L'été de mes 18 ans 35

Informations sur Récit
Florence se dévergonde.
1.6k mots
4.43
3.3k
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Récit n'a pas de balises

Partie 35 de la série de 37 pièces

Actualisé 06/07/2023
Créé 04/07/2014
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Puis je me collai contre elle et parcourus sa nuque de baisers. Je l'entendis soupirer. J'attrapai alors sa culotte et la fis glisser à terre. Je posai ensuite mes mains sur ses seins que je me mis à caresser doucement. Je sentis ses tétons s'ériger sous mes doigts. Ma main droite descendit alors vers son pubis. Elle écarta tout de suite un peu les jambes pour me faciliter l'accès. Elle était déjà bien mouillée. Je jouai entre ses poils blonds puis j'attaquai sa fentine. Elle se raidit bien vite sous mes doigts fureteurs. Je me mis à agacer son bouton. Elle se mit à gémir et lorsque je me mis à pincer alternativement ses tétons tout en branlant son bouton, elle jouit dans un grand cri.

Je la fis pivoter et nous nous embrassâmes longuement. D'elle-même, elle se mit à déboutonner mon chemisier, l'ôta puis passa ses mains dans mon dos pour dégrafer mon soutien-gorge. Je la laissai lécher mes seins et suçoter mes tétons. Puis je m'écartai et allai m'appuyer contre une petite table en la regardant lascivement. Elle s'approcha alors et s'agenouilla devant moi. J'écartai alors les jambes et je sentis son souffle chaud sur mon pubis, puis ses lèvres qui se posaient sur mon sexe. Elle me fit plusieurs bisous, puis je sentis sa langue me pénétrer. Je me mis à gémir de plus en plus fort. J'étais sur le point de jouir lorsque j'ouvris les yeux. Et là, ô stupeur! Mon mari qui ne venait pratiquement jamais à la boutique, se tenait dans l'encadrement de la porte et nous fixait, les yeux exorbités.

Je vis à la grosse bosse qui déformait son pantalon que le spectacle ne le laissait pas indifférent. Angélique sentit qu'il se passait quelque chose et se retourna. Puis elle me demanda qui c'était. Quand je lui dis que c'était mon mari, elle se releva et s'approcha de lui, pas du tout gênée d'être nue et prise en flagrant délit. Elle posa la main sur la bosse, puis descendit le zip de son pantalon, le fit descendre ainsi que le caleçon, puis elle poussa un soupir de contentement en apercevant le gland violacé de Pierre. Je la rejoignis et l'embrassai à pleine bouche tandis qu'elle le branlait. Elle me demanda si je voulais bien qu'il la prenne. Devant mon signe de tête affirmatif, elle se mit à quatre pattes, tortillant son derrière sous les yeux de Pierre qui déglutit avec peine.

J'étais un peu abasourdie! Pierre, qui ne me faisait l'amour que dans le noir, toujours à la missionnaire, était sur le point de baiser une autre femme sous mes yeux : déjà, il s'était débarrassé de son pantalon et son caleçon et s'était agenouillé derrière Angélique. Ses deux mains malaxaient les fesses de la jeune femme qui ronronnait de plaisir. Puis il prit son sexe en main et l'approcha de la corolle trempée d'Angélique. Celle-ci poussa un gémissement tandis qu'il l'enfilait à fond. Il se mit à la limer avec application, lui arrachant des soupirs de plus en plus bruyants. J'observais la scène en caressant mes seins. Puis j'eus envie d'intervenir : je m'approchai d'eux. D'une main, je saisis les bourses de Pierre et les fis rouler sous mes doigts. De l'autre je me mis à caresser les fesses d'Angélique en m'approchant petit à petit de son sillon et de sa rosette. J'humectai mon doigt et me mis à caresser son petit trou. Ce geste provoqua en moi un fantasme.

Angélique se mit à geindre de plus en plus fort lorsque je pénétrai son petit trou d'un doigt, puis de deux. Je sentais le sexe de Pierre contre mes doigts. Angélique se mit à râler puis poussa un grand cri. Je serrai alors les testicules de Pierre pour l'empêcher de jouir et je lui demandai s'il n'avait pas envie de mon petit trou. Et sans attendre sa réponse, je me mis à quatre pattes à côté d'Angélique en ondulant de la croupe. Je glissai ma main dans ma fentine pour en recueillir les liqueurs fort abondantes et me massai la rosette. Je sentis bientôt la bite de Pierre glisser dans mon sillon. Je l'attrapai entre mes jambes et l'amenai à bon port. Je poussai un gémissement lorsqu'il me pénétra les fesses, mais je m'habituai très vire à la sensation. Angélique s'était remise de son orgasme et regardait l'action toute émoustillée. Puis elle plissa sa main entre mes jambes, massant alternativement ma fentine et les bourses de Pierre. Celui-ci ne tarda pas à décharger dans mes fesses et ce furent les doigts d'Angélique qui m'amenèrent au plaisir.

