L'Exhibitionniste

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Une professionnelle qui travaille sur le terrain.
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Dans la série: Souvenirs d’un poseur de tapis
L’exhibitionniste.

Ce matin, je sonne à la porte d’une maison de banlieue. Une jolie femme âgée d’environ trente ans vient me répondre. Et, nous restons très surpris tous les deux, car, nous nous reconnaissons pour nous être déjà entrevue il y a environ un mois, sur une piste de danse lorsque nous dansions chacun avec notre conjoint. Aussitôt, la femme a un sourire très accueillant. Cette belle grande femme est justement mon genre. De type méditerranéenne à la longue chevelure noire et elle a des traits d’une personne dynamique. C’est avec un sourire chaleureux que la femme m’invite à enter.

Le souvenir de cette soirée doit lui revenir en tête, elle aussi, car, elle me fait un sourire très sensuel en se passant la langue sur les lèvres. Ce soir-là, pendant que nous dansions chacun avec notre conjoint sur cette piste de danse trop petite pour tous les couples qui s’y tenaient, nos deux couples dansaient côte à côte. Elle et moi, nous-nous étions regardés dans le creux des yeux tout au long d’un slow langoureux, sans que notre conjoint respectif ne se doute de rien. Et, à nouveau ce matin, sans même nous dire un mot, le même courant passe entre nous deux. Nous demeurons quelques secondes à nous regarder franchement dans les yeux.

Avant même que la femme ne rompre le silence, je sais que nous sommes sur la même longueur d’onde. C’est avec un sourire chaleureux que la femme m’invite à entrer et elle m’indique où j’aurais à faire les travaux.

Son téléphone sonne et la femme va répondre en se déhanchant effrontément, tandis que moi, je n’ai pas encore eu le temps de placer un seul mot. Je ne la lâche pas des yeux et je suis certain qu’elle fait exprès pour se faire aller le derrière d’une façon très provocante en sachant que je la dévore des yeux. Elle se doute que je suis déjà tout excité en sachant qu’elle est nue sous sa robe de chambre.

Depuis notre première rencontre, j’avais essayé de me renseigner sur son compte. Mais, aucun de mes copains n’avait pu me renseigner sur cette femme de classe, à l’allure très distinguée.

Ce matin, avant de partir du bureau, le gérant de l’entreprise pour laquelle je travaille, m’avait dit que aujourd’hui, je travaillerais pour un couple de professionnel nouvellement arrivé en région. Le mari médecin et la femme une psychologue, ou, quelque chose comme ça.

La femme se dandine du bas du dos et du derrière et lorsqu’elle se retourne vers moi, elle se lèche un doigt pendant qu’elle continue de parler au téléphone. Elle me dévisage sans pudeur et elle semble ne peu se soucier de son interlocuteur pendant qu’elle s’étire lentement une jambe et qu’elle suit mon regard qui est attiré par la chair invitante de sa cuisse.

Comme je sais qu'il y aura trois pièces de la maison, où, j'aurais à faire des travaux, je me mets tout de suite à l’ouvrage.

Au bout d’environ une heure, en me relevant la tête, la femme se tient devant moi. Elle m’invite à passer à la cuisine pour prendre le café avec elle. Elle m’indique une chaise et elle, elle s’assoit en face de moi, à califourchon sur un tabouret. Et, comme elle est encore en robe de chambre, et que celle-ci est légèrement ouverte, aussitôt mon regard est attiré à la hauteur de sa poitrine où j’entrevois le profond vallon séparant ses seins volumineux.

La jeune femme suit le mouvement de mes yeux, elle sourit lorsqu’elle voit les mamelons qui commencent à se pointer au travers du tissus. Elle me regarde dans les yeux pendant que moi, j’ai les yeux braqués sur les deux pointes des mamelons qui ressortent de plus en plus. Et, les yeux de la femme suivent mon regard qui descends à la hauteur de ses cuisses.

Provocante, elle me fait une moue de femme-enfant et elle regarde vers sa main gauche qui se pause sur le haut d’une cuisse, la robe de chambre s’entrouvre encore plus, me dévoilant la belle chair invitante de ses longues jambes.

Excuses-moi, pour la soirée où nous nous sommes vu pour la première fois, qu’elle me dit :

Ce soir-là, à la fin de la soirée, j’étais pas mal chaude.

