L'été de mes 18 ans 36

Informations sur Récit
La séduction d'Aurélie.
1.6k mots
4.67
2.9k
00
Récit n'a pas de balises

Partie 36 de la série de 37 pièces

Actualisé 06/07/2023
Créé 04/07/2014
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Elle baissa les yeux sur mon sexe et sa main se posa sur mon pubis. Je saisis son poignet et fis aller et venir ses doigts entre mes cuisses que j'avais ouvertes un peu. « Humm, j'adore quand on me caresse là, pas toi? ». Et sans attendre sa réponse, je posai ma main sur sa fourche. Je la sentis frémir et d'elle-même elle écarta un peu les jambes. Je jouai un peu dans les poils de son minet, puis mon index parcourut doucement ses grandes lèvres. Elle poussa un gémissement. Incapable de résister à la tentation, je m'agenouillai devant elle. Sous mes yeux je voyais son minou ombré d'une fine toison blonde. Des doigts, j'écartai les poils et posai mes lèvres sur son sexe. Elle gémit plus fort. Je sortis ma langue et me mis à lécher doucement sa fentine, sans oublier de titiller un peu son petit bouton, déjà raidi. Puis je m'écartai et lui demandai en levant les yeux : « Cela te plait ou tu préfères que j'arrête? ».

Je vis son regard chaviré. Incapable de parler, elle posa sa main derrière ma tête et m'attira vers son minet. Je saisis alors sa cheville et lui fis plier et soulever la jambe gauche, la posant sur mon épaule. J'avais désormais son sexe bien ouvert sous les yeux et je ne pus résister à l'envie de le dévorer. Je me mis à sucer, à lécher et à mordiller sans aucune retenue, d'autant plus que ses gémissements ne faisaient que croitre en intensité. Elle poussa ensuite un grand cri en tressautant plusieurs fois, je léchai sa mouille, ravie. Puis je me redressai doucement. Je m'aperçus alors qu'elle n'osait pas me regarder. Je murmurai : « Aurélie, j'ai adoré te faire jouir. N'aie pas honte si tu as aimé! ». Elle hésita un moment puis me murmura : « Cela me fait drôle qu'une femme m'ait caressée. Et en plus... ». Elle s'arrêta. J'embrassai tendrement ses lèvres. « Et en plus? ». « Heu... je n'ai jamais joui aussi fort. J'ai déjà fait l'amour avec un garçon, mais cela n'a rien à voir ».

A ce moment, deux femmes entrèrent dans les douches. Je pris la main d'Aurélie et l'entrainai. « Viens, on va se rhabiller! ». Elle me suivit et prit comme moi ses affaires dans l'armoire consignée. Voyant que le vestiaire était désert, je l'entrainai dans une cabine. Je regardais ses vêtements et lui dis, espiègle : « Bon, tu ne peux en garder que deux, lesquels choisis-tu? ». « Bon, et toi, qu'un seul! ». Je souris et saisis ma petite robe bien courte. Aurélie prit sa jupe et son petit top. Nous rangeâmes toutes deux nos sous-vêtements dans nos sacs et sortîmes. Nous flânâmes, main dans la main. En passant devant un cinéma, elle me glissa : « On y va? ». « Hummm, toi tu as une idée derrière la tête! ». « J'ai envie... de te caresser aussi... ». « Me caresser? A quel endroit? » demandai-je innocemment. Elle rougit et murmura : « Ton minou tout lisse, j'ai à peine eu le temps de le toucher! ». Nous entrâmes et prîmes une place pour la séance qui commençait à peine. C'était une grande salle et la séance de l'après-midi ne faisait pas le plein. Nous n'étions que cinq dans la salle. Les autres étaient plutôt au milieu. J'entrainais Aurélie au dernier rang. A peine la lumière éteinte, nous commençâmes à nous bécoter. Elle se mit à retrousser ma robe mais celle-ci, un peu serrée, m'empêchait d'ouvrir complètement les jambes.

Voyant son désir, je me soulevai et retroussai ma robe, posant mes fesses nues sur le siège. J'écartai les cuisses et posai une jambe sur l'accoudoir. Je sentis tout de suite ses doigts glisser sur mon ventre et sur ma fente. Elle me doigta maladroitement. Je pris sa main et lui montrai les caresses que j'aimais. Bientôt, j'eus du mal à retenir mes gémissements. Heureusement, la bande son était assez forte pour les couvrir. Puis j'arrêtai sa main. « J'ai envie de ta bouche là... ». Aurélie n'hésita que quelques secondes, puis elle se laissa tomber à genoux entre mes jambes. Elle se mit à faire des bisous à mon minet, puis je sentis sa langue me lécher. J'attrapai sa tête et la guidai vers mon bouton. Elle se mit à le lécher, puis l'attrapa entre ses lèvres et le suçota. Je commençai à remuer le bassin sous ses caresses lubriques. Elle sentit mon plaisir monter et glissa un doigt dans ma fentine. Cela suffit à déclencher mon orgasme que j'étouffai en me mordant la main.

