L'été de mes 18 ans 30

Elle n'hésita pas à déboutonner mon corsage pour y glisser la main et même à glisser une main sous ma jupe. Quand elle vit qu'il était à point, elle m'entraina sur son banc. Nous nous assîmes de chaque côté de lui et nous mîmes à papoter. Puis elle me fit signe de lui faire des bisous. Je l'embrassais d'abord dans le cou, puis sur la joue, les lèvres avant de sortit ma langue et de lui rouler des patins de plus en plus appuyés. Pendant ce temps, elle avait posé une main sur sa cuisse et s'était mis à la caresser tout en remontant.

Elle finit par baisser le zip de ses jeans et sortir son pénis déjà à demi dressé. Elle se pencha alors et posant sa veste sur sa tête pour masquer le tout, elle le prit en bouche. Je fus alors le témoin de l'excitation du garçon, de son souffle de plus en plus rapide et de son raidissement lorsqu'il déchargea dans sa bouche. Puis, mine de rien, elle rangea le tout et referma le zip. Elle se redressa ensuite et m'enlaçant, elle m'entraina. Après quelques pas, elle se tourna alors vers moi et collant sa bouche à la mienne, elle me fit don d'une partie de son sperme. « Hmmm délicieux, le gout de ce puceau, tu ne trouves pas? ».

Très vite, elle me fit rencontrer son amant Robert. Je le trouvai pas mal. Un jour, elle m'avoua que lui-aussi me trouvait à son goût. « Que dirais-tu d'une petite partie à trois? ». « Hmmm, Françoise, si tu me prends par les sentiments! ». « Bon, disons après-demain! Je crois qu'il adorerait assister à nos ébats. Tu pourrais être la femme de chambre qui viendrait nous déranger et que je séduirais! ». Elle me dit aussi qu'il adorait les dessous coquins. Elle me prêta un petit ensemble en dentelle noire, string, soutien-gorge, porte-jarretelle et bas fumés ainsi qu'une jupe noire bien courte et un chemisier blanc plutôt transparent. Elle-même mit une guêpière qui faisait sortir admirablement sa taille fine et pigeonner sa poitrine.

Elle m'emmena dans un hôtel du XIVème arrondissement où ils avaient coutume de se retrouver. Elle alla trouver la personne à la réception et revint : « Pas de problème! Je lui ai expliqué. Je lui commanderai du thé et elle t'enverra nous servir. En attendant, tu peux peut-être... elle a l'air assez ouverte! ». Et elle m'abandonna.

J'allais retrouver la jeune femme à la réception, une jeune métisse de mon âge et nous fîmes connaissance. Elle n'était en France que depuis deux mois et s'ennuyait un peu. Je m'aperçus très vite qu'elle n'était pas insensible à mes charmes à sa façon de regarder à travers mon chemisier ainsi que mes cuisses.

Elle portait quasiment la même tenue que moi, en tous cas ce qui était visible. Je pris l'initiative : « Ce sont des collants? », lui demandai-je en posant ma main sur sa cuisse. « Dana répondit en retroussant sa jupe : « Non, des bas, et toi? ». « Eh bien, regarde! ». Elle glissa sa main entre mes cuisses et remonta tout en me fixant droit dans les yeux. « Retrousse un peu ta jupe que je puisse monter plus haut! ». Je remontai ma jupe, dévoilant mon porte-jarretelles. « Hmmm, j'adore! Et cette culotte ne cache pas grand-chose! Mais j'ai tout de même envie de l'ôter! ».

Elle s'accroupit devant moi, cachée par le comptoir de la réception. Je soulevai les fesses du tabouret et elle fit glisser ma culotte à terre. Je me rassis. Elle approcha sa tête et se mit à m'embrasser l'intérieur des cuisses, avançant pas à pas vers mon pubis. Elle commençait tout juste à me lécher lorsque le téléphone sonna. Elle se redressa pour répondre, puis se tourna vers moi avec un soupir : « Dommage, tu dois aller porter deux thés à la chambre 127 ».

Je remis ma culotte sur mon minet bien humecté, pris le plateau et montai à la chambre 127. Je frappai, j'entendis Françoise dire : « Entrez ». J'entrai et j'ouvris de grands yeux. Robert était allongé nu sur le dos et Françoise était assis sur sa poitrine, lui tournant le dos. Elle tenait en main son phallus turgescent. « Oh, excusez-moi! », dis-je rougissante. « Approche! », m'intima Françoise. Je m'approchai. « Robert a envie que tu le suces, n'est-ce pas Robert? ». Il répondit par un grognement. Je saisis donc la hampe et mis quelques coups de langue sur le gland violacé.

« Allez, ne sois pas timide, prends-le en bouche », me susurra Françoise à l'oreille. En même temps, elle m'embrassait dans le cou. Puis je sentis ses doigts qui déboutonnaient mon chemisier. Elle se mit debout, me laissant me pencher sur le sexe de Robert. Je la sentis qui ôtait mon chemisier, puis dégrafait et ôtait ma jupe. Sa main glissa dans ma culotte. Découvrant mon abricot trempé, elle dit assez fort pour que Robert l'entende : « Hmm, tu es bien mouillée, dis-moi! ». Robert me repoussa doucement et se releva. Françoise prit sa place dans le lit. « Viens me lécher s'il te plait! ».

