L'été de mes 18 ans 31

Informations sur Récit
Angélique et Manon deviennent femmes.
1.4k mots
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3.6k
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Récit n'a pas de balises

Partie 31 de la série de 37 pièces

Actualisé 06/07/2023
Créé 04/07/2014
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Le lendemain matin, j'étais comme d'habitude nue dans la salle de bains quand Philippe entra, vêtu seulement d'un boxer. Il me regarda des pieds à la tête. Je vis son boxer se tendre rapidement. Je m'approchai de lui et attrapai sa queue à travers le tissu fin. Je le masturbai lentement. « Dis-moi Philippe, j'ai deux jeunes copines encore vierges qui auraient besoin de... tu vois ce que je veux dire? Tu pourrais faire cela, mais attention pas comme une brute, hein! ». Il me répondit qu'il était en repos toute la journée.

J'appelai alors Angélique qui me rappela 20 minutes plus tard après avoir consulté Manon. Mes parents ne rentrant que le week-end suivant, je leur donnai rendez-vous à 14h chez eux. Clotilde était repartie passer quelques jours chez sa mère... enfin auprès de la boulangère. Je dis à Philippe de ne venir qu'à 15h pour me laisser le temps de les chauffer un peu. Impatientes, elles arrivèrent dix minutes en avance. Je les accueillis en peignoir, sans rien dessous.

Angélique m'embrassa sur les lèvres et je m'approchai de Manon que j'enlaçai. « Hmmm, tu m'as manqué! Attends, laisse-moi te débarrasser de ta robe. ». Je passai derrière elle et descendis la fermeture éclair. « Eh bien, on se dévergonde! Pas de dessous? ». « C'est Angélique qui me les a confisqués » dit-elle rougissante ». Je fis glisser sa robe à terre, puis j'ouvris mon peignoir et le laissai tomber au sol. Ensuite je plaquai mon corps nu contre le sien.

Je me mis à la bécoter, puis à caresser ses seins qui devinrent bientôt tout durs. Pendant ce temps, Angélique s'était déshabillée et elle se positionna derrière Manon, collant aussi son corps nu contre elle. Elle se mit à lui embrasser et lui mordiller la nuque, puis elle glissa une main entre ses fesses. Je sentis Manon frémir et je supposai qu'Angélique s'était emparé de son sexe. Je continuai à la bécoter, puis me mis à sucer les pointes de ses seins. Manon se mit à haleter de plus en plus fort et poussa enfin un grand cri.

Tandis qu'elle récupérait, j'entrainai Angélique sur le canapé. Je m'allongeai sur le dos et elle se positionna sur moi tête bêche. Nous nous mîmes à nous lécher mutuellement. Je glissai un doigt dans sa fentine tout en la léchant et Angélique fit de même. Puis je me mis à titiller sa rosette et je sentis que ça la faisait partir. Elle jouit juste au moment où la sonnette retentit.

C'était bien sûr Philippe que je fis entrer, non sans l'embrasser langoureusement sur les lèvres. Puis je le présentai à Angélique et Manon. Celles-ci le regardèrent en gloussant. « Attendez de voir ce qui vous attend! », leur dis-je. Je déboutonnai la chemise de Philippe, défis son pantalon, puis fis glisser son slip. Son fabuleux pénis était déjà à demi dressé. Angélique et Manon poussèrent un petit cri : « Mon Dieu, qu'il est gros! Il va nous déchirer! »

Je les rassurais en leur expliquant que c'était une question de préparation. Puis je m'agenouillai et entrepris de lécher le gland de Philippe avant de l'engloutir dans ma bouche. Son sexe était maintenant entièrement déployé. J'appelai Manon : « Allez, viens donc le lécher un peu! ». Manon hésita un instant, puis tout émoustillée, elle s'agenouilla à côté de moi et attrapa le pénis que je lui tendais. Elle approcha ses lèvres, fis quelques bisous et sortit ensuite sa langue. Elle le lécha avant de prendre elle aussi le gland dans sa bouche. Je la repoussais alors et la fis se mettre à quatre pattes. Je glissais ma main entre ses cuisses et vis qu'elle était toujours aussi mouillée. J'attrapai alors Philippe par la queue et approchai celle-ci de l'abricot de Manon.

