L'horrible Dette 02

Informations sur Récit
Le corps de Marie servira à payer les dettes de son fils.
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Partie 2 de la série de 5 pièces

Actualisé 06/08/2023
Créé 08/30/2017
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Ma mère reprenait peu à peu ses esprit. Elle grimaça et posa sa main sur la marque des aiguillons du taser. Son corps n'avait jamais ressenti une telle douleur. Elle était allongée sur un lit et j'étais à coté d'elle, assis sur une chaise. Suite à la scéance taser, on nous avez emmené ici histoire que Marie reprenne ses esprits.

-Ca va, maman?

-J'ai encore mal mais ça va mieux

Elle toussa.

-Que se passe t'il, mon chéri, où sommes nous?

-Je...Je ne sais pas!

Je ne voulais pas lui avouer que c'était par ma faute qu'elle était ici avec moi. Elle réalisa qu'elle était en soutient gorge et par instinct se masqua sa grosse poitrine avec ses mains. Comme elle avait de gros seins, on aurait dit deux ballons de baudruche déformés par ses bras.

-Mon dieu, ils... ils m'ont arraché mon débardeur pendant que j'essayais de leur echapper. Ils ont surgit d'un seul coup et m'ont kidnappée.

Elle sanglota et honteux , je la pris dans mes bras.

-On va s'en sortir, t'inquiète pas.

Vic entra dans la petite piéce accompagné de deux hommes.

-J'espére que ça va mieux , madame car vous avez à faire.

Ma mére lui ordonna de ne pas s'approcher mais il sorti son taser.

-Il vaudrait mieux que vous nous suiviez sans broncher, vous et votre sale fils.

Ma mère apeurée dit:

-Mais donnez moi quelque chose pour me couvrir la poitrine, j'ai honte.

Ils rirent tout en lui fixant les seins afin de la mettre encore plus mal à l'aise.

-Vous allez venir comme ça et de toute façon, à partir de ce moment même, habituez vous à être trés peu habillée...voire pas du tout.

On nous pressa de sortir, direction, le centre du hangar. Un des hommes passa derrière le dos de Marie, sorti un cran d'arrêt et trancha les deux bretelles. Ma mère, honteuse,croisa les bras pour retenir le soutient. Elle pressait ainsi ses grosses mammelles mais celui de derrière lui empoigna les deux bras qu'il bloqua derrière elle. Le gros soutient gorge noir glissa le long de son corps. Les yeux de Vic s'écartillérent d'excitation lorsque les deux nichons tombérent lourdement en rebondissant légérement. Elle essayait de se dégager de la prise du gars derrière elle en se tortillant. Ses gros seins se mirent à se balancer comme deux ballons remplis de liquide. Elle avait de large aréoles, bien brunes avec de longs tétons. Je tentai de la dégager mais à mon tour , je fus tasé par Vic devant les yeux horrifiés de ma mère.

-Joli sursaut héroîque, mais ça sert à rien.

Devant ma douleur, Marie redoubla d'effort pour se libérer mais rien à faire. Pire encore: Sa détresse, son impuissance excitait les hommes

-Par pitié, laissez mon fils!

Elle tortillait son corps plantureux en gémissant offrant à la vue de tous une danse des seins des plus magnifiques. Nous fûmes trainés de force vers le centre du hangard où se trouvait un gros matelas pourris deux places. Je fus balancé par terre sans ménagement et ma mère sur le matelas. Elle se recroquevilla tout en cachant ses gros seins.Vic s'énerva.

-Ca suffit! il est temps de payer maintenant. Toi, tiens lui les bras à cette bourgeoise.

Un des gars se mit derrière elle et lui saisit les bras. Vic tendit des menottes plastiques à son partenaire qui attacha les mains de Marie derrière elle. Elle essaya de résister mais l'homme était trop fort. Ses gros seins étaient à la merci de tous maintenant. Elle hurla de honte. Tous restérent à contempler cette voluptueuse femme mature à l'opulente poitrine. Vic alors s'approcha d'elle et lui saisit les deux longs tétons qu'il pinça arrachant un autre cri mais de douleur cette fois. Il éclata de rire et se mit à malaxer les lourds nibards de ma mère qui se tortillait pour échapper aux mains avides. Elle sentait les doigts sur ses seins moelleux. Ses seins étaient pétris, malaxés sans douceur. Un autre avanca et sortit sa bite. Marie cria:

-Noon pas ça...pas ça.....

Le sexe s'enfonça dans sa bouche tandis que Vic sorti la sienne pour la caler entre les énormes globes. Celui de derrière pressa les seins de Marie sur la bite qui disparu entre les masses de chair. Il se mit à se branler à l'espagnole sous mes yeux anéantis. Ma propre mère, traitée comme la dernière des putes. Elle pompait, en pleurnichant, l'autre homme qui grimaçait d'excitation. Il y'avait trois autres hommes autour qui ne demandait qu'à prendre leur tour.

-Bon sang, Vic , fous la à poil, cette pute! On veut voir sa chatte!

Mais Vic n'entendait pas, il était trop occuppé à se branler entre les gros nichons. Ma mère avait encore son pentacourt. Vic poussait sur les loches en titurant les têtons et cette poussée fasait mal aux bras de Marie attachée derrière le dos. Les menottes commençaient aussi à lui faire mal. Elle avait du mal à respirer car le sexe de l'autre homme lui rentrait de plus en plus profond dans la gorge. Elle avait cessé de se débattre car non seulement ça lui faisait mal mais en plus, elle était totalement humiliée, et ce, devant moi, son propre fils. Elle savait que je plus jamais je ne la regarderais comme avant. Vic grognait. J'étais à même pas 2 mêtres de la scêne, encore groggy. Je pouvais entendre le bruit du sexe frottant entre les nichons. Il accentua le va et viens et subitement, il gicla sur cette magnifique poitrine maternelle qui m'avait allaité jadis. Une monstrueuse quantité de foutre. L'autre éjacula juste aprés. Marie eu la bouche remplie, ne put tout avaler et recracha une partie. Elle reçut une claque, puis une autre. Vic grogna encore retirant son sexe, les couilles vidées sur les seins de ma propre mère.