Je n’en doute pas, tu es une vrai femme que je lui dis en promenant une autre fois mon regard insistant à la hauteur de ses seins et de ses cuisses pendant qu’elle suit tous les mouvements de mes yeux.

Tu te trompes sur moi, je ne voulais pas dire chaude, mais saoule. Sourire aux lèvres, je lui dis en lui faisant un clin d’oeil:

Moi, j’aime bien le mot chaude.
Moi, à toutes les fois que je pensais à toi depuis cette soirée, je t’imaginais femme chaude et sensuelle.
Une vraie femme, qui aime s’étirée langoureusement comme une chatte.
Et, j’ai même essayé de me renseigner sur toi, mais, aucune de mes connaissances ne savait qui tu étais.
J’espérais bien pouvoir te rencontrer à nouveau, que je lui dis en lui faisant un autre clin d’oeil.

La jeune femme semble flattée et elle me sourit.
Je rajoute:
Puis, je crois sincèrement que tu n’es pas seulement une vraie femme chaude, toi, ma belle, tu es un peu, et même beaucoup exhibitionniste.

Il y as-tu du mal à cela, qu’elle me dit en jouant à ouvrir et refermer ses cuisses. J’espère que tu n’es pas pogné comme mon chum qu’elle me dit pendant que je commence à entrevoir sa petite culotte.

Voyant mon regard à cette hauteur, la femme en profite pour s’asseoir à califourchon sur le tabouret. Je prends un profond respire en gardant mes yeux fixés à la hauteur de sa petite culotte, où, je commence à discerner les formes de sa fente.

Non, et, je serais certainement le dernier à m’en plaindre, car, je suis et j’ai toujours été un peu voyeur et ce matin, je suis gâté!
Puis, je ne vais certainement pas me retourner, si, j’ai devant moi, une belle femme qui se sent bien dans sa peau.

Tu en as pour combien de temps pour faire ces trois pièces.

Pour toute la journée et peut être une partie de la soirée.

C’est ce que je croyais.

Comme mon mari est pris à l’urgence de l’hôpital pour toute la journée, et même toute la nuit, si ça se passe comme les dernières fois, je vais avertir mon bureau que je prends la journée pour superviser les travaux qu’elle rajoute en me jetant un regard très sensuel.

Comme nous avions fini notre café, je me dirige vers le salon pour reprendre les travaux. J’aperçois la femme qui se caresse les seins par dessus sa robe de chambre.

Je serais dans la salle de bain et si tu as besoin moi, n’hésites pas à venir me chercher, tu ne vas pas me déranger du tout qu’elle me dit en me faisant un clin d ’œil et en me regardant d’un air espiègle.

Ça doit faire une quinzaine de minutes que je suis concentré dans mon ouvrage lorsque j’entends la femme me dire :

Est-ce toi qui m’a appelé?

En relevant la tête vers elle, je l’aperçois qui se tient dans l’entrée de la cuisine. J’en reste estomaqué. La jeune femme se tient-là devant moi, flambant nue. L’eau du bain coule sur le plancher de la cuisine tout autour d’elle, car, elle ne s’est pas essuyé du tout. Surpris, j’en oublie mon ouvrage pour profiter du spectacle.

Puis, ça te déranges-tu, si je reste nue pour voguer à mes occupations, qu’elle me dit.

Non, mais j’espère que tu ne vas pas venir mouiller le tapis du salon. Et, ne sois pas choqué si tu vois un gars en érection.
À la condition bonhomme, que tu enlèves ton caleçon pour être plus libre dans tes jeans.

Tu y vas direct, ma belle.
Je dois t’avertir que moi, lorsque je suis chez une cliente, je lui laisse faire tous les premiers pas.
Je ne veux pas d’équivoque, tu sais ce que je veux dire?

Pour toute réponse, la femme se lèche les lèvres en me regardant dans les yeux et elle me pointe d’un doigt pour me faire signe d’avancer jusqu’à elle. Elle se déhanche effrontément le temps que je prends pour me rendre à ses côtés. Ses mains impatientes descendent à la hauteur de ma ceinture qu’elles détachent. Elles s’activent à faire descendre le zipper et une main se glisse aussitôt à l’intérieur de mon caleçon.

