L'été de mes 18 ans 37

Informations sur Récit
Le sauna à 3, c'est chaud!
1.5k mots
4.61
3.7k
0
Récit n'a pas de balises

Partie 37 de la série de 37 pièces

Actualisé 06/07/2023
Créé 04/07/2014
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Je résistai un moment à l'idée de les rejoindre, mais je décidai de les laisser prendre du plaisir à deux. Je m'allongeai sur le canapé du salon et bien détendue par la séance de sauna, je ne tardai pas m'endormir. Des contacts sur ma peau me tirèrent doucement du sommeil. Je fis comme si je dormais encore. J'entendais les murmures de Florence et d'Aurélie qui me détaillaient de la tête aux pieds. « Hmmm, j'aime beaucoup ses seins, pas toi », murmura Florence. « Aurélie répondit : « Moi aussi, mais son minou tout lisse me trouble davantage. Il y a longtemps que j'ai envie de le goûter, mais je n'ai pas encore osé. ». « Eh bien profite, elle dort! », murmura Florence. Je sentis alors des mains douces se poser sur mes genoux et écarter doucement mes cuisses. Puis je sentis un souffle chaud sur ma fourche, puis une bouche qui embrassait doucement ma fentine. Je poussai un soupir, mais continuai à faire semblant de dormir. « Maintenant, sors ta langue et lèche bien toute sa fente... oui comme ça! ».

« Hmmm, elle a bon goût, je crois qu'elle est déjà mouillée », murmura Aurélie entre deux coups de langue. « Bien! Ecarte délicatement ses grandes lèvres avec tes doigts », continua Florence. « Oh décidemment, j'adore son minou! ». « Alors, lèche bien entre ses lèvres, du haut jusqu'en bas. Tu sens son bouton? ». Aurélie lécha plusieurs fois mon sexe avant de répondre à sa tante : « Oui, il est déjà bien raidi ». Florence ajouta : « Tu peux lui donner des petits coups de langue, mais ne t'acharne pas trop vite dessus. Par contre, tu peux suçoter ses lèvres ». « Oh qu'est-ce que ça m'excite de la sucer comme ça », soupira Aurélie. Je la sentis sursauter et je me dis que Florence devait lui prodiguer aussi quelques caresses. « Oh, son bouton a encore grossi. J'ai trop envie de le sucer! ». Sa tante lui murmure : « Vas-y, ma chérie. En même temps, glisse un doigt dans son minou et fais-le aller et venir ». « Oh ma tante, j'adore quand tu me caresses... oui, comme ça, aaaah ». Je ne pus plus rester immobile et me mis à remuer le bassin sous les assauts d'Aurélie. Je sentis une jouissance prodigieuse me gagner.

Avant de pouvoir éloigner Aurélie, je sentis un jet de liquide jaillir de mon sexe et éclabousser son visage. Elle recula, un peu effarée. « Mon Dieu, Claire, que t'arrive-t-il? », demanda Florence, surprise, elle-aussi ». Je répondis, rougissante : « Heu, je ne sais pas, c'est la première fois que je jouis comme ça! Une vraie fontaine ». Aurélie me sourit en murmurant : « Moi, j'ai vraiment aimé que tu m'arroses comme ça ». Je l'attirai sur moi et nous nous embrassâmes tendrement. Je lui murmurai : « Veux-tu qu'on s'occupe toutes les deux de ta tante? ». Elle me fit un signe affirmatif. Je la repoussai alors doucement et me relevai. « Trouve un foulard et reviens vite! Regarde aussi dans le frigo s'il n'y a pas un concombre ou une courgette », lui murmurai-je. Pendant son absence, je questionnai Florence : « Alors, comment était-ce? ». « Hmmm j'ai adoré la faire jouir... mais moi je n'ai pas eu mon compte! ». « Attends, attends, ça va venir... », lui chuchotai-je avec un sourire coquin.

Aurélie revint cachant ses mains derrière son dos. Je la contournai et pris le foulard qu'elle dissimulait. La belle courgette jaune qu'elle tenait dans l'autre main me fit sourire. Je m'approchai de Florence. « Nous allons te bander les yeux et tu devras te plier à tous nos caprices, d'accord? ». « Heu, d'accord », répondit avec une voix rauque emplie de désirs. Je lui bandai les yeux, puis je pris les cordelettes des rideaux. Avec l'une je lui attachai les mains derrière le dos. Puis je la tirai jusqu'au mur et avec l'autre cordelette j'attachais ses mains au porte-manteau. Je la fis pivoter vers nous, m'approchai d'elle et me mis à titiller, puis à suçoter son téton droit. Je fis signe à Aurélie de faire de même de l'autre côté. Florence poussa plusieurs soupirs. Je m'agenouillai alors devant elle et lui fis écarter les jambes. Je vis alors ses lèvres gonflées et la mouille qui commençait à couler sur sa cuisse. J'approchai ma bouche et me mis à la lécher. Elle se mit à gémir. Je la caressai jusqu'à ce quelle soit sur le point de jouir et m'arrêtai brutalement. Elle poussa un grognement de frustration. Je la laissai mariner quelques instants, en profitant pour embrasser Aurélie et caresser sa fentine, elle aussi bien trempée.