-A vous, les gars! prenait sa chatte!!

Un des trois restant se precipita avec un couteau et commença à lui arracher le dernier vêtement qui la préservait de la nudité totale. Son string noir subit le même sort. Elle était nue, allongée sur le matelas pourri,les bras attachés derrière le dos, du sperme plein les seins et aussi qui dégoulait de sa bouche.

-Pitié.

Rires. On la détacha puis la remenota les bras au dessus d'elle. Vic lui tenait les bras.

-Allez! faites de belles photos souvenirs aussi.

Deux des gars écartèrent les cuisses de Marie, offrant son sexe à la vue de tous. Ils me regardèrent heureux. Heureux de me voir impuissant assister au viol de ma propre mére. J'étais humilié, détruit, vaincu.

La chatte , bien entretenue, donnait envie à ses ravisseurs.

-Levez lui les jambes.

Un homme tapa d'abord les fesses de ma mére

-Tu as de bonnes fesses toi et un beau trou du cul!

Ils se mirent à écarter son anus, prenant photos sur photos car ils voulaient des souvenirs, de nombreux souvenirs. sa chatte fut prise, son visage en pleurs et anéanti. Mais aussi ses seins énormes, couverts de sperme. Vic les exposaient comme deux gros trophées sous les pleurs de Marie tandis qu'on le prenait en photo. Puis ils se relayérent pour la baiser chacun leur tour ne laissant aucun répit à ma mère. Les bites penetraient puis se retiraient de son anus, de sa chatte et de sa bouche répendant à chaque fois des flots de foutre. N'ayant jamais était sodomisée, elle soufrait terriblement. Ce ne fut que plusieurs heures plus tard qu'ils en eurent assez et qu'ils la laissérent. Ils la détachérent. elle était complêtement épuisée et n'arrivait même plus à se relever. Son corps était gluant car recouvert de sperme et de sueur.

-Emméne cette pute sous la douche, là bas au fond!

J'eu du mal à la lever tant elle était épuisée et que son anus lui faisait mal. Le hangar était bien équipé et d'autres avait du subir la même chose que nous. La douche lui fit du bien. L'eau chaude couplée au gel douche semblait la laver de ce qu'elle a subit. Tout son corps se détendit. Elle nettoya sa grosse poitrine avec precaution puis sa chatte. Elle n'osa insister sur son anus car trop douloureux pour l'instant. Elle s'enroula dans un superbe peignoir et nous fûmes dirigés dans la petite salle du début. Marie s'affala sur le lit et pleura. je tentais de la consoler. Vic entra, tout sourire. Il regarda ma mère:

-Votre calvaire n'est pas prés de se terminer, chére Madame! il va falloir payer trés cher les dettes de votre fils. Des amis à moi vont venir spécialement pour vous. J'ai envoyé des photos de vous et vos gros seins leur ont bien plu. Ils vont payer une grosse somme pour s'amuser avec vous. vous aurez interêt à vous faire belle et de vous soumettre à tout leurs caprices.

Un deuxiéme homme entra et posa des "vêtements" et du maquillage à coté d'elle. C'était une mini jupe et un body mais qui ressemblait juste à un haut de bikini tant il était petit. On lui rapporté ses superbes mules transparentes à talons haut. Ma mère le regarda, plein de haine.

-Ooh mais je ne suis pas une prostituée, jamais je ne mettrai ça!

Vic sortit son taseur et me foudroya en fureur.

-vous avez interêt à faire ce que je vous dit sinon, je tue votre sale fils de merde. N'oubliez pas que c'est lui qui est la cause de tout ça.

Je cru mourir et ma mère hurla:

-Stop! Stop! d'accord! je le ferai! Je ferai tout ce que vous voudrez!

-Alors faites vous belle, bandante! Si vous ne jouez pas le jeu, c'est votre fils qui prendra!

Vic se retira nous laissant maman et moi . Ma mére m'aida à me relever quelques longues minutes plus tard.

-raconte moi, tout!

Ce fut fait. Elle s'effondra sur le lit, anéantie. Elle venait de comprendre pourquoi elle venait d'être violée et humiliée. De plus, elle allait être réduite à l'état de pute. Je me mis à coté d'elle.

-Je suis désolé , maman, désolé.

-Je ne t'en veux pas , mon chéri. Tu aurais pu juste me prévenir pour tes dettes, ton pére et moi t'aurions aidé.

Puis elle regarda les habits posés à coté d'elle.

-Je vais jouer leur jeu jusqu'à ce qu'ils nous libérent. Je viens de me faire violer alors faire la putain ne m'effraie plus. Mes mots sont durs et je sais que l'image de ta maman viens d'être détruite mais...

-Tu n'as rien à te reprocher! c'est moi le fautif! ton corps a été souillé, violé et ton honneur bafoué par ma faute.

-Chut...

Elle prit ma tête et la posa contre son épaule a son tour pour me consoler.

-Nous allons nous en tirer, je te le jure, mon fils.

J'aurai aimé croire ma mére, optimiste de nature mais la réputation de Vic, hélas, présageait le pire...hélas oui.

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