L'été de mes 18 ans 32

Tandis qu'il me besognait de plus en plus brutalement, je vis Manon et Angélique sortir de la salle de bains et s'approcher de nous. « Oh, tu as vu, Manon? Il est en train de la sodomiser! ». Manon alla se placer derrière Philippe. Je sentis bientôt son souffle sur mes cuisses et mon sexe. Puis elle commença à me caresser la fentine. Angélique, quant à elle, était venu près de mon visage et elle se mit à me bécoter et à me pincer les seins. Je sentis que je n'allais pas résister longtemps sous ce triple assaut.

Je me mis à gémir sans discontinuer, Philippe se mit à râler de plus en plus bruyamment avant de se vider dans mes reins, ce qui déclencha mon orgasme. Nous étions tous les quatre épuisés par cette aventure et après un rapide gouter, nous nous séparâmes.

Alors que je raccompagnais Manon et Angélique à la porte, j'entendis cette dernière murmurer à son amie : « Maintenant, on va pouvoir utiliser des godes! J'adorerais te prendre avec un gode... ». Je glissai à Angélique que j'avais une amie, Joséphine qui avait une superbe collection de godes en tous genres. Elle battit des mains et me dis qu'il fallait absolument que j'organise quelque chose avec elle. Je le leur promis.

Le soir, dans mon lit, je repensais à mes aventures sexuelles. J'avais certes toujours un fort penchant pour les femmes, leurs seins et leurs minets. Mais au fil du temps, j'avais aussi découvert le sexe hétéro et j'y avais pris goût. Sucer une bite, se faire enfiler et même se faire enculer, tout cela ne me rebutait pas, bien au contraire. J'aimais aussi beaucoup le sexe à plusieurs, que ce soit avec deux autres femmes ou avec un homme et une femme. En revanche je n'avais pas encore essayé le sexe avec deux hommes. Je me dis qu'il faudrait que j'essaie un jour. J'étais selon les cas active ou passive : j'aimais bien jouer la Sainte Nitouche et me laisser séduire par une femme plus âgée. Mais j'aimais aussi beaucoup séduire les jeunes filles innocentes. Les femmes hétéros m'attiraient aussi et j'adorais leur faire découvrir les amours saphiques.

En pensant ces derniers mots, je revis dans ma tête la boutique de vêtements où j'étais allée dernièrement. C'était une petite boutique qui était manifestement tenue par la patronne : une femme rousse d'environ 35 ou 40 ans plutôt plantureuse. J'avais vu à sa bague qu'elle était mariée. Cependant il m'avait semblé, à sa façon de me regarder de la tête aux pieds, qu'elle n'était pas indifférente à mes charmes. Ayant remarqué qu'elle fermait le midi, je décidai d'y faire un tour en fin de matinée. J'arrivai à la boutique vers 11h45, vêtue d'une petite robe d'été très courte et de dessous en dentelle blanche que je m'étais achetés dernièrement.

Il n'y avait personne d'autre que la patronne -- j'appris plus tard qu'elle s'appelait Florence. Je murmurai un bonjour et je me mis à regarder les robes d'été. Elle me laissa faire quelques minutes, puis elle s'approcha. Elle portait une jupe évasée de couleur verte et un chemisier blanc assez échancré et plutôt transparent. « Puis-je vous aider, mademoiselle? ». « Oui, peut-être m'aider à choisir! Vous avez plusieurs modèles qui me plaisent beaucoup. Hélas ma bourse ne me permet pas de tout acheter. ». « Le mieux serait que vous les essayiez. Je vous donnerai alors mon avis. Quels modèles vous tentent? »

Je pris sur le portant une robe portefeuille manches courtes avec des motifs floraux, une robe longue décolletée V devant et dos sans manches assez colorée et une robe fines bretelles plissée imprimée à pois. Elle me dit : « Vous avez du goût! La cabine est là-bas au fond. ». J'allai à la cabine, fermai le rideau à demi et retirai ma robe. J'enfilai la robe portefeuille. La patronne écarta le rideau avant que j'aie eu le temps de sortir. « Hummm, elle vous va à ravir. Elle met bien en valeur vos jolies jambes. Mais vous devriez passer celle-ci! »

Elle me tendit la robe longue décolletée. Voyant qu'elle ne fermait pas le rideau, je retirai la robe portefeuille. Je sentis ses regards sur moi ce qui ne fit que renforcer mon désir de la séduire. J'enfilai la robe longue. Elle s'approcha et tira sur le tissu, effleurant ma peau au passage. « Elle vous va très bien aussi. L'idéal serait un soutien-gorge corbeille genre Wonderbra pour mettre en valeur votre poitrine. Je vais vous en chercher un, 38 B c'est ça? ». « Euh oui. Vous avez le coup d'œil! ».