Cette main sort mon membre qui commence à être en érection et la femme le gobe en entier dans la bouche.

Elle me mordille sévèrement le gland, je pousse un cri et je la vois qui rit pendant qu’elle commence à me sucer à toute vitesse. Son autre main frotte mes fesses, un doigt viril agace mon anus au travers de mes jeans.

Tu sens la sueur qu’elle me dit.

Je travaillais, moi ma belle pendant que toi, tu te frottais la nounne dans la salle de bain.

Je ne faisais pas que me frotter la nounne, je me masturbais comme une salope pendant que je t’attendais, toi le macho qui m’a laissé attendre tout ce temps. Salaud, tu m’as laissé me satisfaire avec mes doigts, une chance que j’avais mon vibro qu’elle me dit en me mordillant dans le cou.

Me laisses-tu le temps de prendre une douche?

Ce ne sera pas nécessaire.
Ça fait des années que j’attends pour rencontrer un vrai homme.
Un homme de métier comme toi.
Si tu savais comme ça va me changer des jeunes étudiants qui sentaient tous la lotion après barbe et l’eau de cologne.
Ils étaient très nerveux et très impatients de toujours bien faire avec une jeune fille de bonne famille, comme moi.
J’en ai soupé de tous ces hommes bien du milieu huppé qui mettent tous des gants blancs avant de m’approcher.
Aujourd’hui, si mon copain me voyait, il arrêterait de me prendre pour une madone parce qu’aujourd’hui, j’ai envie de faire la salope.

Je lui donne un baiser à pleine bouche, elle répond en enfonçant sa langue au creux de ma bouche et la femme se frotte la poitrine contre la mienne. Je lui empoigne les fesses à pleines mains et la presse cette chatte en chaleur contre mon membre de plus en plus en érection.

Ton copain devrait savoir qu’il a toute une plotte entre les mains que je lui murmure à l’oreille. Elle me donne un bon coup de genou dans les parties lorsque je lui dis ça.

Elle me repousse au bout de ses bras et en me retenant des deux mains par le collet de ma chemise, elle me dit en me regardant dans les yeux.
Mon cher monsieur, tu n’es-là que parce que j’ai besoin d’élargir mes expériences pour mon métier qui est de connaître la réaction de gens.
Profites-en, car moi, aujourd’hui, je commence à en ajouter à mon CV.

Pendant qu'elle me dit ça, elle descends mes jeans de ses deux mains et elle fait glisser mon caleçon en haut de mes cuisses. Elle se rassoit sur la table de la cuisine et elle me tire à elle. Mon sexe plonge entre ses cuisses et l’enfourche d’une seule poussée.

La tigresse me chevauche comme si elle serait grimper sur un cheval sauvage pendant que je lui passe une main sur les seins, mon autre main lui soulève une cuisse pour qu’elle soit appuyé sur mon épaule.

Nous-nous regardons dans les yeux tous le temps de nos ébats très bruyant et très viril. La jeune femme se mordille un doigt avant de se mettre à se tortiller la tête de gauche à droite. Elle crie à tu-tête :

C’est bon.
Fourres-moi comme une salope.
Dis, tu les aimes mes seins.

J’en profite pour lui mordiller un mamelon et lui dis :
Tu as des maudits beaux gros seins.

Si tu savais comme j’aimes ça une belle poupoune comme toi, avec des très gros seins et avec un beau cul comme le tien.
Juste t’entrevoir, ça me fait bander.

Je veux sentir toute ta virilité.
Ce matin, je suis juste une plotte comme tu dis.
Prends-moi comme la salope que je suis et qui en redemande encore.
J’aime ça quand tu me pistonnes fort comme tu fais là, en me tripotant les seins.

Mes mains empoignent les deux seins, je les serre un contre l’autre et ma bouche aspire les mamelons en les suçant à grande vitesse à tour de rôle pendant et que mes lèvres lorsqu’elle changent d’un sein à l’autre font tout un bruit de suction.

Tu as des gros seins.
J’en ai plein les mains, et, j’aime ça en grand.
C’est quoi tes mensurations?