Je me mis à la faire aller et venir entre les rives de son sexe. Je sentis qu'elle se détendait progressivement. J'attrapais alors le pénis dressé et le positionnait à l'entrée de la vulve de Manon. Puis le fis signe à Philippe de la prendre d'un coup. Elle poussa un cri lorsque le phallus déchira son hymen. Je fis alors stopper Philippe pour laisser à Manon le temps de se remettre. Puis je l'incitai à reprendre ses va-et-vient. Au début seul le premier tiers du pénis de Philippe disparaissait dans le sexe de Manon. Mais je vis qu'elle tendait de plus en plus sa croupe pour s'offrir à l'intromission de ce monstrueux gourdin.

En même temps, un râle monta de ses lèvres. Sachant qu'elle prenait la pilule, je fis signe à Philippe qu'il pouvait y aller à fond. Je fis approcher Angélique qui ne perdait pas une miette du spectacle, lui pris la main et lui fis caresser les bourses de Philippe. Ce dernier se mit à rugir en enfonçant les ¾ de son engin dans le sexe offert et je sus qu'il déchargeait lorsque Manon poussa un grand cri.

Laissant Manon et Philippe récupérer, je me mis à la caresser Angélique, d'abord les seins que je pinçai et tournai, puis ma main descendit entre ses fesses que j'écartai des deux mains. Je me mis à parcourir son sillon de ma langue, remontant jusqu'à sa rosette que j'humectai avant d'y glisser un doigt. Je jetai un œil à Philippe et je vis que ce spectacle saphique était loin de le laisser indifférent. Je voyais sa queue se redresser petit à petit. C'était vraiment un magnifique étalon.

Je m'approchai de lui et je me mis à le branler et à le sucer afin de lui rendre toute sa raideur. Je le fis ensuite allonger sur la moquette. Je fis signe à Angélique de s'approcher et lui dis : « C'est toi qui vas t'empaler toute seule sur ce bel engin, d'accord? ». Je vis un peu de peur dans ses yeux, mais aussi une formidable envie. Elle enjamba le corps de Philippe, lui tournant le dos. Je la laissais descendre sur le phallus turgescent, puis je le pris en main et me mis à frotter ses lèvres intimes avec. Elle frémit et soupira. Je positionnai alors le gland de Philippe à l'entrée de sa vulve en lui disant : « Vas-y, fais-le entrer! ».

Angélique prit une profonde inspiration avant de se laisser tomber sur le sexe durci. Elle poussa un grand cri et resta immobile quelques instants. Lorsque la douleur fut passée, elle prit appui sur les cuisses de Philippe et se mit à monter et descendre. Je vis qu'elle appréciait manifestement le phallus de Philippe. Elle murmura : « Hmmm, qu'est-ce qu'il est gros! Je ne pensais pas arriver à le prendre en entier... ». N'ayant pas eu mon compte pour le moment, j'allais m'assoir sur le visage de Philippe qui se mit à me lécher et me sucer la fentine. Je murmurai à Angélique : « Retourne-toi que je te bécote! ».

Elle opéra un demi-tour, saisit le sexe de Philippe avant de se l'introduire à nouveau en frissonnant. Nous nous bécotâmes en nous caressant les seins. Je sentis l'impatience de Philippe monter. Il avait pris en mains les fesses d'Angélique et la soulevait de plus en plus haut avant de la laisser retomber sur son pieu. Il se mit à râler tandis que je voyais les yeux d'Angélique se révulser. Elle hurla son plaisir tandis qu'il déchargeait dans sa chatte ruisselante. Ce spectacle me fit jouir copieusement à mon tour.

Manon et Angélique disparurent dans la salle de bains. Je restais dans le salon avec Philippe. Nous papotâmes quelques instants. Il me raconta que Clotilde était de plus en plus délurée et que cela lui plaisait énormément. Tandis qu'il parlait de sa femme, je vis son sexe commencer à se redresser. Je trouvais cela incroyable. Alors qu'il venait de décharger deux fois en peu de temps, il n'avait pas l'air vraiment fatigué! Voulant voir s'il pourrait vraiment bander encore, je me mis à caresser ses bourses puis je saisis la hampe et le branlai doucement.

« Arrête, sinon je t'encule! », me dit-il d'un ton sévère. Au lieu de me stopper, cela me fit redoubler d'ardeur car je repensais à la dernière fois où il m'avait enculée et au plaisir que j'avais alors ressenti. Son pieu était maintenant bien raide. Il me fit alors mettre à quatre pattes sur la moquette et se positionna debout derrière moi. Il commença par promener sa queue dans mon sillon avant de placer son gland sur ma corolle qu'il avait auparavant humecté de sa salive. Je poussai un grand cri lorsque son gland força mon sphincter. Il resta quelques instants sans bouger, me laissant m'habituer à la douleur, puis mon sphincter se dilatant, il s'enfonça de plus en plus profondément dans mes reins.

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