Elle revint quelques instants plus tard. J'avais entendu un bruit de serrure et je m'étais dit qu'elle avait dû fermer la boutique car il était midi passé. Elle me tendit un soutien-gorge push up en dentelle blanche. Je retirai la robe et mon soutien-gorge sans qu'elle ne cesse de me regarder. Evidemment mes seins étaient dressés d'excitation. J'enfilai le Wonderbra et remis la robe. « Ah oui, comme cela c'est parfait! Vous êtes vraiment ravissante ». « Merci. J'essaierais bien aussi la robe à bretelles. Evidemment, je vais être obligée de me passer de soutien-gorge ». « Oh, vous pouvez vous le permettre, à votre âge », me dit-elle avec un regard d'envie.

Je me changeai et mis la robe à bretelles qui était très légère et agréable à porter. Elle mettait très bien ma poitrine en valeur et je sentais mes tétons percer le tissu. Je sentais la patronne de plus en plus excitée. J'eus une idée et lui dis : « J'ai vu aussi une robe qui vous irait à ravir. Je vais la chercher, retirez votre jupe et votre chemisier ». Je revins avec une robe chemise évasée avec des petits pois roses. Florence avait ôté sa jupe et déboutonnait son chemisier. Je m'approchais d'elle en la regardant de la tête aux pieds. Elle portait des dessous en dentelle fuchsia, un soutien-gorge échancré qui dévoilait tout le haut de sa poitrine et une culotte assortie qui ne cachait pas grand-chose de son intimité : une jolie toison rousse! « Vous êtes ravissante aussi, je trouve ».

Elle rougit un peu, gênée par mes regards insistants. Puis elle passa la robe. Comme elle l'avait fait, je tirai sur le tissu en effleurant sa peau à plusieurs reprises. Elle frémit en respirant plus vite. Je la saisis aux épaules et la fis pivoter, la plaçant en face du grand miroir. Je restai derrière elle et posai mes mains sur ses hanches. « Regardez, cela vous va très bien, vous ne trouvez pas? ». Troublée, elle bredouilla : « euh oui, c'est vrai... ». Puis je tirai un peu le tissu sur ses hanches, faisant remonter la robe. Les genoux apparurent, puis les cuisses, assez charnues. « Hummm, évidemment comme ça c'est encore mieux, beaucoup plus sexy... ». Je sentis son trouble s'accentuer. Je remontai sa robe encore plus haut, laissant apparaître sa culotte. « Hummm là, c'est carrément indécent, vous ne trouvez pas? ». Je voyais ses yeux chavirer de plus en plus. « Arrêtez, je suis mariée », bredouilla-t-elle.

Sentant sa résistance fondre, je posai mes lèvres sur son cou, y posai plusieurs bisous avant de la mordiller légèrement. Elle poussa un gémissement. Puis mes mains quittèrent ses hanches remontant sur son ventre et atteignant sa poitrine. Je massai ses seins à travers la robe et le soutien-gorge. Elle ne protesta pas si bien que je lui murmurai à l'oreille : « J'aimerais les sentir nus sous mes doigts. Retire ta robe! ». Elle obéit en fermant les yeux. « Bien, maintenant dégrafe ton soutien-gorge! ». Avec un soupir, elle tâtonna dans son dos et le dégrafa. « C'est bien, tu es obéissante. Tu veux que je les caresse? ... Allez, dis-le, sinon je m'en vais ». Elle hésita quelques secondes puis dans un nouveau soupir, elle murmura : « Oui, caresse-les! »

Je posai alors mes mains sur les globes durs de ses seins tendus. Je les massai d'abord doucement, puis de plus en plus vigoureusement. Elle se mit à gémir. « Mon Dieu, que m'arrive-t-il? J'aime mon mari, arrêtez, je vous en prie! ». Faisant la sourde oreille, je pris ses pointes dressées entre mes doigts et me mis à les presser, à les faire tourner. Je la sentais se raidir de plus en plus pour ne pas se laisser totalement aller. « Maintenant, tu vas ôter ta culotte... allez, plus vite que ça... ». Je pinçai brutalement ses tétons et elle poussa un cri. Elle se pencha pour saisir sa culotte et la faire glisser au sol.

« Hummm, quelle toison fournie! ». J'y passai la main, caressant ses poils. Puis ma main atteignit les rives de son sexe. Je vis très vite qu'elle était trempée. Je retirai ma main et lui dis : « Hélas, je n'aime pas beaucoup les poils à cet endroit-là, c'est très désagréable pour les caresses buccales."