Puis je détachai Florence du porte-manteau et la fis mettre à quatre pattes. Je me plaçais derrière elle et écartai ses fesses. Ma langue se mit à parcourir toute sa vallée sans oublier de lécher sa rosette, ce qui la fit frissonner. Je fis signe à Aurélie de me passer la courgette. Celle-ci était assez longue, mais aussi assez fine. Je la saisis et la fis aller et venir entre les cuisses de Florence. Celle-ci s'était raidie au premier contact avant de se laisser aller à nouveau, emportée par mes caresses sur sa vulve. J'approchai alors le bout le plus fin de la courgette de son minet et commençais à la faire glisser entre ses grandes lèvres. Aurélie s'était approchée et ses yeux excités montraient qu'elle appréciait aussi le spectacle. Je fis entrer la courgette de quelques centimètres provoquant un gémissement chez Florence. « Mon Dieu, qu'est-ce que vous faites avec moi... ». Je sentais bien que cela l'excitait beaucoup. Je continuai à faire entrer et sortir la courgette en l'enfonçant de plus en plus.

Aurélie fixait la courgette, les yeux exorbités. Je lui murmurai : « Tiens, vas-y, continue... ». Elle se saisit de la courgette et la fit aller et venir de plus en plus vite dans le sexe de sa tante. Florence se mit à gémir. Je glissai une main sous elle et m'emparai de son bouton. En même temps, mon autre main s'approcha de sa rosette. J'humectai mon doigt et me mis à masser son petit trou avant de m'y introduire. Florence poussa un grand cri, emportée par ses sensations. Son bassin se mit à tressauter de manière désordonnée et elle jouit en hurlant. Aurélie retira la courgette du sexe de sa tante et la regarda, toute luisante de mouille. Puis elle s'allongea sur le dos et se mit à se toucher l'entrejambe avec. Puis je vis qu'elle commençait à la faire pénétrer dans son minet en se mordant la lèvre. Cela m'excitait terriblement de la voir se masturber ainsi. N'y tenant plus, je m'approchai d'elle et lui pris la courgette des mains, continuant à aller et venir dans son sexe. Je la sentais s'élargir tout doucement tandis qu'elle gémissait de plus en plus fort. N'y tenant plus, j'approchai ma fourche de la sienne, enjambant ses cuisses.

Je me mis à me caresser la vulve avec le bout de la courgette, tout en continuant mes va-et-vient. Puis je l'attrapais par le milieu et l'introduisis dans ma fente. J'approchai mon bassin. Je vis les yeux d'Aurélie chavirer en sentant mon minou s'approcher du sien. Hélas elle était un peu trop longue pour que nous puissions coller nos minous l'une à l'autre. Florence avait récupéré de son orgasme et suivait nos ébats avec intérêt. Elle vint s'agenouiller devant nous et se mit à embrasser sa nièce à pleine bouche. En même temps, elle s'empara de la courgette et la fit aller et venir du sexe d'Aurélie au mien. De l'autre main, elle nous pinçait alternativement les seins et agaçait nos boutons. « Ah mes petites chéries, vous allez voir! », murmura-t-elle. Les mouvements de bassin d'Aurélie et de moi-même étaient de plus en plus saccadés. Nous poussions toutes deux des cris de plus en plus aigus. Florence accéléra encore la cadence de ses va-et-vient et je vis les yeux d'Aurélie se révulser tandis qu'un orgasme puissant la terrassait. Elle se laissa tomber en arrière, le souffle court.

Florence n'hésita pas une seconde. Elle me fit pivoter face à elle et prit la place d'Aurélie. Elle n'eut aucun mal à faire pénétrer la courgette dans son minet, celui-ci étant aussi trempé que la courgette. Puis elle approcha son bassin. Elle était plus profonde qu'Aurélie et cette fois-ci, nos minets se touchèrent. Je poussai un gémissement, tant la sensation était délicieuse. Florence se mit à me pincer les tétons tandis que ma main écartait les lèvres de son sexe pour un contact encore plus intime avec mon minet. Nous nous mîmes à nous frotter er à nous secouer à une cadence de plus en plus rapide, emportées par nos sens enfiévrés. C'est moi qui me laissai aller la première, mais Florence me suivit de peu dans un rugissement de bête. Nous nous laissâmes toutes deux choir sur le tapis, totalement exténuées. Aurélie ne valait guère mieux.

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Anonymous
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2 Commentaires
knightvdvknightvdvil y a plus d’un an

Fantastique récit J'ai adoré 👍👍👍👍💋

Assas78Assas78il y a plus d’un an

Toujours aussi excitante

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