Quand j'eus repris mon souffle, je murmurai : « Tu sais, tu es vraiment douée. J'ai du mal à croire que tu n'as jamais fait ça ». « Si c'est vrai. Mais j'y pense depuis longtemps. J'ai une tante qui s'appelle Florence et qui m'a beaucoup fait fantasmer ». « Tu t'es caressée souvent en pensant à elle? ». « Oui, j'avoue qu'elle occupe mes pensées depuis un moment ». « Et tu n'as jamais essayé de la draguer? ». « Non, je n'ai jamais osé. Pourtant une fois, j'ai été avec elle nue dans son sauna. Je la regardais et j'étais toute mouillée. Mais je n'ai pas osé. ». « Et maintenant, tu fantasmes toujours sur elle? ». « Oui j'avoue qu'elle me plait toujours, même si toi aussi tu me plais. ». « Hummm, on pourrait peut-être aller toutes les deux dans son sauna? ». « Tu veux dire que... toutes les trois...? ». « Ben oui, à moins que tu n'aies pas envie? ». « Si. Au contraire, ça m'encouragerait que tu sois là... ». « Bon, ben alors, c'est ok. Mardi prochain? ». « Oui, je vais lui téléphoner pour lui demander, mais je crois que ça ira. »

Tandis que nous parlions, j'avais commencé à glisser ma main sous son top et à agacer ses seins qui s'étaient dressés petit à petit. Puis ma main descendit sur ses cuisses. Je retroussai sa jupe et ma main remonta jusqu'à sa fourche. Elle était trempée. Je me mis à la caresser, me glissant dans sa fente, puis remontant jusqu'à son bouton. « Ça te plait? Ou tu préfères que j'arrête? ». « Non, n'arrête pas... ». « Non? dis de quoi tu as envie... ». « J'ai envie de tes doigts en moi... j'ai envie que tu me fasses jouir... ». J'obéis à ses désirs et la caressai de plus en plus rapidement. Je sentis son corps se tendre. Elle jouit sans pouvoir retenir un petit cri.

Le lendemain, j'appelai Florence pour lui raconter mes aventures avec Aurélie et organiser notre rencontre du mardi suivant. Il ne fallait pas qu'Aurélie se doute que nous nous connaissions, Florence et moi et qu'elle nous en veuille de ce guet-apens. Le mieux était que Florence nous surprenne en pleine action, Aurélie et moi et nous verrions ensuite comment tourneraient les choses. Florence me dit qu'Aurélie l'avait appelée et qu'elle avait donné son accord. Le mardi, j'allais chercher Aurélie et elle m'emmena chez Florence. Elle sonna à la porte et Florence nous ouvrit. Aurélie nous présenta et nous fîmes comme si nous nous voyions pour la première fois. Elle nous emmena dans la cave où le sauna chauffait déjà depuis un moment. Nous nous dévêtîmes et je vis le regard lubrique que Florence lançait à sa nièce. Puis nous nous installâmes dans le sauna où nous papotâmes un bon quart d'heure. Puis nous entendîmes le téléphone. Florence se leva en disant qu'elle attendait un coup de fil important. Elle nous conseilla de faire une petite pause et de prendre une douche.

A peine Florence partie, je me levai et entrainai Aurélie dans la douche. Je me mis à la bécoter et à l'embrasser à pleine bouche. Tout à coup, nous entendîmes un cri. « Oh, mon Dieu! », dit Florence. « Aurélie, tu n'as pas honte? Profiter de mon absence pour faire des cochonneries! Je pense que ta mère sera choquée quand je lui raconterai tout ». Aurélie éclata en sanglots. Je jugeai le moment opportun pour m'éclipser en prétextant un besoin urgent. Je me cachai dans le couloir pour suivre la scène. Florence commença par enfoncer le clou en disant qu'Aurélie avait trahi sa confiance. Puis comme celle-ci sanglotait de plus belle, elle s'assit à côté d'elle sur le banc. « Je ne savais pas que tu aimais les femmes », lui dit-elle. Aurélie lui dit que c'était quelque chose de nouveau qu'elle avait découvert avec moi. « Et cela te plait? ». Aurélie avoua en rougissant qu'elle adorait les caresses que lui avais prodiguées.

Florence se leva et saisit les mains d'Aurélie pour la faire lever à son tour. Elle la serra contre elle en murmurant : « Je ne veux pas que tu sois malheureuse ». Puis je vis ses mains qui caressaient le dos d'Aurélie avant de descendre sur ses reins, puis bientôt sur ses fesses. Elle les palpa tendrement, puis elle s'empara de la bouche de sa nièce. En même temps ses mains se posèrent sur ses seins qu'elle se mit à caresser doucement. Je vis Aurélie fondre sous les assauts de sa tante. Celle-ci, poussant son avantage, glissa alors sa main droite sur le ventre d'Aurélie, puis gagna son pubis. Aurélie gémit lorsqu'elle sentit la main de sa tante glisser entre ses poils et caresser ses grandes lèvres. « Eh bien ma chérie, je vois que je te fais de l'effet, tu es trempée! ». Aurélie se suspendit au cou de Florence, lui offrant sa bouche et l'embrassant en gémissant. Je n'eus que le temps de me cacher dans les toilettes tandis que Florence entrainait Aurélie dans sa chambre.

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