Du 36, 24, 37.
Puis, c’est du 36C.
Lors de ma première paye, j’en ai profitée pour me faire installer des implants.
De passer de 36A à 36C, ça fait toute une différence.
Puis, maintenant, les mâles se tordent le cou quand je passe près d’eux.
Puis, ils en sifflent aussi pour mon petit cul, car, je sais comment m’en servir pour les aguicher et les faire bander, les pauvres chéris.

Je lui mets un doigt sur les lèvres pour la faire taire cette belle garce.

As-tu oublié les préservatifs que je lui dis?
Ma belle, il serait plus que temps, si tu veux prévenir les dégâts, car, moi à ce rythme-là, je suis à la veille d’éjaculer.
Aimes-tu mieux que je me retire?

Assumes bonhomme qu’elle me dit.
Puis, si je n’aurais pas voulu te recevoir, ça ferait déjà un bout que je t’aurais masturbé.
J’ai passé l’âge d’être juste une agace.

Et, je suis entraîné à un rythme d’enfer par la garce qui se fait aller la croupe dans tous les sens pour que je la pénètre encore plus profondément. Une dizaine de secondes plus tard, je viens en elle.

C’est si bon qu’elle me dit.
Vides-toi, tout en moi.

Et, la tigresse m’agrippe et me pince les fesses et de son autre main, elle me graffigne le dos. Et, sans avertissement, la garce m’enfonce un doigt dans l’anus et ce doigt me brusque sans ménagement. Je n’ai jamais été si excité et je décharge en elle tout le temps qu’elle me fouille l’anus de son doigt si dérangeant.

Je me repose quelques secondes pendant que la jeune femme encore toute haletante me repousse un peu et elle me mordille les mamelons avant de les lécher à grand mouvement de la langue.

Elle me repousse en bas de la table et me dit d’aller continuer mes travaux. Lorsque je viens pour partir, la garce me retient par les cheveux et elle me dit :

Pendant que tu vas travailler, je vais nous préparer un repas parce que tu vas avoir besoin encore de ton énergie.
Bonhomme, si tu penses que j’en ai fini avec toi, tu te trompes, car, la journée ne fait que commencer.
En agissant toujours brusquement, la garce me tire vers elle et elle m’enfouie la tête entre ses cuisses. Je replonge ma langue dans sa chatte et la lèche à grand coups de langue pendant qu’elle en miaule tout un coup.

En as-tu des tonnes de femme qui se donne à toi, comme moi, ce matin qu’elle me dit.

Tu es pas mal indiscrète, mais comme c’est ton métier de connaître tout sur les gens, je vais te dire qu’en plus de vingt de métier, ça m’est déjà arrivé plus d’une fois.

Toi, ma belle, aussitôt que j’ai vu ton regard enflammé ce matin, une intuition me disait qu’il était pour se passer de l’action entre nous deux.

Je m’en doutais, bonhomme.
Et, c’est pourquoi, tu sifflais tout le temps.
Tu es bien comme tous les mâles qui savent qu’ils vont avoir leur nénanne.
Les hommes, quand il y a du sexe en vue, ils sont tous joyeux.
Vous êtes tous, une maudite gang de macho?

Toi, ma belle, je ne pensais qu’à te sauter depuis le premier moment que je t’ai vu à la salle de danse dans cette petite robe sexée dans laquelle tu faisais exprès pour faire bander tous les mâles.

Dis, tu l’aimais ma petite robe.

Si je te disais ma belle que je rêve à toutes les nuits depuis cette fameuse soirée de te l’enlever cette petite robe sur ton beau corps de rêve.
Cette robe t’allait et te moulait comme une seconde peau.
Puis, si s’aurait été que de moi, tu aurais été complètement nue sous cette robe. Ainsi, tu aurais mis tous les mâles KO.

C’est bien ce que je projetais de faire, mais, mon copain n’a jamais voulu que je sorte nue sous ma robe.

Tu aurais fait tout un malheur.
Cette nuit-là, il y aurait eu encore plus de mâles de pogner avec des serrements de gosses.

Continues à travailler, je te promets des surprises toute au long de la journée.


Une demi heure plus tard, en me relevant la tête de mon ouvrage, je la vois qui se tient à quelques pieds de moi, justement dans la fameuse petite robe rouge sang. Et, cette fois, la jeune femme est nue sous la robe, mais, elle a pris le temps de mettre des bas de nylon blanc qui lui viennent à mi-cuisse et du haut de ses souliers aiguilles, elle est croccable et sexée à mort.