Je m'approchai, ravie de retrouver cette chatte que je connaissais bien. Je sentis les mains de Robert sur mes fesses. Puis je sentis son sexe durci entre mes cuisses. Il écarta ma culotte et commença à titiller ma fentine avec son gland. Je poussai un soupir d'aise. Je sentis alors sa queue qui s'introduisait lentement dans mon sexe. Elle était assez grosse mais pas trop et je tendis les fesses pour qu'il puisse me besogner plus à fond. Pendant ce temps Françoise gémissait sous mes coups de langue. Elle ne tarda pas à jouir en criant.

A peine remise, elle pivota sur elle-même et me força à l'enjamber et à me placer tête-bêche sur elle. Robert, qui avait dû s'interrompre, monta sur le lit t me reprit en levrette. Je sentis la bouche de Françoise entre mes cuisses, mais elle avait du mal à atteindre mon sexe, occupé par la queue de Robert. Elle attrapa alors celle-ci, toute dégoulinante de mouille et la suça. Puis elle l'amena à ma rosette qu'elle humecta de sa salive. Je sentis bientôt le sexe de Robert qui tentait de s'introduire dans mon cul.

J'étais d'abord un peu crispée, mais Françoise me murmura : « Détends-toi, tu vas aimer... », puis elle s'empara à nouveau de mon sexe. Je gémis sous sa langue gourmande et relâchai mon sphincter que Robert se dépêcha d'investir. Je sentis très vite ses couilles qui venaient battre sur mes fesses tandis qu'il me besognait de plus en plus vite. Les sensations étaient fabuleuses et je sus que je n'allais pas tarder à jouir. Lorsque Robert se vida dans mon cul, je hurlai mon plaisir que Françoise recueillit et avala avec délice.

Tandis que Robert récupérait, Françoise et moi nous nous mimes à nous bécoter et à nous caresser, allongées sur la moquette. Puis elle prit son sac en me disant : « Regarde ce que j'ai apporté! ». Elle en sortir un double dildo en latex de bien 30 cm de long. Elle vint entre mes cuisses et après avoir léché l'engin toutes les deux, elle en positionna un bout à l'entrée de ma vulve et l'enfonça. Puis elle s'allongea face à moi et s'introduisit l'autre bout dans la fente. Nous commençâmes à aller et venir, nous rapprochant, puis nous éloignant, collant nos minous l'un contre l'autre, puis nous écartant à nouveau. C'était divin!

Au bout d'un moment, je jetai un regard à Robert. Je vis qu'il avait récupéré. Allongé sur le lit, il se branlait doucement en nous regardant. Je dis à Françoise : « Va donc t'empaler sur son gourdin! ». Elle n'hésita pas longtemps. Elle s'assit sur lui et introduisit sa hampe, maintenant bien déployée dans sa chatte ruisselante. Je m'approchai et appuyant sur ses reins, je la fis se pencher en avant. Je me mis à lui caresser les fesses avant de lui masser doucement la rosette. Puis je m'allongeai entre leurs cuisses et écartant ses fesses de mes mains, je me mis à lécher sa raie et son petit trou. Elle poussa des gémissements de plus en plus appuyés.

Je tenais toujours le dildo en mains. Après avoir bien humecté sa rosette et y avoir glissé un puis deux doigts, j'approchai le dildo de son cul. « Tu le veux dans tes reins? ». Elle poussa un grognement d'acquiescement. J'introduisis doucement le sexe en latex dans son anus. Patiemment je l'enfonçai jusqu'à en avoir fait disparaitre un bon tiers. Je me mis alors à caresser les boules de Robert qui se mit du coup à l'enfiler plus vigoureusement. Françoise se mit à geindre. « Oh ça fait mal... mais c'est bon! ».

Je retirai ensuite le dildo des fesses de Françoise ainsi que le pénis de Robert de sa chatte. Je ne pus résister à l'envie de sucer un peu ce sexe, puis je fis redresser un peu Françoise et approchai la queue de son petit trou. Je le poussai à l'intérieur tandis que Françoise gémissait de plus belle. Robert accéléra encore la cadence et je l'entendis rugir tandis que Françoise poussait un grand cri. Je fis sortir le pénis de Robert et je recueillis le sperme dessus avant de lécher le minou de Françoise qui dégoutait le jus que j'avalai avec délice.

Je me rhabillai et les abandonnai, totalement épuisés. Avant de quitter l'hôtel, je passai voir Dana à la réception. Nous nous bécotâmes quelques minutes, puis comme des clients arrivaient, elle me glissa un papier dans la main en murmurant : « Tiens, c'est mon adresse. J'habite avec une Sénégalaise qui adore aussi les petites blanches. Passe-nous voir un de ces jours! »