermeture éclair de ma robe qu'elle fit glisser au sol. Puis je sentis ses mains qui dégrafaient mon soutien-gorge.

Puis elle m'enlaça par derrière, posant des bisous sur ma nuque. Je frémis tandis que ses mains passaient sous mes aisselles et commençaient à caresser ma poitrine. Puis elle fit glisser ma culotte au sol. « Hmmm, tu es toute lisse aussi? J'adore! » Elle me fit pivoter et je la regardai ôter sa culotte. Elle me prit la main et m'entraina devant le grand miroir. « Ooh tes seins sont plus pointus que les miens, mais c'est moi qui aie les plus grosses aréoles. Et tes tétons sont aussi gros que les miens. En bas, nous nous ressemblons beaucoup, je trouve, non? Peut-être que ton pubis est plus bombé, mais on voit mieux ma fentine comme ça debout! ».

Elle me poussa dans le bac à douche et ouvrit l'eau. Je poussai un cri. « C'est froid! ». « C'est pour mieux faire dresser tes seins, mon enfant! » L'eau se réchauffa bientôt. Françoise prit le gel douche et se mit à me savonner les épaules, le dos, puis elle me fit pivoter et savonna ma poitrine. Elle insista beaucoup sur mes tétons qu'elle pressa longuement. Puis elle me tendit le gel en se retournant et en me disant : « A toi de jouer! » Je mis du gel sur ma main et entrepris de la savonner. Très vite, elle se retourna vers moi et tandis que je savonnais sa poitrine, je sentis sa main qui descendait le long de mon abdomen. Sa main atteignit bientôt mon pubis et en me fixant dans les yeux elle glissa sa main vers mon minou.

Elle me doigta doucement, puis elle prit ma main et la conduisit entre ses cuisses. Je la caressai et glissai un doigt dans son sexe. Françoise ferma les yeux, puis les rouvrit avant de m'entrainer hors du bac de douche. Elle prit un drap de bains et se mit à me sécher tendrement. Puis elle se mit à m'enduire le corps d'une crème douce et parfumée. Ses mains étaient douces et j'appréciai beaucoup ce massage. Puis elle s'essuya rapidement et m'entraina dans sa chambre. Là Françoise me fit allonger sur son lit et se mit à me caresser sur tout le corps avec infiniment de douceur.

Ses mains et sa bouche me parcouraient tendrement et je me sentais fondre. Puis elle s'empara de mon sexe. Ne voulant pas être en reste, je la fis pivoter. J'avais maintenant sous les yeux son minet trempé dont l'odeur me chavirait. Je l'attirai à moi et nous nous léchâmes mutuellement de plus en plus fébrilement à mesure que le désir se faisait plus impérieux. Elle se rendit quelques secondes avant que je sois emportée moi-aussi par un somptueux orgasme. Après moult caresses, nous nous reposâmes dans les bras l'une de l'autre.

Elle m'embrassa tendrement, puis elle me regarda intensément en me demandant : « Tu n'as pas quelque chose à m'avouer? » Je n'hésitais qu'une seconde puis je lui dis : « Si, c'est moi qui ai tout manigancé pour te séduire! ». Elle me sourit tendrement. « Heureusement que tu me l'as dit! Comme ça, nous pourrons continuer à nous voir, car je sais que je peux te faire confiance. » Je l'enjambai et me penchai sur elle : « Comment as-tu deviné? ». « Une intuition! J'ai senti tout de suite une complicité entre nous comme si on se connaissait déjà! » Elle saisit mes fesses et me fis remonter approchant ma vulve de sa bouche. « Écarte tes lèvres avec tes doigts que je puisse mieux te lécher! » Je fis ce qu'elle me demandait. Sa langue se posa alors sur mon bouton et se mit à virevolter. C'était divin. Je sentis l'excitation m'envahir et je jouis dans un grand cri. Elle continua à donner des coups de langue à mon bouton, me faisant à chaque fois délicieusement tressauter. « Hmm, j'adore ton goût intime. Comment trouves-tu le mien? ». Je répondis espiègle : « Il faudrait que je le goute plus à fond, j'ai déjà oublié!"

Tout à coup, Françoise poussa un cri. « Mon Dieu, Claire, tu as vu l'heure? Mon mari va rentrer! Dépêche-toi de te rhabiller et de rentrer chez toi. » Je la quittai, encore sous le coup de ses délicieuses caresses. C'est ainsi que commença mon histoire avec Françoise, une histoire qui devait durer plusieurs années et qui m'apporta beaucoup, d'abord sur le plan sentimental car nous étions toutes deux très amoureuses, mais aussi sur le plan purement sexuel car je découvris avec elle beaucoup de plaisirs.

Par exemple elle adorait rendre témoin une tierce personne de nos ébats et si possible essayer ensuite de l'intégrer à nos étreintes. Il y eut ainsi un lycéen, très mignon mais aussi plutôt coincé que nous rencontrâmes un après-midi au parc Montsouris. Il lisait studieusement sur un banc et Françoise m'entraina sur le banc juste en face. Elle commença à me bécoter sous ses regards d'abord étonnés, puis de plus en plus intéressés.

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Anonymous
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1 Commentaires
AnonymousAnonymeil y a presque 3 ans

C'est nul. Vous n'avez aucun talent.

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