Telle une jeune ingénue, elle me regarde espiègle, en se suçant un doigt pendant que son autre main retient sa sacoche. La jeune femme porte des gants de nylon qui lui viennent jusqu’aux coudes. Elle se trémousse de gauche à droite du haut de ses longues échasses en bougeant tout le corps et en se déhanchant comme une belle agace. La femme a aussi changé sa coiffure et avec une tresse chaque côté de la tête, elle me fait pensée à Fifi brin d’acier.

Je la laisse se trémousser encore quelques instants, le profond décolleté de la robe dévoile ses seins volumineux qui sautillent sous les déhanchements, avant de lui faire signe de tourner sur elle-même. La belle enfant se mord le doigt avant de s’exécuter. Lorsqu’elle est dos à moi, la belle garce se bouge les fesses comme une belle salope. Elle se tient du bout des orteils ce qui fait que la robe cherche à remonter et que moi, j’ai encore une plus belle vue sur le gras de ses fesses et ses longues cuisses bien galbées. La garce est de plus en plus bandante. Elle se penche lentement me dévoilant ses belles fesses nues. J’aperçois sa main qui fouille sa chatte pendant qu’elle ouvre ses lèvres roses déjà bien en érection. Penchée ainsi, je vois quelques poils humides qui recouvrent une partie de sa chatte de belle plotte en chaleur.

Je m’approche un peu plus près d’elle et je place mes mains sur ses hanches. Je l’attire contre moi pour qu’elle puisse ressentir mon érection pendant qu’elle appuie ses seins contre ma poitrine et que je me frotte le membre contre son ventre et sa chatte. Je glisse mes mains en direction de ses fesses en retroussant la robe et du même mouvement, je lui pogne les fesses à pleine main.

Nous-nous donnons un baiser langoureux. Nos deux langues se fouillent et s’explorent l’une l’autre comme des affamés.

Je la soulève ma belle tigresse et la couche sur le tapis du salon. Elle me demande de lui enlever sa robe pendant que je suis penché au-dessus de son corps.

Je la surprend lorsque je me recule un peu et lui dis:

Je sais que tu veux que je te prenne, mais, je veux d’abord que tu me fasse tout un show.
Si tu le veux reste ainsi, couchée sur le tapis du salon.
Puis, dans ton show, tu dois toujours garder ta robe.

Je lui envoie un baiser du bout des doigts et lui dis :
Tu es bandante et habillée ainsi tu es sautable.

La garce me fait un clin d’œil.

Caresses tes seins et fouilles ta chatte déjà toute mouillée avant que je ne te la manger ta belle chatte de belle plotte en chaleur.
Envoies, fais-moi un malheur.

La jeune femme ferment ses yeux et elle se lèche les lèvres en soupirant pendant que ses mains caressent ses seins. Ses mains me cachent les mamelons et leurs large auréoles pendant qu’elles les pincent et que je regarde son visage épanouie de femme en chaleur.

La jeune femme a toujours les yeux fermés et elle se concentre à caresser avec un seul doigt ses mamelons qui durcissent encore plus. La femme est de plus en plus bandante. Lorsqu’elle ouvre à nouveau les yeux, la femme a un premier regard attendrie vers ses seins avant de venir porter son regard sur mon érection. La garce me sourit en retournant son regard vers mon membre qui remplit mes jeans à m’en faire mal. La femme me surprend lorsqu’elle roule sur elle-même.

Je suis comme hypnotisé à la vue de ses fesses rebondies qui elles me narguent sans aucune pudeur. La jeune femme siffle en voyant mon regard attendrie. La garce me surprend lorsqu’elle sort un vibromasseur de sa sacoche et elle se l’enfourche dans la chatte et elle se fait jouir pendant que je ne manque rien du spectacle.

La garce me fait de plus en plus bander quand elle ouvre les cuisses et qu’elle se frotte la chatte sur les poils du tapis en ondulant très féline des hanches et des fesses tout le temps qu’elle prend son pied. Elle me dit que son vibro la fait jouir comme si sa chatte était caressée par un pénis et une langue en même temps.

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