« Eh bien, ma chérie! Je vois que tu commences à apprécier le sexe! Quand est-ce qu'on se fait un plan à trois avec Angélique? », demandé-je à Florence. « A trois? Ce ne serait pas mieux à quatre? ». « Hmmm, et tu as quelqu'un en vue? ». « Rougissante, elle me dit : « Je pensais à Aurélie, ma nièce! Mais il faudrait d'abord la déniaiser un peu... Tu ne pourrais pas t'en occuper, Claire? ». « Charmante idée! Je suis tout à fait pour! Comment faire pour la rencontrer? ». « Le mieux serait au sauna, je pense. Elle y va tous les vendredis vers 15h depuis qu'elle y a goûté chez moi. ». « Super! Je sais ce que j'ai à faire après-demain! ». « Bon, tu vas devoir partir, je dois rouvrir la boutique! »

Deux jours plus tard, je me rendis au sauna que Florence m'avait indiqué. Elle m'avait montré des photos de sa nièce si bien que je pourrai la reconnaitre sans difficultés. J'arrivai vers 14h 45, me dévêtis et entrai dans le sauna. Il était réservé aux femmes. Il n'y avait pour le moment que deux commères qui papotaient et cancanaient à qui mieux mieux. Je les ignorai et allai m'allonger à l'autre bout de la pièce. Je fermai les yeux et me laissai gagner par la torpeur. Le bruit de la porte qui se refermait me fit ouvrir les yeux. J'aperçus une jolie blonde qui, à la vue des deux commères, vint s'asseoir pas très loin de moi. Elle posa sa serviette et je ne pus m'empêcher de détailler son corps : elle était tout à fait craquante. Je sentis qu'elle rosissait sous mes regards et je refermai les yeux pour ne pas lui faire peur. Au bout de 20 minutes, les deux commères se levèrent et sortirent. « Pff! Heureusement, elles commençaient à me saouler, ces deux-là, pas toi? Au fait, je m'appelle Claire ».

Aurélie battit des cils et me dit en soupirant : « Oui, elles sont pénibles, je les vois presque tous les jours. Moi, c'est Aurélie ». « Enchantée, Aurélie ».

Nous nous mîmes à papoter tranquillement. Je la voyais se détendre petit à petit et je sentais ses regards furtifs sur mon corps. Je me dis qu'il ne fallait pas précipiter les choses et au bout d'une demi-heure, je l'abandonnai, prétextant un rendez-vous. « Je reviens demain, et toi? ». Aurélie hésita puis répondit qu'elle viendrait aussi ». Sachant qu'elle ne venait normalement qu'une fois par semaine, je me dis qu'elle ne devait pas être indifférente à mes charmes. Je lui précisai que je n'arriverai pas avant 15h30 pour éviter les deux commères.

Le lendemain, nous nous retrouvâmes toutes deux seules dans le sauna. La conversation se fit plus intime. Je lui dis que je trouvais ses petits seins pointus ravissants. Elle hésita un long moment avant de me demander : « Comment ça se fait que tu n'as pas de poils là en bas? ». Je la regardai dans les yeux et lui dis : « Je les épile régulièrement, je trouve que c'est bien plus joli comme ça, tu ne trouves pas? ». Elle rougit en regardant mon sexe et avoua que cela lui plaisait beaucoup. « Hou, je commence à avoir chaud, je vais prendre une douche froide, tu viens? ». Elle me suivit dans les douches sans dire un mot. Nous nous plaçâmes sous le pommeau et j'appuyai sur le bouton. Nous poussâmes toutes deux des petits cris. Puis je tournai le robinet pour avoir de l'eau un peu moins froide et je sortis mon gel douche. « Tu veux que je te savonne le dos? ». En confiance, elle me répondit : « Oui, je veux bien ».

Je me mis à savonner ses épaules, puis son dos, ses reins et ma main gagna ses fesses qu'elle savonna doucement. Je la sentis frémir sous mes doigts. Je lui tendis alors mon flacon de gel. « Tu veux bien me rendre la pareille? ». Elle se retourna, les yeux troubles et s'empara du gel. Je me retournai et la laissai me savonner. Elle aussi descendit jusqu'à mes fesses, mais elle n'osa pas les savonner. Je lui fis face à nouveau et posai doucement ma bouche sur la sienne pour un bisou à peine effleuré et lui dis : « Merci Aurélie, tes mains sont douces, c'était très agréable ». Elle leva les yeux sur moi, troublée. « Tu sais, je te trouve vraiment mignonne et j'ai très envie de toi ». Elle rosit, de plus en plus troublée. « Et toi, comment me trouves-tu? ».

Elle hésita un moment, puis me dis qu'elle aimait beaucoup mes seins et que mon minou imberbe l'attirait aussi. Je lui pris la main et l'approchai de mon ventre. « Tu peux le toucher, si tu as envie... ». Elle baissa les yeux sur mon sexe et sa main se posa sur mon pubis. Je saisis son poignet et fis aller et venir ses doigts entre mes cuisses que j'avais ouvertes un peu. « Humm, j'adore quand on me caresse là, pas toi? ». Et sans attendre sa réponse, je posai ma main sur sa fourche. Je la sentis frémir et d'elle-même elle écarta un peu les jambes. Je jouai un peu dans les poils de son minet, puis son index parcourut doucement ses grandes lèvres. Elle poussa un gémissement.

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